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Salut à tous,
Je reviens vers vous avec une petite suite !
Cela faisait quelques jours depuis mon défonçage de cul à Foot Locker. Je ne lui avais toujours pas envoyé de message, je n'osais pas, et je me sentais humilié.
Par manque total de bite, je m'étais risque à envoyer un message à Adam, même si en cas de refus, la frustration serait plus grande.
"Salut, Ca va ? Tu rentres un de ses jours sur Poitiers? J'ai envie de ta bite"
J'ai attendu une journée, si ce n'est plus (le temps passe vite entre les cours, les devoirs et les soirées) avant d'avoir une réponse.
"Slt, j'passe le week-end chez toi."
Il était simple, peut être un peu trop simple. J'aurais aimé un message plus enflamme mais bref.
Le vendredi soir, en sortant des cours, je me suis précipité chez moi afin de faire à manger, ranger un peu le bordel, mettre des bières au frais, et me laver. Je ne tenais plus en place. Je savais que dans quelques heures mon bon rebeu serait pour la première fois chez moi, qui me limerais comme il se doit.
J'allume une cigarette, à la fenêtre dans l'espoir de l'apercevoir, de le voir arriver, dans toute sa virilité.
21:00 et toujours aucune nouvelle. Il avait peut être changé d'avis ? Non, il m'aurait prévenu, il ne m'aurait pas envoyé une petite liste de course sinon.
22:00 cinquième cigarette, et toujours aucune nouvelle. Les assiettes étaient froides, et je le devenais aussi. Apres un autre SMS, je me résolu, ferma la fenêtre et alluma la télévision.
23:00 enfin ! Quelqu'un sonne à la porte, je me précipite sur l'interphone.
"C'est moi" dit-il avec sa voix si virile.
Je lui ouvrit, lui indiqua l'étage et l'attendais sur le pallier. Il arrivait en petite foulée, le sac de sport accroché sur son épaule. Son manteau en cuir accentué encore plus sa carrure, son jogging lui moulait ses mollet, et sa casquette cachait de regard ténébreux et bestial que je recherchais tant.
Il s'approcha de moi, passa sa main sous mon dos, m'attirait vers lui. Sa langue rentra complètement dans ma bouche. Une fessées et il rentra dans mon appartement.
"Tranquille chez toi"
"J'trouve aussi, tu peux poser ton sac dans la chambre si tu veux. Un bière ?"
Il ne répondit pas par oui, mais par un claquement de langue.
J'installais les boissons et le repas sur la table basse dans le salon. En revenant, il s'affala sur le canape, les cuisses bien écarté. Il sortis une cigarette qu'il alluma, me prit par le menton et m'enfuma. Il bu une grande gorge de bière.
"Pas trop attendu ?"
"Un peu quand même"
"C'pas mon problème"
Il prit alors mon assiette, et la reversa dans la sienne.
"J'ai grave faim"
Alors qu'il fumait, il alluma la télé, décala la table basse avec ses pueds.
"Allez, au pieds salope, à quatre pattes, sert moi de repose pieds".
J'étais un peu sous le choc, pour lui je n'étais la que pour le servir. Mais j'obéis à son ordre, la queue bien droite dans le pantalon.
Il reposa brutalement ses pieds sur mon dos.
"C'est bien petite pute" dit il en expirant la fume.
Il finit par prendre son assiette et mangea la totalité. Je commençais à avoir faim.
Il se tâtait le paquet, me siffla et me dit "si ta envie de ma bite viens la prendre"
Il ne disait rien et s'étais allume une cigarette. Je me retrouvais entre ses cuisses, la tête colle sur son paquet et son jogging.
Tout à coup, il me l'écrasa, la retiens avec son bras. Il sortis son membre et me frappa le visage avec. Avant de me la rentrer brutalement quelques fois dans la gorge.
"T'aime Ca ?" Me dit il un peu inquiet.
"J'adore"
Il continua son petit jeu un moment avant de me dire de sucer. Je m'appliquais à passer ma langue partout, à lécher ses boules et son périnée. Il lâchait par moment des râles de plaisir.
"Met toi à quatre pattes, je veux ton cul".
Aussitôt dit, aussitôt fait. Je l'attendais. Il cracha quelques gros Molard sur la rondelle, et y enfonça brutalement et rapidement quelques doigts.
Son penis venait de rentrer complètement dans mon cul. Ses deux mains tenaient fermement mes hanches. Sa cuisse était relèvee et se posait sur mon cul.
Je hurlais.
Il me ramona, brutalement pendant quelques minutes.
"Moi c'est ton cil qui m'a manqué salope"
Je gémissais. Il m'élargissait le trou avec une telle facilité. Ses boules claques sur mon cul, et parfois des fessées résonnait dans tout l'appartement.
Il sorti rapidement de mon cul, et se rassit sur le canapé. Il ne dit rien, et s'alluma une clope.
Je lui grimpai dessus quand il me dit "tu la veux encore ? C'est bien"
Je m'enfonçais petit en petit. Je sentais le poids de mon corps m'empaler sur ce chibre.
Je faisaiw quelque mouvement de bassin, des bisous dans le cou pendant que mes mains caressées tout son corps.
Il écrasa sa cigarette, et me lima brutalement. Je hurlais de plaisir. Il mit une claque, et me cracha à la gueule.
"Ta gueule salope, je vais venir".
Il me jetta sur le canapé, releva la tête et enfonça son pieu au plus profond de ma gorge. Je ne pouvais plus respirer.
Je sentis son gland gonfler, et des jets puissants s'écraser dans le fond.
Je lui nettoyais le penis, il remonta son jog' et fit un soupir.
Slut
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