Salut à tous.
Ça fait quelque temps que je viens lire vos histoires. Je suis auteur de deux romans gays. Pour la description, j'ai 44 ans originaires de haute Normandie. Je souhaite vous faire partager une scène de mon deuxième roman. J'espère que celle-ci vous plaira.
Je suis actuellement à la finalisation de mon troisième roman.
En regardant sa montre, il n'était que 5 h 50, il se leva pour prendre un café pour reprendre ses esprits. Plus tard, il se renseigna pour le prochain train qui allait l'emmener loin de ses souvenirs et près d'une prairie plus verte où l'herbe y était bien meilleure, auprès de Philippe. Son voyage dura quelques heures sans plus. Cela ne fut pas pénible, il se ressassait ses souvenirs d'enfance, ses premiers émois, sa vocation, l'étonnement de ses parents, etc.... Arrivé à Die, il sortit et regarda la gare jaune et blanche, fraichement rénovée. Il commençait à pleuvoir des cordes. Il marcha lentement à travers les rues qui faisaient s'approcher de lui. Maintenant, il y était, c'était là ; ici où il désirait vivre sa vie et finir ses jours. Il avait chaud de bonheur et de joie. Même la pluie battante n'avait pas découragé Jean-Marc d'arriver jusque-là. Il était comme un animal perdu à des centaines de kilomètres, et qui par instinct retrouvait son foyer, son maitre. Il se posta devant la porte, et sonna, il entendit des pas arrivés jusqu'au palier, et Philippe ouvrit. Il le vit ruisselant d'eau, et se mit à pleurer de bonheur en le voyant. Sans rien dire, il l'enlaça et l'entraîna à l'intérieur. Ce geste resta gravé à jamais pour Jean-Marc comme un éternel geste d'amour. Plus tard, après s'être séchés et changés, ils étaient enlacés tous les deux sur le canapé. Le feu de la cheminée crépitait d'où les fl ammes rougeoyantes re fl étées sur son visage. Ce dernier lui avait raconté sa dernière nuit au village, ainsi que son altercation avec Monsieur Longmont. Philippe lui raconta qu'à la veille de son arrivée. Il avait rêvé de lui, en train de revenir ? Était-ce un signe ? Où était-ce qu'il était temps de vivre leur amour au grand jour ? Son rêve était réalité quand il avait ouvert la porte. Il n'avait pu que pleurer et le prendre dans ses bras. Les mots n'avaient pas lieu d'être... Le soir était tombé. Le désir de l'un et de l'autre n'était qu'évidence. Ils s'embrassèrent longuement caressant leurs corps, en se déshabillant chacun leur tour dans une sensualité relativement chaude. Philippe entraîna son homme sur son lit, en lui murmurant quelques mots à l'oreille. Ceci le fi t sourire et monter son excitation. Quand ils furent nus, Philippe prit les choses en mains sur son partenaire novice. Il lui dit : " Ferme les yeux, ça ne sera que meilleur ". Il s'exécuta et commença à sentir la langue chaude de son ami descendre du cou jusqu'à ses tétons, lui tenant les mains pour le garder soumis. Il savait que cela lui provoquait un plaisir intense à sentir le sexe de Jean-Marc remonter sur son torse. Descendant avec sa langue pour lécher ses abdominaux, il vit un sexe long et son gland luisant. Il s'appliqua à lui lécher des couilles remontant jusqu'au gland de cette belle verge qu'il suça avec envie. Jean-Marc rouvrit les yeux et posa une main ferme sur ses cheveux pour que Philippe continue. Au bout de deux minutes, il calma son étreinte et vint se positionner à califourchon sur son torse, le sexe tendu vers son partenaire. Sans un mot, il comprit que c'était son tour. Le regardant droit dans les yeux, saisissant son sexe presque maladroitement, le suça comme un esquimau sans trop forcer. Pendant ce temps, discrètement Philippe lubrifia sa rondelle. Il libéra son sexe des lèvres de son partenaire préférant l'embrasser fougueusement. Il revint à son oreille :
- Je prends les choses en mains, mon amour. Tu me fais confiance ?
- Oui, je suis à toi Philippe.
Ce dernier présenta sa croupe sur le gland de son partenaire. La longueur de son sexe était avantageuse. Il eut un demi-sourire à ce moment-là. Sa pensée était " Je fais l'amour avec un prêtre TTBM ". S'empalant lentement sur sa hampe jusqu'à la garde. Respirant par le nez, il sentit qu'il avait été gourmand d'y aller si vite. Il resta immobile quelques secondes, et se remit sur un mouvement de va et viens sensuel. Jean-Marc caressait le torse de celui qui lui provoquait ses gémissements. Ils s'embrassaient dans une virilité presque bestiale pour ne pas encore exploser dans l'orifice ami de Philippe. C'était encore trop tôt. Yeux dans les yeux, il lui dit direct :
- Je bouge plus, je me laisse faire. Fais-toi plaisir, bébé.
La sexualité s'apprend vite quand le partenaire laisse la liberté. Jean-Marc se mordit la lèvre supérieure et commença à faire son mouvement de bassin pour pilonner le p'tit cul de Philippe. Cramponné, il sentit les assauts de sa bite prêts à jouir en lui. Les trente dernières secondes furent intenses de râle de jouissance. Il sentit le flot chaud de la semence de Jean-Marc en lui. Il se retira et le regarda droit dans les yeux. Se rappelant qu'il s'était délecté de se jouir dessus quand t-il s'était masturbé. Il lui donna son sexe à sucer. À genoux devant lui, il le suça à fond jusqu'au moment où il lui gicla son sperme sur le visage, son partenaire revint le sucer bien à fond. Ils s'embrassaient tous des deux dans un roulage de pelles juteux. Sa première nuit d'amour allait à jamais détruire son voeu de célibat et de chasteté. Sa première jouissance physique fut pour lui une grande délivrance, tout s'écoulait, comme la vie qui renaît de ses cendres. L'acte d'amour n'était pas un péché, c'était plutôt un plaisir des sens retrouvé après tant d'années. Durant un mois, ils apprirent à se connaître, et se découvrir mutuellement. Jean-Marc pouvait mettre des mots sur ses désirs intimes et profonds. Le partage était en totale symbiose complète de ses deux êtres qui s'aiment. Ils voyageaient, partirent visiter des régions, firent l'amour le plus souvent possible et parfois dans des lieux insolites. Jean-Marc pouvait se permettre de vivre ses propres désirs.
Si vous voulez savoir le titre du roman vous pouvez m'envoyer un email.
CyrilleChem
Autres histoires de l'auteur : Ma lettre...