Ceci est une histoire vraie, rien n'est romancé.
Je suis plutôt hétéro, les filles me stimulent et j'adore leur compagnie, j'aime leur faire l'amour et pas grand-chose ne me fait plus d'effet que de les embrasser simplement. Je suis marié, trois enfant et j'ai 43 ans.
Au plus loin de ce que je me rappelle, j'ai toujours ressenti une certaine excitation à me retrouver dans des situations de soumission (rien de hard) ainsi que de me travestir très occasionnellement.
J'en suis arrivé à me masturber en m'imaginant dans la situation d'une femme qui fait une fellation par exemple.
Pourtant, aucune attirance pour les hommes, je n'ai jamais fantasmé sur aucun ami ni personne que je connais, comme n'importe quel hétéro.
L'homme que j'imaginais sucer avait 10-20 ans de plus, un sexe épais et était directif, me forçait à le prendre en bouche.
Petit à petit (j'avais 18-20 ans), j'ai commencé à imaginer me faire prendre, etc. J'ai alors expérimenté le plaisir anal en m'insérant divers objets phalliques très occasionnellement (1 à 2 fois par ans tellement j'étais éhonté longtemps par la suite).
Puis est arrivé internet et j'ai commencé à chater avec des mecs, mais assez rarement aussi. À côté de ça, je tombais souvent amoureux de filles, mais très incertain de moi même, je n'osais jamais sortir avec celles qui me plaisaient, ça me tétanisait, trop peur de tout faire foirer.
J'ai fait ma première rencontre d'un mec vers 21 ans, un plan suce en voiture. Il bandait très dur et sa queue était épaisse. Très excitant les 2-3 premières minutes, j'ai vite débandé en me demandant ce que je fichais là. Je me suis toutefois masturbé plusieurs fois dans la nuit suivante... Mais finalement j'ai été écoeuré par l'expérience pendant 2-3 mois... Pourtant, j'ai quand même fini par rebander de la situation et à fantasmer sur des scénarios avec des mecs.
J'ai refait des plans suce 1 ou deux fois par ans dans les années qui suivent, toujours avec des niveaux d'excitation très élevé au début et très bas peu après, avec écoeurement (voire avec aucune excitation avec certains mecs).
Je me disais que lorsque je me mettrai enfin avec une femme, ces pulsions disparaîtraient. Je me suis finalement marié vers 24 ans et je n'ai effectivement plus fantasmé pendant 2-3 ans.
Mais c'est finalement revenu et au bout de 5 années, j'ai repris 1 ou deux plans suce soft par ans.
Je précise que je suis exclusivement passif avec les mecs et que me faire sucer ou prendre ne m'excite pas. Je reste dans le rôle de la "femme".
En parallèle, vers 30 ans, j'ai repris les études via une formation en alternance dans une ville en province. Pendant mes périodes de formation, je chatais de temps en temps, mais je ne faisais pas de plans. Dans cette situation, seul en appartement, j'avais un peu peur que ça finisse en plan q hebdomadaire. Je fantasmais aussi de plus en plus sur des plans sodo, bien que j'avais cessé de me goder depuis quelques années.
Je voyais souvent le profil de Éric, un mec avec une queue énorme et bien dessinée, mais un peu farouche (il m'avait blacklisté une ou deux fois, car j'étais sur que c'était un faux profil ou un mytho du coup).
Mais au bout de deux ans de formation (et divers profiles), j'ai finalement établi le contact.
Et de fil en aiguille, il a découvert qu'il me connaissait de la formation. Il ne m'a pas dit tout de suite qui il était, j'étais assez tétanisé de le découvrir.
C'était en fait le directeur de l'école, un antillais, pas très grand, mais assez costaud. On s'est dit que l'on ne ferait rien tant que j'étais élève. Mais lorsqu'il présentait un cours devant moi, je ne pouvais m'empêcher de penser à son sexe assez massif (un vrai 20x5) et de deviner sa forme sous son pantalon, ce qui me faisait bien bander.
Finalement, on s'est donné rendez-vous un we, en bord de rivière. Lorsque sa queue à jailli de son caleçon j'étais en transe, un superbe membre très épais. Je me suis tout de suite agenouillé et l'ai pris en main. Je bandais très dur. J'ai délicatement tiré le prépuce pour découvrir ce superbe gland que j'ai doucement mis dans ma bouche. Je mettais difficilement plus que le gland... Je l'ai pompé avec délice en poussant des petits couinements de plaisir, jusqu'à ce qu'il jute abondamment sur mon torse.
On n'a refait qu'un plan avant la fin de la formation, mais passé beaucoup de temps à chater et fantasmer. Comme moi, il avait une vie de famille et étais très peu disponible.
Après la formation, on s'est vu 1 ou 2 fois par an pour des plans suce pendant 3 ou 4 ans. C'était mes seuls plans avec des mecs. À côté, une vie de famille agréable et accomplie à laquelle je tiens toujours.
On a finalement commencé à parler de sodomie avec Éric. Mais comment peut-il sodomiser avec une queue pareil ?
On a finalement tenté l'expérience un jour, mais il n'est pas rentré malgré avoir bien forcé jusqu'à me faire assez mal.
J'ai alors acheté un gros godemiché pendant un déplacement. Il semblait faire à peu près la taille de sa queue. Je me suis entraîné dessus pour la pipe tout d'abord. Je le ventousais sur la paroi de douche et j'arrivais à l'insérer entièrement dans la gorge jusqu'aux couilles (19 par 5 cm !)... Maitriser le deepthroat avec un pareil calibre m'excitait terriblement. Il faut dire que je suis assez expert de la fellation aujourd'hui. Sentir ce gros gland passer mes cordes vocales était assez bandant. Puis j'ai tenté de me le mettre. Après 1/4 d'heure de travail, il a fini par rentrer. J'étais très chaud avec ça dans le cul jusqu'à la garde. Je me le suis mis quelques fois encore puis j'ai fini par jeter ce gode que je ne savais pas où cacher.
La rondelle élargie pour Éric, on s'est alors donné à nouveau rendez-vous 6 ou 7 mois après notre première tentative, dans mon bureau ou j'étais seul ce jour-là.
En l'attendant, je me suis inséré des courgettes de tailles progressives afin de bien me préparer.
Je l'ai bien sucé puis lui ai mis une capote et me suis mis à 4 pattes pour bien lui présenter mon cul tout chaud. Il a calé son gros gland et s'est mis à pousser assez fermement... Et là, l'extase, j'ai enfin senti son gland se frayer un passage jusqu'au fond de moi hmmm... Ma première sodo, et avec une queue énorme.
Je me suis mis à pousser des cris de chienne en chaleur "han, vas-y baise moi bien", "hmmm, elle est si grosse"... Il me prenait avec vigueur. Sa queue cognait au fond de moi, mais rentrait entièrement, ce qu'il ne pouvait apparemment pas toujours faire.
On s'est levé et il m'a pris debout à nouveau. Sa queue est rentrée comme dans du beur, j'étais totalement ouvert à lui. Il m'a branlé et j'ai joui comme rarement, avec ce gland qui me travaillait de l'intérieur. Je l'ai fini avec une bonne fellation (deepthroat pas possible, sa queue était finalement plus grosse que le gode).
Après cette expérience, j'ai fait une petite dépression... Plus possible de bander avec ma femme et je me suis senti mal à l'aise avec mon entourage. La nuit, je n'ai plus dormi pendant longtemps et je me levais pour me branler frénétiquement en m'imaginant me faire baiser par Éric. À la limite, j'aurais pu partir et poursuivre une vie de chienne à baiser les mecs... J'étais en mode salope.
Moi qui avais une faible estime de moi, cela n'arrangeait pas du tout la situation, d'ou l'état dépressif.
Finalement, j'ai repris le morale au bout d'un an. Alors on a refait un plan ou il m'a à nouveau baisé. Là, pas de préparation anale, il est rentré direct. Ça a été plus douloureux, mais c'était aussi bon que la première fois. À quatre pattes, la tête contre le matelas à gémir... "Tu me baises bien, vas-y Éric, oui..."
Il me fallut encore un ou deux mois pour me remettre moralement...
Aujourd'hui ça fait plus d'un an qu'on n'a rien fait. Je ne cherche pas spécialement de plans avec d'autres mecs. J'ai décliné plusieurs occasions récentes avec Éric, car je me suis dégonflé (l'impacte morale d'un plan étant assez éprouvante pour moi à chaque fois)...
J'ai l'impression d'être un peu schizophrénique : une vie d'hétéro rangée tout à fait agréable d'un côté (avec branlette sur films x hétéro, phantasme sur belles filles), et des périodes de phantasme gay passif par période... C'est assez déroutant.
Mais même si j'essaye de repousser l'échéance, je pense que je vais finir ma me refaire baiser un jour ou l'autre par Éric... J'ai d'ailleurs RENDEZ-VOUS avec lui demain. Vais-je y aller ?
Deepth
conspilat@hotmail.fr
Autres histoires de l'auteur : Mon directeur de formation