Premier épisode
Bonjour tout le monde, voici enfin la suite de l’histoire après… quand même 2 ans d'absence ! N’hésitez pas à relire la partie une avant de lire la suite ^^. En espérant que vous preniez autant de plaisir à la lecture qu’avec la première partie.
Le sperme du major est maintenant totalement sec sous ce soleil de plomb. Quelques morceaux commencent même à se détacher. Je commence à réellement peiner à courir sous cette chaleur, mais je ne suis pas prêt à retenter l'expérience tout de suite avec le major, comme mes camarades au vu de leur rythme toujours soutenu même essoufflé.
- Recrues ! Hurle le major. Rassemblement !
Nous courons à sa rencontre, personne ne marche de peur de subir sa virilité.
- Garde à vous ! Assène-t-il. Je vois que la petite leçon donné à votre camarade Ethan vous à servi. J’espère que cette discipline continuera les prochains jours. Repos ! Partez vous doucher.
Personne ne se fait prier et nous nous dirigeons tous vers les douches collectives. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai l’impression de sentir des regards insistant sur moi. J’imagine que ce n’est pas qu’une impression, étant donné que j’entends murmurer mon nom. J’ai le pressentiment que les douches vont durer un peu plus longtemps que d’habitude. Je sens ma fatigue s’évaporer au fur et à mesure que l’on approche des douches et que je m’imagine soumis à tous mes camarades. Un esprit d’équipe est toujours important ! Si je peux apporter ma pierre à l’édifice, autant lier l’utile à l’agréable.
Nous arrivons tous dans les vestiaires, la taux de testostérone commence à exploser dans une si petite pièce. Les odeurs combinées de tous mes camarades commencent à m’exciter, faisant me rentrer dans une transe. De voir tout le monde se déshabiller, les abdos saillant et luisant sous la sueur commence à me donner une demi molle. Au vu des boxers qui commencent à se tendre, j’imagine que je ne suis pas le seul à aimer l'ambiance qui se crée. Plusieurs semaines d’abstinence au pire, de branlette au mieux doit les rendres plus que tendu. Mon corps commence à réagir à cette tension, je bande à mort pendant que mon cul commence à mouiller. Heureusement, je me retrouve seul dans les vestiaires. Il est maintenant temps que j’aille dans les douches.
Je m’attendais à tout, mais quand même pas à ça. Ils sont tous dos aux jets d’eaux en train de jouer avec leurs queuex bandées, me regardent comme s’ils voulaient me posséder, me remplir de semence à en exploser. Je me dirige vers le dernier jet d’eau libre qui se trouve être à l’exacte milieu, comme s’ils s’étaient concertés pour qu’un côté prenne ma bouche et l’autre mon cul. Il se trouve que je vais me retrouver à côté de David, cela n'est pas pour me déplaire. Un colosse d’au moins deux mètres, des muscles à ne plus savoir quoi en faire. Une bête de la nature. Blond au yeux bleue, il a vraiment tout pour plaire et au vu de ce que je peux admirer en me dirigeant vers la douche, je vois qu’il est aussi plutôt bien doté par la nature. J’ai à peine le temps d’allumer l’eau qu’un bras musclé m’attire vers lui et me plaque contre le carrelage froid.
- Le major à raison, tu es une vraie pute. Après avoir vu ta performance de tout à l’heure, avec les gars on a décidé qu’on allait t’utiliser comme il faut.
Le son de sa voix avec la sensation de son membre imposant entre mes fesses me fait tomber totalement en mode salope, mais je ne veux pas lui faire croire que je suis si facile à prendre, ainsi qu’à mes camarades.
- Le majors c’est une chose. Ne croit pas que je vais me laisser prendre aussi facilement.
- Tu peux dire ce que tu veux, ton corps parle de lui même.
Il a raison. Je suis trahi par mes hormones. Je me suis cambré pour commencer à masser l’énorme bite qui me colle. Il se décolle de moi, je n’ose pas bougé, attendant l’ordre de me mettre en action.
- A genoux et suce moi ! Tu vas pouvoir goûter à mes protéines. Je ne me branle jamais, je garde toujours ma semence pour nourrire des salopes de ton genre. Je savais qu’un jours ou l’autre j’en trouverais une dans le camp.
Je ne me fais pas prier et me met à genoux devant lui. Je me retrouve enfin devant ce long membre imposant. Toutefois pas autant que le major, heureusement pour moi. Ma mâchoire est encore un peu douloureuse. Cela va me permettre de me préparer, ne sachant pas ce qu’il m’attends après. Une queue comme je les aimes, plutôt épaisse avec des veines apparentes, légèrement courbée sur le haut et avec un énorme prépuce. Je commence par caresser ses énormes cuisses musclées et finit par arriver sur sa queue et faire des vas et vient pour finir de le faire bander. Une goutte de liquide séminale commence à sortir et recouvrir son gland. Je m’empresse de la lécher pour ne pas la perdre. Tout en l’entendant commencer à gémir de plaisir, je commence à sucer son gland tout en malaxant ses couilles. Je fais doucement rentrer sa verge jusqu’à buter au fond de ma gorge, alors que j’allais me retirer, il m'agrippe la tête avec ses deux mains puissante.
- Oh que non, tu ne vas pas t’arrêter en si bon chemin. Dit-il d’une voix caverneuse. Je n’ai pas attendu autant de temps pour ne pas en tirer le plus de plaisir possible.
Même si je m’y attendais, le sentir forcer ma gorge par un coup de rein tout en me bloquant la tête est douloureux. Mes yeux se mettent tout seul à pleurer sous l’effet de la douleur pendant que je m'étouffe sous l’excès de salive. Tout en soupirant de plaisir, il fait coulisser doucement sa queue pour sortir de ma gueule. Par réflexe je crache toute la salive possible avant le deuxième assaut qui ne se fait pas attendre. Il n’hésite pas et entre de nouveau en entier, plus doucement, pour rester au fond de ma gorge afin de m’habituer à la forme de sa virilité. Quand il sent que je me détends, il commence à imprimer un léger va et vient.
Pendant ce temps, tous mes camarades se sont rassemblé autour de nous. Je suis plutôt surpris et déçus de voir qu’aucun ne viennent s’occuper de mon deuxième trous, mais je n’ai pas vraiment le temps de m’attarder sur ce fait. David a augmenté le rythme au point de littéralement baiser ma bouche, je salive toujours plus et gémit sous les coups de ses reins alors que ses râles de plaisirs viennent à mes oreilles. Il doit me limer la gueule comme ça depuis maintenant cinq bonnes minutes, mais sa délivrance ne devrait pas tarder. Tous ses muscles sont tendu, ses veines gorgées de sang et son visage est sérieux. Je ne me trompe jamais quand le moment est venu pour moi de me délecter du nectar du mâle. Il s’enfonce tellement profondément que j’ai l’impression qu’il va me transpercer le crâne. Le graal ne tarde pas à arriver sous forme de deux gros jets chaud dont je ne peux pas apprécier la texture et la saveur. Comme s’il lisait dans mes pensés, il se retire quasiment totalement afin de laisser uniquement son gland dans ma gueule. J’avale tant bien que mal la quantité phénoménale de sperme qu’il déverse en moi, au point de ne pas arriver suivre le rythme. Je me recule et tousse sur ses cuisses le restant de sperme que je n’arrive pas à avaler alors qu’il continue à sortir trois jet moins conséquent sur mon visage. Une claque monumentale vient s’écraser sur ma joue.
- Hors de question que tu gâche une seule goutte de mon sperme ! Dépêche toi de me lécher tout ça et de nettoyer ma bite.
Encore sous le choque du coup, je m'exécute avant de nouvelles représaille. Je commence donc par lécher ce qui à coulé sur ses pieds pour remonter le long de ses jambes velu et musclées pour finir ma course sur sa verge qui commence à ramollir. Il profite alors que je le tète pour récupérer son sperme sur mon visage avec ses doigts et me les enfoncer dans la bouche avec sa queue toujours présente dans celle-ci.
- Tu es vraiment une bonne chienne comme je les aimes. Aujourd’hui ce n’était qu’un avant goût de ce que je vais te faire subire. Tu vas être sous mes ordres, maintenant que je sais que je vais pouvoir me soulager quand je veux.
Je le regarde droit dans les yeux tout en acquiesçant de la tête vu que je n’ose pas utiliser ma voix pour donner mon accord.
- C’est bon les gars, vous pouvez l’utiliser maintenant que j’ai eu ce que je voulais.
Je comprends mieux pourquoi ils ne sont pas venu m’utiliser en même temps que David. Je jette un coup d’oeil rapide et vois tous mes autres camarades prêt à m’utiliser alors que David s’éloigne pour prendre sa douche.
Si toutefois tu te balades toujours sur Cyrillo, merci à toi Redpix pour m’avoir apporté quelques précisions sur le milieu militaire français ! En espérant ne pas mettre à nouveau 2 ans pour écrire une suite !
Ethan De Rouge
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