préambule
Salut les gays, et les filles vu qu'apparemment beaucoup lient les histoires de ce site.
Après une longue période à lire vos histoires, je me suis décidé à publier la mienne, qui est réelle bien que certains dialogues ont été un peu ajustés à cause de ma mémoire défaillante. Pour me présenter, je m'appelle Guillaume, un petit brun d'un mètre soixante-dix, au corps dessiné, avec de sublimes yeux verts et un joli petit boule bombé comme les mecs les aiment. J'ai 20 ans, et je suis étudiant, bien que l'histoire que je vais vous raconter est arrivée à l'époque du lycée, à partir de mon année de Première. Mais elle ne commence pas à cette époque, non, elle commence... à la maternelle. Quoi ? A la maternelle ? Eh oui, car c'est à ce moment que j'ai rencontré l'une des personnes les plus importantes dans ma vie encore aujourd'hui, ma meilleure amie, Hélène. Une blonde aux yeux bleus ultra sexy ( même moi je le pense ), au caractère bien trempé, insolente, insupportable parfois, mais si j'avais été hétéro, je l'aurais épousée. C'est lors de ma toute première rentrée que l'on s'est rencontrés, le hasard ou le destin a fait que l'on a été assis à la même table ce jour-là, et tous les autres depuis dans chacune de nos classes ( sauf latin, option qu'elle n'a pas prise au collège et seigneur c'est elle qui a eu raison, encore une fois ). Pourquoi je vous parle d'elle, me direz-vous ? Non, elle n'a pas de bite. Non, elle n'est pas la reine du bal. Non, on ne s'est pas fiancés et n'avons pas vécu heureux pour toujours. Mais lors de notre passage du collège au lycée, durant un été chaud et festif, elle a été la seule et unique personne à qui j'ai révélé mon secret, celui sur ma sexualité. Elle m'a simplement regardé, et s'est mise à rire. Puis elle m'a lancé :
- J'ai cru que tu ne t'en rendrais jamais compte ma lopette !
Depuis, rien n'a changé entre nous, toujours elle et moi contre le monde, elle a même essayé de me présenter des mecs ( comme son beau-frère lorsqu'elle essayait de le faire divorcer de sa soeur mais ça a été un échec, surtout qu'il était loin d'être attirant ).
Il m'a fallu encore deux ans pour faire mon coming-out auprès d'autres personnes, mais vous verrez, c'est un passage que je vous raconterai dans un prochain chapitre.
Le cadre est posé, aussi je vais commencer ce qui vous intéresse, mes ébat sexuels. Pour des soucis de narration, la suite est écrite au présent.
Chapitre -01
Encore une rentrée. Encore la même boule au ventre, mêlée à de l'excitation. C'est pourtant le même lycée privé de cette même ville qui m'a vu grandir, pourtant le stress est là. J'observe par la fenêtre de la voiture mon école, hésitant à y aller.
- Hé, tu te bouges ou quoi ? Je vais être en retard au boulot moi !
Je me retourne vers mon grand-frère et essaie de le regarder de travers, mais j'échoue et n'arrive qu'à lui exposer mon trouble. Damien me pose la main sur l'épaule, ses yeux verts hérités comme moi de notre mère se font plus doux.
- T'inquiètes, ça va aller ptit frère. C'est pas grand-chose, tu poses un pied après l'autre sur la route et tu rentres dans le bâtiment, et c'est réglé. Maintenant bouges avant que je te bottes les fesses !
Il me fait sourire.
- Allez bonne journée ! ajoute-t-il en riant
- Bonne journée frérot.
Je prends mon sac et sors de la voiture, j'inspire un grand coup et m'élance vers l'entrée. Derrière moi, Damien démarre, se dirigeant vers la sortie du parking de l'institution et paré pour sa journée sur les chantiers où il a trouvé un travail comme électricien. Moi... eh bien je sens toujours la même boule au ventre mais bon quand faut y aller, faut y aller. Je passe le portail du lycée et gravit les marches menant à la porte d'entrée. L'intérieur ressemble à un colisée, sur trois étages de hauteur, en forme de rond, un demi-cercle est entouré de couloirs s'ouvrant sur les salles de classe et protégé par des rambardes. On y accède par des escaliers en face de l'entrée, et c'est là qu'on été installés les panneaux affichant la composition des classes de Première. Je vais droit sur le panneau des classes Economiques-Sociales et cherche mon nom. Je le trouve en ES 2, et je repère au passage quelques noms d'amis du lycée et du collège. Je remonte un peu, pour trouver le nom qui m'intéresse. Je sors mon téléphone et envoie à Hélène un message "Devine quoi ?". Sa réponse ne se fait pas attendre "Si c'est pour me dire que Robb Stark est mort au cours des Noces Pourpres je suis déjà au courant de cette tragédie" ( on est fans de Games of Thrones, et elle, amoureuse de Richard Madden, a été dévastée lorsqu'on a regardés l'épisode de la mort de son personnage ). "Mais non bécasse, on est dans la même classe !!" "TROP COOL MON CHERI, j'arrive garde moi une place ! :)" "Grouille". Je range mon téléphone et vais tenir compagnie à Florian et Alexis, deux potes qui sont dans ma classe. On est rejoints par Nadège, une amie depuis le collège, elle aussi avec nous cette année. J'attends avec impatience ma chérie. Enfin, je sens que quelqu'un me saute sur le dos et me pose un bisou sur la joue, sans me retourner je sors :
- Eh ben, tu es même pas en retard ? Mais qui êtes-vous et qu'avez-vous fait de ma meilleure amie ?
- J'avais envie de te revoir chéri !
On s'embrasse et se câline, oui on est très tactiles tous les deux.
- Au fait c'est qui notre prof principal ? demande Florian
- Je crois que c'est la jeune prof de français, Mme L******, tu sais celle qui est super sexy et célibataire, lui réponds Alexis.
- Cool !
Moi ça me laisse de marbre. On a le droit à un discours de notre directeur, puis on commence la journée. En entrant dans ma classe, je repère quelques visages familiers, puis je bugge. Romain a redoublé au collège, et une fois au lycée, c'est un blond athlétique et grand, sexy comme c'est pas possible... et hétéro. Je me reprends et vais m'asseoir au fond à côté d'Hélène, qui me fait un petit sourire en coin.
- Je le trouve plutôt mignon moi aussi.
Je l'incendie du regard ( ça devient une habitude chez moi ), et me concentre sur les cours.
Trois semaines après, j'ai fait en sorte de me rapprocher le plus possible de Romain, devenant ami avec lui. Il n'est pas particulièrement intelligent, même plutôt idiot en vérité, mais il est drôle et spontané, tout le monde l'adore. Etant plus âgé que moi, ça m'excite à fond. Je pense beaucoup à lui, et me branle en l'imaginant en moi. Je suis puceau, et j'aimerais ne plus l'être grâce à lui. Rien qu'en repensant à son énorme bosse aperçue en cours de sport dans son caleçon blanc moulant, je me sens tout chaud, voir toute chaude si je puis dire. Ah ce qu'il est sexy ce...
- Eh, Guillaume ? Tu m'entends ?
Je suis tiré de mes pensées par le regard interrogateur de Bastien, un beau châtain clair aux yeux noisettes, musclé, super populaire, un sourire magnifique et mon élève particulier en littérature. je lui donne des cours depuis l'année dernière, on est même devenus assez proches au point que ses amis me connaissent tous par mon prénom, ce qui est assez cool étant donné qu'ils font tous partis de la caste des gens populaires dans le lycée. Sans m'en rendre compte j'ai rougi.
- Excuse, je lui réponds, j'étais ailleurs. On bossait sur quoi là tout de suite ?
- Le livre que j'étudie en ce moment, L'Etranger d'Albert Camus. Je suis censé répondre à ce questionnaire pour demain et je comprends rien à ces histoires de complexités émotionnelles du personnage et aux histoires de haine raciale camouflée.
- Quoi ? C'est qui ton prof déjà ?
- Le vieux Mr D***, un tyran. T'es tombé dans la bonne ES mon vieux, me dit-il.
- Ouais dommage que tu sois pas là cette année. J'ai le même programme mais on commence par un autre bouquin. Sinon la question sur la haine raciale c'est un piège je pense, au cours du roman on s'aperçoit que le personnage principal est très limité au niveau émotionnel, comme tu pourras l'indiquer pour ton autre sujet. C'est donc pas tellement l'intérêt du livre.
- Attends, tu dis que vous commencez par un autre livre, comment tu peux savoir ça ?
Je rigole et le regarde alors qu'il semble vraiment intrigué :
- J'ai déjà fini les bouquins du programme.
- J'avais oublié que le français c'est un de tes domaines de prédilection
- C'est bien pour ça que tes parents me paient pour te donner des cours et assurer ton année, je suis balèze en littérature.
On continue de discuter de son devoir, puis il m'arrête et me propose un joint. J'ouvre la fenêtre et m'installe sur la tapis à côté du lit, où Bastien vient me rejoindre avec un cendrier et son briquet.
- Tu pensais à quoi tout à l'heure ?
- Quoi ? je lui demande. Quand ça ?
- Tout à l'heure, tu as dit que tu étais ailleurs non ? Tu pensais à Hélène non ?
- Hélène ?!
- Oui, c'est ta petite amie c'est ça ? Vous passez tout votre temps tous les deux et vous vous faites des câlins, et tout ça, vous êtes ensemble.
- Non, c'est ma meilleure amie, on s'est jamais vus comme ça.
- Alors qui c'est ta chiquita ?
- Tais-toi idiot et fais passer le joint ! lui dis-je en riant.
- Ok, je te laisses à tes secrets, me répond-il avec un clin d'oeil.
En retournant chez moi, je repense à ce moment, et au fait qu'un jour je devrais dire aux gens qui je suis vraiment. Mais la peur est un frein bien trop puissant.
Tout s'est enchaîné lors de la fête d'Halloween, un bon mois après ça. Romain organise une soirée chez lui avec une bonne cinquantaine d'invités, ses parents lui ayant laissé la maison. On se partage les tâches pour avoir de l'alcool, de la beuh et suffisamment de nourriture pour ravitailler un régiment et faire une fête de malade. Le samedi soir, on se rend à la maison de mon fantasme. C'est une chouette baraque, avec une véranda où on s'installe entre fumeurs de bédos. L'ambiance est déjà excellente. Hélène et moi dansons toute la soirée avec Nadège, Alexis et Florian, quand on n'est pas coincés à la table où sont posées les bouteilles d'alcool. Pour ma part, je fonctionne à la vodka. Lorsque j'ai besoin d'air, je me rends à la véranda pour fumer un bon coup avec ma meilleure pote, comme on a l'habitude de le faire depuis un sacré bout de temps maintenant.
- Vous vous amusez bien ?
Romain vient de se caler avec nous et de s'allumer un joint.
- Ouais, on s'éclate bien. Il est quelle heure là ? demande ma chérie
- Environ 3h du mat. Eh Guigui ça va ?
- Oui Rom, je suis juste un peu crevé et bien bourré. J'aurais la gueule de bois demain matin, c'est tout. Je vais rester là un moment et ralentir sur la vodka.
- Et la fumette ? me glisse Hélène
- Tu rêves, je vais pas te laisser prendre toute ma beuh pour toi !
On discute et on se marre bien, rejoints par quelques autres de temps en temps. Au bout d'un moment, un mec vient avec nous. Je crois qu'il s'appelle Anthony, il est en Première Scientifique, un blond avec une barbe bien taillée et un corps fin et sculpté. Hélène me souffle qu'il lui plait bien.
- Invite-le à boire alors.
- Garde ta bite dans ton pantalon quand tu seras seul avec Romain mon chéri.
Je me retrouve en tête-à-tête avec ce bel étalon. J'ai très chaud et ce n'est pas uniquement du à l'alcool.
- Alors ça te dérange pas qu'Hélène aille avec un autre mec ?
- Pourquoi ? C'est pas ma petite amie tu sais.
- Ah bon ? Vous faites que coucher ?
- Non idiot, on est pas du tout ensemble, d'aucune façon que ce soit.
- ça m'étonne pas tant que ça...
Qu'est-ce qu'il entend par là ? Pour éviter un blanc un peu gênant, je vais me chercher un verre. Mais je sens qu'il y avait plus dans cette phrase qu'une simple remarque, et je ne sais pas pourquoi, j'espère que ça veut dire qu'il a compris à mon sujet. Enfin si je sais. Je le veux dans mon cul, sentir sa queue dans ma bouche et qu'il me prenne comme une chienne. Je continue de boire, encore et encore, et je me sens un peu trop imbibé. Je sors dans le jardin, un peu déboussolé et nauséeux. Je manque de tomber quand je sens quelqu'un me rattraper. C'est Romain
- ça va mon vieux ?
- Mouais... Un petit peu, trop, bof.
J'arrive à peine à penser normalement.
- Viens, je vais t'emmener au fond du jardin pour que tu dégueules un bon coup.
- Je dois être un super bon coup oui.
Je sais même plus ce que je dis. Romain me regarde bizarrement, tourne la tête pour voir la maison et me glisse à l'oreille :
- Tant mieux, personne nous regarde.
Sans réfléchir, je lui mets la main sur l'entrejambe et commence à lui caresser la bite à travers son jean, je la sens durcir de plus en plus, et sa taille me fait saliver d'avance. Il m'emmène vers le fond du jardin, où il y a une cabane en bois. Il me fait rentrer à l'intérieur et referme derrière nous.
- C'est bien ce que je me disais, me dit-il, j'avais bien remarqué que tu me matais tout le temps. Alors petit PD, ça t'excite la bonne grosse queue ? T'aimes faire la pute ?
- Humm, oui, j'adore.
- Fais-moi plaisir chienne.
Je continue de lui malaxer la queue, il me pose la tête sur sa bosse et se frotte contre mon visage, je ne contrôle plus rien, mais l'excitation est si forte que je ne peux pas y résister. Il m'appuie de plus en plus fort sur son entrejambe, je luis lèche la bite à travers son pantalon.
- Suce-moi, montre que tu en veux.
Je m'attaque à sa ceinture maladroitement mais avec envie. Je salive d'avance rien qu'à penser à ce qui va se passer. J'arrive à lui baisser son jean, je suce sa queue encore dans son caleçon, elle est grande et bien épaisse. J'entends ce beau mec gémir, il a l'air d'aimer ça. Je veux aller plus loin, beaucoup plus loin. Je finis par libérer sa bite, et là j'arrive à peine à croire ce que j'ai devant les yeux, une belle queue circoncise d'une bonne vingtaine de centimètres, large, une goutte de semence qui perle déjà sur son gland.
- Alors, tu vois ce que c'est une queue de mec hein ?
Pour seule réponse, j'avale sa bite d'une seule traite et commence à le sucer comme un affamé. Il gémit encore, m'encourage en me traitant de pute, de suceuse, de PD, de trou à bites, et j'adore. Je le regarde, juste pour m'assurer que ce que je fais lui procure du plaisir, et il m'appuie sur la tête, m'impose son rythme. Je veux lui faire la meilleure pipe qu'il ait jamais eu, alors je m'essaie à la gorge profonde et arrive à engloutir toute sa bite dans ma bouche, mais l'alcool et cet énorme morceau de chair manque de me faire vomir, pourtant à peine ai-je repris mon souffle que je me remets à lui lécher la queue, les couilles, et je retourne à ma fellation. Je lui fais d'autres gorges profondes, je suis ravi de l'entendre et de le voir prendre son pied, si bien qu'à peine ai-je pris un peu d'air dans mes poumons après avoir lâché sa queue, je le suce encore comme si ma vie en dépendait. Le plaisir est si intense que je sens ma bite à l'étroit dans mon jean. A un moment, il me prends la tête à deux mains et force une nouvelle gorge profonde, et je maintiens comme ça. Je manque de suffoquer.
- Oh putain comment c'est bon, ta bouche est trop bonne salope.
Il me lâche, je me retire, tousse un coup, puis j'enchaîne avec une autre gorge profonde presque aussi longue, le défiant du regard. Il a l'air d'apprécier ma manoeuvre car il me baise littéralement la bouche et me regardant d'un air mauvais. Toujours à genoux devant lui, il finit par me laisser, se penche vers moi en tirant ma tête vers l'arrière.
- Ouvre en grand PD.
J'ouvre ma bouche et il me lâche deux mollards dedans, je suis si excité que je reprend ma fellation et mes gorges profondes. Il finit par me relever, me retourne et me chuchote au creux du cou :
- Tu la veux dans ta chatte ? Tu veux que je te violes ?
- Oui, abuse de moi, prends moi, je suis une petite vierge.
Il ne lui en faut pas plus, il me baisse mon froc sans ménagement et me fait me cambrer à moitié allongé sur une espèce de petit bureau. Je l'entends cracher dans sa main, puis je sens sa queue dure se poser sur ma rondelle. Et sans aucune forme de préparation, il force mon intimité. Je veux hurler mais sa main étouffe mon cri, et sans me laisser le temps de m'y habituer, il s'enfonce tout entier en moi. Il commence un va et viens très rapide, brutal, et je suis à deux doigts de pleurer. J'ai mal, il s'en fout
- Arrête, tu vas trop vite !
- Ta gueule PD, t'es qu'un trou et les trous ne parlent pas.
Il continue de me prendre en levrette sans ménagement, songeant uniquement à sa propre envie, j'essaie de le faire ralentir en le repoussant avec ma paume, mais il me la bloque derrière mon dos, s'agrippe à mes hanches de son autre main et continue de me pilonner. J'ai les larmes aux yeux, et pourtant, au bout de quelques instants, je sens que je commence à m'ouvrir, la douleur reflue et autre chose apparaît. Je suis comblé ( dans tous les sens du terme ), et je commence à gémir de contentement.
- Alors salope, tu vois que tu aimes ça.
- Oui putain tu me fais kiffer, prends-moi encore, vas-y plus fort.
- Quelle chienne, encaisse salope, encaisse.
Il continue de me baiser, il rentre maintenant complètement en moi avant de ressortir et de remettre sa queue en entier dans mon cul. ça dure encore plusieurs minutes avant qu'il reprenne un nouveau va et viens, et très vite j'entends ses couilles qui claquent contre les miennes. Je ne peux pas me toucher la queue mais elle est bien dure. Soudain, il se penche sur moi et me dit :
- Je vais jouir !
- Jouis en moi, engrosse-moi !
- Ah oui, c'est ce qu tu veux ?!
- Oui !
- Dis-le moi
- Je le veux ! je réponds
- Dis-le moi !
- Je le veux !
- Encore !
- Je le veux !
- Oh putain ouais c'est trop bon salope !
Il se bloque au fond de moi, et je sens sa queue durcir et tressauter, accompagnée de plusieurs gros jets de sperme chaud qui me remplisse le cul. Sans m'en rendre compte moi aussi j'ai joui et ma semence s'écoule de ma bite sur le sol. Il assène encore deux-trois coups de reins puis se retire de moi. Je ne peux pas bouger alors que je l'entends remonter son froc et se rhabiller. Romain se penche sur moi et me dis :
- Maintenant t'es à moi PD, compris ?
Je ne réponds pas, jusqu'à ce qu'une grosse claque atterrisse sur mes fesses.
- Compris.
- Oui.
Il s'éloigne, sors de la cabane et me laisse là, sur le bureau de la cabane, à moitié nu et le cul encore explosé et rempli de foutre.
Guillaume
mankbarg@gmail.com
Autres histoires de l'auteur : Le lycée, ça craint !