Je suis un passionné de photo, de tous genres, mais surtout de la campagne, moi le citadin depuis 60 ans ; en cette après-midi, en période d'automne, je me promène dans le bocage vendéen, surtout à la recherche de belle grange, au milieu du marais. Le temp est super, il fait doux et je déambule, prenant mes photos au déboulé, je les trierais plus tard. Une grange retient mon attention, assez bien conservée et en bordure d'une étable, à la limite d'un chemin ; je peux donc m'y rendre sans problème.
Je mitraille et je m'approche, espérant pouvoir prendre des photos de l'intérieur, quand arrivé auprès d'une porte, je perçois des sons et des paroles qui me surprennent ; manifestement, il y a un couple et il ne joue pas aux cartes ; glissant doucement dans l'entrebâillement, je découvre le dos d'un costaud, le pantalon sur les chaussures, les fesses à l'air, manifestement en train de prendre son pied en baisant ; les coups de butoir sur le fessier claquent puissamment ; il y met du coeur et les cris traduisent le plaisir de celle qui se fait prendre. J'ai vite la trique et je me caresse par-dessus mon jean, essayant de me rendre le plus discret possible ; mais je suis trop excité et finalement, je sors ma queue et je commence à me branler
J'ai du faire trop de bruit, car l'homme se retourne, et me voyant la tige à la main, me dit de les rejoindre ; une petite hésitation , et finalement je les rejoins ; première stupeur, ce n'est pas une fille, mais un homme, complétement nu ; penché sur de la paille, il se fait sodomiser et si j'en crois la taille de la queue qui le prend, son cul doit être bien rempli, car quand il ressort, avant de le percuter encore plus fort, je peux constater que le membre fait au moins20 cm, mais surtout, il a l'air d'être d'un gros diamètre.
Me postant à coté d'eux, je continue à me branler, sous le regard du sodomisé ; soudain le costaud, le fait se tourner vers moi, lui rapprochant le visage de ma queue bandée ; il a compris le message et docilement, il me prend en bouche, avidement il me gobe le dard, l'enfonçant profondément dans sa bouche ; il ne peut pas beaucoup bouger, c'est donc moi, lui prenant la tête qui me branle entre ses lèvres ; le paysan m'encourage, " vas-y , profites en et vide toi en lui " ; en fait il ne me faut pas longtemps pour jouir et lui envoyer toute la sauce, sans me retirer sous le flot des jets, il manque de s'étouffer et quand je ressors, il n'a pas pu tout avaler et ma jute s'écoule sur ses joues.
L'homme s'est retiré, et l'anneau qu'il vient de défoncer est énorme ; il me fait signe que je peux le remplacer et encore bandé, je m'enfile dans la cavité offerte ; je suis moins gros que l'autre et je dois gesticuler pour bien sentir le cul offert, puis petit à petit , il se resserre et callé entre ses parois, je peux à mon tour le sodomiser profondément ; accroché à ses hanches , je le pilonne, alternant force et douceur ; il semble apprécier, puisqu'à nouveau, nous pouvons l'entendre gémir.
Pris par l'action, je n'ai pas vu le paysan se poster derrière moi, et ce n'est que quand son doigt essaie de me pénétrer la pastille que je réagis ; ce n'était pas prévu, mais je ne suis pas contre une bonne sodo, et de plus j'aime me faire prendre par des mecs bien membrés ; je pense que je vais dégusté au début, d'autant plus qu'il ne semble pas disposé à être doux ; son doigt s'est enfoncé , puis rapidement ce sont deux qui me dilatent ; il a craché sur ses doigts et il me dilate, les faisant tourbillonner. M'offrant à ses envies, je recule mon bassin, m'enfonçant ainsi un peu plus les doigts ; il a compris et c'est son gland maintenant qui glisse le long de mon sillon ; j'ai oublié celui que je sodomisais et il s'est écarté et se pliant, il vient emboucher ma tige, puis me brouter les couilles ; je suis aux anges, d'autant plus que je suis embroché par le paysan ; sa progression est lente, mais il me dilate peu à peu l'anneau, puis d'une poussée, il me transperce ; je ne peux retenir un hurlement tellement sa grosse queue me déchire ; mais , si la douleur est forte, la queue qui me defonce maintenant m'arrête pas de faire monter mon plaisir ; dans la bouche qui me gobe, ma bite gonfle et sans l'en avertir, je me déverse dans sa gorge, alors que je crie ma jouissance ; l'homme est puissant , virile, performant ; sa saillie dure, me défonce , me fait jouir en continue ; bien qu'il se soit déversé dans mes entrailles, il continue à me sodomiser, toujours aussi bandé ; ses paroles sont crues, mais je les aime ; je me sens sa petite femelle comme il dit, sa petite lope ; cela ne me gêne pas , bien au contraire et je l'encourage à me briser le cul ;et il ne s'en prive pas; ses coups de butoirs continuent , et pour la deuxième fois, il se vide en moi; je sens ses jets me frapper la prostate et pour la énieme fois, je jouis
Quand enfin, il se retire, sa semence s'écoule entre mes cuisses, et me prenant la tête, il m'oblige à lui nettoyer la verge, ce que je fais avec application. Je suis épuisé, le cul dilaté rejette ses secrétions, mais je suis heureux ; même si je suis hétéro, j'adore me faire sodomiser et là j'ai été servi ;
Alors que je m'apprête à partir, le paysan me dit " c'est quand tu veux " et me retournant " je reviendrais, peut-être demain "
Cocodesiles
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