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Chapitre -03
Je ne pouvais pas croire que c'était vraiment en train d'arriver. Il était là, collé à moi, son gros chibre bandant sous son short frottait sur ma jambe tandis que sa langue s'introduisait dans ma bouche et que ses mains fortes descendaient le long de mon dos vers mes fesses
C'était une semaine après notre expérience sur Snapchat. J'étais reparti en vacances puis revenu, plus en rut que jamais. Le soir même de mon retour, j'ai envoyé un message à Martin lui disant que je voulais recommencer ce que nous avions fait la fois précédente mais que cette fois, il devrait mener. Je lui ai dit que je voulais qu'il m'écrive tout ce qu'il allait me faire. Je voulais savoir comment il m'embrasserait, où est-ce qu'il me lècherait et qu'est-ce qu'il me ferait lécher, je voulais savoir où est-ce qu'il me foutrait, dans quelles positions il me baiserait le cul après me l'avoir bien ouvert avec ses mains et sa langue
Mais il a refusé. À la place, il m'a répondu qu'il ne voulait rien me dire de tout ça car il voulait me les faire directement. Avant que je n'ai pu lui répondre, il m'avait envoyé l'adresse d'un bar du centre-ville et une heure de rendez-vous pour le lendemain soir
Et c'est ainsi que je m'étais retrouvé plaqué contre un mur par Martin dans les toilettes de ce bar. C'était une très chaude journée à Toulouse et j'étais déjà couvert de sueur, et lui aussi. Son t-shirt humide moulait délicieusement ses muscles saillants tandis qu'une de ses mains glissait sous mon short pour caresser mes fesses. Sa deuxième main vint entre mes cheveux et il continua de se frotter à moi tout en m'embrassant
Il est difficile de décrire ce que je ressentais à cet instant. Une sorte de mélange de peur, d'excitation, d'envie et de dégoût. Mais tout ce que je savais c'est que je bandais comme un cheval et je ne pouvais attendre de sentir la grosse bite de Martin entrer en moi
Ce fut comme s'il m'avait entendu. Il se décolla brusquement de moi, me regarda dans les yeux et retira son t-shirt laissant apparaître les poils qu'il avait sur le torse. Sans retirer sa main gauche de mes fesses, il appuya sur ma tête de sa main droite me colla le nez sur sa poitrine. L'odeur virile de sa sueur m'excita encore plus. Je sortais alors ma langue et commençais à lui lécher le téton au rythme de ses cris rauque jusqu'à ce qu'il me pousse plus bas. Je descendis alors le long de ses abdos luisants jusqu'à sa taille. J'attrapais sa bite énorme au travers de son short et commençais à l'embrasser et à la caresser. Il abaissa lui-même son short sans que je ne m'y attende et me donna trois coups de bite sur la joue. Je levais les yeux vers lui, lui souris puis, j'attrapais son membre d'une main, de l'autre j'empoignais ses couilles et je commençais à jouer de ma langue et de mes doigts. Et il commença à caresser mon anus avec ses propres doigts. Quand j'eus bien lécher son gland et branlé sa bite, Martin décida d'intimer lui-même les mouvements de va-et-vient et me fourra tout entier son chibre dans la bouche.
Je réprimais un haut-le-coeur. Je ne savais ce qui m'enivrait le plus du goût ou de l'odeur. Un instant, je crus que j'allais jouir sans même m'être touché mais je me retins. Il était bien trop tôt, ça ne faisait que commencer
Il me laissa finalement respirer le temps que je me retourne. Ill me fit me cambrer et se mit à genoux. Je ne pus réprimer un petit cri assez pitoyable quand sa langue entra en contact avec mon anus ni un nouveau quand il inséra un premier doigt en moi. Tout mon corps brûlait de plaisir et mon cul suait tellement qu'il n'eut aucun mal à entrer deux puis trois puis quatre doigts en même temps dedans
Il se releva, sorti une capote d'une poche de son short, l'enfila, crache dessus, me la mit en bouche une seconde puis retourna à mon cul. Je serais les dents pour ne pas gémir trop fort car tout le restaurant risquait de nous entendre. Quand il entra la première, je ressentis d'abord une légère brûlure mais très vite, le feu et la douleur se changèrent en plaisir et il débuta ses va-et-vient vigoureux à l'intérieur de moi. Je devenais fou. Nous criions ensemble à chaque fois que sa bite tapait au fond de mon cul. Nous continuâmes ainsi jusqu'à ce que je ne sois plus capable de me retenir plus longtemps. Je lui criais d'arrêter, il sorti de moi, je me retournai, il retira sa capote et, face à face, nous nous branlâmes jusqu'à ce que nous ayons tous les deux jouis.
Alex
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