Premier épisode
Cette histoire est une pure fiction, aucuns événements réelles n'est incorporer dans celle ci, mon prénom et ceux des autres personnages sont chargés. N'oubliez pas de me dire ce que vous en pensez par mail ;)
La vidéo à tournée partout dans ma ville et au alentours, et bientôt je commence à recevoir par facebook, puis par message des messages et de photos, soit pour m'humilier ou m'insulter, soit des mecs qui veulent se vider, souvent accompagné de photos de leurs bites. Dans ma tête, il y avait un mélange de plusieurs choses, j'étais apeuré par ce flot continue qui voulait s'occuper de mon cul, peur des personnes mal intentionnées, et en même temps super excité à en mouillé tellement certaines photos montrait des hommes magnifique avec de grosses queues entre les jambes ! Et puis bien sur ma famille avait vu la vidéo, et tous se comportait de façon bizarre avec moi. Deux jours plus tard, alors que je rentrais d'une ballade avec mon chien, mes parents m'attendais dans la cuisine, ma mère en pleurs et mon père le regard dur, une valise posé à côté d'eux. Même pas le temps de m'asseoir que ma vie, déjà bien fragile, prenait une tournure inattendu. Mon père venais de jeter, moi et ma valise, dehors en criant qu'ils ne voulaient plus jamais me revoir passer la porte. Anéantie, j'arpentait les rues, jusqu'à une vieille maison tombant en ruine, où je pris place. Je cherchais alors ma nourriture dans les petits super marché, ou c'était le moins cher car j'avais peu d'argent. Et puis me vient l'idée, en dépit d'une autre solution, de contacter tous les hommes m'ayant envoyé des messages. Heureusement, mes parents ne m'avais pas couper le téléphone, ni l'Internet illimité. C'est alors que je montais en quelques sortes mon entreprise de plan cul, ou j'étais à la fois le patron et l'acteur, sombrant en d'une certaine façon dans la prostitution, bien que mes contacts était par téléphone en premier lieu. Jamais je n'aurais cru qu'un homme pourrait payer autant pour baiser une bonne salope comme moi, et je ne me pensais pas capable d'enchaîner autant de queue en si peu de temps. Très vite, des habitués revenait, et j'ai pu enfin m'acheter un petit appartement. Je n'avais plus aucunes nouvelles de mes parents, jusqu'au jour où, dans la rue, je croise mon père. D'abord dans un climat très malaisant, il me demande comment j'allais, puis voulu voir mon appartement. Arrivé à celui ci, il me parlais guère et me donna une grosse liasse de billets.
- Tiens, ta mère m'a obligé à te donner sa si je te voyais. Elle est très triste tu sais, que son fils adoré soit devenu intentionnellement une pute, une vraie salope. Alors pour elle, cette liasse est pour t'aider, pour moi, c'est juste pour pouvoir te faire passer le message que je ne veux plus jamais te revoir.
Et il parti, en claquant la porte. Il était en colère, et je l'étais aussi, même si je ne voyais pas pourquoi se procurer du plaisir et en donner aux autres était mal. J'aimais tellement sa, je ne pouvais plus m'en passer et maintenant mon trou du cul ressemblais plus à une chatte souillé qu'un anus de mec hétéro. Puis, quelques jours plus tard, il revient, avec une autre liasse de billets, et une idée derrière la tête. Il commença par s'excuser, puis me dit tellement de belles paroles, jusqu'au moment où il aborda le sujet de mon attirance envers les hommes. Il me posais des questions, puis il ajouta:
-Et donc tu as déjà fantasmé sur des hommes de la famille, des personnes que tu connais ?
-Oui bien sûr, comme tu as sûrement été attiré par une femme de la famille. Pour être honnête, et ne le prend pas mal, celui sur lequel j'ai le plus fantasmé, et dont je fantasme encore, c'est toi papa. Tu as tout pour toi, musclé, beau, intelligent. Souvent depuis tout petit je te regarde à la salle de bain, comme si de rien était. Jamais tu ne t'ai douté de rien, alors que moi je bandais déjà comme une pute devant ta queue se balançant au rythme de tes mouvements. Prend le comme un compliment, je pourrais le dire à très peu de mec ici.
Il ne savait pas quoi répondre, il était gêné et en même temps, fière. Puis il s'avança, et contre toute attente, m'envoya une énorme baffe dans la figure me faisant tomber à la renverse. Je voyais dans ses yeux une colère énorme, l'enfer en aurait été à sa place. Encore sonné, je me relève puis il se déshabille avant de me jeter sur le lit. Il monta sur moi et m'enfonça sa bite dans la bouche. Il me détruit la bouche pendant plusieurs minutes, en m'insultant le plus souvent de pute et de garage à bite. Il prenait ma bouche pour une chatte et me faisait plusieurs gorge profonde violement, avec cette queue de 22 sur 4 qui m'avait tant fait fantasmer. J'aimais ce qu'il me faisait, à tel point que je prenais moi même de m'enfoncer au plus profond sur son pieu pour le satisfaire. On aurait dit un animal déchaîné, j'avais la gorge en feu. Puis il s'enleva avant de s'enfoncer dans mon cul, sans préparation, mais sans douleur car ma chatte était maintenant habitué. Il râlait de plaisir en disant que jamais il n'avait baisé une chatte aussi bonne, que j'étais devenu sa salope attitré et qu'il viendrait me remplir plusieurs fois par semaine. J'étais aux anges, mon père me baisait comme un dieu et moi j'adorais entendre le bruit de ses boules tapé mes fesses, le bruit de succion lorsque sa queue glisse dans ma chatte, ses râle de plaisir tel un lion, et surtout la violence qu'il mettait, comme si il se déchaînait sur quelques choses de limité, qu'il devait profiter de chaque instant. Il se retira et me fis une énorme faciale, où des giclés de sperme atterissaient dans la bouche, sur mes joues,mon front, au point de ne plus pouvoir ouvrir les yeux. Je nettoie sa queue et gobes son foutre, puis il part en me traitant de lope et qu'il reviendrait vite. J'étais épuisé, au milieu du salon, souillé de tous les côtés et surtout heureux et repu, puis je réalisais que je venais de vivre la meilleure expérience de toute ma vie. En me relevant, des billets tomba par terre, mon nouveau maître qu'était mon père venais de me payer ma séance de prostitué. Puis j'accueilli mes autres clients, tous contents d'avoir une chatte exploser prête à l'emploi, et tous me payais plus que ce que je demandais. Mon coming out, bien que brutal et non voulu, était alors une des meilleures choses de ma vie, et ce n'est pas fini !
Salopelope
Autres histoires de l'auteur : Coming-out brutal