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Chapitre -03 - Un frère
Il me faisait vraiment peur. Il avait sûrement dû me voir plus tôt dans la chambre. Je me dis que c'était lui, le bruit qui m'avait fait sursauter. Je ne bougeais plus, tremblais même, de peur, de froid. Le souffle me manquait.
Et il me frappa. Lourdement, en plein ventre. J'étais plié, toussais en suffoquant, lorsque revint sa droite, à mon visage cette fois-ci. Un éclair de douleur me fit hurler. Ses yeux noirs avaient changé, je les voyais sombres et menaçants. Lentement, je fis un geste, soulevant mon tee-shirt, mais il me frappa à nouveau à l'oeil. Je sanglotais, je n'entendais que sa voix qui m'ordonnait d'aller plus vite, d'y mettre plus de conviction. Sous son regard humiliant, je me mis nu devant le frère d'Hector, tremblant énormément.
Je me tenais en string rose au milieu de la cuisine.
"Tiens tiens, fit-il en feignant la surprise, alors comme ça Hector ramène les putes à la maison... Faut dire qu'il a bien choisi, t'es drôlement sexy dans ton petit string ! Mais on se calme, tu bandes déjà, ma salope !
Il me caressait les bras et ça me donnait la chair de poule. D'une bourrade, il me poussa, puis me traîna jusque dans une chambre, la sienne. Dedans, tout était obscur, les volets étaient bien fermés, rideaux flanqués. Une seule lampe éclairait faiblement la pièce d'une lumière rouge, menaçante. Ainsi, je pus me contempler de haut en bas dans un long miroir ; nu, petit string rose serré aux hanches, début d'érection, du sang au visage. Je ne peux l'expliquer : sur le coup, ça me fit bander. Toutefois pris de panique à cause de ce corps qui me trahissait, je me remis à sangloter, les larmes coulaient, se mêlant au sang. Le frère se fit doux, il m'essuya le visage, et m'embrassa langoureusement. Il me chuchotait à l'oreille :
"N'aies pas peur, tout va bien se passer..."
À nouveau, il me roula une pelle, une main sur mon sexe.
"Et puis tu vois, tu kiffes déjà... Avoue que dans le fond, tu n'attendais que ça... Hein, dis-le."
Le ton menaçant revenait, et, ma blessure me lancinant de plus belle, me remémorant les coups, je fis un signe de la tête, sans rien contrôler. Je n'ai jamais su pourquoi j'avais cédé à ce moment-là, donnant la permission à mon agresseur de me violer en toute impunité, et entraînant de telles conséquences sur ma vie. Lui, d'un grand sourire, me prit dans ses bras, et susurra :
"C'est bien. Petite chienne."
Il me saisit les fesses. À pleines mains, il malaxait la chair de mon cul, faisait claquer à grand bruit la ficelle du string. Un doigt pénétra rapidement dans mon fondement, chaud, et je ravalais un sanglot.
"Tu gémis ? C'est que tu aimes ça mon cochon !"
En riant, il me tourna, me projeta sur son énorme lit, le cul à l'air, et claqua la porte. La serrure s'enclenchait : j'étais captif. Une grande claque vint taper ma fesse droite. Sous le choc, je poussai un cri de douleur, aiguë. Il frappa une seconde fois ; et il redoublait de violence, comme mes cris, de plus en plus aigus. Du coup, il fouilla un bref moment dans sa chambre, puis revint vers moi pour me bâillonner, enfonçant profondément des chaussettes dans ma bouche. De même qu'il me lia les mains.
Et ça ne s'arrêta plus, il frappait mes fesses rougies. Cependant je ne sentais plus la douleur. Il s'y prenait si bien qu'à chappe tappe était comme un orgasme pour moi. Ça me donnait du plaisir, et sans le vouloir, quand il s'arrêtait pour reprendre son souffle, mes fesses remuaient, comme si elles en redemandaient, et lui de renchérir :
"Tu vois, c'est toi qui veux !"
Puis, je fis tout précipiter. Au fond de moi, j'entendais une petite voix ; comme celle de mon violeur, elle me disait que je n'étais qu'un petit pervers qui, s'il le fallait, se taperait et le pote, et le frère ! Et cette voix, détruisant mes dernières résistances conscientes, gagna, et le vicieux qu'elle me susurrait que j'étais fit un geste.
En me voyant mettre de côté la ficelle du string, mon bourreau rigola de mépris et exécuta ma volonté. Il saisit mon corps, me cambra. Il appuyait sur le bas de ma colonne vertébrale, tout en me tirant les cheveux, et me cambra à tel point que mon dos craqua. Toujours dans le miroir, que le frère avait déplacé de façon à me forcer à contempler mon viol tout du long, je me vis terriblement cambré, et je laissais échapper un soupir de ravissement. À l'oreille :
"Je vais te démonter, petite pute. T'as pas intérêt à toucher mon petit frère. C'est moi qui te fourre, et c'est toi mon réservoir à foutre."
Sur ce dernier mot, il m'encula. Son sexe pénétra dans mon cul. Je n'avais aucune idée de sa taille, mais aux sensations que mon cul me donnait, ne cessant jamais de s'élargir, pour laisser passer sa bite, je compris. Il allait me défoncer. Il s'enfonçait donc toujours plus, son immense bite chaude luttant contre les parois de, selon ces rugissements, mon petit cul serré. Mais ça ne finissait pas, il entrait toujours, je voulus qu'il soit en moi, en entier ! Et d'un coup de hanche vers l'arrière, je nous fis tous les deux gémir de plaisir. J'entendis le claquement de ses burnes frappant le bas de mon trou en me fourrant.
Nous restâmes ainsi de longues minutes, moi gémissant, lui, ne parlant plus, le souffle haletant. Il tenta de dire quelque chose, je ne compris pas, sa voix le lâchait. Puis, je compris des mots dans son murmure haché :
"Non, merde... Qu'est-ce... qu'est-ce qu'on fait... Mon frère... Je suis...
- Mais défonce-moi !! Je t'en supplie, baise-moi c'est trop bon !!"
Je refis mon coup de hanches, qui le réveilla de sa torpeur. Il reprit ses va-et-vient, d'abord sensuels, rapidement brutaux. C'était une vraie bête de sexe, il me faisait jouir, je le lui dis, et il repartit de plus belle, toujours plus profond, toujours plus rapide ; déculant entièrement à chaque fois, il se jetait à corps perdu sur moi et me plantait son membre entier dans le trou. Ses couilles fouettaient le bas de mon cul et sa queue bestiale me pourfendait. Malgré tout, mon anus ne se dilatait pas, j'étais toujours aussi serré, et, mon dieu, qu'est-ce que c'était bon ! J'étais une chienne, c'était donc vrai ! Quel plaisir !
Soudain ses expirations se muèrent en cris, de plus en plus rauques, et il me saisit avec ses mêmes fortes mains mes petits tétons, qui pointaient de plaisir. Il se mit à accompagner chaque enfoncée de son sexe immense d'une torsion de tétons, et d'un cri fantastique formé de nos deux voix agonisantes.
La sueur de son torse gouttait sur mon dos nu. La chaleur se fit étouffante. Dans un dernier effort, je relevais la tête, admirant le miroir et l'image qu'il rendait. Mais mon baiseur ferma les yeux, comme en transe, et d'un rugissement incroyable, il m'infligea cinq lourds coups de butoir, cinq bruits sourds claquèrent, lentement, faisant jouir chaque centimètre de la paroi de mon anus, et d'un coup, mon enculeur s'enfonça plus profondément qu'on ne l'avait jamais été dans un corps humain, et déversa un flot immense de sperme. Il s'effondra immédiatement, m'écrasant, et mon anus se contractant, multipliant encore les sensations, me fit jouir à mon tour.
Je remplis de mon sperme le petit string rose.
(Vous avez joui ? Dites-le moi ! anno.mail69@gmail.com)
Anno
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