J'avais 20 ans, j'étais un beau petit gars typé italien. J'étais un peu différent de mes 5 frères et soeurs, en effet j'avais réussi à accrocher des études supérieures. J'étais passionné de foot, de meufs et de branlettes. Je m'étais bien rendu compte que les petits culs de mes potes et les bosses dans le short m'excitaient, mais je n'étais pas allé plus loin dans ma réflexion. J'avais une meuf gentille, mais pas portée sur le cul. Finalement je crois que ça m'arrangeait.
Et puis, un jour mon frère Carlo (de 7 ans mon aîné) m'a "chopé" en train de me branler devant un film gay sur mon pc... j'ai à peine eu le temps de claquer l'écran c'était trop tard. Il rentrait du chantier, bien dégueu. Et il m'a juste dit :
"wwaoouhh Cho le petit frérot, tu m'étonneras toujours, il te manque juste une bonne grosse bite dans ton cul..."... ahhahhahahah ". Et il m'a donné une petite claque et c'est barré.
J'étais mort de honte.
Du coup, les jours suivants j'ai essayé de le calculer le moins possible. Comme il passait que de temps en temps, ça m'arrangeait bien.
Et puis un jour je sors sur le palier... et il était devant la porte du voisin. Je sortais les poubelles. J'ai bien vu que mon frangin racontait des trucs sur moi au voisin, et ils étaient aussi morts de rire en se foutant de ma gueule. J'ai eu le temps de voir aussi que le voisin se touchait le matos dans le jogging, et en remontant mon regard il m'a fait un clin d'oeil en tirant la langue. Cette fois j'étais foutu...
Le voisin c'était Rachid, 30/35 ans poilu comme un ours, ça débordait de partout de son maillot douteux.. Sa femme bossait à l'hosto et lui passait son temps à glander et sans doute à traficoter vu le ballet incessant chez lui. Il ne m'excitait pas du tout, tant je le trouvais dégueulasse et macho.
Après ça, il n'a pas arrêté de me faire chier. À chaque fois que je le croisais, il me disait "quand tu viens me voir chéri ?", ou alors ma princesse, tu vas sucer de la queue à la fac ? .. ça tournait de plus en plus à quelque chose de bien chaud et dégueu... Il voyait que ça me mettait mal à l'aise, mais que sans doute je n'étais pas indifférent.
.. "Viens toucher le démonte-pneu à Rachid".. "viens me sucer le zeb ma coquine". Etc..
Et puis il y a eu ce jour... ou plutôt ce soir-là.
Je rentrais un peu tard du foot, et je l'ai croisé à l'entrée de la cage d'escalier, il était en bas et venait sans doute de déposer ses poubelles. Il avait un air louche. Il m'a dit :
"Approche, là j'ai vraiment besoin de ton aide", d'un ton autoritaire. Et approchant, j'ai bien vu qu'il avait l'air déchiré, mais c'était trop tard, il m'a choppé par le cou et m'a tiré vers les caves. J'avais la tête sous son aisselle, ça sentait l'homme, et d'un coup je me suis trouvé grave excité par la situation. Je bandais dans mon short en nylon. Difficile de la cacher. Et surtout je ne comprenais pas ce qui m'arrivait.
Il s'en rendit compte et me pressa l'entrejambe en me disant :
- " T'es qu'une petite salope".. Tu vas l'aimer le zboub à Rachid"
Il m'a lâché, m'a bien passé la face sous son aisselle et m'a dit :
- "T'as le choix mec".. Tu restes ou tu te barres"
, et il baissa son jogg, laissant apparaître une bite d'âne poilue et qui sentait le mâle....
J'étais comme hypnotisé... Il m'a attrapé gentiment et m'a roulé une grosse pelle. Sa bouche avait le goût d'alcool et de tabac...
Je suis resté...
Il m'a fait descendre à genoux, en m'appuyant sur les épaules.
J'étais comme enivré. Il m'a poussé dans une cave, il y avait un matelas où il m'a projeté.
Il m'a dit :
"Aujourd'hui, je vais juste te goûter partout ma princesse", il m'a foutu à oilpé, et a entrepris de me lécher partout... J'étais quasi en transe, je voyais sa bite grave bandée, avec un filet de mouille au bout du gland... Il m'a vrillé sa langue dans chaque coin de mon corps. Donnant de grands coups de langue râpeuse sur ma raie, qu'il m'a demandé d'ouvrir à deux mains. Tout ça était tellement nouveau pour moi. Puis il m'a sucé la bite. Je n'en pouvais plus. J'ai tout lâché dans sa bouche. Il m'a collé une baffe, mais est venu me partager le sperme par une grosse pelle. Il m'a demandé d'ouvrir la bouche et m'a craché mon propre sperme dans la gueule.
Il était tellement bourré et chaud qu'il m'a joui dessus en gueulant. Puis il s'est effondré...
Il a juste dit, pendant que je tentais de rassembler mes affaires. "Tu vas être accroc à Rachid mon bébé"... Demain c'est toi qui me lèches partout...
Il avait raison, ce n'était que le début....
(à suivre) J'attends vos commentaires.
Theo manao
theomanao@laposte.net
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