PUTAIN DE MERDE !!! J'en peux plus, je vais exploser... Vous vous demandez sûrement ce qui me prend ? Bon, voyons ça depuis le début.
Salut, je m'appelle Gabriel. J'imagine que vous voulez aussi savoir à quoi je ressemble ? Taille moyenne, une musculature féline, un joli petit fessier ferme et bombé, brun, les yeux vert olive, un joli minois séducteur aux pommettes hautes et quasi imberbe.
Je suis étudiant et gymnaste amateur à mes heures perdue.
Maintenant que nous nous sommes présenté, voila ma situation : je suis actuellement en train de mater un gymnaste virile sous la douche, un gymnaste géant, musclé, avec une énorme queues qui ... Hum! Désolé. Donc comme vous l'aurais compris je suis en train de mater un athlète semblable à une statue grec en train de se branler dans la douche des vestiaires. Promis c'était pas volontaire, je sortais juste d'un entrainement.
Je devrai probablement me sentir coupable de mater comme ça, mais bon, il a les yeux fermé, et comme on dit : pas vu, pas prit... quoi que là tout de suite j'aimerai bien me faire prendre... dans tout les sens du terme. Oh merde, il a ouvert les yeux. Il se rapproche. Putain je fait quoi... soit je m'enfuie, soit je... ah, bah non en fait. Il vient de me chopper par la nuque et... il m'embrasse.
C'est trop bon. Il a les lèvres chaudes et douce. Je crois que je pourrais rester comme ça pendant des heure. Il me prend fermement par les fesses et me soulève avec facilité. J'enroule mes jambes autour de sa taille par réflexe sans lâcher ces lèvres. Il me faut quelques secondes avant de me rendre compte que de l'eau me coule dessus. Il me lache comme à regret et je comprend qu'il m'a amené sous la douche. Il commence à me déshabiller. J'en profite pour le mater sans scrupule.
Il a des épaules large et puissante, des tablettes bien sculpté, des jambe puissante et surtout une queue bien large, et longue, au veine saillante et au gland rosé. Il est a genoux devant moi, finissant de me déshabiller. Il relève la tête vers moi. C'est à ce moment là que je remarque qu'il a les yeux d'un noir corbeau, des yeux hypnotisant que je ne peut quitter alors qu'il commence à embrasser mon gland. Il me jette un regard langoureux. Je frissonne de plaisir. Je ne peut m'empêcher de lâcher un petit geignement sous la pression de ces douces lèvre pulpeuse. Je le sens sourire juste avant qu'il n'engloutisse soudainement tout ma virilité. L'afflux de plaisir me fait trembler et je serais probablement tomber sans la pressions de sa poigne ferme sur mes hanche. Il imprime de long vas et vient sur tout la longueur de mon sexe, creusant les joue. Ils glisse les mains sur mes fesses et les caresse avec douceur. Sa langue voyage autour de ma verge de façon experte et son souffle chaud caresse ma peau. Je sens le plaisir monter et ma queue se raidir .
Il se stoppe soudain, me tirant un geignement de mécontentement, un mécontentement vite réprimé alors qu'il se redresse face à moi un grand sourire au lèvre. Il me souffle à l'oreille que c'est mon tour.
Je me met à genoux, prêt à le satisfaire. Je fixe cette virilité avec appétit. J'empoigne sa verge avec entrain, et donne lui donne coup de langue tout en lançant un regard coquin. De toute évidence ça doit lui plaire, je sens son sexe se raffermir. Je l'avale entièrement et commence un vas et vient lent et langoureux. Au bout de quelques minutes, je sent sa main se poser sur ma tête et m'empoigner les cheveux. Je le laisse choisir le rythme qu'il souhaite. Sa queue coulisse avec vigueur dans ma bouche, je creuse les joue, appréciant la lourdeur de son sexe sur ma langue, son goût, ces large bourse qui viennent claquer contre mon menton. J'apprécie d'être dirigé ainsi par mon partenaire. Je le sens durcir encore plus et il se retire, haletant, dans un bruit de succion.
Je sens un filet de salive couler sur mon menton. Il se met lui aussi à genoux et m'embrasse profondément. Il commence à m'embrasser le visage. Une de ces main se glisse dans mon dos et descend jusqu'à mon fessier. Il descend avec douceur jusqu'à mon intimité serré et commence à la caresser avec délicatesse.
Je sens ces doigt travaillé patiemment les muscles de mon intimité, m'ouvrir en douceur. Je ressens la pulpe de ces doigt passer et repasser sur la peau sensible de mon anus. Il appuit doucement jusqu'à ce que mon anneau cède, écartant avec délicatesse mes chair sensible. Je tend les fesse en arrière pour mieux apprécier ces luxurieuse caresse.
Au bout de quelques minutes, je recule, haletant de plaisir, il me regarde avec curiosité. Je me retourne et me place à quatre patte en cambrant mon dos. Je lui jette un regard de braise par dessus mon épaule. J'ai trop envie pour attendre plus longtemps. Son sexe tressaute, il ne lui en faut pas plus pour qu'il se rapproche avec empressement de moi. Il se met à genoux derrière moi, le corps bouillonnant de désir.
Je le sent m'écarter les fesse et introduire en moi un liquide frais. Il saisit fermement mes hanche. Je me cambre langoureusement alors que son gland se dépose devant mon intimité. Il pousse doucement, je me détend. Mon intimité se relâche et je le sens entrer en moi. C'est un peu douloureux, mais il s'introduit avec douceur et fermeté. Je sens finalement ces bourse appuyer contre mes fesse : il m'a pénétré jusqu'à la garde.
Il attend. Je m'habitue à sa longueur, resserrant et relâchant mes muscle, apprivoisant la sensations d'être empli par ce beau mâle. Je l'entend soupirer d'impatience. Il décide de reprendre les rêne et ressort doucement. Je sens sa queue sortir, frottant les parois de mon intimité. Il se rengaine d'un coup sec jusqu'à la garde et recommence plusieurs fois. Au bout de quelques minutes, mon intimité se détend et un besoin impérieux de ressentir plus de sensation m'envahit. Je pousse un petit geignement. Il comprend. Il entreprend un vas et vient ferme et puissant.
Le délicieux frottement en moi propage une vague de plaisir dans tout mon corps. Je ressent également son plaisir. Son corps est crispé par l'effort et son sexe durcit plus encore. Bientôt cela ne lui suffit plus. Il se dégage de mon intimité et s'accroupit. Il empoigne alors mes hanche pour m'obliger à me cambrer plus encore. J'obéit à son désir impérieux et frémit de plaisir alors qu'il revient en moi, augmentant encore la cadence. Un cris m'échappe alors qu'il touche ma prostate. Il recommence et je fond entièrement. J'ai du mal à maintenir ma position alors que qu'il me pilonne puissamment. Je sens sa verge durcir alors qu'il me monte : il va jouir. Il s'arrête soudainement. Je geint de mécontentement.
Il lâche un petit rire et se remet à genoux, me redresse, me plaque contre son torse, en me maintenant de son bras et reprend ces coup des coups de hanche lent et puissant. Un cris de plaisir m'échappe alors qu'il me branle avec vigueur de son autre main. Il ressort entièrement avec de se rengainer lentement. Mon intimité pulse au rythme de ces pénétrations, cherchant à aspirer cette verge dur et imposante. Il n'en faut plus beaucoup pour que je jouissent, et il le sait.
Pendant quelques minutes il s'amuse à accélérer et ralentir, contrôlant notre plaisir. Je le supplie de me laisser jouir. Je le sens sourire dans mon cou alors qu'il accélère. Je jouit alors entre ces main. Sous les contraction je sens sa virilité se durcir plus encore et se cabrer en moi. Il me lâche, je retombe à genoux. Il prend un rythme effréné, me montant avec puissance, presque brutalement. Sa jouissance se repend en moi. Nous restons comme ça quelques seconde encore. Je le sens se retirer de mois, encore chaud et dur.
Le reste de la soirée me paraît flou alors qu'il me lave et m'amène chez lui. Nous verrons bien ce qu'il en est demain matin.
Versada
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