Je me lance enfin ! Il faut dire que j'en ai lu des histoires sur ce site et certaines m'ont rappelé de bien bons souvenirs... Comment dire, je dois avouer que sexuellement je ne me suis jamais privé et je suis bien incapable de compter le nombre de mec qui sont passés dans mon pieu. Enfin pas que, il m'est arrivé plusieurs fois de faire des petits plans un peu insolite et au combien excitant comme.. me faire pomper dans une cabine du printemps haussmann, pomper un mec dans une cage d'escalier un 25 décembre, ou encore dans un garage souterrain.. Mais les histoires que j'ai lu ici et celle que j'ai envie de vous raconter se passe sur une aire d'autoroute.
Mais d'abord les présentations, j'ai 25 ans, blond, 1m80 pour 67kg, un physique plutôt banal et classique mais des jambes fines et longues qui plaisent bien sans oublier que je suis plutôt du genre super bien équipé 22cm de long bien droit bien dur toujours prêt à servir et se vider. Bref revenons en aux faits.
Commercial pour une boite dont je tairais le nom par discrétion et parce qu'on s'en tape. Nous voici un vendredi soir, je roule depuis déjà 3 bonnes heures sur l'autoroute et commence un peu a en avoir marre. Je me décide a faire une petite pause sur une aire d'autoroute, rien de bien méchant, quelques places de parking au milieu de nul part avec une cabane pour les WC.
Je sors de ma caisse loin de me douter de ce qu'il va suivre çar il n'y a pas grand monde. Pour ainsi dire une famille qui remonte en voiture et deux camions sans vie garés à l'écart du parking. J'allume une clope et marche vers les chiottes histoire de me dégourdir les jambes et me réveiller un peu. Je matte mon téléphone et surtout mon appli favorite dans l'optique de me trouver un mec a baiser dans la soirée. Quelques messages, rien de bien bandant. Je vais donc pisser aux pissotières. Un simple mur ou les mecs peuvent uriner et ou aucun petit muret ne délimite les espaces. L'endroit idéal pour mater si des mecs se présentent. Mais personne alors je ressors, retour sur l'appli nouvelle clope. Et la je vois un mec sortir de sa bagnole, s'avancer vers les chiottes. Je vois qu'il me regarde et aucun doute pour moi ce mec est gay. Il doit se douter que moi aussi. Je le mate discrètement en train de pisser toujours en fumant. Il ressort et me demande du feu pour allumer sa clope. Je réfléchis a toute vitesse. L'occasion est trop belle. Comment faire pour vérifier que ce mec est bien gay et qu'il ne serait pas contre s'amuser un peu ici. Genre de plan direct sans blabla ou tu baises un bon coup et prend un max de plaisir. Tout ce que j'aime.
Je finis ma clope et retourne aux pissotières. Je n'ai aucune envie de pisser et je commence a me palucher discrètement histoire de faire grossir ma teub. Sentant quelqu'un dans mon dos je me fais discret et prend la position pour uriner. C'est mon beau mec. Brun, la taille fine et de sacrés pecs. J'en suis jaloux ! il se cale a coté de moi sort sa teub et me mate sans discrétion en commençant à se branler. Jeu de regard, accord tacite, bingo nous voila partis pour l'extase. Il se rapproche m'attrape la teub et lache un petit commentaire du genre "sacré engin" "tu dois plaire aux mecs toi avec une teub pareille" Je lui répond que la sienne est pas mal non plus et il m'invite à la palper. Sa queue est chaude et je la sens grossir sous mes va et vient. La mienne est dure et gonflée de plaisir. Le mec se penche alors et commence a la rentrer dans sa bouche. Waou putain quel pied les mecs !
Il m'entraine alors vers les toilettes fermées, histoire d'être plus tranquille car nous entendons des voitures arrivées. Il me plaque alors contre le mur et s'agenouille devant ma queue toujours bandée, je n'en peux plus elle me fait mal et le voir se délecter à la bouffer jusqu'a la garde me rend dingue. Petite pause je lui fais comprendre que j'aimerais bien le pomper et le coquin ne refuse pas. quelques minutes de léchage, godage de couilles etc plus tard il se penche en avant, me tend gel et capote (prévoyant le garçon !) et pose ses mains sur le petit lavabo pendant que je met la capote sur ma queue toute luisante de salive.
Je m'approche ensuite de son trou, crache dessus et tente une petite poussée avec mon gland. Le bonhomme ne doit pas en être à son premier coup car cela rentre sans trop de difficulté même si ma queue est bien serrée. Une fois en place je commence mes petits va et vient doucement d'abord pour m'habituer à ce trou bien chaud et tout serré et aussi pour éviter de gicler en deux min. D'un coup il me demande de le baiser comme une pute. Ces mots ont sur moi l'effet d'une décharge et je m'exécute comme si ma vie en dépendait. Je sors ma queue l'enfonce a nouveau jusqu'a sentir mes couilles taper le long de son cul. Il étouffe ses gémissements avec son bras et je le sens écarté encore plus les jambes pour m'ouvrir le passage. Je continue imperturbable a lui défoncé le fion pour son plus grand plaisir. Au bord de la jouissance, l'un comme l'autre sans se concerter nous jutons allègrement dans des râles de plaisir a peine dissimulés. Putain quel pied ! Je sors ma queue de son cul qui se referme et je constate qu'il y a de quoi abreuver un régiment en voyant le contenu de la capote ! J'ai jamais craché autant !
On se rhabille, petit sourire complice et une bonne pelle plus tard, nous sortons des chiottes en rigolant et nous fumons une dernière clope avant de reprendre notre route chacun de notre coté..
En espérant que cette histoire vous ai plu. biz les amis
kent'
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