Je roulais sur l'autoroute depuis un petit moment déjà quand le voyant indiquant mon niveau d'essence s'alluma. Je devais à tout prix trouver une station parce que mon tableau de bord affichait 40 Km. Voilà ce qu'il me restait pour atteindre la prochaine aire disposant d'une station essence. Pour avoir pris cette autoroute quelques fois je savais que j'approchais d'une station dont l'enseigne est mondialement connue. En plus de prendre de l'essence, là bas je pourrais me restaurer.
Arrivé à la pompe, je commença a faire le plein de ma voiture. Je regardais autour de moi et me rendis compte de l'immense potentiel du terrain que cette aire m'était à disposition des voyageurs. Il y avait des tables par ci, par là, des bancs et même des espaces pique-nique. Je trouvais l'endroit vraiment sympas pour une aire de repos sachant qu'elles n'ont pas si bonne réputation. Une fois le plein fini, j'entra au chaud pour voir ce que je pouvais manger. Je cherchais un sandwich, c'était rapide et pratique et avec une canette j'avais le menu il ne me restait qu'à choisir un gâteau en guise de dessert. En plus je ne voulais pas trop traîner, on avait loué un gîte avec des amis pour un anniversaire. J'étais attendu et j avais hâte de m'y rendre. J'avais d'ailleurs décidé de manger dans la voiture pour ne pas perdre de temps. Il fallait juste que je passe par les toilettes, ça devenait urgent.
En entrant dans les sanitaires, je fus agréablement surpris de voir autant de cabines et aussi propres. Un agent devait passer régulièrement ou alors je m'arrêtais au bon moment. Je me dirigea vers les urinoirs, pour soulager cette envie qui devenait de plus en plus pressante. J'étais en train d'uriner quand un mec se pointa. J'avais entendu la porte mais je n'y avait pas prêté attention jusqu'à ce que le type arrive a mon niveau. Il avait la quarantaine, une barbe bien entretenue qui collait parfaitement avec sa tenu d'homme d'affaire et un corps qui pouvait laisser croire qu'il faisait du sport. Il se tenait debout, face a l'urinoir à côté du mien. C'était plutôt étonnant sachant que tous les autres étaient disponibles. L'endroit était peu fréquenté à ces heures là. En entendant le zip de sa braguette, je ne pu m'empêcher de tourner les yeux en direction de sa queue et constater que lui me regardait pisser. Je l'agitais pour faire tomber les dernières gouttes ce qui avait l'air de lui plaire. Il était trahit par l'émotion qui faisait gonfler son gland. Lui il n'était pas là pour pisser. Il alternait ses regards entre sa queue, les cabines et moi. J'avais très bien compris le message et la situation commençait à m'exciter. Il était le prédateur et j'étais sa proie. Je n'étais pas du genre à me soumettre mais je n'étais pas contre une bonne pipe d'autant plus que le type n'était pas vilain. Je fini par lui faire un signe de la tête en guise de réponse.
Il remballa ses affaires et entra dans une cabine vérifiant par deux fois que je le suivais. Intimidé je regarda discrètement autour de moi avant de le rejoindre. En ouvrant la porte, je le trouva debout la queue à l'air, raide comme du bois. Il avait les mains derrière la tête attendant que je me mette à genoux. Je plia les jambes et me retrouva très vite à hauteur de ses testicules. Il en profita d'ailleurs pour les écraser contre mon visage avant de me balancer : " elle te plaît ma bite ? Vas-y suce là. " Moi je ne répondais pas, son gland était déjà dans ma bouche. Il enfonçait sa queue au fond de ma gorge chaque fois qu'il donnait un coup de rein. Il avait décidé de me baiser la bouche, avec des gorges profondes. Il la laissait dans ma bouche et par petite pression l'enfonçait toujours plus loin. Il bloquait ma tête avec ses mains et moi j'avais des hauts le coeur et j'hypersalivais. J'étais tellement excité que j'en avait oublié la soirée j'avais maintenant tout mon temps. Il poussait des petits râles de satisfaction chaque fois qu'il pénétrait dans ma bouche. Sa bite gonflait sous la pression de ma langue et je sentais le jus monter. Plus je pompais plus il gémissait. C'était impossible de passer inaperçu, il était trop bruyant. Entre deux coup de hanche il murmura : " je vais jouir ! " Il prit sa bite pleine de bave entre ses mains et se branla très brièvement avant de se vider sur mon visage. Je fis de même et éjacula au sol. J'eu pas le temps de reprendre mes esprits qu'il me salua et sorti de la pièce.
Il ne me restait qu'a me nettoyer et reprendre la route en repensant à cet expérience.
Gantan
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