Je précise que si l'histoire est réelle, les prénoms sont modifiés.
Cette histoire s'est déroulée durant l'année de mes 19 ans où j'étais tombé plus ou moins amoureux. Comme n'importe quel jeune homme homo débutant, je suppose, le mec qui me plaisait le plus était évidemment hétéro... Il avait quelques mois de moins. D'origine algérienne, il était plutôt petit, je dirais 1m65 environ, mince et sportif, il pratiquait le foot et l'athlétisme. Il était du style bad boy, un peu wesh sur les bords, contrairement à moi mais j'aimais bien ce style à l'époque... Nous étions alors très amis et trainions souvent ensemble.
Outre son physique qui me plaisait énormément, Mohamed, que tout le monde surnommait Momo, était en situation de handicap, il était très mal entendant. Son handicap était plutôt bien compensé par des appareils qu'il pouvait mettre ou retirer selon ses besoins, on constatait donc au premier regard son handicap à cause de ses appareils qu'il arborait sur les oreilles, mais lorsqu'il les portait, il n'était visiblement pas particulièrement diminué.
Plutôt mignon, il avait la chance d'avoir beaucoup de succès auprès des filles. On ne se confiait pas énormément l'un à l'autre, j'ignorais donc s'il était encore puceau ou non. Pour ma part, timide comme j'étais, je l'étais plus que jamais, à mon grand désespoir. Je ne lui avais d'ailleurs pas confié que j'étais gay, n'assumant pas encore vraiment la situation à l'époque par crainte des potentielles conséquences néfastes d'une telle nouvelle...
Je lui proposais un jour de venir passer la nuit chez moi un vendredi soir, ce qu'il accepta. C'était alors la première fois qu'il dormirait chez moi. Une soirée d'été plutôt chaude qui débuta par des films à la télé et de longues discussions diverses, surtout autour des filles en ce qui le concernait... La chaleur étant plutôt lourde, Momo était en caleçon et - shirt. Pour ma part, j'étais resté avec un pantalon.
- Tu n'as pas chaud comme ça ? Me dit-il vers le milieu de la soirée.
- Non non ça va franchement.
Bien sûr que si j'avais chaud. Sauf que le voir en caleçon suffisait à m'exciter, à me donner des érections de temps en temps, à cet âge-là et encore puceau, ce n'était pas très étonnant...
La soirée se poursuit avec un nouveau film et vint à nouveau une conversation sur les filles. Assez fier de lui, il me raconte qu'il a séduit pas mal de filles ces derniers temps et que la dernière était le meilleur coup de sa vie. J'en déduisis alors que contrairement à moi, il n'était plus puceau... Bien que pas du tout excité par les filles, je tentais d'approfondir la question car Momo à poil, en érection et en pleine action, ça, ça m'excitait bien... La voix basse, j'eus droit à de nombreux détails de leurs anatomies, les seins, la chatte... Bon, j'en profite, me surprenant moi-même, pour le questionner :
" Et toi ta queue elle fait combien ? "
Je le sens un peu surpris par ma question mais le masque habilement en éclatant de rire. En me donnant un petit coup de poing sur l'épaule :
" Assez grande pour t'étouffer si je la mets dans ta bouche ! "
Je ris avec lui tout en regrettant de n'avoir pas eu de réponse à ma question. La nuit étant alors bien avancée, comme notre fatigue, nous décidons de nous coucher.
Ma chambre à l'époque avait deux lits superposés. Je partageais la chambre avec mon petit frère jusqu'à ce que mes parents agrandissent la maison et que nous ayons chacun la nôtre. J'ai néanmoins conservé les lits superposés, finalement plutôt pratiques quand je recevais des amis, ce que je pouvais faire depuis très peu de temps justement.
Momo retire donc ses appareils auditifs, trop inconfortables pour dormir avec, et se couche. Il occupe le lit du bas, tandis que je prends le lit du haut, lit que j'ai toujours occupé quand mon frère dormait avec moi.
Alors que je sens le sommeil me gagner, je suis réveillé par un bruit régulier, un frottement ou je ne sais quoi, sans que je puisse l'identifier. Je glisse faiblement, pour ne pas réveiller la maison :
" - Momo ? "
Pas de réponse. J'avais oublié qu'il avait enlevé ses appareils, impossible d'attirer son attention par la voix. Je roule dans mon lit pour regarder vers le bas et lui faire un signe et je le découvre sur le dos, yeux fermés, recouvert seulement d'un drap remonté jusqu'en haut des abdos. Ses deux mains sont sous le drap que je vois bouger vivement, le fameux bruit qui m'avait tiré de mon sommeil débutant. C'était plutôt bruyant dans une chambre parfaitement silencieuse mais il n'avait probablement pas entendu que ça l'était... Stupéfait mais ravi de la scène sous mes yeux, je contemplais ses pecs, complètement imberbes. Pas aussi dessinés que ce que j'espérais mais quand même un peu, j'adorais la couleur de sa peau en revanche, caramel. On pouvait lire la concentration sur son visage, cela semblait être un travail sérieux ! Je continuai à l'observer ainsi pendant quelques minutes, craignant néanmoins de me faire démasquer s'il ouvrait les yeux. Il finit par se raidir et ramener la tête en arrière. Dans un soupir appuyé, je supposais qu'il était en train de jouir et ça me rendait vraiment dingue... Nouveau soupir de satisfaction et signalant la fin du travail bien fait, je préférais alors me rallonger sur mon lit avant qu'il ne me démasque. Je bandais alors comme un dingue même si, au final, je n'avais rien vu... C'était à mon tour de me branler, aussi silencieusement que possible même si, de mon côté, je n'avais aucune chance d'être entendu.
Le lendemain matin je fis comme si de rien n'était. Nous nous levons tranquillement, prenons notre petit-déjeuner et nous plantons à nouveau devant la télé. Excité à l'idée qu'il remette ça, je lui propose de rester dormir encore ce soir, je prétextais qu'on s'amusait bien et qu'en plus, il n'avait rien de mieux à faire. Il se laissa rapidement convaincre et une fois l'autorisation de nos parents respectifs, j'avais hâte que le jour fasse place à la nuit.
Comme la veille, la soirée débuta par des films. Je ne sais plus de quel film il s'agissait mais on apercevait à de nombreuses reprises un acteur torse nu, très bien foutu, faisant monter mon excitation. J'avais évidemment conservé mon pantalon de jogging qui ne me quittait pas, et lui son boxer, comme la veille. À la fin d'une scène un peu érotique, je lui demande à chaud :
" - Tu te branles souvent toi ? "
" - Quoi ? "
" - Tu te branles souvent ? Plusieurs fois par jour ? Par semaine ? "
" - Mais putain qu'est-ce que tu racontes ! " crie-t-il en explosant de rire, visiblement gêné par la question.
" - Bah je ne sais pas, j'aimerais bien qu'on puisse se confier un peu plus, ce n'est pas pour te juger mais pour savoir si mes potes font comme moi c'est tout... "
" - Pfff je n'en sais rien moi... " répond-il en détournant la tête, un peu agacé.
" - Bah à peu près, je ne te demande pas un carnet de bord ! "
" - Bah... Je n'en sais rien, parfois deux ou trois fois par jour, parfois pas du tout et toi ? "
" - Pareil... "
" - Et comment tu te branles ? "
" - Comment ça ? "
Il leva les yeux vers moi et mima des gestes avec sa main, d'abord le pouce face à l'index et au majeur joints, effectuant un geste rapide de bas en haut, puis le pouce face à tous les autres doigts :
" - Bah comme ça ou comme ça par exemple ? "
" - AAH... Euh... Plutôt la deuxième solution et toi ? "
" - Sérieux ? Parce que ta bite est trop grosse c'est ça ? Ah ! Moi ça dépend, plutôt la première, j'aime bien frotter le gland juste avec quelques doigts... "
Ma timidité commençait à reprendre le dessus, même si j'étais bien excité par la situation, je n'osais plus trop parler. Il rompit le silence d'une voix forte et lança à la rigolade :
" - Mais putain t'es grave, enlève ton pantalon mec, il fait trop chaud là "
C'est vrai que j'avais chaud. Avec l'impression qu'on avait franchi un palier sur notre intimité, je décidai d'obtempérer et je retirais mon jogging. Je le surpris alors à hausser les sourcils et lui demandai pourquoi, tout en craignant que ma légère érection soit visible.
" - Je ne sais pas, je ne t'imaginais pas porter des slips mais c'est cool t'inquiètes gros. "
C'est vrai que je portais des slips et non des boxers ou caleçons comme la majorité des gars de mon âge. J'avais tendance à trouver ça plus confortable avant.
Je me rassis sur le lit du bas, face à la télé et retirai alors mon t-shirt.
" - Hé c'est bon mec je ne t'ai pas dit de te mettre à poil là ! "
" - Non mais tu avais raison, il fait chaud alors fait chier ! "
" - J'avoue... "
Il m'imita et c'était un peu l'objectif de la manoeuvre pour être franc ! Nous étions alors tous deux en sous-vêtements rivés devant la télé. Sentant que c'était le moment adéquat :
" - Dis Momo... Hier soir... Euh... "
" - Quoi ? Vas-y balance gros "
" - J'ai entendu un bruit pendant que j'essayais de m'endormir. Je voulais t'appeler pour te le dire et en me penchant par-dessus la barrière pour te le dire, je t'ai vu. "
" - Tu m'as vu ? Et alors ? "
" - Je t'ai vu te branler... "
Son attitude d'habitude fanfaronne était bien loin de lui à présent... Il ne décollait pas ses yeux de la télé sans toutefois me répondre. De longues minutes de silence suivirent, qu'il rompit d'une voix fébrile :
" - Désolé... "
" - Pourquoi ? "
" - Bah ça ne se fait pas c'est chaud... "
" - Non non t'inquiètes, je me suis branlé moi aussi juste après ! "
Dans le but de dédramatiser la situation, je m'étais dévoilé en partie comme un imbécile... C'était à mon tour de river mes yeux sur la télé. Je le sentis se tourner vers moi et il me lança d'un ton goguenard :
" - Juste après ? Mais t'as kiffé me mater ou quoi ? ! "
Je ne trouvais pas la force de nier et lâchai un petit rire en secouant la tête. Momo reprit confiance et grande gueule comme il était, enchaina sur toutes les raisons qu'il y avait pour moi d'avoir kiffé le spectacle :
" - Mais c'est normal, je suis tellement beau gosse, bien sûr que t'as kiffé ! Toutes les meufs rêvent de moi, pas de raison que ce soit différent pour toi ! "
- T'es con, arrête
Mal à l'aise, je baissais la tête un peu embarrassé. Semblant ne pas s'en rendre compte il ne s'arrêta pas en si bon chemin :
" - Non mais t'inquiètes gros hein, y a pas de soucis, si tu kiffes la branlette tu kiffes la branlette, je peux même recommencer devant toi là, je peux bien faire ça pour mon potto non ? "
Sa voix avait perdu son ton rieur pour se faire un peu plus sérieuse sur la fin. Il reprit :
" - On peut même se branler ensemble en fait si tu veux... "
Je relevai les yeux vers lui tandis qu'il s'était retourné vers la télé. Je suivis sa rigueur et découvris une nouvelle scène un peu érotique. Mes yeux revinrent se fixer sur lui et je remarquai alors qu'il avait une bosse qui commençait à se dessiner sous son boxer. Il me surprit et me glissa :
" - Tu vois tu kiffes... Tu veux la voir ? "
J'acquiesçais d'un sourire, sans vraiment dire oui, pour éviter une potentielle humiliation si l'invitation n'était pas sérieuse, on pouvait jamais vraiment savoir avec lui. Il quitta la position du tailleur pour déplier un peu les jambes et baissa l'élastique de son boxer pour sortir sa queue. Un début d'érection était bien présent, c'était la première fois que je voyais une bite qui bandait, même un peu, devant moi. Je fus un peu déçu par sa taille toutefois, elle devait faire 12 ou 13 cm à ce moment-là. Je remarquai en revanche qu'il était circoncis et qu'il avait assez peu de poils sur le pubis.
" - Vas-y, montre-moi la tienne maintenant... "
" - Sérieux ? "
" - Bah oui, tu as vu la mienne c'est normal non ! "
Il remonta alors son boxer et alors que je baissais mon slip, je lui demandai :
" - Bah pourquoi tu le remets, tu ne voulais pas te branler ? "
Ma bite dehors, je sentis alors son regard se poser sur elle. Tout en riant de ma blague, je le vis un peu surpris.
" - Putain mon gars, tu as une grosse teub j'aurais jamais cru ! "
" - Comment ça, tu aurais jamais cru enfoiré ! " riais-je
" - Non enfin, je ne sais pas... Par rapport à moi il n'y a pas photo en tout cas "
" - Non mais moi là je bande à fond, toi tu étais à peine dur... "
" - Ouais j'avoue, attends "
Il ressortit alors sa queue de son boxer. Il bandait un peu plus que tout à l'heure, la situation lui ferait-elle de l'effet ? Il commença alors à se branler un peu et rapidement, atteint une grosse érection. Toujours pas immense, sa queue devait faire quelque chose comme 14 ou 15 cm. Même si la réaction de Momo laisse sous-entendre que j'avais une bite énorme, ce n'était pas le cas, 17 cm à l'époque.
" - Voilà je suis à fond là. Vas-y approche ta queue on va comparer "
Il prononça ces mots en se mettant debout et m'attendit, bite tendue, boxer baissée jusqu'en dessous des couilles cette fois-ci. Je me levai à mon tour, super-excité par la situation et mis ma queue face à la sienne, glands face à face.
" - Bah tu es con ou quoi, on ne peut pas comparer comme ça, faut les mettre à côté, attends "
Il se décala sur le côté et vint lacer sa bite juste à côté de la mienne. Je pouvais sentir mon coeur battre fort dans ma poitrine, j'aurais jamais espéré que ça prendrait une telle tournure...
" - Ah en fait ça va, ta teub est plus grosse mais pas tant que ça "
Et il avait raison. Il me lança alors, en reculant d'un pas, grand sourire aux lèvres :
" - Bon maintenant comme prévu, tu vas me branler c'est ça ? "
" - Quoi ? "
Je savais que c'était une blague mais je ne pouvais pas m'empêcher d'espérer que c'était ce qui allait se passer. Il insista, plus sérieusement :
" - Bah pourquoi pas ? Tu n'as pas envie d'essayer ? "
" - Euh... "
" - Moi oui "
" - Toi oui, tu as envie que je te branle ?
" - Non... Enfin oui... Mais je voulais dire que j'avais envie de te branler "
" - Bah... Ok alors vas-y "
Ni l'un ni l'autre ne sut vraiment quoi faire ensuite. Décidant que c'était certainement moi qui en avais le plus envie, je tendis la main vers son sexe toujours aussi dur. Il esquissa un léger mouvement de recul mais revint aussitôt en avant. Alors que je débutais quelques caresses, il commença à me toucher la queue. Il était un peu maladroit, comme moi je présume, et ça me faisait mal aux couilles.
" - Attends, mon slip est un peu serré je vais l'enlever "
Il délaissa ma queue un instant, je retirai mon slip et je le vis faire de même avec son boxer. J'enchainai :
" - Euh... On s'assoit non ? "
" - Ouais ok t'as raison "
Nous nous installâmes donc à nouveau sur le lit, Momo à poil sur mon lit, dans ma chambre, plus sérieux que jamais, la main approchant de ma queue. Je mouillais déjà comme un malade, tandis que lui pas du tout. Je commençai alors à caresser son gland mais je fus rapidement décontenancé par l'absence de prépuce, je ne savais pas comment m'y prendre. Je rompis le silence :
" - Mais comment tu fais pour te branler toi en fait ? "
" - Facile, donne ta main "
Il prit ma main, tourna la paume vers le haut et cracha plusieurs jets de salive dedans.
" - Recommence maintenant, tu vas voir ça va mieux glisser "
C'est ce que je fis et c'était effectivement bien mieux. Il n'avait à aucun moment lâcher ma queue, il branlait mon gland par-dessus mon prépuce, avec son pouce et ses deux doigts, comme il me l'avait montré tout à l'heure. Je ne le faisais jamais et en plus d'être branlé par quelqu'un d'autre, les nouvelles sensations que ça me procurait étaient vraiment agréables. Essayant de montrer que je ne prenais pas trop de plaisir et que je ne prenais pas ça trop au sérieux non plus, je lui dis :
" - Ah ouais t'as raison, c'est bien comme tu fais en fait "
" - Comme tu fais aussi gros. Ça fait quoi comme sensation quand je fais ça ? "
Il s'amusait à décalotter ma queue puis à la recalotter, de manière incessante.
" - C'est agréable... Surtout quand tu fais sortir le gland "
" - Putain j'aimerais trop savoir ce que ça fait... ça fait un peu la même chose que quand tu te fais sucer comme sensation ? "
Un peu forcé de lui avouer cette fois-ci mais tentant de rester neutre :
" - Je sais pas je me suis jamais fait sucer... "
" - Sérieux ? "
" - Sérieux. Tout le monde n'a pas ta chance ! "
Avec un léger sourire, il continua à me branler avec 3 doigts, un peu plus rapidement maintenant. Je suivis alors son rythme. Il lâcha ma queue et un gros soupir en même temps. Je stoppais ma main, toujours autour de sa bite. Je le voyais tracassé :
" - ça va ? "
" - Mmh "
" - Tu veux arrêter ? "
" - Non non c'est bon. En fait je voulais essayer autre chose. "
" - Dis-moi vas-y "
" - Bah tu t'es jamais fait sucer... Et moi je voulais savoir si ton prépuce qui se décalotte ça fait pareil alors... Je peux te sucer moi, comme ça j'aurais ma réponse et tu sauras ce que ça fait toi aussi... "
Je ne l'avais jamais vu si vulnérable. Il avait complètement débandé. Faisant mine de réfléchir un peu, pour ne pas paraître trop empressé de répondre oui, je répondis :
" - Ok ça marche "
" - Sérieux ? "
" - Bah moi oui, pas toi ? "
" - Si si ok ok... Bouge pas alors... "
Il se pencha vers moi, décalotta ma queue et fit quelques petits allers et retours sur mon gland, 4 ou 5 tout au plus.
" - Alors ? "
" - Alors... Bah je sais pas trop franchement, j'ai pas senti grand-chose en fait... "
D'un air faussement contrarié, il se pencha à nouveau vers moi et recommença à me sucer. J'aperçus sa bite désormais bien dure, je compris donc que lui aussi aimait ça.
Cette fois-ci, il s'attarda plus longtemps sur ma queue. Il tenait ma bite à la base avec une main et avançait et reculait sa tête régulièrement, lèvres serrées autour de mon gland. Il laissa échapper ma queue de sa bouche pour me dire :
" - Hé gros, si tu gicles tu me dis hein, je veux pas ton sperme dans ma bouche !
" - Ouais ok "
Il se remit au travail et je vis qu'il se branlait avec son autre main. Je pris sa tête et le repoussais en arrière. Il releva les yeux et m'interrogea :
" - Quoi, tu vas gicler ? "
" - Non non, j'ai une idée, mets-toi à quatre pattes "
" - Arrête de te foutre de ma gueule mec, c'est pas parce que je te suce que tu vas m'enculer "
" - Mais non t'es con, fais-moi confiance "
" - Je déconne pas gros, tu m'encules pas "
" - Fais-moi confiance, mets-toi à quatre pattes sur le lit je te dis.
Il finit par me faire confiance et se mit à quatre pattes. Je me glissais sous lui, sur le dos, en position de 69, et j'aurais mieux fait de m'allonger le premier vu combien c'était peu pratique !
" - Voilà, tu peux continuer à me sucer mais moi aussi je vais te sucer comme ça "
" - Putain tu m'as fait peur pendant un moment... "
Je constatais que c'était le cas, il ne bandait presque plus. Il prit à nouveau ma bite dans sa main, à la base, et avala mon gland entre ses lèvres. Je passais mes mains sur le bas de son dos pour lui faire comprendre de se baisser un peu et de mettre sa queue dans ma bouche. Il le comprit rapidement et je pus enfin goûter au délice de la queue que j'avais convoité toutes ces années ! C'était tellement bon que ça m'était vraiment difficile de ne pas jouir. Je la sortis de ma bouche et lui dis dans un souffle :
" - Toi aussi tu me dis si tu gicles hein... "
" - T'inquiètes vas-y, essaie de la serrer un peu plus fort avec ta bouche. "
" - Ok. Comme ça ? "
" - Ouais c'est bon comme ça... Et toi, c'est bien comme je fais ? "
" - Ouais mais tu suces que le bout du gland, essaie d'aller un peu plus loin pour voir "
Il essaya et ce fut fantastique... Il avait lâché la base de ma queue pour faire place à sa bouche. Je n'ai jamais vraiment su s'il avait pris ma bite en entier mais c'était vraiment bon. De mon côté, je n'hésitais pas à tout prendre, tandis que ses couilles pendaient sur mon visage, c'était la raison qui m'avait poussé à lui demander de se mettre à quatre pattes. Ça, et aussi le fait d'avoir pu voir son cul tendu pendant quelques secondes... Je lui lançai précipitamment :
" - Je crois que je vais jouir mec "
Il redoubla ses efforts et je sentis monter le plaisir, au bord de l'orgasme. Craignant qu'il ne m'ait pas entendu, je lui répète, un peu plus fort :
" - Je vais jouir Momo! "
"- J'ai entendu... Mais je me dis que faut tout essayer... "
Il recommença à me sucer et presque instantanément je jouis dans sa bouche. C'était vraiment bon et je ne réussis pas à réprimer quelques râles de plaisir. Je ne le sentais pas avaler et pour cause, il recracha tout sur ma queue :
" - Putain c'est dégueu ton sperme... "
Pour seule réponse, je recommençai à le sucer. Il ne bougea pas pendant quelques secondes, puis, libre de se concentrer sur la fellation que je lui faisais, commença à sodomiser doucement ma bouche. Voyant que je n'émettais pas d'objection, il alla un peu plus fort, ses couilles rebondissant sur mon visage, j'étais aux anges. J'entendais sa respiration s'accélérer et assez rapidement, il me dit à son tour :
" - Putain gros je vais gicler... Mais moi j'ai goûté ton sperme dégueu, tu vas goûter le mien aussi... "
Il m'empêcha de répondre, j'étais coincé sous sa queue mais de toute façon, je n'attendais que ça même si j'avais dit le contraire tout à l'heure par peur de trop me démarquer... Il respirait de plus en plus fort et je compris que le moment fatidique approchait, Momo allait jouir dans ma bouche... Et au moment où je me disais ça, je sentis son sperme chaud fuser dans ma bouche. Son premier jet atterrit presque au fond de ma gorge, manquant de m'étouffer. Cela ne le déconcentra ni ne le découragea puisqu'il ne reculait pas d'un millimètre, s'enfonçant même un peu plus dans ma bouche à cause de l'orgasme. Je réussis à en avaler une partie et conservai l'autre dans ma bouche, pour le recracher comme lui. Il se redressa et s'allongea sur le dos à côté de moi dans un long soupir d'extase. Je me redressai à mon tour et lui crachai le contenu de ma bouche sur sa bite encore un peu gonflée :
" - Pas de raison que je garde ton sperme dégueu moi aussi !
" - Mon sperme à moi est délicieux mec ! "
" - Ah ouais, comment tu le sais, tu le manges tous les soirs ? "
Il rit et se redressa. Il contempla sa queue et me lança :
" - Mais t'en as avalé gros putain ! "
" - Quoi ? N'importe quoi "
" - Arrête, j'ai pas giclé que ça c'est impossible !
" - Bah, tu m'as pas laissé le choix en même temps... "
" - Quoi ? "
" - Bah oui, quand t'as giclé tu m'as enfoncé ta teub dans la bouche ! "
" - Non ? "
" - Bah si... "
" - Ouais c'est juste pour pas avouer que mon sperme est délicieux que tu dis ça ?
" - C'est vrai, c'était pas mauvais... "
Ma réponse le surprit suffisamment pour qu'il arrête la discussion et se rhabille.
" - Alors ? "
" - Alors quoi ? "
" - Bah ça fait la même chose que quand tu te décalottes le gland ? "
" - Ah oui c'est vrai ! Euh bah... Pas vraiment, c'est plus mieux en fait, je crois que tu suces bien mec... "
" - Tu diras ça à personne en tout cas gros... "
" - Bah non, toi non plus j'espère ! "
À nouveau en sous-vêtements, assis sur le lit, les yeux rivés sur la télé, la soirée reprit son cours comme si de rien n'était... ou presque...
d.kine.75
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