J'ai 40 ans, je vis en couple avec un mec de mon âge et je ne peux m'empêcher d'aller voir ailleurs de temps en temps. Que celui qui n'a jamais péché me jette la première pierre ! J'essaie de le faire en toute discrétion mais parfois ...
Ainsi, par une belle soirée - bien avancée - printanière, je me trouvais dans un jardin public d'une grande ville située à une vingtaine de kilomètres de mon domicile, à traîner dans la pénombre sous les arbres et le buissons quand je distingue une homme qui a l'air pas mal et qui fait plutôt jeune. Il ne bouge pas donc je tente l'approche. Il ne me repousse pas, je lui mets la main au paquet que je malaxe doucement. Un début d'érection mais pas vraiment de réaction de sa part. Puis il me pose sa main sur ma braguette mais sans plus. Malgré ce manque d'enthousiasme, je lui propose de nous éloigner. J'en profiterai pour voir son visage. Nous sortons des bosquets et là surprise ! L'éclairage public me révèle que c'est mon neveu par alliance ... Sébastien, 29 ans, marié à ma nièce et filleule Stéphanie. Je tombe des nues et lui aussi car je le vois se décomposer en même temps que moi. Ca va très vite dans ma tête, je ne l'avais jamais imaginé gay si bien que ma première réaction est de lui demander ce qu'il fout ici. Il bégaie qu'il ne sait pas, que c'est la première fois. Je lui demande s'il avait pensé me croiser ici car évidemment il sait tout de ma vie que je ne cache pas. Il me dit que me sachant en couple, il n'imaginait pas que je sortais voir ailleurs. Gênés tous les 2, nous nous séparons rapidement, mais de mon côté avec plein de questions dans la tête.
Plusieurs jours passent et je ne pense qu'à ça. Mon copain voit bien que quelque chose me travaille mais il sait que s'il est patient je finirai par lui dire. Je connais Sébastien depuis qu'il s'est marié il y a 6 ans avec ma nièce, j'étais même son témoin. C'est vraiment un beau garçon mais tout à fait hétéro, il est brun aux yeux bleus, grand et élancé, plutôt sportif. Il vient d'avoir son 2ème enfant. Pourquoi a-t-il besoin de draguer dans des parcs ? Si dans un premier temps je me dis que cela aurait été "dégoutant" d'avoir un rapport avec lui - après tout cela aurait pu se faire derrière notre arbre sans que l'on s'en rende en compte - de plus en plus je pense que tout compte fait j'aurais bien aimé y goûter vu la qualité du "morceau".
Une première occasion de nous revoir a lieu peu de temps après. Il m'évite franchement ce qui me peine un peu. D'ailleurs Stéphanie le remarque mais le sort fait qu'un jour je me retrouve seul chez lui sans sa femme et ses enfants. Je lui dis d'emblée qu'il n'a pas à se détourner de moi. Il me répond que je dois penser du mal de lui et je lui avoue que non mais que je cherche des explications que je ne trouve pas. Nous sommes assis tous les 2 sur un canapé et je sens qu'il est prêt à me parler. Je le laisse faire, il me parle alors beaucoup de sa vie de couple actuelle très satisfaisante mais qu'il a besoin de quelque chose en plus. Il tourne autour du pot. La conversation devient très intime car pour le faire parler j'évoque aussi ma vie de couple et j'entre dans les détails. Il le fait lui aussi. Je le vois avec d'autres yeux et je le trouve terriblement sexy. Il est désormais en confiance, un peu en situation de confusion et de faiblesse, le petit diable qui est en moi m'incite à en profiter. Je suis assez tactile, je lui mets la main sur le bras quand je discute ou sur les épaules, et plus ça va plus je m'attarde avec des gestes caressants. Je ne peux m'empêcher de loucher sur l'ouverture de son polo ajusté où s'échappent quelques poils bruns. Je dévie la conversation sur lui, je lui dis qu'il a un beau corps et je pose maintenant ma main sur son torse, au niveau du nombril. Je bande. Je tente le tout pour le tout et je lui caresse l'entrejambe. Sans me rejeter il me dit qu'il n'a pas envie de moi. La réaction de son corps, il bande, me prouve le contraire mais je n'insiste pas. Je me tais et entreprend de le caresser réellement, je lui passe la main dans ses cheveux, un peu partout hormis sur le sexe et il ne dit rien non plus. Je fais enfin ce qui me tente en passant mes doigts par le haut de son polo. Ses poils sont fournis et doux, cela m'électrise. Je lui retire alors son vêtement et là aussi pas de réaction. Il a un torse puissant et large, des pectoraux développés naturellement pas bodybuildés, le ventre plat et ferme. Il a renversé la tête en arrière et fermé les yeux en se croisant les mains derrière son crâne. J'adore son parfum ets on odeur corporelle, je mets le nez sous les aisselles puis je vais lui mordiller les tétons et je descends avec ma langue vers son nombril. Arrivé là, je desserre sa ceinture, ouvre les boutons de son jean. Son sexe est étranglé sous son boxer. Je n'ai qu'à soulever l'élastique pour le faire jaillir. Une belle pièce là aussi, de bonne taille, bien proportionnée. Je lui tête le gland et il gémit. Sa queue a un bon goût de propre. Je lui descends davantage pantalon et boxer pour avoir plus de liberté. Je prends quelques secondes de recul pour admirer la beauté de son corps et je mets à l'ouvrage. Il vient très vite. Il me repousse la tête au moment où il éjacule. Je lui tiens la queue de telle manière que ses jets arrivent sur son ventre ou son torse. Je prends un mouchoir en papier et je lui essuie avec tendresse. Après quelques instants, je ne peux m'empêcher de lui demander comment il a trouvé par rapport à son habitude. Et c'est là qu'il commence à me répondre : mais tu sais tu n'es pas le premier mec ... et il s'interrompt. Je suis soufflé, il me cache décidément beaucoup de choses. Mais impossible de le faire reparler. Il se rhabille, je suis soulagé de voir qu'il n'est pas trop gêné, il me dit juste qu'on n'aurait pas dû et que cela ne se reproduira pas.
Il faut qu'une autre occasion de rester seul avec lui arrive pour que je lui en demande davantage. Et s'il ne le fait pas tout de suite mais il finit par m'avouer. Quand il était interne en BTS, ils étaient un petit groupe de garçons qui s'étaient fait choper pour possession d'une revue porno qui leur servait à se branler le soir. Le prof l'avait convoqué et lui avait dit que ce n'était pas grave, qu'il en avait lui aussi et lui avait proposé de les regarder. Il avait dit non mais ce dernier avait insisté. Il l'avait même laissé dans la pièce où il avait été convoqué pour les regarder pendant qu'il s'absentait une dizaine de minutes. Sébastien avait donc regardé ces revues, pas pires que celles qu'il avait lues avec ses camarades. Puis le prof était revenu et lui avait demandé s'il était excité. Et avant même qu'il ne réponde, il lui avait passé la main sur le sexe. Evidemment il bandait et le prof avait alors proposé de lui faire du bien, mieux qu'une simple masturbation. Si bien que Sébastien s'était retrouvé en train de se faire pomper par son prof et qu'il avait trouvé ça très bon. Cela dit, il continuait à être attiré par les filles. Son récit m'avait considérablement excité. Je lui demandais si le prof était M. X. Il me répondit oui. Je le connaissais bien, c'était un de mes ex. Il m'avait bien caché la vérité le salaud. Mon dépit fit rigoler Sébastien mais je vis quelque chose d'autre passer dans ses yeux. Je lui proposai illico de le sucer. Il avait finalement pris gout à ma pipe qui aurait dû être la dernière... Cette fois-ci je l'installais mieux et lui fit quitter son pantalon et son slip. Je voulais en plus lui bouffer le cul qu'il avait fort poilu comme j'aimais. Je m'exécutai à son grand plaisir. Il était décidément plein de ressources ! Une fois cette deuxième aventure avec lui terminée je lui posais carrément la question s'il s'était déjà fait sauter. J'étais prêt à tout attendre et je ne fus pas déçu quand il me répondit que oui, par un seul mec, pendant une assez longue période mais il refusa de me dire qui en était l'auteur.
Dans les mois qui suivirent je poursuivis cette relation très particulière et avec beaucoup d'éclipses avec Séb. Il ne me laissait que le sucer et lui bouffer le cul. Il ne me faisait rien me disant qu'il n'était pas gay et qu'il n'y avait que le mec qui l'avait pris autrefois qui comptait. J'essayais de rester discret vis à vis de la famille. Je ne me sentais pas coupable vis à vis de Stéphanie. Mais ce fut une autre personne qui réagit. Sébastien avait un frère âgé de 2 ans de plus, Vincent, qui était gendarme, marié aussi. Ils se ressemblaient beaucoup. Un soir que nous étions tous invités à un mariage familial il vint me menacer en me disant que je devais foutre la paix à son frère. Je lui demandai d'être plus explicite, il ajouta juste que Séb était pris et que je ne bénéficierai jamais de ses sentiments et que ce que je cherchais à obtenir ne servait à rien. Je me suis posé beaucoup de questions après coup et je trouvais que quelque chose n'allait pas. J'aurai pensé que plus classiquement il aurait pris la défense de Stéphanie or ce n'était pas le cas. J'en conclus donc qu'il couvrait quelqu'un. Et je finis par me dire que Séb avait en fait peut être un amant qui ne le satisfaisait pas. J'avais mis du temps à comprendre et quand je dévoilai mon point de vue à mon neveu je vis que j'avais mis dans le mille. Il m'avoua en effet que n'étant pas gay, il avait cependant eu un mec avec qui il avait eu une relation sexuelle extraordinaire interrompue, qu'il voulait lui rester fidèle mais que malheureusement l'envie de sentir de temps en temps les sensations prodiguées le hantait et que c'était pour cela qu'il s'était aventuré dans le jardin et qu'il m'avait permis de le pomper de temps en temps. J'étais content d'avoir trouvé et terriblement jaloux de voir ce beau mec amoureux d'un inconnu. Je le connaissais assez bien ainsi que ses relations. Je lui demandai d'abord si c'était M. X. Il répondit que non. Je citai alors plusieurs de ses potes. Négatif à chaque fois. Ce n'est quand même pas ton frangin lançai-je pour terminer à moitié pour rire. Et là quand je le vis, je compris tout. Seb et Vincent avaient été amants !
Cette fois je ne le lâchai pas et je lui demandai de tout me raconter. Ce qu'il fit et sans doute le soulagea. Les 2 frères partageaient la même chambre. Comme beaucoup, ils pratiquaient la masturbation mais un jour Vincent eut l'idée qu'ils le fassent côte à côte pour comparer puis ils décidèrent de pratiquer à la collégienne. Séb, pas en reste, proposa un jour de sucer son frère. Ils découvrirent ainsi le 69. Faire ça en cercle fermé ne les dérangeait pas, ils avaient commencé parallèlement à avoir des petites amies, et vu qu'ils étaient tous les 2 très beaux, ils n'avaient que l'embarras du choix. Il leur arrivait de dormir ensemble et un soir, en discutant ils comprirent qu'ils avaient mutuellement envie d'aller plus loin, ils se pénétrèrent chacun à leur tour. Mais cet acte leur semblait un peu tabou et s'ils l'appréciaient, surtout Sébastien qui était plus passif, ils le limitaient. Puis ce fut le dernier été qu'ils passèrent avec leurs parents en vacances avant de prendre leur indépendance et un après-midi de forte chaleur alors que ces derniers croyaient qu'ils étaient partis à la plage, ils revinrent dans la maison de location pour baiser. Vincent était sur Sébastien quand ce dernier se rendit compte qu'on les observait, leur père les avait découverts et était en train de les regarder. Peut être n'avait-il pas compris demandai-je ? Nous étions nus, sans draps et Vincent me pilonnait, c'est impossible me répondit Sébastien. Et il ajouta que son frère ne s'était rendu compte de rien, pris par l'acte. Le soir, Sébastien mort de peur, avait craint de se faire rejeter, mais son père ne fit ni à ce moment et ni jamais d'ailleurs, une seule remarque sur ce sujet. Par contre vu son bouleversement, Sébastien demanda à Vincent d'arrêter, prétextant l'arrivée d'une copine, ce qu'il accepta. Ils n'eurent alors plus de relations sexuelles. Plusieurs années plus tard cela lui manquait, il avait avoué à son frère ce que je lui faisais, voilà d'où venaient les menaces. Vincent avait gardé tout son amour pour son frère. C'est trop con ajoutai-je, pourquoi ne pas reprendre au moins une fois, après tout peut être que vous n'aurez plus envie. J'y ai bien pensé, mais comment ? Où ? Et le diable me poussa à nouveau. Mais chez moi ! Je t'ai dit que je n'avais pas envie de toi. Tu pompes super bien, c'est agréable, mais ça reste là et c'est déjà trop me dit Sébastien. Attends, ce n'est pas ce que je voulais dire. Je vous prête mon appart...
Ils acceptèrent ma proposition. Ce qu'ils ne savaient pas et qui était parfaitement dégueu de ma part, mais qui n'aurait pas fait là aussi pareil à ma place, c'est que mon copain et moi, comme nous sommes exhibs, nous nous filmions régulièrement pour envoyer des vidéos sur internet. J'allais bidouiller mon installation pour en profiter. Et cette fois-ci ce serait pour mon seul bénéfice.
Le grand jour arriva. Cela ne pouvait se passer qu'en après-midi, en "toute discrétion". Le soir venu, quand Séb me rendit les clés, j'étais dans un état d'excitation qu'il ne remarqua même pas tant il était heureux.
Et je pus voir la vidéo, pas géniale formellement mais explicite et qui avait globalement tout saisi. Je voyais devant moi les 2 frangins, littéralement en rut se jeter l'un sur l'autre. La tenue de gendarme était particulièrement excitante le peu de temps qu'elle était restée sur son propriétaire. On distinguait bien que c'était deux frères, au niveau du visage bien sûr mais ils partageaient de nombreuses caractéristiques corporelles communes, poils, forme et taille de la bite. Ce fut un véritable festival de passion et ils s'occupaient particulièrement l'un de l'autre. Leurs premières sodomies furent intenses, les éjaculations sur le corps fort abondantes. Je ne sais combien de fois j'aurais pu me branler, au bout de 3 fois en une dizaine de minutes j'en avais encore envie.
Je crois qu'après les 2 frères ont repris leurs escapades de manière très espacée, mais là sans oeil extérieur. Tant mieux, qu'ils en profitent !
Vincent
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