J'ai un appartement au bord de la mer au troisième et dernier étage du bâtiment, évidemment l'été il y fait assez chaud et j'avais obtenu l'autorisation d'y faire poser un Velux au niveau de la mezzanine. L'obligation était de faire faire les travaux par des professionnels. La date des travaux est fixée fin mai.
Quelques semaines plus tôt J'avais eu la visite du patron de l'entreprise pour faire son devis et ce vendredi matin là, à huit heures c'est un de ses ouvriers environ 35 ans, qui arrive avec un jeune apprenti de 18 ans.
Ils sont tous les deux en short et T-shirt au logo de l'entreprise car il fait très beau et c'est sûr qu'il fera bien chaud dans la journée.
On sent que ce sont des habitués de ce travail, le chantier avance vite et ils ne chôment pas, juste le temps d'un break lorsque je leur offre un café au milieu de la matinée.
Il est bientôt treize heures, ils s'apprêtent à faire leur pose casse croute lorsque le patron de l'entreprise vient voir ou en est l'avancement du chantier qui est prévu finir le soir même. Le Velux est déjà en place et il reste encore à faire des joints et l'habillage de la trouée dans le plafond. Le patron annonce à Maxime (son ouvrier) qu'il lui prend son apprenti pour l'après midi afin de lui faire connaitre d'autres aspects du travail sur un autre chantier. Maxime ne peux de dire ok, même si je perçois qu'il n'est pas spécialement ravi car l'apprenti faisait principalement les déplacements de leur camionnette à la mezzanine et c'est sûr qu'il les a souvent monté ces marches !
Le patron fait plusieurs essais d'ouverture et fermeture de la fenêtre de toit avec la télécommande et tout fonctionne. Le travail à bien avancé et satisfait il dit à Maxime que dès qu'il aura fini il pourra rentrer chez lui avec la camionnette et il nous souhaite un bon weekend end.
Le patron et l'apprenti tout juste parti je me propose d'aider Maxime s'il a besoin d'aide pour finir son travail. Maxime ne refuse pas mon offre car dit il, "Pour fixer les parois de la trouée il est plus facile de le faire à deux, l'un qui tiens le plaquage et l'autre qui le fixe".
Après le café que je lui offre et qui semble le détendre de sa contrariété de ne plus avoir son arpète, nous montons sur la mezzanine et là, c'est un four car le patron à la fin de ses essais d'ouverture à mis la fenêtre en position fermée et la chaleur s'est bien accumulée en haut de la pièce.
Alors qu'il prenait le café avec moi j'avais eu le temps de l'observé et Maxime est bien à mon gout, 1,80 m pour je pense environ 75 kg, les cheveux coupés court une barbe de deux jours bien entretenue et des biceps bien développés et des cuisses puissantes probablement acquis par le travail ou le sport ? Bref j'en ferais bien mon affaire car je suis gourmand de plan cul.
A peine en haut de l'escalier je me dis que j'ai peut être ma chance et je vais tout faire pour le provoquer et je verrai bien s'il mort à l'hameçon. Sous le prétexte qu'il fait chaud sous les toits j'enlève mon t-shirt. A ce moment il tourne la tête vers moi et avec un sourire me dis "Putain qu'il fait chaud, moi aussi je me mets à l'aise" et aussitôt son t-shirt atterris sur un lit.
Je suis resté probablement quelques secondes à le mater car franchement il est canon, la peau légèrement halée, des pectoraux bien développés avec deux tétons bien sombres et surtout pointus comme je les aime et une fine toison sur la poitrine (que je soupçonne d'être entretenue pas un rasage court). Hum miam miam
Durant une heure nous avons étés fréquemment en contact des bras, des épaules voir même sa poitrine contre mon dos lorsque je tenais les plaques de bois alors qu'il ajustait leurs dimensions ou les fixait sur la charpente. Bien que la fenêtre soit ouverte, à bouger comme ça nous ruisselions et la poussière de bois et de plâtre nous saupoudraient les cheveux, les bras et la poitrine. Pendant ce temps j'ai pensé à un stratagème, d'abord j'ai profité que nous soyons proches pour lui demander de me tutoyer ce qu'il fit sans difficulté même si je suis probablement son aîné de cinq ans et que je sois le client. Alors qu'il n'a plus besoin de mon aide pour faire des joints, la pose des baguettes et le rangement de son matériel, je lui dis que j'ai trop chaud et que je vais prendre une douche.
"Pas de problème, vas te doucher"
Dans la salle d'eau je gamberge et décide vu son attitude de continuer mon test car j'ai comme une intuition que je ne me fais pas de cinéma, qu'il semble réservé et que c'est à moi de tout faire pour le décoincer. Je prends ma douche et ensuite je vais prendre dans un des placards de la salle d'eau une bassine et dans ma trousse de toilette mon embout de douche pour lavement. Comme ça, si j'arrive à mes fins, rien nous nous empêchera qu'il m'encule, encore faut il que j'arrive jusqu'à cette étape. Je fais plusieurs allez retour entre la douche et la cuvette des WC. Il y maintenant au moins vingt que je me suis enfermé pour me laver et voila que maxime frappe à la porte:
- " Je fais le dernier chargement et j'ai fini, j'ai des papiers à te donner".
-
Je prends la serviette de toilette, la plie en deux dans le sens de la largeur et m'entoure la taille avec elle. Je suis couver de la taille au haut des cuisses et c'est ainsi que j'ouvre la porte tout naturellement en lui disant: "ok, ok vas y je vais fumer une clope sur la terrasse".
Dès son retour je lui fais la remarquer que l'on se sent tellement mieux après une douche et Maxime de me répondre : "Ho oui, avec cette chaleur et la poussière, moi aussi j'aurais bien besoin d'une douche"
- " Je t'en pris te gène pas, vas y si tu veux "
- " Merci c'est sympa je me sens tellement collant "
- " Tu as le papier qui colle aux bonbons "
- " Exactement " petit sourire de sa part.
- " Vas y prends tout ton temps, il y a tout ce qui faut (En réalité j'ai fais exprès de laisser la bassine et l'embout pour lavements bien en évidence dans la douche)
-
Maxime est maintenant sous la douche, un bon quart d'heure plus tard mon paquet de cigarettes étant vide de rentre de la terrasse pour en prendre un neuf dans un tiroir. A ce moment je reconnais parfaitement le bruit que fait l'embout de douche lorsqu'on le pose rapidement sur la faïence. Ca y est il se lave le cul, mon plan fonctionne yesss!!!!
Je suis sur la terrasse et maintenant j'entends le sèche-cheveux qui fonctionne. Avec ses cheveux courts et avec la chaleur qu'il fait c'est sûr qu'il ne va pas tarder à apparaître tout propre
Je fume plusieurs clopes et il n'apparaît toujours pas. Je vais toquer à la porte;
- "Ca va, tes clean?"
-
Presque aussitôt voila mon Maxime qui ouvre la porte il m'a imité et enroulé la serviette de toilette autour de sa taille. Il m'apparait encore plus musclé et plus désirable que tout à l'heure, les cuisses recouvertes d'un léger duvet de poils noirs jusqu'aux genoux et beaucoup moins sur le bas des jambes woua!!!
Il m'explique un peu gêné qu'il a fait tomber son caleçon et son short dans l'eau et qu'il essaie de faire sécher son short avec le sèche-cheveux. (Il m'expliquera plus tard que c'est en se dirigeant vers la cuvette des WC et passant avec sa bassine à coté du lavabo ou il avait posé caleçon et short que ceux -ci sont tombés dans la bassine dans l'eau loin d'être propre...)
- T'affole pas on va le mettre au soleil sur la terrasse et ça vas vite sécher"
- " OK merci, t'aurais pas un sac plastique pour mon caleçon, il est trempé et je ne mettrai que mon short ?"
-
Aussitôt son caleçon mis dans un sac en plastique le voila qui m'accompagne sur la terrasse.
Je lui propose une bière qu'il ne refuse pas, (évidemment avec cette chaleur et dans la salle d'eau assez petite il n'a pas du avoir froid en maniant le sèche-cheveux).
Le short est mis à sécher au soleil et tous les deux seulement vêtu de nos serviettes de toilette en guise de pagne nous sommes accoudé au bord de la terrasse pour admirer la vue.
Maxime me fait la remarque que de là, la vue est superbe avec au loin les mats des bateaux amarrés au port et aucun vis-à-vis pour nous gêner.
Je luis répond qu'en effet j'ai beaucoup de chance et que la plupart du temps je suis a poil dans mon appartement car il n'y a personne pour me déranger. Il enchaine aussitôt sur mon bronzage et collant son bras droit le long du mien il fait la réflexion que je suis bien plus bronzé que lui. En réalité il y a bien peu de différence, c'est plus au niveau des épaules que la différence de teinte se fais plus réelle. Pour cela il à collé maintenant toute la longueur de son bras contre le mien.
Je lui dis que c'est normal si je suis assez bronzé après dix jours au soleil à bronzé à poil sur la plage (A cinq kilomètres il y a une très grande de plage naturiste et naturellement elle est très fréquenté pas les gays de toutes la région et les vacanciers. Au moins il sait que je fais du naturisme, mais aucune réaction de sa part). Ma cigarette étant dans le cendrier, de la main droite je tente de faire le tour de ses biceps avec deux doigts et lui fais la remarque que lorsqu'il va sur la plage les gens doivent souvent se retourner sur son passage.
- "Oui assez" de dit il
-
Délaissant son biceps ma main remonte vers son épaule et redescend doucement vers ses pectoraux, aucun signe de rejet de sa part alors je le regarde dans les yeux et saisie son téton entre deux doigts pour le malaxer. Seule réaction de sa part un léger soupir et sa tête qu'il rejette en arrière. Je l'ai chauffé, Il est à point. Comme nous sommes cachés jusqu'à la taille par le rebord du balcon je n'hésite plus et il me suffit de tirer un peu sur le tissus pour que son pagne me reste entre les mains, il est maintenant totalement à poil à coté de moi et voila qu'il m'imite et quelques instant plus tard je suis aussi nu que lui au bord du balcon. Avec ma main je le fais se reculer du balcon et là, se tournant vers moi il me dit " Alors elle te convient"
Le mec est vraiment chanceux car en plus de physique plus qu'appétissant il est équipé d'un bon 20 cm par 5 qui se dressent à l'horizontal.
Maintenant c'est lui qui veux prendre la direction des opérations et d'un ton directif me dit " On va dans ta chambre!"
Je ne me le fais pas dire deux fois et le prenant par le sexe raide nous rentrons dans l'appartement direction la chambre. Debout au pied du lit il m'enlace, nous nous roulons des patins à en baver, mes mains se plaquent entre ses omoplates et redescendent tout doucement, je le sens se tortiller, bingo il adore et je continue. J'arrive au haut de sa raie des fesses je commence à sentir un doux duvet. Et prenant ses fesses dans chacune de mes mains je constate qu'elles sont ferme même dure humm, j'adore nous nous roulons toujours le patin avec seulement quelques courts intermèdes, le temps de reprendre notre souffle.
J'essaie de lui écarter les lobes des fesses pour lui titiller l'oeillet et ma progression est difficile car je sens bien qu'il contracte ses fesses pour faire durer le plaisir. Pendant ce temps ce sont ses mains qui me caresse de chaque coté de la poitrine et comme je suis assez chatouilleux, moi aussi je me contorsionne et je sens dans ses yeux que cela lui est plaisant car arrêtant provisoirement de me rouler le patin d'enfer il recule sa tête et tout sourire me dit: "Tu aimes çà je vois!". A ma façon de hocher de la tête il comprend que c'est oui mais je suis trop occupé à essayer d'atteindre mon objectif : son petit trou du cul. Il a parfaitement suivi mon idée et tortillant du cul pour m'empêcher d'arriver à mon but il me dit: " Pas maintenant, d'abord ton cul!". Je ne vois aucun inconvénient à ce projet et je quitte sa raie pour venir lui malaxer les tétons. "Salaud putain t'es chaud". Je ne lui réponds pas mais posant ma main derrière son cou, je lui fais rapprocher la tête et à nouveau nous sommes bouche à bouche. Je sens maintenant qu'il fait des basculements de son bassin d'avant en arrière et à chaque rapprochement sa bite me touche et s'écrase contre mon bas ventre, (hum, j'adore).
"Viens sur le lit". C'est lui qui demande et j'obéie sans discuter. Le dessus de lit est vite enlevé et jeté à terre. Maxime pose ses mains sur mes épaules et pousse en arrière, je tombe sur le dos. J'ai eu le temps de passer mes mains autour de son cou et c'est ensemble que nous nous affalons sur le plumard. J'ai à peine le temps de réagir qu'il à déjà pivoté sur lui-même et que nous sommes maintenant tête-bêche. Son gland au niveau de ma bouche, c'est une invitation à lui tailler une pipe, en fait je ne fais qu'imiter ce qu'il vient de commencer à me faire. C'est sûr il est affamé et il n'a pas du bouffer une queue depuis quelques jours car il me bouffe comme un morfal. Je ne suis pas en reste et dans la pièce retenti le bruit de nous succions et râles respectifs. C'est sont des" hummm !!!", "wouaiiii!!!" " Ho ouiiiii" j'ai devant mes yeux une superbe bite de 20 cm, le prépuce bien décalotté et des belles couilles totalement rasées. Quand je réussi à les gober toutes les deux dans ma bouche cela doit être trop bon pour lui car, arrêtant de me tailler cette pipe il se cambre en arrière et s'exclame fort (On s'en fout les appartements voisins sont encore vide) : "Ho oui gobe les j'adore, broute moi jusqu'au cul".
J'ai bien vu que Maxime est particulièrement sensible des bourses et je ne lui obéie pas immédiatement ce qui ne semble pas lui déplaire car il est maintenant allongé sur le dos les jambes écartées, genoux relevés et je ne me prive pas de lui bouffer les couilles, c'est un pur délice. Dans cette position je l'accompagne lorsqu'il me fait me mettre en 69 au dessus de lui. Je lui suce les couilles, lui astique le jonc et je sens pendant ce temps qu'il fait le tour ne mon oeillet avec son doigt mouillé. J'ai peu de poil autour du trou car les jours précédents je m'étais épilé à la bombe. Je sens ses mains qui me malaxent les fesses, il les écarte au maximum et je sens parfaitement le bout de sa langue qui me pénètre au fond du trou.
Je ne peux être en reste et, prenant ses fesses dans mes mains je lui fais basculer le bassin pour avoir son anus à porté de bouche. Mes coudes lui coincent le haut des cuisses, son cul est tout à moi. Je me mouille les pouces et index en les portant à ma bouche et, tout humides de salive je fais le tour de son oeillet. Je peux percevoir sa satisfaction par des " Hummm" qui me parviennent. Il me lape le trou, me broute, j'ai comme des frissons dans le bas du ventre, wouaa ce mec, quel partenaire !
Il englouti maintenant mes deux couilles en même temps. Je suis obligé de l'arrêter car cela n'est désagréable, voir douloureux car elles sont trop comprimées dans sa bouche.
- "Pardon excuse moi"
- "Continue mon cul"
Nos dialogues sont courts mais j'apprécie sa façon de me respecter sans jamais insister. Un gentleman de plan cul. LOL
Petit à petit mes doigts lui ont décrispé l'anus et je peux même y rentrer deux, puis trois doigts qui le font une fois de plus râler de plaisir. Sous les yeux j'ai son trou du cul ouvert, tout rose clair et j'y enfourne ma langue au plus profond possible. Nous sommes maintenant tous deux langues à culs. Ma queue bandée pend raide entre nous deux et je sens ses doigts mouillés faire des aller et venues pour me branler, je prends mon pied, quel baiseur !
Ses mains se posent de chaque coté de mon bassin et il pousse sur le côté pour me faire basculer sur le lit. Maxime maintenant viens s'asseoir sur moi pratiquement comme s'il voulait que je lui mette ma queue bandée dans le cul, mais non il se couche sur moi, prend mes mains dans ses mains, je suis couché sur le dos les mains en l'air à sa merci et voila qu'il se fait encore plus tendre, en me souriant il rapproche tout doucement sa tête de ma mienne, ses yeux verts brillent de plaisir et là il me dit des mots rares dès une première rencontre. "J'ai pas envie de te baiser, je veux faire l'amour avec toi". C'est un autre mec que j'ai devant moi, il est là tendre câlin et il attend mon accord. Il est hors de question de le décevoir, un mec canon qui baise comme un dieu et qui vous demande la permission de faire l'amour plutôt qu'un plan cul rapide c'est à l'évidence la promesse d'une nuit pleine d'attention passée ensemble. Moi qui déteste les coups rapides et les lapins qui dès qu'ils ont envoyés la sauce, se barre comme s'il était en retard à leur rendez-vous urgent.
"Oui viens me faire l'amour et passer la nuit avec moi". Ce sont les premiers mots qui me sortent et qui a de toute évidence le rassure car il pose sa tête sur mon épaule et je le sens émus. Ma main gauche sans son cou, c'est ma droite qui lui caresse du bout des doigts son coté gauche montant et descendant de haut en bas encore et encore. Son sexe est à présent entre mes cuisses et je n'ai aucune difficulté pour les resserrer. Il à compris et maintenant commence à lever et descendre son bassin pour masturber son sexe entre mes cuisses.
- "C'est bon hum ?"
- "Ho oui trop bon!"
- "J'ai envie de te prendre"
- "Oui vas y je suis à toi" et en même temps j'écarte mes jambes.
- "Ho oui ton cul^"
- " Vas-y vas-y j'ai trop envie"
Je le vois porter sa main droite à la bouche pour y récolter assez de salive pour se branler mais comme j'ai peur pour mon cul (je ne me fais pas si souvent enculé et je sais que j'ai le cul serré).
-"Il y a du gel dans le tiroir"
Je dis cela en lui indiquant du doigt la table de nuit. Il n'a qu'à étendre le bras pour récupérer le tube et rapidement je sens ses doigts froids me tartiner l'oeillet. En ne me quittant pas de yeux. J'arrive à récupérer un oreiller et avec son aide nous le glissons sous mon bassin.
- "Je suis clean, si tu veux je peux te prendre sans capote ?"
- " Oui moi aussi je suis clean, vas y je te fais confiance"
- " Merci mon chou", son langage est de plus en plus intime, incroyable ce mec.
- "J'y vais"
- "Ho oui, rentre"
Il est tellement raide qu'il n'a pas besoin de tenir sa queue pour la rentrer dans mon trou, il me rend par les cheville regarde la position de son gland et son regard plongé dans le mien commence à me pénétrer. Je suis excité et tellement détendu que je n'ai pas besoin de lui dire d'arrêter, sa progression est constante et je ne tarde pas à sentir ses couilles contre les miennes. Cette sensation de me faire remplir est fabuleuse et à nouveau j'ai une drôle de sensation dans mon bas ventre. Il approche sa bouche de la mienne, je relève la tête à la rencontre de ses lèvres et lui, lâchant ma cheville provisoirement choppe le deuxième oreiller, le roule rapidement en boule et me le glisse sous la tête. Il est vraiment bourré d'attention pour son partenaire, quel mec !
Je suis maintenant bien courbé, le cul rempli de son membre et les lèvres soudées aux siennes. L'arrière de mes genoux étant en appui sur ses épaules je me laisse faire, incapable de réagir car je suis comme envouté. Ses mains sur chacune de mes joues, nos langues faisant comme un duel, je sens parfaitement ses allers et venus dans mon cul. Quand il est complètement enfoncé en moi je sens le bout de son gland qui me tape à l'intérieur, le nirvana.
- "Doucement sinon je vais jouir",
C'est moi qui lui demande de ralentir car progressivement son rythme s'est accéléré et comme on dit, maintenant il me bourrine le cul à donf et le pire c'est que j'aime ça, j'adore même.
- " Oui vas y jouis je sens que ça vient"
C'est un concert commun de "Oui oui", ses goûtes de sueur me tombe sur le visage, on ruisselle par cette chaleur (Et surtout par nos agitations respectives)
- "Ha ha je viens",
C'est Maxime qui la bouche ouverte, les yeux révulsés me largue les giclées que je sens bien dans mon boyau. Il cherche son souffle et il me lime encore deux ou trois fois et c'est moi qui crie un "Ouiiiiiiiii" Je gicle une bonne dose de sperme sur le ventre de Maxime et sur ma poitrine.
Maxime s'écroule sur moi, me serrant dans ses bras, je lui lape les gouttes de sueur qui se forment au bout de son nez. Maxime glisse sa main entre nous deux pour y récupérer le mélange sueur/sperme et me présente sa main. Je m'empresse de passer ma langue entre ses doigts pour ne pas en perdre une goutte. Il vient ensuite rentrer sa langue dans ma bouche pour y partager notre liqueur commune. Quelle complicité!
Nous resterons au moins un quart d'heure enlacés sans bouger, lorsque je sens le sperme commencer à couler sur mon flanc je le récupère du bout du doigt et c'est Maxime demandeur qui me prend la main pour lécher mon doigt. "Il a bon gout ton sperme" c'est son commentaire lorsqu'il peut me parler.
Comme prévu Maxime à passer la soirée avec moi. Finalement il est même resté avec moi tout le week-end. Nous nous sommes connus tous les deux "en profondeur" et même si j'ai plus souvent le rôle passif, avec lui, complètement complices je l'ai fait s'embrocher sur ma bite et lorsqu'il a giclé j'en ai reçu jusque dans les yeux.
Il connait l'appartement et c'est sûr qu'il reviendra cet été passer des journées avec moi. Il ne serait pas contre un plan a plusieurs avec moi alors vivement cet été.
Sigilée
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