Pour commencer je me présente.
Antoine, 23 ans, 1m75, très fin, peu musclé, mais un peu dessiné, un petit cul bien mis en valeur dans mon pantalon, timide, naïf et plutôt suiveur que meneur.
J'étudiais dans une université française en droit. Au fil de ma scolarité je devais faire un stage à l'étranger.
En cette fin d'été, j'allais donc à Dublin pour commencer 6 mois de stage.
J'avais eu du mal à trouver un logement et avait finalement trouvé une chambre chez un Franco-Irlandais.
J'arrive un vendredi soir à Dublin. Je rejoins en taxi, depuis l'aéroport, la petite maison dans laquelle je vais loger. Je sonne. Un mec de 35/40 ans, fin, mais bien plus imposant que moi (quelques muscles et surtout 1m90 facile) m'ouvre la porte
- "Enchanté, moi c'est Gauthier"
- "Bonjour, Antoine, le jeune français qui est là pour 6 mois"
- "oui je me doute bien que c'est toi" dit-il d'un ton assez méprisant en me tournant le dos et en avançant dans le couloir.
Après un rapide tour de la maison où il me montre ma chambre, la sienne, le salon, la cuisine et les autres pièces, il m'explique les quelques règles de la maison :
- "tu ne dois jamais rentrer plus tard que 20 h sauf si tu me préviens avant. J'ai horreur d'être dérangé par le bruit. Je suis écrivain et ai besoin de me concentrer. Tu ne viens jamais me déranger. Quand je ne suis pas là tu n'as pas le droit d'aller ailleurs que dans la cuisine ou dans ta chambre. Le reste des pièces est mon espace de vie, pas le tien..."
S'en suit tout un tas de règles afin de respecter son intimité. Il dit tout ça de façon hyper sure de lui. Je suis impressionné par tant d'assurance et j'ai du mal à le regarder dans les yeux tellement son regard est perçant. Cette situation ou je me vois énumérer toute sorte de règles me fait très vite bander. Heureusement, vu mes quelque 12 cm en érection, j'arrive à bien cacher l'effet qu'il me fait.
À la fin de son flot de règles, il me dit qu'il part pour ce soir et reviens demain soir. Qu'en attendant je dois bien respecter les règles même par son absence !
Malgré ma timidité et mon envie de respecter ce mâle puissant et imposant, j'entame le soir même une visite plus fouillée de sa maison. Les pièces sont décorées avec soin, on s'y sent bien. Sa chambre regorge de feuilles manuscrites. J'essaye d'ouvrir un placard, mais il est fermé et j'ai beau fouiller, je ne trouve pas de clefs.
La même chose se produit lorsque je trouve une pièce fermée à la cave : pas de clefs, impossible à ouvrir.
Bon. Je trouverai surement plus tard.
Fatigué du voyage, je vais me coucher vers 23 h.
Le lendemain, rien à faire d'autre que de lire. Je veux sortir, mais le bus est assez loin et je me dis que j'aurais tout le temps de le faire après ma première journée de stage.
Je me permets donc de m'assoir sur le canapé et de regarder la télé. La journée passe vite. Vers 18 h je range tout, retourne dans ma chambre. Deux heures plus tard, Gauthier est de retour. Il est crevé. Il va direct s'installer dans son fauteuil devant la télé.
"Tu t'es fait à dîner Florian ?"
"Moi c'est Antoine, mais non je n'ai pas encore dîné"
"Tu m'avais compris, ne commences pas à me reprendre toi ! Sois poli !" "Bon bah du coup je mangerai comme toi tien".
Implicitement me voilà donc chargé de lui faire à dîner.
Je m'applique et lui fait une omelette avec des champignons et une salade.
Je lui apporte.
"C'est bien ça à l'air bon !"
Je suis ravi que ça lui plaise.
"Hmmm c'est délicieux tu te débrouilles vraiment bien, t'as gagné de me faire à bouffer tous les soirs. J'ai jamais le temps de manger si bien, t'es doué, donc tu vas continuer hein ?!"
"Oui oui Gauthier si je ne sors pas trop tard du stage je..."
"Que tu sortes tard ou non, tu es chez moi, tu obéis à mes règles, je veux un repas servi au plus tard à 21 h, c'est clair ?"
Je pris peur et ne répondus que "oui Gauthier, très clair."
Même si ce beau mâle m'attirait fortement, je n'étais pas là pour être l'esclave du propriétaire. Je voulais découvrir Dublin et sortir avec des potes que je me serais faits ici. La perspective du dîner à faire tous les soirs ne m'enchantait donc pas grandement.
Me voyant rêvé il me dit "quand tu veux pour débarrasser ! Ça va pas se faire tout seul".
Incapable de lui dire non, j'obéissais et débarrassais. Il me demanda une bière et un yaourt que je m'empressai de lui amener. Je fis la vaisselle et crevé, j'allai dans la salle de bain prendre une douche puis me coucher, demain sera mon premier jour de stage.
1 heure plus tard, alors que je dormais, je ne me réveillais pas une énorme claque.
- "tu as fouillé mes affaires salope"
Je ne comprenais pas. J'étais sur mon lit mes yeux à peine ouverts et je voyais Gauthier très énervé, le visage proche du mien.
- "Dans mon bordel, je suis tout de même très méticuleux et je connais la place de chaque chose. Pas toi. Tu as fouillé à la cave et dans ma chambre. Tu cherchais les clefs c'est ça ?" "Je les ai toujours sur moi et tu n'as pas à fouiller".
Je ne disais rien. J'étais tétanisé. Il était torse nu. Première fois que je voyais son torse. Je me mis à bander.
"Putain salope je sens quoi la ?"
J'avais pris l'habitude de dormir nu. Et vu la chaleur du mois d'août, je n'avais pas mis de couette au-dessus. Il était donc assis à côté de moi sur le lit et venait de sentir ma queue de dresser.
"Putain tu dors nu et tu bandes quand je te claque ? T'es quoi toi ? J'avais compris que tu étais soumis vu comment tu me sers bien et que tu es incapable de me regarder dans les yeux. Mais de là à penser que t'aimes ça au niveau sexuel, que ça te fait bander ! Je savais pas que ça pouvait exister des petites chiennes pareil".
"Non Gau..Gauthier ce n'est pas ce que vous... vous croyez"
"Haha, mais ferme-la" il me crachât un énorme molard sur le visage. "Arrête de nier quoi que ce soit, ta petite queue ridicule est toute dure alors que je te claque, t'insultes et te craches à la gueule et tu me dis que "ce n'est pa.. as ce que vous... vous cro... croyez." "Hahaha, mais ferme la salope. Je sais très bien ce que t'es. Je crois que j'ai touché le jackpot en acceptant de t'héberger !"
"S'il vous plaît Gau... Gauthier" j'étais mort de peur. Je ne savais plus quoi dire, quoi faire. Ce mâle avait vu très clair dans ma personnalité avant même que de mon côté je ne soupçonne quoi que ce soit pour lui à part une personnalité pleine d'assurance.
"Bon vu que tu ne sais pas parler, tu vas arrêter et me laisser parler. Tu as déjà suffisamment fait de connerie pour ajd. Je vais te punir, mais ça attendra demain. Je veux bien y penser avant. Maintenant dors. Et demain après ton stage tu rentres direct à la maison. Je t'attendrai.
"Bonne nuit salope"
Rouge de honte et apeuré, je mis plus d'une heure à me rendormir. Cette nuit-là, je fis plein de rêves et cauchemars à base de soumission...
Merci de m'avoir lu ! N'hésitez pas à me contacter pour me dire ce que vous en pensez.
C'est la première histoire que j'écris, en espérant que ça vous plaise !
Benoîtsoumis
Ben.75@outlook.com
Autres histoires de l'auteur : Ma coloc.