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Un conte de Noël

En attendant la venue du père Noël.

Il était une fois un jeune homme prénommé Gabriel. Depuis sa naissance, il vivait reclus dans un manoir entouré d'un parc immense. C'était la demeure de son père. Ce dernier qui chérissait son fils tel un trésor désirait le protéger de la folie du monde. De ce fait, Gabriel ignorait à quoi pouvait ressembler ce monde extérieur. Il se morfondait et malgré les livres, les jeux et l'enseignement de ses précepteurs, il rêvait de liberté.

Gabriel était beau, pareil à un ange. Ses cheveux blonds qu'aucun ciseau n'avait coupés tombaient en mèches gracieuses sur ses épaules finement musclées. Sa silhouette élancée se distinguait souvent derrière les fenêtres d'où il tentait d'apercevoir le monde de ses yeux bleus comme un ciel d'été.

Or, il s'avéra qu'un jour son père partit en voyage d'affaires. On était au début de l'hiver et Gabriel songea que ces dix-huit années passées dans sa prison dorée devaient prendre fin. Il trompa la vigilance de ses domestiques et franchit l'enceinte du parc un beau matin d'hiver.

Gabriel marcha sur le long chemin qui reliait son manoir au reste. Il rejoignit une route plus large. Sur le bas-côté, il avançait d'un bon pas, le coeur léger. L'aube était glaciale et Gabriel dans son ignorance de la nature s'était peu vêtu. Une simple chemise blanche et un pantalon fin gainaient son corps svelte. Il ne tarda pas à avoir froid. Il grelottait. Ses longs cheveux protégeaient son cou, mais le reste gelait. Il lui tardait que le soleil le réchauffe de ses rayons.

Un rugissement le sortit de sa torpeur. Une lumière blessante le dépassa en trombe puis s'arrêta plus loin. Gabriel longea un véhicule qu'il reconnut être un camion. Il s'approcha de la cabine dont la portière s'ouvrit. Une voix grave et vulgaire en jaillit.
- Tu vas où ?
- À la ville, monsieur.
- Tu vas mourir de froid avant d'y être. Grimpe !
Le froid et la fatigue poussèrent Gabriel à monter dans l'habitacle chaud bien que la mine patibulaire de l'homme ne lui plut guère.
- Je m'appelle Jo, se présenta le conducteur aux muscles épais et tatoués.
- Gabriel.
- Sans blague.
Jo le détailla de ses petits yeux noirs. Le jeune homme sourit malgré sa gêne. Jo cessa son examen et démarra. Ils roulèrent ainsi toute la journée. Gabriel s'endormit dans la douce chaleur de la cabine. Il ne vit rien des paysages qu'il rêvait pourtant de contempler. Il fut surpris de constater qu'il faisait nuit quand Jo le réveilla.
- Sommes-nous arrivés, monsieur ?
- Presque. J'ai les crocs.
Gabriel remarqua que le véhicule était garé dans un endroit en compagnie d'autres camions le long d'une forêt. Jo lui offrit un sandwich et une boisson chaude qu'il était allé chercher. Gabriel dévora cette maigre pitance.
- Ben, t'avais faim.
- Je n'ai pas mangé depuis hier.
- OK. Ce n'est pas tout ça. Je te transporte et te nourris depuis un moment. Il va falloir payer.
- Je n'ai pas d'argent ! s'inquiéta Gabriel.
- Tu as autre chose.
Jo posa son immense main sur la cuisse de Gabriel qui ne comprit pas ce que souhaitait l'homme.
- Aller. Déshabille-toi. Je n'ai pas vu ma femme depuis une semaine. Ton petit cul fera bien l'affaire. Et puis tu ressembles à une fille.
Gabriel ne saisissait toujours pas ce que Jo désirait tant il était innocent. Il regarda le conducteur caresser son entrejambe. La main velue se resserra sur la cuisse de Gabriel. Il eut si peur que dans un réflexe, il réussit à ouvrir la portière. Il bondit du camion et trébucha sur le sol gelé. Il se rétablit et détala vers la forêt. (C'était trop facile le chauffeur routier ! Lol.)

Gabriel courut se cacher sous les arbres. Il était si effrayé qu'il ne prît pas garde à son orientation tant et si bien qu'il s'égara. Le froid le mordit à nouveau. Les branches, les ronces le faisaient chanceler à chaque pas. Il regretta son manoir douillet. Il pensait mourir dans cette forêt sinistre quand il distingua entre les troncs épais une lueur. Il se dirigea droit sur elle. Il s'effondra dans une mare dont il brisa la glace. Il se releva. Ses vêtements commencèrent à geler. Il atteint enfin l'origine de cette lumière. Une imposante maison en bois nichée dans une clairière. De ses fenêtres jaillissait un éclat si accueillant que Gabriel se précipita sous le porche et frappa à la grande porte. On lui ouvrit.
- Qui donc ose me déranger ?
Un homme immense se tenait dans l'embrasure.
- Je m'appelle Gabriel. Je suis perdu. Aidez-moi, je vous en prie.
L'homme le fixa puis le tira à l'intérieur où la chaleur revigora Gabriel. Il observa son sauveur. Un homme étrange dont la chevelure de neige se plaquait en mèches courtes sur son front lisse. Malgré cette blancheur vénérable, l'homme paraissait jeune. Ses yeux gris ne lâchaient pas Gabriel.
- Je me nomme Nicolas. Que fais-tu dehors par une nuit si froide ?
- Je me suis enfui.
- Je vois. Tes vêtements sont mouillés. Tu ne pourras te réchauffer si tu les gardes.

Sans prévenir, Nicolas le souleva de terre et le porta dans les escaliers jusqu'à une vaste salle de bain. Gabriel se retrouva planté sur le plancher luisant devant une vasque profonde posée au milieu de la pièce. Nicolas ne se préoccupa plus de lui et ouvrit les robinets d'où jaillit une eau fumante. La baignoire se remplissait et Gabriel ne bougeait pas incertain de ce qu'il devait faire.
- Déshabille-toi, suggéra Nicolas d'une voix douce.
Gabriel se montra si maladroit que son hôte l'aida. Il déboutonna la chemise qu'il fit glisser sur la peau frissonnante. Ses doigts frôlèrent Gabriel qui émit un petit cri. Nicolas continua par le pantalon, il ouvrit la braguette et tira. Le tissu serré et humide collait et il entraîna le sous-vêtement. Le jeune homme se sentit mal à l'aise d'être nu devant un homme. Nicolas l'observait avec une étrange lueur dans son regard gris. Sans prévenir à nouveau, il souleva Gabriel dans ses bras. Le chandail piqua la peau si sensible de ses fesses. Nicolas glissa Gabriel dans le bain. Il se détendit dans la chaleur bienfaisante de l'eau et se cala contre le bord, la tête en arrière dévoilant la finesse de son cou. Après les frimas, quelle joie d'être au chaud ! Nicolas s'agenouilla à côté de la baignoire et retroussa ses manches.
- Je vais te laver.
Gabriel fut surpris par cette attention. Il regarda Nicolas prendre un linge épais et l'imbiber. Il fit couler l'eau sur la peau de Gabriel puis frotta avec lenteur les épaules, le torse ou brillaient les tétons roses. Gabriel frémit. Un désir inconnu de lui vrilla son bas-ventre. Il sentit son sexe durcir alors que Nicolas le savonnait. La mousse dissimulait son émoi. Il n'osait plus bouger. Nicolas descendit peu à peu vers le ventre immergé sur lequel il ne s'attarda pas. Il continua sur les cuisses puis les molets qu'il souleva. Il se saisit de la cheville de Gabrielle et lava son pied avec délicatesse. Il frotta le dessus du pied puis chaque orteil. Gabriel savourait cette toilette. Il gémit quand les lèvres rosées et charnues de Nicolas glissèrent le long de la plante. Gabriel adorait. Nicolas traita l'autre pied de la même manière sensuelle qui enivra Gabriel. La voix profonde le sortit de son bien-être.
- Tu es propre. À mon tour.

Gabriel vit Nicolas retirer son chandail vert foncé puis sa chemise blanche. Il révéla un torse puissant où se découpait chaque muscle. La peau pâle et lisse contrastait avec le rose foncé des tétons. Gabriel sentit sa verge bondir. Il s'agita. Le spectacle continua. Nicolas descendit son pantalon dévoilant un caleçon de la même couleur que le tricot. Le tissu épousait une forme épaisse qui remontait vers le haut. Cette vision bouleversa tant Gabriel qu'il ferma les yeux quand Nicolas se débarrassa du sous-vêtement.

Il se plongea dans l'eau et se plaça derrière Gabriel qui se retrouva calé entre les jambes puissantes. Il appuya son dos contre la poitrine de Nicolas qui baisait les épaules exquises. Puis Gabriel perçut deux choses. La première était une dureté dans le creux de ses reins et l'autre était la main de Nicolas sur son pénis. Il gémit de plaisir quand Nicolas caressa son gland en roulant son pouce sur la peau fine. Il glissa sa main derrière lui et captura un cylindre ferme et doux à la fois. Il fit aller et venir sa main sur ce pieu au même rythme que Nicolas. Sa main lui parut minuscule comparée au membre de Nicolas, mais il ne se découragea pas et le cajola. Il sentait la forme prononcée du gland dans sa paume. Il pointa son pouce dans la petite fente. Nicolas eut un soupir rauque. Il embrassa Gabriel sur la nuque.

L'eau bougeait sous leurs mouvements et éclaboussait le sol autour d'eux. Le bassin de Nicolas se soulevait sous les fesses de Gabriel. Il était perdu entre le plaisir que lui offrait son hôte et celui qu'il tentait de donner. Cependant, son inexpérience le fit lâcher le sexe de Nicolas. Il se laissa aller. Nicolas le masturba tant et si bien que Gabriel jouit. Il ressentit un orgasme fulgurant. Sa semence jaillit par à-coup au-dessus de l'eau et y retomba en pluie. Ses jambes tremblèrent et il poussa de petits cris saccadés. Nicolas rit de sa réaction.
- Tu me sembles bien sensible.
- C'est la première fois.
- Je m'en doutais. Veux-tu que je t'apprenne ?
- Oui.

Nicolas sortit du bain dans un grand mouvement d'eau. Son corps robuste ruisselait et brillait dans la lumière chaude de la pièce. Son membre se dressait frôlant son nombril. Sa toison était aussi blanche que ses cheveux et mettait en valeur son sexe rose. Gabriel le trouva beau. Comme il l'avait deviné sous ses doigts, le gland était protubérant et dodu. Il couronnait un fut large qui prenait naissance au-dessus de bourses rondes et imberbes qui pendaient gracieusement. Gabriel se dit qu'il avait eu raison de quitter son manoir. Le monde regorgeait de merveille. Le souvenir du conducteur lui revint. Cet homme lui avait inspiré un dégout que Nicolas effaçait. Il avait confiance en lui et c'est donc tout heureux qu'il se retrouva dans les bras de Nicolas. Gabriel était comme une plume contre la poitrine.

Nicolas le porta jusqu'à un lit spacieux recouvert de fourrure rousse. La douceur des peaux de bêtes était agréable et chaude. Gabriel s'étira exhibant son corps désirable. Nicolas bondit au-dessus encadrant Gabriel. Il dominait le jeune homme et se baissa pour l'embrasser. Leurs bouches se collèrent et leurs langues s'emballèrent dans une danse humide. Gabriel sentait la puissance de Nicolas dans ce baiser. Il se laissa aspirer et engloutir.

Nicolas caressa les côtes et pinça les tétons de Gabriel qui couina de surprise. Les petits bouts de chair pointaient et roulaient entre les doigts experts. Gabriel durcissait partout. Nicolas quitta la bouche avide et suçota les pointes. Il piqua de baisers le corps vibrant jusqu'au nombril. Il enfouit son nez dans la toison dorée et en huma l'odeur de savon mêlée aux phéromones de l'excitation. Il bécota le gland tout neuf ou perlait une goutte. Il gouta à ce nectar et continua plus bas. Il lécha les couilles rondes et lisses de Gabriel qui se tordait contre les fourrures. Nicolas n'en avait pas fini. Il s'agenouilla et bascula les jambes de Gabriel par-dessus sa tête. Nicolas découvrit la plus belle chose qui soit. Il ressentit un bonheur immense. Entre les fesses fermes se cachait une fleur. Il écarta délicatement les lobes soyeux et admira le petit point de Gabriel. Il palpitait. Sa couleur rouge ressortait dans la blancheur de la raie. Nicolas serait le premier à ouvrir ce trou si menu. Il banda encore plus fort. Il hésita quant à la méthode. Il choisit de le déflorer avec son membre sans le préparer. Il voulait un cul parfaitement vierge pour son pieu d'amour. Il lécha et enduisit le jeune anus de sa salive. De sa langue, il émoustilla le jeune homme qui se pâmait de plaisir.

Le temps était venu. Il retourna Gabriel sur le ventre et tira sur ses hanches pour le cambrer. Nicolas recouvrit le dos et bécota la nuque. Il frotta son pénis dur comme du bois entre les deux fesses. Gabriel soupirait et gémissait avec tant de lascivité que Nicolas s'enflamma. Il se redressa et pointa son gland contre l'étoile rose. Il poussa. Gabriel couina. Ce son mélodieux excita tant Nicolas qu'il s'enfonça dans le trou vierge d'un seul coup. Gabriel cria et s'arcbouta sur ses bras pour encaisser la puissance de ce coup de reins. Il souffla pendant l'écartèlement de son antre par Nicolas. Ce dernier avança imperturbable dans les muqueuses brulantes, jusqu'à la garde. Ses bourses effleuraient l'épiderme velouté du scrotum de Gabriel. Il recula arrachant une longue plainte à Gabriel dont la tête était enfouie dans les fourrures. Nicolas revint puis se retira plusieurs fois en douceur. Il ne voulait pas effrayer son jeune partenaire.

Gabriel n'en croyait pas ses sensations. La douleur avait cédé la place à une impression de plénitude. Le membre imposant avait trouvé son royaume en lui. Il collait à ses parois et les caressait parfaitement. Gabriel se délectait de ce lestage, il désirait plus. Il ondula contre le bas-ventre pour signifier son besoin.

Nicolas réagit aussitôt. Il se mit debout derrière Gabriel et fléchit ses jambes. Avec force, il descendit dans les entrailles gourmandes. Il plongea dans le brasier. Il accéléra sa cadence. Il avait oublié sa douceur et démontait Gabriel avec férocité. Celui-ci hoquetait à chaque coup de bélier et s'accrochait aux fourrures. Ses cheveux blonds s'étalaient et cachaient son visage. L'esprit de Gabriel reflua dans son rectum d'où irradiait un point de plaisir intense. Les ondes traversaient son corps le faisant trembler et crier. Nicolas bercé par ce concert s'abandonnait dans les profondeurs de Gabriel. Il ahanait ses efforts. Il sentit la sueur couler dans son dos. Il faillit jouir et se retira. Gabriel protesta.

Nicolas le retourna en tirant sur ses jambes qu'il écarta. Il pénétra Gabriel. Il se servit d'une des jambes comme point d'appui. Il colla la cuisse contre son corps vigoureux et posa la cheville sur son épaule. Il baisa le pied fin et commença ses va-et-vient. Le visage rouge et les lèvres entrouvertes de Gabriel agirent comme un stimulant. Il accéléra. La bouche du jeune homme s'arrondit et émit des couinements langoureux. Sa tête roulait en tout sens, sa main droite masturbait sa jolie queue. Il s'accrochait de la gauche au bras de Nicolas qui conservait un rythme endiablé. Gabriel adorait ses mouvements en lui. Il essayait de garder le membre de Nicolas en se resserrant à chaque retrait. Il voyait l'expression de son amant s'étonner.

Gabriel nageait dans le bonheur. Le plaisir montait toujours et bouillait dans son ventre. Il avait de plus en plus de mal à se contrôler. Nicolas modifia sa position en se plaçant entre les cuisses. Ils se faisaient maintenant face. Nicolas octroya un baiser profond à Gabriel puis se redressa. Il cala contre lui les fesses et entama des va-et-vient fulgurants. Il cognait contre la peau et s'étourdit dans la chaleur de Gabriel. Sa jouissance était proche. Il fixa les yeux bleus révulsés. Ils comprirent tous les deux où ils en étaient. Nicolas s'engagea dans la folie et secoua Gabriel. Ils crièrent leur extase ensemble. Gabriel sentit la vague déferlée en lui et sur lui. Sa queue cracha des jets puissants de sperme qui atteignirent ses tétons en feu. Le membre de Nicolas cogna dans son trou et une chaleur le remplit. Quel bonheur ! Nicolas avait quant à lui perçu les spasmes de Gabriel onduler contre son pieu. Il éjacula dans Gabriel. Son orgasme le foudroya.

Il s'effondra sur Gabriel qui supporta son poids avec joie. Il referma ses bras sur le large dos et ses cuisses sur les fesses étroites de son amant. Il enfouit son visage dans les cheveux blancs. Il était bien. Nicolas reprit peu à peu ses esprits dans la douceur de Gabriel. Il sentit sa queue glisser à l'extérieur. Il s'assit et examina son oeuvre.
- Gabriel, fais-la ressortir.
Il ne comprit pas tout de suite.
- Ma semence, précisa Nicolas qui caressait le trou encore rouge.
- Je veux la garder.
- S'il te plait.
Gabriel obéit et par de petites poussées libéra le jus blanc. Nicolas admira son épais liquide s'écouler et napper la peau. Il se pencha et aspira son nectar. Il l'offrit à son jeune amant dans un long baiser.
- Hum! Il est délicieux, Nicolas. Merci.

Nicolas caressa encore et encore le corps magnifique. Gabriel se laissait faire tel un chat. Il ronronnait dans les bras de Nicolas.
- Gabriel, j'aimerais que tu restes ici dans ma maison. La solitude me pèse. Bientôt, je vais avoir beaucoup de travail. J'ai besoin de quelqu'un pour prendre soin de moi. Veux-tu être cette personne ?
Gabriel qui ne se souvenait que du froid qu'il avait ressenti à l'extérieur accepta de bon coeur. Il espérait que Nicolas s'occuperait aussi de lui.
Gabriel et Nicolas s'aimèrent et firent l'amour longtemps, longtemps...

Lepoulpe qui espère que l'histoire vous a plu. Joyeuse branlette !

LePoulpe

gaellg88@gmail.com

Suite de l'histoire

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