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Chapitre -07: Retour au bercail :
De m'être fait vider les couilles avec une bouche aussi experte pendant ce déménagement m'avait terriblement excité.
A la fin de cette journée épuisante, je rentre chez moi passablement fatigué.
A mon arrivée Jacques m'interroge sur le déroulement de la journée. Je lui explique en détail tous les aspects relatifs au déménagement.
Jacques : " Ta journée s'est limitée au déménagement ? "
Moi : " Qu'est-ce que tu entends par là ? "
Il me demande alors si Bruno et Pierre ne m'ont pas payé en nature. Comme il a associé les 2 prénoms, je lui réponds que non, ce qui n'était pas tout à fait vrai mais à la fois pas tout à fait faux.
Jacques s'est ennuyé et il me saute dessus. Il m'attrape par le cou, noue ses jambes s'enroulent autour de mes reins. Je lui dis :
" Ton dos a l'air d'aller mieux. "
Il me répond en me roulant une pelle. Sa langue pénètre dans ma bouche et s'enroule en ventouse autour de la mienne. Je lui réponds avec ma langue. Il me dit :
" Tu m'as manqué "
Je lui réponds :
" J'ai bossé toute l'après- midi et que je dois impérativement prendre une douche avant de m'occuper de toi. "
Je reste un bon moment sous la douche profitant de l'eau chaude et alternant avec de l'eau froide, ce qui décontracte mes muscles à l'exception de celui du bas que je caresse avec ma main pour lui faire prendre une consistance intéressante.
Dès que je sors de la douche, Jacques est déjà dans la salle de bain derrière le rideau et à genoux. Il gobe directement ma teub encore toute mouillée. Il est vraiment très doué. J'ai l'impression de me trouver dans un aspirateur de sperme. Je me retiens car je sens la pression monter sous son expertise. C'est un vrai gourmand de queues.
Je le relève pour faire descendre la tension et je lui roule de nouveau une pelle magistrale tout en lui malaxant les fesses des deux mains. J'écarte ses deux globes bien fermes et rebondis qui m'ont séduit dès que je l'ai rencontré. Je passe mon doigt tout le long de sa raie de bas en haut pendant un instant et je le sens frémir sous la caresse. Je mets ensuite mon doigt dans sa bouche pour qu'il le suce et le mouille bien. Puis je pose mon doigt sur sa pastille et je commence à faire des mouvements circulaires en exerçant une légère pression pour la détendre. Elle s'ouvre rapidement. Dès l'entrée je sens mon doigt pénétrer dans une moiteur dont la perception monte jusqu'à mon cerveau et me procure un supplément d'excitation. Bientôt j'enfonce mon doigt et je fais des " va et viens " lents tout en produisant un mouvement circulaire en même temps pour élargir le massage. Jacques soupire et respire de plus en plus fort. Il pousse pour que mon doigt s'enfonce plus loin.
Quand je sens que le passage est fait, j'enfonce directement mon deuxième doigt au fond au moment où je mets une claque sur une de ses merveilleuses fesses. Jacques pousse un petit cri de surprise et de satisfaction. Je lui travaille bientôt la rondelle avec 3 doigts. Jacques fait des mouvements de rotation avec son bassin pour mieux s'empaler sur mes doigts. Brusquement je les retire, je le mets debout, le retourne contre le mur les bras relevés et je lui bouffe le cul. Le bout de ma langue fait le tour de la circonférence de sa pastille déjà bien ouverte par mes doigts.
Après l'avoir fait bien patienter, j'aspire son orifice avec mes lèvres en plantant ma langue au fond. Je ne bouge plus.
Jacques crie : " C'est Bonnnnnnnnnnn !! "
Je commence alors un mouvement circulaire avec ma langue en restant le plus profond possible. Jacques pousse un rugissement et il me supplie :
" Défonce-moi vite mon amour. Je veux ta queue au plus profond de moi. "
Je me relève et brutalement j'enfonce mon pieu, dur comme du bois, au fond de son intimité. Il réagit en poussant un feulement de félin en disant :
" Enfin. Possède-moi "
J'entame une chevauchée endiablée qui dure un bon quart d'heure tant je suis excité. Je ressens bien ses parois enserrer ma queue. Je suis d'autant plus motivé de le défoncer que la pression sur ma jouissance est maitrisée car j'ai déchargé avec Pierre en fin d'après-midi.
Jacques se met en levrette sur le lit et je me mets à le limer avec des vas et vient puissants et profonds. Il aime se sentir pris par un vrai mâle. A chaque coup de butoir il ahane. Je lui demande :
" Comment va ton dos. "
Il me répond :
" Ne t'occupe pas de mon dos et continue de t'occuper de mon cul".
Il se sépare de ma queue qui ressort. Il se met alors sur le dos et pose ses jambes sur mes épaules. Je le pénètre à nouveau en admirant son plaisir que je lis dans ses yeux. Je le travaille encore un quart d'heure. Je sens que je ne vais pas tarder à jouir. Je le lui dis et il exerce des contractions internes sur ma queue avec son cul. Ces contractions lui font mieux sentir ma queue dure et provoquent chez lui la montée d'un orgasme puissant. Il se met à crier sa jouissance :
" Je jouis C'est bon ! "
Il produit une quantité inouïe de sperme qui gicle avec une pression telle qu'on entend le bruit du chuintement de ses couilles qui se vident à travers de sa queue. Il arrose même ses cheveux. Les contractions plus fortes de sa jouissance font monter le sperme dans ma queue et je crache 6 giclées de sperme qui arrosent son intérieur. J'ai ressenti un plaisir inouï. Nous nous effondrons tous les deux, lui allongé sur le tapis et moi qui recouvre son corps baignant dans une marre de sperme. Nous restons un quart d'heure enlacés de cette façon pour reprendre nos esprits en nous embrassant de manière tendre.
Jacques me dit :
" J'avais peur que Bruno et Pierre ne t'aient tari. "
Sur le ton de la plaisanterie je lui réponds :
" Tu as pu constater qu'il n'en est rien et j'avais conservé tous mes moyens pour te satisfaire. "
Je constate quand même que je suis complètement épuisé entre la dépense physique du déménagement et deux vidanges de couilles de forte intensité. Quelle journée mes amis !
Je lui roule un patin d'enfer. Nos langues s'enroulent comme deux serpents. Nous nous mordons les lèvres de passion. Nous nous relaxons tous deux repus dans les bras l'un de l'autre.
Le weekend se termine dans une ambiance de décontraction et de grande tendresse.
Mikel
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