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Après ce repas "arrosé" et une fin de soirée où les regards de Guillaume et ses sous-entendus m'ont à la fois excité et mis très mal à l'aise, il était temps de rentrer.
Une fois au lit, j'avais du mal à m'endormir, j'étais totalement chamboulé par ce que j'avais vécu. Décidément, Guillaume faisait ce qu'il voulait de moi et ce même lorsque nos conjoints respectifs étaient dans la pièce d'à côté.
Je repensais à ses regards, à ses ordres dans la cuisine et surtout à sa queue et son jus dont j'étais devenu complètement accro. Je commençais à avoir chaud partout, l'envie de jouir montait en moi inexorablement. Olivier dormait à poings fermés à mes côtés. Je me caressais le corps, je pinçais mes tétons, je passais mes mains entre mes jambes, je malaxais mes couilles en poussant de petits gémissements, je décalottais, mais bite déjà bien dure. J'étais trempé de sueur. Guillaume était dans tous mes gestes, il occupait tout mon esprit.
Sans bruit, j'ouvris le tiroir de la commode pour m'emparer d'un gode d'un bon 18 cm sur 5 de large et d'un tube de lubrifiant.
Je m'enduisais généreusement de gel et fouillais mes entrailles avec mes doigts. J'avais envie d'être pris comme une chienne. J'imaginais Guillaume, son regard sur ma rondelle et son air lubrique.
Je commençais doucement à faire pénétrer le gode tout en soupirant. J'étais tellement ouvert qu'il rentrait sans problème, aucune résistance ne s'offrait à lui.
Une fois bien planté au fond de moi, je commençais à l'activer avec force et rythme. Je gémissais et bavais à la fois. Je prenais un sacré pied. Les yeux fermés, je ne cessais de rentrer et sortir ce sexe en latex en pensant qu'il s'agissait de celui de Guillaume. J'entrouvrais ma bouche entre chaque soupir de plaisir.
Et là, quelle ne fût pas ma surprise de recevoir la bite hyper bandée d'Olivier au fond de ma gorge.
Olivier : "Alors comme ça on a envie de bite mon coeur ? Tiens, fais-toi plaisir."
Il commençait à s'activer avec vigueur dans ma bouche. Je bavais comme un malade. Ma salive coulait partout, sur sa queue, sur mon menton et même sur mon torse.
Olivier m'enleva le gode des mains et le sortit de mon cul.
Olivier : "Waoouu tu es vachement ouvert, ça doit faire un bon moment que tu te godes mon cochon !"
Et sans attendre davantage, il enfonça à nouveau le gode complètement dans mon fondement.
J'avais son chibre en bouche et le gode dans le cul et j'adorais ça, j'étais fait pour ça, pour me faire remplir avec force.
Olivier : "Tu es super chaud en ce moment. Après toutes ces années, je découvre encore des choses que je ne soupçonnais pas sur toi. Je n'imaginais pas que je vivais avec une telle salope !"
Ces mots retentissaient en moi "une telle salope", c'est comme ça que me traitait aussi Guillaume et je devais me résigner à admettre que c'était en effet ce que j'étais.
Moi : "Oui je suis une salope qui aime la queue, je suis TA salope Olivier, fais ce que tu veux de moi !"
Lorsque j'ai prononcé ces mots je vis le regard d'Olivier changer. Il avait un petit sourire sur les lèvres.
Olivier : "Je vais te baiser comme jamais ! Tu vas déguster !"
Effectivement j'ai dégusté. Il m'a pris dans toutes les positions possibles, certaines m'étaient même inconnues jusqu'alors.
Il ne manquait ni d'imagination ni de perversion. Moi aussi je découvrais une nouvelle facette de l'homme avec lequel je partageais ma vie.
Il se montrait viril, presque brutal par moment, mais toujours en respectant mes envies et mon plaisir.
Cette nuit a été la plus longue de toutes celles qu'on avait passées ensemble et sans aucun doute la plus chaude aussi.
Au matin j'étais épuisé, j'avais mal partout et vous vous en doutez surtout au cul. Il m'avait laissé un petit mot sur la table de chevet :
Olivier : "Prépare-toi pour le prochain round, j'ai des idées plein la tête ! Je t'aime MA salope !"
En quelques jours ma vie avait totalement basculé. Je n'en revenais pas.
Je me levais du lit, difficilement car les stigmates de cette nuit intense se faisaient toujours sentir et je fonçais sous la douche. C'est à ce moment que mon téléphone se mit à vibrer.
Je regardais le message : "Tu as aimé la boisson spéciale que j'avais confectionnée spécialement pour toi hier soir ? Moi j'ai adoré me vider dans ta bouche en sachant Olivier dans la pièce d'à côté. Prépare-toi, je serai chez toi vers 10 h. Tu te fous à poil avec un bandeau sur les yeux et tu laisses la porte entrouverte. Je te réserve une surprise ma salope."
(La suite dans quelques jours... Je remercie tous ceux qui m'ont envoyé des messages d'encouragement ou de félicitations. Continuez les gars, j'adore lire vos messages !).
Franck84
Autres histoires de l'auteur : Le jouet d'un hétéro
