Premier épisode
Jerem m'avait donc initié aux plaisirs masculins. Nous étions déjà amis d'enfance inséparables, nous sommes devenus amants mais n'étions pas ce que l'on peut dire en couple. J'étais reconnaissant envers Jérem de m'avoir fait découvrir ma vrais nature, mais il me restais redevable d'un pari truqué. Je réfléchi longtemps et mis quelques amis dans la confidence, eux devaient trouver d'autre mecs que Jérem ne connaissait pas, une fois le plan préparé il suffisait d'attendre que Jérem me lance un de ses: "Tu paris que j'ai raison?"
Cela ne tarda pas, au sujet d'un ancien résultat de match foot que j'avais avancé moi qui n'y connaissais rien au foot
- Tu paris?
- Ok, celui qui perd suivra l'autre à poil
Il a un doute là, cela lui rappelle quelque chose mais il ne peut pas reculer
- Ok
Bien sure j'avais raison, j'avais bien préparé mon coup!
- Je passe te prendre samedi à 10 h, tu montes dans la voiture et te déshabille de suite
Le samedi arrive, tout est organisé, à 10 h j'arrive devant chez lui, je téléphone il arrive, s'assoit coté passager. Moi j'attends
- Ben qu'est- ce que tu fait? On y va?
- Déshabille toi déjà
- là? Mais il y a du monde!
- un pari est un pari fout toi à poil
Il n'a pas le choix, il se déshabille, je récupère ses affaires je sors de la voiture en laissant la porte ouverte qu'il referme aussitôt et balance le tout dans le coffre. Je reviens, il ne fait pas le fier, je lui passe la main sur son sexe timidement dégonflé.
- Alors mon grand je te sens tout ramollo là ça va pas ?
- Allé démarre on va se faire remarquer
Il me fait sourire, mais je démarre, il veut savoir ou on va
- Surprise
J'aime le voire et l'avoir nu à coté de moi à portée de main. Quand nous quittons la ville il se détend un peu, sa bite elle prend un peu d'ampleur sous mes caresses furtives. Nous prenons un chemin qui s'enfonce dans la forêt au bout de 2 km je m'arrête, je lui demande de sortir, je profite pour le sucer. depuis le temps que je le vois à poil j'en ais envie, il joui rapidement dans ma bouche, j'adore! Ensuite je le baise et moi aussi jouis en lui, je lui demande de me lécher pour me nettoyer la bite puis me rhabille. De la boite à gants je sors une carte ign et un plan pour le rdv 5 h plus tard sur un autre chemin de l'autre coté de la montagne, vu la chaleur je lui donne aussi une casquette et une gourde d'eau de 2l. Je remonte dans la voiture et le laisse là.
Pour la suite de l'histoire je reprends ce qu'en a dit Jérem. En sachant juste que grâce à une petite balise cachée dans la gourde nous pouvions suivre assez précisément sa progression.
Paul me laisse là, je suis à poil, je ne connais pas le coin, le plan à l'air bien fait mais je flippe un peu de croiser du monde. Pas le choix j'avance, je marche en faisant bien attention ou je mets les pieds, je n'ai pas de chaussure, je fais aussi le moins de bruit possible afin d'entendre d'autres éventuels promeneurs. Au bout d'une demie- heure j'ai déjà du me cacher deux fois avant de croiser une famille et un couple! Mais petit à petit je m'éloigne des routes il devrait y avoir moins de monde, enfin j'espère. Il fait chaud, il y a un coté agréable à marcher nu ainsi, le terrain plat jusqu'à là devient plus accidenté et pentu. A un moment je croise un torrent, j'ai envie de me baigner, légèrement en amont une petite cascade plonge dans une belle vasque, l'eau est fraîche mais très agréable, je fais quelques allés retours, quand j'entends:
- Bonjour, on peut s'installer?
Trois mecs en tenue de randonneur viennent d'arriver et s'installent sur la grande pierre plate au soleil à coté de ma gourde. Ils posent leur sac à dos, et s'assoient. Ils discutent doucement en me regardant et rigolant. Je ne sais pas quoi faire l'eau commence à être froide au bout d'un moment, je vais devoir sortir et c'est le seul endroit possible, les autres berges sont trop escarpées. Je sors en protégeant ma nudité avec mes mains, je voulais récupérer ma gourde et casquette et partir mais je ne les trouvent pas, je leur demande
- Mais tu n'as pas d'autres affaires?
- tu te balades comme ça à poil toi?
- tu n'as pas peur? tu cherches de coups de bite toi!
Ca sent mauvais pour moi là, je recule
- Mais ou tu vas? N'ais pas peur on te veux que du bien
Ils rient ensembles, moi je recule encore, prêt à battre en retraite, l'un d'eux se lève, s'approche de moi, pris de panique je m'enfuis en courant. Les trois se lancent à mes trousses et me rattrape rapidement, pied nu sur ce chemin je ne peux pas trop courir. Ils se saisissent de moi, me ramènent au bord de l'eau. Là ils me touchent de partout puis me balancent à l'eau. Ils se déshabillent tous les trois pour m'y rejoindre, ils jouent avec moi ou plutôt jouent de moi, ils me poussent d'un vers l'autre, se saisissent de ma bite, de mes fesses, au bout de 10 mn il sortent de l'eau et s'allongent au soleil en gardant un oeil sur moi. Ils sont touts les trois assez musclés et ils bandent à moitié. Je n'ai pas le choix et fini par sortir à mon tour.
- Bon mon vieux si tu veux partir tu va devoir nous sucer tous les trois.
Bon jérem, il sont plutôt beau gosse, il y a pire. Je m'installe prêt du premier et commence à le sucer, pendant ce temps un autre me flatte la croupe, promène sa main le long de mon sillon fessier, il caresse mon anus. Malgré la peur je commence à bander.
- hé les mecs regardez il bande la salope!
les trois me regardent maintenant
- Allé relève toi, montre nous ta belle bite
- tourne toi, baisse toi
je fais ce qu'ils me demandent, le plaisir à pris le pas sur la peur qui reste présente.
- T as un beau cul, penche toi plus, écarte tes fesses, montre nous bien ton trou
Je m'exécute leur montre ce qu'ils veulent voire et cela m'excite.
- Montre nous comment tu te branles
allé viens nous sucer maintenant
Il bandent tous les trois l'un d'eux à une bite de presque 20 cm, je les suce, leur bite se relaient rapidement dans ma bouche qu'ils pénètrent assez violemmment
- mets toi à quatre pattes pour me sucer, cambre toi.
Un crachat atterri sur ma rondelle, un doigt, puis deux s'y enfoncent. pendant que je suce la grosse queue une autre vient se placer contre mon cul, s'enfonce doucement en moi, le troisième prévenant place leur fringue sous mes genoux, mon cul commence à apprécier ce traitement je geins doucement; le bite dans mon cul accélère et me défonce pour mon plus grand bonheur, dés qu'elle sort le troisième prend sa place, il rentre rapidement pendant que ma bouche passe de la grosse bite à une autre. Dans mon cul les coups de bite deviennent puissant et profond, moi je suce et me délecte de la queue dans ma bouche, son propriétaire par de long jet joui en moi, j'avale. Quand il sort de ma bouche, le troisième passe de mon cul à ma bouche, la grosse bite se pointe contre mon anus. Celui qui vient de jouir nous prend en photo avec son tel, la grosse bite pousse et rentre en moi assez facilement elle reste un moment tout au fond puis s'active, elle me pilonne en règle, le plaisir m'irradie, je suce avidement l'autre bite en me faisant défoncer le cul. Dans ma bouche le sperme gicle, peu de temps après j'entends les râles derrière moi s'accentués, les coups de rein deviennent plus fort et plus profond avant que le sperme inonde mon cul. Deux dans la bouche un dans le cul!
- t'es un super coup toi mon salop! Allé maintenant allonge toi sur le dos et branle toi pendant que je filme
je refuse mais me prend deux baffes. je m'allonge donc sur le dos et commence à me branler, il sont tous les trois au dessus de moi et me mater et me filmer entrain de me branler, je fini par jouir, le plus petit se penche et lèche ma bite et mon ventre pour récupérer mon sperme.
- Allé va te laver et casse toi salope.
Je plonge dans l'eau, me rince, en ressort, récupère casquette cartes et gourde ils n'ont plus un regard pour moi. Je reprends le chemin escarpé sorti de l'abris boisé de la rivière il fait très chaud, certaines pierres sont brûlantes. Je suis encore tout chose, je suis nu au milieu des colline, je viens de me faire violer ou presque, mon cul est encore endolori, mais quelque part je me sens libre comme l'air, et cet intermède était magique presque irréel, quand je vais raconter ça à Eric il ne va pas me croire. Je marche encore une bonne heure. Malgré la chaleur je me sens bien je comprends les adeptes de la randonue, c'est à ce moment de mes réflexions que j'entends
- Halte là toi!
je m'arrête, me retourne et je vois deux chasseurs dont un me pointe avec son fusils. par réflexe je lève les bras en l'air.
- Qu'est-ce que tu fais là à poil? Tu te crois ou?
Je bredouille des excuses, essaye d'expliquer le pari, mais je ne les convins pas du tout.
- Tu vas nous suivre, on va téléphoner à la police, passes devant
de son fusils il me montre le chemin à suivre, en marchant ils me traitent de pervers de dégénérer, ils se sont saisis de bâtons et me fouettent les fesses avec. J'entends l'un d'eux qui tél au garde chasse, il lui explique la situation et lui donne rdv à la cabane. Je suis dans la merde là, je ne dis rien et je marche.
- T'es un petit pd toi! tu sais ce qu'on leur fait aux pédales ici ?
- Non messieurs c'était juste un pari stupide
On arrive prêt d'une cabane, ça doit être là, il y a plusieurs voitures garer devant. je m'arrête leur demande de me laisser partir mais rien à faire ils sont vénèrent. Nous arrivons à la cabane j'entends des bruits de discussion à l'intérieur.
- Stop viens là la pédale.
L'un me tiens en joue pendant que l'autre fouille dans le coffre d'une voiture, il revient avec des cordes!
Je me retrouve attaché entre deux arbres bras et pieds écartés.
- Eh les gars venez voire notre chasse
6 mecs sortent de la cabane
- Ben ça c'est une drôle de proie!
- vous l'avez trouvez comme ça à poil?
- il était ou?
- la haut il marchait nu comme un vers! c'est un pervers nous avons appelé le garde chasse il arrive dans deux heures
- allé on va prendre des photos avec votre proie
Ils me détachent me mettent par terre allongé comme un sanglier mort, et pausent un pieds à grosse chaussure boueuse sur moi, cela les fait rire, puis il me font mettre à 4 pattes, chacun leur tour, plusieurs montent sur moi à cheval pour la photo, ils me font marcher ainsi. Puis je dois m'allonger sur le dos montrant mes attributs, leur chaussures se posent sur mon ventre, mes jambes, mon sexe, ensuite ils me rattachent. L'un deux muni d'un baton joue avec mon sexe, les photos continuent on me prend par l'épaule, on me pince même les tétons, on me claque les fesses, l'autre me titille toujours le sexe avec sa branche, un autre mime de me baiser ses mains plaqués sur l'aine, son pantalon est rèche contre mes fesses mais je crois sentir son sexe dur, contre mon gré mon sexe prend un peu d'ampleur. Cela ne passe bien sur pas inaperçu, une autre vas chercher des fougères, me fouette légèrement avec puis un autre et un autre, ils cherchent à me faire bander les salops! l'un d'eux s'enhardi il me gifle la bite avec ses mains. Un autre veut leur montrer que je suis pd, il écarte mes fesses et montre mon troue aux autres
- Allez voire dans la cuisine ce qu'on peut lui mettre dans le cul
ils sont deux à rentrer dans la cabane
- Branles le un peu qu'on rigole
- ça ne va pas non je vais pas lui toucher la queue quand même
- met des gants alors allé fait pas chier branle le
L'autre va mettre des gants, ils sont rêches, ils les balades sur ma bite et mes couilles puis commence à me branler. Je ne comprends pas bien mais à mon corps défendant je bande ce qui les fait rire, deux se font même prendre la tête à coté de ma queue dressée. je crois qu'ils sont un peu fadas. Les deux autres ressortent de la cabane avec deux grosses carottes et une courgette et une bouteille d'huile d'olive.
- Non s'il vous plait ne faites pas ça
- bien sure que oui qu'on va le faire, Etienne, huile lui bien le cul
Pendant que l'un deux m'écarte les fesses, Etienne fait couler l'huile qui dégouline partout, avec ses mains il me huile bien mon anus et pénètre même un doigt. La carotte vient se pointer contre mon cul, un gaillard l'enfonce me faisant crier de douleur,
- branle le du con ça va l'aider à avaler la carotte, peut etre il faudrait lui pincer les tétons il parait qu'ils aiment ça
La main gantée me branle, deux mecs s'occupent de me pincer assez fortement le tétons pendant qu'une carotte se balade maintenant dans mon anus, bien sure je bande. Un mec prend tout en photo. Apres la carotte la courgette préalablement huilée vient investir mon cul qui apprécie grandement, je suis encore entrain de me faire violer et je geins de plaisir! un comble! Le gant change de main la nouvelle est plus rapide, la courgette dans mon cul accélère aussi son va et vient, je ne me contrôle plus je geins je cris, eux se marre
- ils va jouir
- vas y branle le
- Il aime ça t'as vu c'est bien une pédale
Moi je ne gère plus, je me laisse allé, je fini dans un grand cris par jouir et éjaculer devant tout ses mecs rustres qui se marrent et jouent avec mon corps!
- n'empêche que lui il a pris son pied et pas nous!
- oui c'est pas juste
- il n'a qu'à nous branler ou nous sucer il parait qu'ils sucent trop bien
- Oui oui
- détache de l'arbre on va lui attacher les pieds ensembles il ne pourra pas s'enfuir.
- Oui mais là il est tout sale faut le laver
On m'emmène prêt d'une sorte d'abreuvoir, on me plonge dedans
- lave toi t'es tout sale
Ensuite on me ramène devant la maison, un premier mec devant ses collègues sort sa bite et me la met dans la bouche. Un autre veut que je le branle. Je ne les comprends pas ce sont des hétéros pures et dures et les voila qu'ils se font sucer et branler par un mec sans se cacher de leurs collègues. je suce le premier, branle l'autre, les autres boivent pastis et bière et se marrent, leur rire hystérique m'intrigue. Si les premiers avaient juste sorti leur sexe de leur braguette les suivants se présentent à moi sans pantalon bites dressés, les chasseurs sont en rut, en quelques minutes ils sont tous à moitié ou complètement à poil, ils se branlent en attendant. mes deux mains sont prises, ma bouche a déja avalé du sperme et je sens la bite dans ma bouche se gonfler prête à exploser dans ma bouche. Bien sur je bande, toutes ces bites dressées m'excitent, je me régale. D'un coup le bruit d'une voiture le garde chasse surement. Mon libérateur arrive et je trouve qu'il arrive trop tôt!
- Hé garde chasse par là, nous nous occupons de ce pervers venez voire
Ils n'ont peur de rien ils sont fous à lier
- humm
je l'entends qui approche il se tient derrière moi
- n'est ce pas qu'il à une belle coupe de pédale
- humm
Il me flatte le croupe, écarte mes fesses, le voila même qu'il se déshabille et balance ses fringue par dessus moi. Les autres mes relèvent le cul, la bouche prise par une bite je ne peux pas tourner la tête pour voire ce garde chasse qui, je pense, s'apprête à me baiser. Un crachat atterrit sur mon anus que des doigt étalent en massant ma rondelle, deux doigt me pénètrent, jugeant mon cul assez ouvert, la bite du garde chasse se plaque à son tour contre ma rondelle, d'un coup de rein violant elle me pénètre jusqu'à la garde. Une fois que la douleur se calme il me défonce le cul, moi pendant ce temps je continue de sucer goulûment la queue dans ma bouche
- allé baise le baise le oui garde chasse baise le
les coups de reins se font de plus en plus puissants de plus en plus rapide sous les encouragement des autres , j'encaisse je geins je crie en suçant cette queue qui fini par jouir dans ma bouche peu avant que le garde chasse éjacule dans mon cul extase...
- Alors garde chasse vous pensez quoi de notre prise
le garde chasse me passe devant il est à poil. Mais je connais ce cul! Il se retourne! Me sourit, Putain c'est éric!!!
- C'est une proie de premier choix, allez y les gars amusez vous!
Ils se penche vers moi, me détache les pieds, m'embrasse
- Amusons nous!!
Nous nous sommes bien amusé toute la soirée dehors et toute la nuit sur les matelas serrés l'un contre l'autre sur la mezzanine. Nous avons bien rit en matant les vidéo au bord de la rivière et prêt de la cabane
Eric me rendit mes fringues qu'une fois arrivé devant chez moi
- S'il te plait éric si tu veux te venger encore n'hésite pas
Pascal
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