7h00 le réveil sonne. Comme tous les matins il est difficile de se lever.
Nu dans mon lit, je quitte la chaleur des draps pour me mettre un caleçon. Je ne bande pas. J'ai une demi-molle comme on dit. Mon sexe est à moitié dur ou à moitié mou, tout dépend le point de vue. Moi je le trouve à moitié dur, il en faudrait peu pour qu'il se gonfle, grossisse, grossisse, jusqu'à déformer généreusement mon caleçon rayé. Mais je ne vis pas seul alors j'évite d'y penser pour ne pas effrayer mes colocataires.
J'ai quand même très envie de jouer avec mon pénis. J'ai envie de le voir dur et dressé, pointant le ciel avec son gland.
Assis à la table de la salle à manger, je continue mon petit déjeuner. Après le bol de flocons d'avoine je prends ma banane. Le supplice continue. Je suis au bout de vie. Je saisis la banane dans mes mains, retire la peau délicatement, coté par coté, puis l'introduit dans ma bouche et la mange petite bouchée par petite bouchée. Je contrôle mon érection mais l'excitation est à son comble.
Cette banane réveille en moi l'envie de sucer. Sucer une queue aussi dure que ce fruit, la lécher, la parcourir de tout son long avec ma langue, la saisir dans mes mains, la tapoter sur mes joues, avant de l'introduire dans ma bouche et de la sucer, comme la meilleure des sucreries.
Je vais me masturber dans la salle de bain et je me sentirais mieux après. Malheureusement mon petit déjeuner fini, je me rends compte que mon colocataire m'a devancé et occupe la salle de bain. Si je me masturbe je vais être à la bourre. Je me ravise.
Je profite simplement de la douche chaude pour ma savonner le corps en insistant bien sur mon sexe. Je mets une bonne dose de savon dessus et le frotte généreusement, le décalotte, fait quelques mouvement de va et vient pour avoir cette forte excitation en moi. Mon sexe grossi, tout juste pour le sentir légèrement dur. Je stoppe la douche et sors, me sèche et me regarde dans la glace. Je vois mon sexe qui pend, légèrement gonflé, au milieu de mes testicules qui pendent aussi. A cet instant je rêverais d'un jeune homme à genoux devant moi, la bouche ouverte. Je pourrais y insérer ma queue. J'accompagnerais les quelques mouvements de va et vient de sa tête afin que mon sexe puisse obtenir sa taille la plus généreuse. Mais non, je dois encore m'habiller et terminer ma toilette, je vais vraiment être en retard.
J'enfile mon costume et je file. La journée va être longue.
Je vois la forme de mon sexe à travers mon caleçon. Je suis excité.
Assis derrière mon bureau, je rêve de baisser la fermeture éclair, dégrafer le bouton de caleçon et sortir ma queue dressée et dure pour me branler. Mais comme j'ai beaucoup de travail, mon esprit a des pensées sexuelles brèves qui viennent entrecoupées de temps en temps, ma concentration.
12h arrive, la pause repas, la délivrance.
J'habite à côté de mon travail. Je préviens mes collègues que je rentre chez moi ce midi. J'enfile mon manteau et me dirige vers mon appartement qui est vide. Arrivé chez moi, j'enlève mon manteau, mets une casserole d'eau à chauffer, prends ma tablette et file dans la salle de bain.
Debout devant le lavabo de la salle de bain, face au miroir, j'ouvre mon pantalon, puis mon caleçon et laisse pendre ma queue encore molle. Je connecte ma tablette et ouvre la page de mon site porno favori. Ma queue commence doucement à gigoter à la vue des films que je sélectionne.
Je me cale sur un film où deux amis sont nus sous la douche. Je commence à toucher ma queue. Je la caresse, la prends bien dans mes mains. En quelques minutes (voire quelques secondes), voilà mes 18cm bien durs. Je bande à mort, comme un taureau. Ma queue est dressée. Je suis aux anges. Enfin je teins dans mes mains mon sexe tout dur. J'adore bander. Je me regarde dans le miroir, je suis excité de la voir ainsi grosse et prête à libérer toute l'excitation que j'ai en moi.
Je regarde le film. Les acteurs sont comme moi, ils bandent. L'un des deux s'agenouille pour sucer l'autre. Je suis tellement chaud que je sens déjà le sperme monter. Il monte, monte jusqu'à jaillir de mon sexe. Seul, je me laisse aller à quelques râles de plaisir. Je vois les jets de sperme atterrir dans le lavabo.
Je suis heureux, enfin j'ai pu jouer ma queue.
Un des jets de mon sperme a atterri sur le robinet. Encore bien chaud je me penche et lèche ce robinet pour avaler ma semence, imaginant que cette tuyauterie froide est la queue d'un mec.
Je lave ma queue, remonte mon caleçon et mon pantalon. Je file dans la cuisine, l'eau de mes pâtes boue. Je choisis des pâtes " 3min ", exactement le temps qu'il m'aura fallu pour éjaculer.
J.