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Malik tire les rois.
Salut les mecs, si je reviens vous exciter, vous vous en doutez, c'est parce que j'ai encore vu Malik, ce rebeu de 24 piges, canon, viril, puissant, macho, irrésistible et, quand il est en rut, le mâle alpha dans toute sa splendeur !
Je suis infirmier libéral, lui bosse dans un laboratoire d'analyses, du coup, on se voit quasiment tous les jours quand je dépose des prélèvements. Parfois, c'est lui qui réceptionne mais pas toujours. Au boulot, on ne laisse rien paraître de nos plans cul, je lui tends les échantillons, il les emporte, on règle les paperasses et je repars. Sauf que Malik, je le connais à fond ! Rien qu'à sa démarche féline et sensuelle quand il vient moi, je sais s'il a envie de baiser ou s'il est rassasié ! Après, y'a son souffle, quand il expire longuement et profondément en émettant un petit son rauque à peine perceptible, là, je sais qu'il est en manque de sexe. Et puis, il y a son regard, s'il est franc, direct, appuyé, il est normal mais quand il ne me regarde pas ou alors par en dessous, là, il je sais qu'il me scanne et qu'il est qu'il est en chasse. Aussi, ces jours-là, il me parle sur un ton plus sec avec des phrases courtes qui claquent, il arbore un petit sourire en coin en matant mon corps avec envie... Il est en mode séduction et, pour finir, il m'envoie d'un coup toutes ses phéromones ce qui me met dans un état second ! Tout ce cérémonial passe totalement inaperçu, même en présence d'un tiers mais Malik et moi, on sait, on a compris, on s'est capté ! Là, en principe, un texto tombe dans la demi-heure qui suit pour un rendez-vous en fin de journée qui se termine par une rencontre torride chez lui ou chez moi, ça ne rate pas !
Là aussi, on se livre à un petit jeu pour faire monter la tension sexuelle :
- " T'as vu comment tu m'as allumé ce matin ? "
- " Ça va pas Malik, c'est toi qui puait le mec en rut ! J'ai cru que t'allais me sauter dessus, j'ai eu peur, je t'assure ! "
- " Ah ouais, comme ça, t'as peur quand tu me vois en rut ? "
- " Ben, ouais, d'ailleurs là, je suis tout tremblant... "
Là, on atteint vite le point de non-retour !
Malik est un mec qui a la classe, stylé, beau gosse et qui le sait ! Il s'entretient super bien, outre le sport, il est toujours impeccablement coiffé, la barbe de trois jours super bien taillée, des dents d'un blanc immaculé mais surtout, des fringues systématiquement assorties, jamais une faute de goût, pas une tâche, un accroc, un col tiré ou déformé, des TN sales, c'est impossible ! Le détail qui me tue le plus, c'est quand on se retrouve pour baiser, on est chaud, on se colle l'un à l'autre, on se caresse avant de se dessaper. De mon côté, l'envie étant trop forte, je balance mes fringues n'importe où mais pas Malik ! Il en prend soin, surtout quand il porte une chemise, il la déboutonne très méticuleusement, lentement comme pour ne pas forcer les boutonnières, il l'enlève délicatement et la dépose sur un dossier pour ne pas la froisser. Ça me fait marrer mais, j'avoue que c'est sensuel et érotique de découvrir son torse millimètre par millimètre, ça fait encore monter la température !
Après avoir baisé comme une brute, il ne repart jamais décoiffé ou mal rhabillé! Une personne qui le croiserait dans l'escalier ne pourrait jamais se douter que, 5 minutes avant, il me démontait à grands coups de reins avant de m'envoyer son jus ! Même après une pipe vite faite, s'il a eu un coup de chaud, il prend toujours le temps de se rafraîchir pour être, comme toujours, impeccable !
Début janvier, je lui envoie un message pour lui demander s'il ne veut pas venir manger une galette des rois. Il me répond une série de " ??? " puis, quelques secondes plus tard : " Hummm je vois, tu veux te faire tirer comme les rois^^ Fallait le dire franchement lol ". J'ai répondu que c'est qu'un obsédé, un vicelard qui pense qu'au cul.... Il m'a dit que je lui cassais les couilles comme d'habitude !
Vers 13h, on sonne à la porte, je vais ouvrir et je vois Malik. Il me sourit en mode carnassier, me mate de la tête aux pieds d'un air carrément lubrique et me dit :
- " T'es encore habillé, hummm, ça va nous faire perdre du temps ça... ".
Il me pousse un peu vers le canapé et commence à retirer mon T-shirt qui vole derrière le canapé, il était en train de s'attaquer à ma ceinture quand il jette un regard au-dessus de mon épaule en direction de la table, il s'arrête dans son élan, s'écarte un peu de moi, me regarde avec un air de surprise, les yeux grands ouverts et il me dit :
- " Ah mais, c'était vrai le coup de la galette ? Genre t'en as vraiment acheté une ? ",
- " Ben oui Malik, tu vois elle est sur la table, je vais la mettre au four pour qu'elle tiédisse ! ",
- " Sans déconner ! Je pensais que tu voulais encore te faire sauter et que tu m'allumais avec tes galettes et tes plans chelou".
J'ai profité de son étonnement pour lui enlever son pull, il s'est laissé faire, j'ai embrassé son torse, ses tétons durs pendant que je déboutonnais son jean. Une main massait sa queue à travers le tissu de son boxer, je la sentais grossir et durcir de seconde en seconde. Je léchais son ventre, ses mains étaient posées sur ma tête pour m'encourager à descendre encore. Je baissais son sous-vêtement sur ses cuisses, sa bite était libérée, droite, dure, son gland circoncis pointait devant moi, je l'ai englouti et ma langue s'est enroulée autour. Ses doigts se sont crispés dans mes cheveux et, dans un souffle très rauque, je l'ai entendu dire :
- " Ah ouaiiiis, bouffe-la, putain c'est boooon ! ".
Et comment que je voulais la lui bouffer ! Ses couilles aussi, je les massais et les étirais, il me caressait la tête en gémissant, tout son corps était parfois agité de petis soubresauts et il laissé échapper des petits cris de plaisir suivis de
- " Ouiii, vas-y, continue ".
Il m'a relevé et m'a poussé sur le canapé, il a fini de déboutonner mon jean, a tiré dessus pour me l'enlever, mon boxer a suivi, il m'a pris par les hanches pour m'approcher du bord, il a soulevé mes jambes et a plongé entre mes fesses pour me bouffer la rondelle. J'ai poussé un cri tellement c'était bon de sentir sa langue sur mon trou et m'ouvrir. Il m'a fait un anulingus de ouf s'aidant de ses doigts, il crachait et faisait entrer a salive en poussant avec deux doigts, il me mordillait les fesses en même temps, j'étais surexcité. Je crois que j'ai fini par lui réclamer sa bite !
Il s'est mis à genoux, a saisi mes jambes au niveau des genoux pour les maintenir redressées, son gland s'est posé à sur mon trou et il a poussé d'un coup. Il est entré centimètre par centimètre dans mes entrailles jusqu'à ce que ses couilles viennent s'écraser sur mes fesses. Une fois au fond, il s'est penché un peu sur moi, a soulevé ses genoux pour prendre appui sur ses pieds et il a commencé les va et vient d'abord lents et doux puis, une fois son équilibre trouvé et assuré, il m'a regardé en souriant et m'a dit :
- " J'avais raison, c'est ça que tu voulais ! "
Avant que j'aie pu réagir, il s'est mis à me défoncer rapidement et de toutes ses forces en faisant claquer ses couilles contre mon cul à chaque coup de reins. Au début, je me cramponnais au dossier du canapé puis, j'ai pu libérer une de mes mains pour lui caresser le torse, pincer ses tétons. Ma deuxième main m'a servi à me branler et, parfois, je la passais sous ma cuisse pour aller lui attraper les couilles et les masser. A un moment, il s'est encore penché pour poser son front sur le mien, je sentais son souffle fort et puissant sur mon visage, on se fixait, il m'a dit :
- " Je vais jouir !"
C'est moi qui suit parti le premier, je me suis vidé sur mon ventre et mon torse, au même moment, il a poussé un râle, s'est enfoncé à fond, il a stoppé ses mouvements, a fermé les yeux et m'a rempli. Il est retombé à genoux, est ressorti, ses mains ont lâché mes jambes qui sont retombées à terre, il me caressait les cuisses en respirant encore rapidement, il était en train de redescendre. Il m'a regardé en souriant et m'a dit :
- " Putain, tu t'en es encore foutu partout ! "
- " Ah ouais, c'est sûr, toi, t'as tout mis au même endroit ! "
On a rigolé et on s'est relevé, il a remonté son boxer et son pantalon et a remis son pull bien posé sur un dossier de chaise... moi je me suis essuyé, j'ai rassemblé mes fringues pour les renfiler. Quand on a été présentables, il m'a dit :
- " Bon alors, cette galette, on se la fait ? Ça creuse la baise !"
Je suis allé la chercher, elle était super belle mais un peu grosse pour nous deux alors j'ai appelé deux autres potes pour nous aider ! J'ai eu la fève !!! J'ai dû porter la couronne dorée tout l'après-midi, on a passé un bon moment puis les potes ont dû repartir, Malik les a suivis.
J'étais en train de ranger quand ça a encore frappé, j'ai ouvert, Malik était là, il m'a dit :
- " C'est con mais je me suis jamais fait sucer par un roi ! "
- " Ah ouais, c'est con ça ! "
En lui disant ça, je lui ai mis la main au paquet, il est entré, est allé s'asseoir sur le canapé, jambes bien écartées, les bras relevés et les mains croisées derrière sa tête :
- " Si sa Majesté veut bien s'occuper de moi, je suis tout à vous ! "
- " Hummm jeune chevalier, c'est l'heure de payer votre impôt en nature ! "
- " Prélevez sire, à la source ! "
Cette fois, c'est moi qui étais à genoux devant lui, entre ses jambes, j'avais fait sauter les boutons de son jean en tirant dessus, il avait soulevé son bassin pour que le descende, j'ai baissé l'élastique du boxer, sa queue était aussi dure qu'en début d'après-midi, toujours aussi bonne en bouche, ses petits coups de reins m'imprimaient le rythme de la fellation tandis que mes mains caressaient son ventre et son torse sous son pull.
Au bout de plusieurs minutes, ses coups se sont faits de plus en plus saccadés, ses gémissements un peu plus sonores puis son corps s'est tendu, sa queue a encore durci, son gland s'est gonflé et il m'a envoyé 5 gros jets en bouche. J'ai avalé, j'ai bien nettoyé sa queue encore secouée de soubresauts puis je l'ai libérée.
J'allais me relever quand Malik m'a dit :
- " Faudrait t'apprendre à ranger le matos, c'est pénible ça, tu déballes, tu utilises et tu laisses tout comme ça ! "
J'ai donc tranquillement remis sa bite sous le boxer, j'ai bien tiré sur l'élastique et j'ai lâché d'un coup ! Bizarrement, il a moins kiffé que la pipe mais a bien gueulé !
- " Oh, désolé Malik, je suis super maladroit ! J'ai rien cassé au moins ? "
Il s'est relevé, m"a traité de " terroriste " en reboutonnant son jean, je lui ai proposé mon aide, il m'a dit que ça irait et il est parti.
Un moment après, j'ai envoyé un texto : " Ça va ? T'es vénère ??", il a répondu : " Tssss, t'es relou, faudra quand même essayer voir si ça marche toujours aussi bien lol ". " Quand tu veux Malik^^ "...
Les mecs, j'espère que vous avez kiffé autant que moi... Vous pouvez me le dire, ça sera cool^^^à denis.chassagnes@gmail.com
D.C
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