Je ne vois Vincent que lorsqu'il a envie de se vider les couilles. Il est hétéro je pense, grand, costaud, foutu comme un rugbyman (d'ailleurs il me semble qu'il joue), poilu, les cheveux ras, une barbe de trois jours. Bref, un vrai fantasme pour moi. Pour ce qui est de son âge, je ne sais pas trop, je dirai qu'il approche la trentaine comme moi. Il vient chez moi en survêt ou en jean, baskets et polo été comme hiver.
Samedi dernier, il m'a envoyé un SMS à six heures du matin. Je ne sais rien de sa vie, mais je suis persuadé qu'il a une copine et qu'il s'échappe pour me sauter dès qu'elle a le dos tourné. J'étais réveillé et nous avons commencé à dialoguer. Je suis plutôt du matin aussi et, après tout, je me suis dit que s'il avait envie, il pouvait vernir dans la journée.
"Ça va ?"
"Ouais"
"T'es libre en fin d'après-midi ?"
"Oui"
"Je peux passer après le boulot ?"
"Bien sûr. Quelle heure ?"
"17 h ?"
Le rencard était pris. J'ai vaqué à mes occupations la journée et ai pris bien garde de rentrer pour 16 h afin de me préparer à la venue de mon gros bourrin préféré. Je me suis douché consciencieusement et j'ai enfilé un boxer et un tee-shirt en l'attendant. L'heure tournait et mon interphone ne sonnait toujours pas. J'ai eu le temps de nourrir mon fantasme. Il ne me pose jamais de lapin donc je savais qu'il viendrait. Vers 17 h 30 il était en bas de chez moi et je lui ouvrais pour qu'il monte. J'étais déjà vraiment excité et pendant qu'il grimpait l'escalier (il ne prend jamais l'ascenseur) et en quelques secondes il était chez moi et commença à me coller contre le mur et à me rouler des pelles en me maintenant solidement.
"Je peux prendre une douche ?"
"Non, après..."
C'était mignon. Il ne se sentait pas sûr de lui après une journée de boulot. Je ne sais pas ce qu'il fait, mais je pense qu'il a un travail un peu physique. C'est vrai qu'il sentait un peu le fauve, mais il est tellement viril que je trouve que ça fait partie du personnage. En deux secondes, il m'avait foutu à poil, emmené dans ma chambre (c'est vrai qu'il connait le chemin) et projeté sur mon lit. Il avait enlevé son polo et son jean en quelques secondes et commençait à me bouffer le cul. Ça, il aime le sexe et il ne se contente pas de me baiser à quatre pattes comme beaucoup. Je gémissais, la tête dans les oreillers en sentant sa langue me fouiller le trou. J'adore ça. Je suis un petit gabarit et ses paluches sur mes fesses me font un effet terrible. Il est un peu brutal, un peu maladroit et j'aime ça.
Je me retourne, lui fais face. Il me saisit et me roule une pelle magistrale puis entraine ma tête vers sa queue. C'est vrai qu'il a un peu transpiré, mais je m'en fous, je le lèche, le décrasse. Il bande, je le décalotte et lui lèche le gland. J'adore sa queue. Elle est large, veineuse, plus foncée que le reste de son corps. Il est très poilu et ça aussi j'aime bien. Il me tient la tête et m'enfonce sa bite dans la bouche. Ses mains sont puissantes et ses bras sont aussi larges que mes cuisses. Je n'ai pas tous les jours l'occasion de me faire défoncer par ce genre de mec et pourtant c'est assez mon idéal masculin. Même son nez irrégulier à la Javier Bardem me le rend sexy.
Je le suce. J'entre sa queue entièrement dans ma bouche. Ses couilles tapent contre mon menton et j'ai le nez dans son pubis. Je sais qu'il aime. Il bande comme un âne et je me la joue très "salope". Je lâche sa queue et commence à le lécher partout. Je le laisse s'allonger sur le dos et je le "nettoie" de partout. Je ne suis pas du tout dégoûté par son odeur de mec alors que j'ai vite des répugnances d'habitude. Je préfère tout même l'odeur du gel douche et pourtant, sans puer la sueur, il est un peu moite. Il grogne, râle. J'ai envie qu'il me prenne et je le lui fais comprendre.
Je m'allonge près de lui et l'attire à moi. Il s'allonge sur mon corps et me tient la tête pour m'embrasser encore. Je sens sa queue raide entre mes cuisses, contre la mienne.
"Tu veux que je te baise ?"
Pour toute réponse, j'attrape une capote sur la table de chevet et je déchire l'emballage avec mes dents. Il s'en saisit et l'enfile avec une certaine dextérité.
Il me relève les jambes et recommence à me bouffer le cul.
"Tu vas me vider les couilles ?"
"Ouais."
Il se remet face à moi, relève mes jambes sur ses épaules et commence à entrer en moi. Je sens le poids de son corps autant que son sexe très dur dans mon cul. J'adore sa force. Il me bloque les poignets et commence à aller plus profondément en moi.
"T'aimes ça ?"
"Ouais. Vas-y."
Je sens son pubis contre moi. Il a des grosses couilles et elles tapent contre ma peau à chaque va et viens. J'adore vraiment. Je me colle à lui, mais je ne peux pas bouger, car il m'a immobilisé. Il y va de plus en plus fort. C'est trop bon. Je gémis. Je voudrais qu'il me roule une galoche, mais il me tient et son bassin bouge de plus en plus vite. Je vois la sueur couler le long de ses joues et je le sens de plus en plus moite.
D'un coup, il me retourne et me mets à quatre pattes devant lui. Il entre sa queue une nouvelle fois en moi puis s'allonge à demi sur moi. Je sens son souffle dans mon cou. J'ai envie de me branler, mais je ne le fais pas, car je ne veux pas partir avant lui. Je le sens se contracter et je sais qu'il éjacule dans la capote. Il râle, continue à me tenir solidement et s'effondre sur moi. Il est tellement en sueur que je suis trempé. J'ai un peu de mal à respirer et il s'en rend compte. Il se retire, ôte la capote et se glisse à côté de moi.
"Ouah ! T'as pas joui ?"
"Non, c'est pas grave. C'est toujours aussi bien."
"T'es chaud quand même."
"Toi aussi."
"Ça faisait un moment que j'avais pas baisé comme ça."
"Tu veux une douche ?"
"Ouais."
"Vas-y. Il y a une serviette verte pour toi. Je te rejoins."
Il se lève de mon lit. Je peux voir son corps ultra massif s'éloigner dans la salle de bain. Il est vraiment trop excitant. Je reprends mes esprits et le rejoins. Je sais qu'il n'aime pas trop me toucher après avoir joui, mais j'ai quand même envie qu'il me fasse jouir. J'entre derrière lui sous la douche et lui passe du gel douche sur le corps, sous les aisselles, il fait de même. Je sens qu'il bande à nouveau, car il me tient contre lui alors qu'il est dans mon dos. Je commence à me toucher et je l'embrasse. Il se laisse faire. J'éjacule très facilement. Il rit. Moi aussi.
"Quelle salope !"
"Tu vas pas te plaindre ?"
"Ah non !"
Nous sortons de la douche. Il s'essuie et se rhabille. Il me caresse un peu l'épaule puis me dit au revoir. C'était un super plan cul. J'étais très détendu pour aller boire l'apéro en ville ensuite avec mes potes.
Chopassif
cstphan@yahoo.com
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