Introduction
Salut, je m’appelle Thomas, mais tout le monde m’appelle Tom, j’ai 24 ans, blond aux yeux verts, 1m74 66kg, j’ai apparemment un physique attrayant, enfin c’est ce que disent les gens autour de moi, il est vrai que je suis assez sportif. Je fais de la natation 2 fois par semaine et vais en salle de fitness plus du jogging une fois par semaine, du coup je suis plutôt musclé, mais pas le genre bodybuilder, plutôt le genre jeune minet sec. Je suis un garçon plutôt classique, bon élève, mais pas premier de la classe, membre d’une famille classique avec un grand frère plutôt cool, etc.
Voilà pour ma présentation globale. Maintenant je vais vous parler de ma vie et plus précisément du cheminement de l’acceptation et du développement de mon homosexualité. Tous les faits présents dans mon histoire sont réels, bien qu’un peu romancés.
Chapitre 1 | Louis
Cela faisait longtemps que je me posais des questions, que je reluquais mes copains de classe dans les vestiaires, mais était-ce au point de me coller une étiquette ? Non bien sûr, ça à commencer par le fait de se comparer aux autres, quand j’étais plus jeune, j’avais quelques kilos en trop et j’étais jaloux de certains de mes camarades bien plus minces. Et puis en grandissant, j’ai fondu, mais j’ai commencé à regarder plus en détail l’anatomie de mes copains, toujours sous le couvert de la comparaison, de l’apprentissage et de la découverte de mon corps.
Et puis il y a eu cet été-là. J’étais en saison en tant que serveur sur la côte atlantique. Je partageais mon logement avec un apprenti, il s’appelait Louis. Un jeune homme de quelques années mon ainé. Il devait faire ma taille, il était mince, légèrement musclé, typé portugais, il était bronzé. Je dois avouer qu’il me plaisait beaucoup. Un soir après avoir regardé la télé, nous sommes partis nous coucher chacun de son côté. Sur le ton de la blague, qui n’en était pas forcément une en y repensant, je lui ai dit de ne pas trop faire de bruit en se masturbant, ce à quoi il m’a répondu en m’invitant à le masturber moi-même. Je ne m’attendais pas à sa réponse, mais n’en espérais pas moins. Prenant mon courage à 2 mains je me suis levé pour le rejoindre dans sa chambre. Je bandais comme un fou, excité à mort par l’idée de toucher un autre sexe que le mien. Il était allongé dans son lit torse nu, me voyant entrer dans sa chambre il retira la couette couvrant le bas de son corps. Il portait un caleçon, la bosse que formait son sexe ne laissait aucun doute sur son érection. Ne voulant pas avoir la honte dans le cas d’une blague, je lui proposai de commencer à me branler et que je le branlerais en suivant. Il accepta. Il baissa son caleçon, laissant apparaitre une belle queue, elle devait bien faire 17 cm bien épaisse et peu poilu, entretenu à mon avis. Puis je baissai mon caleçon et il commença à me masturber. Très rapidement je commençai à le caresser, à le branler. J’étais tellement excité quand moins de 2min j’éjaculais sur lui et son lit, honteux de ma performance, mais exciter de sentir son membre viril entre mes mains. Je l’ai masturbé jusqu’à ce qu’il éjacule sur ses abdos saillants. Puis sans un mot, nous nous sommes endormis chacun dans notre lit.
Le lendemain, aucun des deux n’a fait d’allusion sur ce qu’il s’était passé. La journée s’est passée sans encombre. Le soir venu, après une cession télé, nous sommes partis nous coucher. Et là, venant de nulle part, Louis me propose clairement de le sucer. Je ne sais pas trop quoi dire et hésite. Passer ce cap serait reconnaitre mon intérêt pour le sexe masculin, à ce moment la question de ma bisexualité obsède mon esprit. Puis il se fit plus pressent et me dit que si je voulais le sucer c’était ce soir ou jamais. Ne voulant pas rater cette occasion, je pris mon courage à deux mains et parti dans sa chambre ou il m’attendait en caleçon sur son lit. Son sexe en érection formait un véritable chapiteau dans son caleçon. Quand il me vit, il enleva son caleçon et écarta légèrement ses jambes. Je pris place entre ses cuisses, regardant son membre qui se dressait devant moi. Après une courte hésitation, je commençai à le caresser, puis déposa de tendres bisous dessus avant de commencer à le lécher. Je me rappelle qu’à ce moment-là toute inhibition disparut. Ma seule volonté était de prendre en bouche ce sexe qui me donner tant envie. Je lui prodiguer ma première fellation du mieux que je pouvais, et apparemment j’avais un certain talent. Après l’avoir branlé, léché, sucé, il finit par me prévenir de son éjaculation imminente, je préférai le voir jouir sur son torse que dans ma bouche ou sur mon visage. Je me rappellerais toujours cette sensation que de voir sa respiration s’accélérer, sentir ses muscles se contracter, je sentais sa jouissance arriver et cela m’exciter encore plus. Puis il explosa, son sexe expulsant des giclées de sperme sur son bas ventre. Je tremblais d’excitation, je n’y croyais pas, j’avais osé le faire et ça avait été, à ce jour-là, le plus beau moment de ma vie.
Il y eut d’autres fois pendant cet été-là, à la moindre occasion, je me jetais sur son sexe. J’étais devenu sa pute, son vide-couilles, mais cela était tellement excitant.
La fin de saison arrivait, mon dernier soir, on décida d’aller au bal du village, aux férias comme ils s’appellent ça. Avant de partir, Louis voulait prendre une douche chez sa copine du moment, qui n’était pas chez elle ce soir-là. Je le suivis donc chez elle, il partit à la douche pendant que je jouais à la console. Sortant de la douche, il est venu, nu comme un vers dans la chambre à côté de moi. Il est resté debout à côté de moi, bandant comme un âne. Ne me voyant pas réagir, je voulais que ce soit lui qui me demande de le sucer pour une fois, il a enfilé un caleçon, mais son sexe ne débander pas. Excité de voir sa queue aussi raide, je cédai et lui proposa de le sucer avant de partir en soirée. Et là ce fut magique. Je l’ai lécher, branler, sucer du mieux que je pouvais, sa queue faisait des va et vient incessant et tellement excitant. Puis vient le moment de jouir comme d’habitude il me prévient. À ce moment-là je me sens prêt et refuse d’arrêter, je garde donc son sexe dans ma bouche et lui prodigue la plus belle pipe que je peux. Il gémit, il tremble et jouit dans ma bouche. Plusieurs jets de sperme envahissent ma bouche. Je suis comme en trans et ne veux pas relâcher son sexe, je continue à le sucer, à le branler. Il se laisse faire et quelques minutes plus tard, je sens de nouveau sa jouissance grimper et il me jouit une seconde fois dans la bouche. J’aurais bien continué, mais il n’en peut plus. Grisés par ce moment de pur bonheur, nous sommes partis en soirée. Ma dernière avec lui, après cela je ne l’ai plus jamais revu.
Cet été-là je me suis partiellement découvert même si j’étais encore loin d’admettre mon homosexualité, je savais à partir de ce moment-là que j’aimais aussi les garçons. Grâce à Louis, je venais de m’engager sur la route vers l’acceptation de mon homosexualité.
Tom