Je suis un bon passif soumis à la bite de 44 ans, 1m74, 66k ; la plupart du temps, je me fais baiser avec capote, mais j'ai eu quelques plans au jus dont je garde d'excellents souvenirs ! Et j'adore avaler le sperme...
J'habite en Touraine maintenant, mais quand j'habitais à Paris, dans le 11e (j'avais alors la trentaine), j'utilisais souvent les réseaux téléphoniques pour trouver des mecs pour me baiser. Un de mes plans préférés consistait à attendre le mec (parfois LES mecs) derrière ma porte, à poil, à quatre pattes, les yeux bandés, le cul graissé prêt à l'emploi, la bouteille de poppers sous le nez.
L'idée de ne pas voir le mec qui allait m'enculer m'excitait au plus haut point. Mon fantasme c'est de n'être plus qu'un trou au service de mâles qui m'utilisent pour se soulager de leur trop-plein de sperme. J'ai quand même un critère de sélection : je préfère les mecs trapus (peu importe leur âge), avec de bonnes cuisses épaisses de mâle. J'aime sentir un corps puissant qui m'écrase pendant qu'il me baise comme sa femelle. Si en plus, il a un comportement de mâle alpha dominant, qui sait ce qui lui est dû et le prend comme il le veut, s'il aime insulter, baffer et fesser, alors je suis au paradis !
À deux ou trois reprises, j'ai reçu un mec un peu plus âgé que moi qui s'appelait Denis et disait être flic. C'était un mec comme je les aimais, viril, trapu, puissants, mais au bout de quelques plans, au cours desquels je l'ai sucé et il m'a baisé avec capote, il a cessé de donner des nouvelles et je suis passé à d'autres plans...
Quelques années plus tard, un de mes derniers plans parisiens a eu lieu un après-midi où après avoir fumé quelques pétards, j'étais hyper excité du cul. Je passais quelques minutes sur un réseau téléphonique avant qu'un mec me contacte ; sa voix avait vaguement quelque chose de familier, mais c'était trop lointain pour que je sois sûr de moi. Il cherchait une salope à baiser gueule et cul sans capote. Il voulait que je l'attende à poil à genoux, yeux bandés dans ma chambre, prêt à le pomper puis à me faire retourner et baiser sur mon lit. Quand il me dit qu'il cherchait un trou à féconder au jus, j'hésitais un peu, mais j'étais trop chaud et sa description (40 a, 1m78, 84 k, une bite de 19 cm épaisse, des couilles pleines d'une semaine) a achevé de me convaincre. Ce mec avait une voix de mâle qui m'intriguait et il savait ce qu'il voulait.
Quinze minutes plus tard, j'étais installé dans ma chambre, prêt à être utilisé, quand j'entendis la porte de mon appartement (que j'avais laissée entrouverte) se refermer puis des pas dans le salon. Il était enfin là. Il pénétra dans ma chambre et colla direct son entrejambe sur ma gueule.
"Salut la pute.
"Salut mec, répondis-je en sniffant son paquet que je sentais déjà dur.
"Dépêche toi la pute, j'en peux plus là, pompe moi le dard.
Je sniffe une bonne dose de poppers par chaque narine et je me mets direct au boulot : après avoir déboutonné son jean puis baissé son slip jusqu'à mi-cuisses, je m'attaque à son gland, déjà dur, et qui commence à bien mouiller. Je le nettoie avant de pomper ce vrai mâle. Je ne le vois pas, mais en m'agrippant à ses cuisses pendant que je lui bouffe la bite et les couilles (qu'il a effectivement bien grosses), je devine un corps puissant et lourd comme je les aime. Et qui éveille en moi des souvenirs d'un autre corps...
"Je t'ai prévenu, j'ai les couilles pleines d'une semaine, je ne vais pas tenir longtemps et tu vas en prendre plein le cul, me dit-il soudain avant de me diriger sur le lit où il me fait installer à quatre pattes.
Je me gaze au poppers, afin de bien dilater mon cul et de le préparer à la saillie qui arrive. Je le sens se positionner derrière moi puis son gland touche mon trou avant de commencer à y pénétrer, doucement, mais sûrement. Il n'est pas tendre avec ma rondelle qu'il n'a pas graissée même s'il a mis un peu de gel sur sa bite. Mais je suis tellement excité par la situation et le poppers que ça rentre plutôt bien. Je sens vite ses couilles contre mon cul puis des mouvements de va-et-vient de plus en plus rapides. Voilà, je suis au paradis : à quatre pattes sailli par un mâle. En plus, il n'a même pas pris la peine de se déshabiller, il a encore son t-shirt, son pantalon baissé aux chevilles et ses chaussures. Ça m'excite encore plus, ça me fait sentir encore plus "trou qu'on utilise pour se vider'.
Au bout de quelques minutes, il s'allonge sur moi et je sens la cadence s'accélérer.
"Tu veux mon jus ?
"Oui, s'il te plaît.
"Je vais te remplir sale pute.
Soudain un grognement dans mes oreilles puis il se plante au fond de mon cul, me plaquant la tête dans l'oreiller. Il se vide au fond de mes entrailles en continuant de grogner sauvagement. Quand il finit de juter, il reste encore bien au fond quelques secondes avant de recommencer des mouvements de va-et-vient, pour bien tasser sa semence en moi.
"Tu vas me nettoyer la bite, m'ordonne-t-il, avant de lentement s'extraire de mon cul. Je me retourne et guidé par sa main et l'odeur de foutre et de mâle, je me retrouve en face de sa bite demi-molle. Je prends le gland en bouche, il est humide, visqueux, encore recouvert de sperme. J'avale tout et une fois que j'ai terminé, sa queue est nettoyée de toute trace de jus.
Je l'entends remonter son slip et son jean, fermer sa ceinture puis il s'en va en me lançant un "Salut' et en me laissant à poil à genoux sur mon lit, souillé, le goût de son foutre dans la bouche et du jus coulant le long de mes cuisses. Il ne m'avait pas menti, c'est bien une dose d'une semaine que je viens de me prendre ! Encore bien excité par cet accouplement, je ramasse avec mes doigts le sperme sur mes cuisses et m'en régale jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien. À ce moment, mon téléphone m'indique que j'ai reçu un texto. C'était lui, un seul mot :
"Nickel'
Je lui réponds que j'ai adoré le plan et que j'ai l'impression qu'on se connaît peut-être. Et je lui demande son prénom.
"Denis', répond-il. Je me rappelle aussitôt de lui : le flic qui m'avait baisé deux ou trois fois quelques années auparavant.
J'ai adoré ce plan, il m'excite toujours autant quand j'y repense (souvent !). C'est vraiment une des plus grosses quantités de foutre que j'ai reçue en une seule fois ! Merci à toi Denis pour ce moment...
Si tu as aimé cette histoire ou que tu es un mec trapu qui cherche un passif en Touraine, n'hésite pas à me contacter.
Baisemoi37600
nico753763@gmail.com
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