C'est un lundi matin, il doit être huit heures et demie. Toujours dans mon lit, j'entends la porte d'entrée s'ouvrir puis se refermer et voilà que mon père discute avec une voix inconnue. Quelques minutes passent sans que je bouge de sous ma couette quand la porte s'ouvre et se referme de nouveau. Je reconnais ensuite le moteur de la voiture de mon père vrombir puis entends le véhicule s'éloigner avant de disparaître totalement. Je me crois alors seul quand un étrange vacarme retentit dans la maison. Aussitôt je bondis hors de mon lit, ouvre la porte de ma chambre et descends lentement l'escalier. Là, je me retrouve face à un homme d'une trentaine d'années, une barbe de trois jours, aux cheveux bruns en bataille. Il me fixe.
"Bonjour, je ne savais pas qu'il y avait encore du monde dans la maison... Désolé pour tout ce boucan, s'explique-t-il."
Le vestibule est plein de cartons de tailles très différentes et d'outils en tout genre. Devant mon incompréhension, il continue :
"Avec mon collègue, on est là pour installer la nouvelle cuisine."
Et en effet, un deuxième homme, plus petit, mais aussi plus carré se lève de derrière un grand carton derrière lequel il était jusque-là caché.
"Pas de problème, j'avais complètement oublié... Je me demandais juste ce qui se passait... je lui réponds.
- Désolé, on va essayer de se faire discret. Vis ta vie de ton côté, ne t'occupe pas de nous, on est juste là pour monter la cuisine."
Il m'adresse un large sourire montrant une parfaite dentition. Je réponds d'un sourire plus timide et me glisse dans la salle de bain.
Je verrouille la porte derrière moi.
Seul, dans une maison avec deux mecs plutôt canons. C'est comme un rêve qui se réalise.
Des dizaines d'images viennent à mon esprit et je sens une bosse se former dans mon caleçon encore humide de ma dernière nuit.
Je retire mon tee-shirt, laisse tomber mon bas de pyjama ainsi que mon caleçon et me glisse sous la douche.
L'eau chaude coule lentement sur mon corps imberbe. Sur mes cheveux blonds d'abord, puis sur mon torse, dans mon dos. Entre mes fesses, et tout le long de ma verge qui grossit à vu d'oeil. Mes doigts se baladent sur ma peau lisse, glissant sur mes boules et remontant le long de mon abdomen. Timidement, je présente un doigt à mon anus et le caresse délicatement. Je sens le sang affluer dans ma queue qui se gonfle toujours plus jusqu'à atteindre sa taille maximale de seize centimètres. Une taille moyenne que j'aurais aimée plus grande à la puberté, mais qui du haut de mes dix-huit ans me convient à présent après des heures passées à me toucher dans tous les sens... Et bientôt me voilà avec ma queue dans une main, entraîné dans un mouvement de va-et-vient de plus en plus rapide tandis que j'enfonce mon index toujours plus profond en moi. J'enfonce rapidement un deuxième doigt et continue de me masturber toujours plus vite.
Après quelques minutes, mon corps est traversé d'un frisson, je lâche un maigre gémissement, presque comme un couinement. Je continue les va-et-vient sur mon membre en ébullition et lâche la sauce sur la paroi vitrée de la douche. Je continue quelques instants encore, jusqu'à ce que les dernières gouttes de spermes soient tombées à mes pieds.
Je peux alors lâcher mon engin mi-mou, respirer et relever la tête pour découvrir que dans mes pulsions matinales, j'avais oublié de refermer la fenêtre face à la douche et que je venais de m'offrir en spectacle à l'un des deux cuisinistes. Le plus grand mal rasé, et il me sourit toujours...
Il s'agit de ma toute première publication, tirée de certains de mes fantasmes. J'espère que cela vous a plu, car la suite arrive...
Louisallenk
Louisallenk1999@caramail.fr
Autres histoires de l'auteur : Tromperie anglaise | Mes années de fac | Ancien camarade sur Grindr | Fantasme avec l'équipe de Basket | 2 cuisinistes