Avant de débuter cette histoire, je tiens à vous prévenir que celle-ci est inspirée de faits réels à 80 %.
Chapitre -01 : Emerys, mon meilleur ami.
Aah ce lycée, je m'en souviens, il accueille moins de 800 élèves et se situe en région parisienne... Ou devrais-je dire, dans la campagne. Moi, c'est Julien, j'ai 19 ans. Je suis brun, yeux marron, assez grand et pas mal musclé malgré le fait que je sois assez fin.
J'ai fini le lycée il y a quelques mois, après le bac... Ah sacré bac, je suis heureux de l'avoir passé, et de ne plus être au lycée. Maintenant, je suis à la fac et autant vous dire que je m'y plais bien plus...
Je devais me rendre au lycée en ce début octobre, pour récupérer ce fameux diplôme qui atteste de ma réussite. Avec mes potes, Léo et Emerys (lisez le Aimerisse), on avait prévu d'y aller ensemble, bien sûr, on devait se sapper plutôt bien, pour cette soirée.
Emerys c'est à mes yeux le plus beau mec que la terre ait connu : brun, yeux marron, cheveux semi-longs sur le dessus et presque à blanc sur les côtés, un regard atrocement beau. Il était grand comme moi, 1m80 pour environ 65 kg. Pour l'avoir vu torse nu dans les vestiaires, son torse était à s'en crever les yeux... C'était le genre de Bad boy du lycée qui avait une nouvelle meuf tous les Week-ends : plus hétéro je vois pas.
Léo, lui, blond aux yeux verts, 1m80 pour 70 kg, il était aussi beau, moins musclé et plus timide, mais il avait sa copine depuis 3 ans et autant vous dire que lui aussi, c'est un vrai hétéro
Je retrouvais donc Emerys, chez lui, ses parents n'étaient pas encore rentrés, je me suis donc imposé chez lui, comme d'hab, je toque, il ouvre et j'engage :
- Hey
- Salut gros, ça va ou quoi ?
- Bah écoute tranquille et toi ?
- Ça va aussi, alors t'es prêt pour enfin pécho ? Ça fait un bail que je t'ai pas vu avec une meuf, dit-il.
J'avoue que pour le coup, je me suis trouvé bi, mais j'ai plus eu de meufs depuis, autant vous dire que ça fait beaucoup de temps que je me vide avec le poignet... - Ah gars t'inquiète ça ne saurait tarder
Il me sourit, et me tend deux chemises : - Regarde ta chemise elle est tachée (en effet, en venant à vélo, j'ai déraillé et con comme je suis, je me suis sali.
- Ah merci, je vais prendre la blanche.
Je commence à déboutonner ma chemise, la pose sur son canapé et mets la sienne. Je le vois enlever son tee-shirt et mettre la deuxième, il déboutonner son pantalon pour mettre la chemise à l'intérieur et me dit :
- Putain ça fait trois jours que je n'ai pas été sucé gars, j'espère ce soir, une ou deux seront chaude pour me le faire sinon je ne vais pas tenir.
Je me mets à rire. Le temps passe puis ses parents arrivent et nous déposent au lycée. Là, on retrouve Léo et sa copine, Emerys ne perd pas de temps :
- Salut Laeticia, dommage que tu es déjà celle de Léo parce que ta bouche aurait convenu à la mienne. Il rigole. Laeticia le fusille du regard et Léo l'insulte de tous les noms...
Autant vous dire qu'on a l'habitude avec lui, c'est une vraie plaie en ce qui concerne le sexe, ce qu'il veut c'est se vider.
La soirée passe, tout le monde se retrouve, on revoit nos anciens potes, nos exs, et puis surtout on profite du fait qu'on soit majeur pour boire un peu !
À un moment, je sens Emerys trop bourré, et lui dit de stopper l'alcool. Il me dit d'aller me faire foutre. À ce moment, je prends son verre et le pose. De colère il part dehors, en direction des toilettes. J'essaie de le rattraper avant qu'il ne s'enferme dans une cabine, je retiens la porte et lui demande :
- Hé frérot, qu'es ce qu'il y a, j'ai rien fait de mal !
- Ferme ta gueule, t'es toujours là, à me fliquer ! Tu te prends pour ma meuf ou quoi ?
- C'est bon, je fais ça pour toi, tu sais très bien que ce genre de soirée finit mal... Je ferais tout pour toi, pour que ça ne finisse pas comme d'habitude...
Parce que oui, souvent, Emerys buvait, et ça finissait en baston. Là je pousse la porte et entre dans la cabine avec lui. Il me regard avec mépris :
- Tu feras tout pour moi, pour que j'arrête de boire ?
- Oui, j'en ai marre de te voir te foutre en l'air Emerys, tu ne mérites pas ça.
- OK mets-toi à genoux.
À ce moment-là, je ne comprenais pas, il n'avait jamais eu un ton autoritaire comme celui-ci envers moi, bien au contraire, il avait plutôt l'habitude d'être protecteur.
- Heu à quoi tu joues là, t'es trop bourré je crois...
Là il me décalque un poing dans le ventre, j'ai si mal que je me mets à genoux de douleur
- Désolé Julien, mais j'ai les couilles pleines et j'ai que toi sous la main.
Il enlève sa ceinture, baisse son pantalon et colle son caleçon sur mon nez :
- Sens mon odeur de mâle, ça tu ne l'as pas, pute que tu es, je suis sûr que tu kiffes mon odeur d'homme.
J'étais pétrifié, mais en même temps, depuis le temps que je fantasmais sur mon meilleur pote, j'étais plus qu'aux anges. Vider mon meilleur pote, j'en avais rêvé plus d'une fois.
D'un seul coup, il retira le tissu qui séparait son membre de ma bouche, sa bite faisait au moins 19 cm pour 5 de large. Je le regardais, inquiet, mais excité..., il commença par me claquer la joue avec sa queue, avant d'appuyer sur mes lèvres avec son gland et d'un coup, il enfonça son pieu dans ma bouche. C'est là que j'ai pris conscience que j'avais la queue du mec que j'admirais le plus dans la bouche : je m'appliquais de fou pour lui faire du bien.
- Oh oui putain tu suces bien ma salope, j'avais raison sur ton compte !! Ennh oui continue.
Il accéléra son mouvement de va et vient avec son bassin, j'en avais des hauts de coeur, il me limait carrément la gueule. J'avais quelques larmes qui coulaient, mais je voulais le satisfaire au maximum, alors je m'appliquais malgré ses coups de reins puissants. Je mettais mes mains sur ses hanches pour essayer de contrôler un tant soit peu ses mouvements, mais il me prit par le cou :
- T'as juste a me sucer, rien d'autre sale chienne.
Je me remis donc à mon travail et ce, pendant au moins 15 minutes, jusqu'au moment où je sentis ses muscles se contracter, et en moins d'une seconde il me lâcha 5 gros jets de sperme en bouche, une quantité telle que je n'ai même pas pu tout avaler. Là, il me colla une baffe et me demande de tout avaler, et de lécher le sol pour tout enlever.
Il remonta son pantalon, et il me prit par le cou sans serrer :
- Si tu racontes à qui que ce soit, je te défonce comme jamais j'ai défoncé une femelle.
Puis il me lâcha avant de prendre ma tête dans ses mains. Il s'approcha délicatement et me roula une pelle de malade avant de me laisser seul dans la cabine.
Couvert de honte, de regret et de satisfaction, je décide de prendre mes affaires et de rentrer chez moi.
Le lendemain matin, en me réveillant je déverrouille mon téléphone et vois un message d'Emerys :
"Je suis désolé gros... Faut qu'on parle"
À suivre.
JuSP7766
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