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Sous le boxer de Malik 2
Salut les mecs. Trop cool vos messages, ça fait vraiment plaisir. J'espère que ce qui va suivre vous donnera autant de plaisir que la première partie et que vous me le ferez savoir ^^^
Bref rappel : Malik, ce rebeu qui me saute régulièrement depuis quelques années, a passé une nuit chez moi. Le lendemain matin, en partant, je lui ai prêté un de mes caleçons vu que le sien de la veille était un peu souillé de nos fluides.
Mon travail d'infirmier m'amène à apporter, chaque matin au laboratoire, les prélèvements faits chez les patients pour les analyser. Or, c'est précisément là que travaille Malik, nous nous voyons donc chaque matin. Nous nous montrons très pro, personne ne peut se douter, à ce moment-là qu'il a passé une bonne partie de la nuit à me ravager le cul et que, pour le faire lever plus vite, je lui ai taillé une pipe d'anthologie il y a à peine deux heures.
Ce vendredi matin, ce n'est pas Malik qui m'a reçu au labo mais une de ses collègue. Par contre, je l'ai aperçu s'affairer à sa tâche. En repartant, je lui envoie un texto : " Alors Malik, ça va ? Je kiffe de savoir que tu m'as sur toi, je te possède, j'adore ! ". Il a réagi au quart de tour : " Dans tes rêves ! C'est moi qui ai le pouvoir, repense à cette nuit comment je t'ai soumis avec ma queue ! ". Vu qu'il marchait, j'ai continué : " Ça doit te faire drôle de porter, pour une fois, un vrai boxer de mec ! ", la réponse n'a pas traîné : " Ahahah, Ça doit venir du fait que t'as le cul grand ouvert et rempli de jus de mâle qui te rend si drôle ! ". Puis : " Finalement, quand tu l'ouvres, vaut mieux que ce soit pour bouffer une bite. Là, au moins, t'es à ta place !!! ". J'ai relancé : " Hummm, je t'ai pas dit mais, putain, le cul que ça te fait ! J'ai bandé direct !! ". Là, il a mis du temps pour répondre mais ça a donné : " La prochaine fois, je mettrais rien, tes culottes de fiottes me serrent les couilles, c'est pas fait pour les mecs montés comme moi, pour ta nouille, je dis pas ! ".
On a continué comme ça encore un peu dans la journée puis on a fini par lâcher et vaquer à nos activités respectives. Silence radio jusqu'au dimanche ! Là, en début d'après-midi, j'ai reçu : " Ce soir tu me vides les couilles, je veux pas attaquer la semaine plein comme ça ! ". Bien sûr, ça m'a excité mais j'ai voulu l'énerver un peu : " Ce soir ? Ben non ! ". Sitôt mon message envoyé, ça a bipé : " J'ai mal lu ou t'as dit NON ? ", le jeu était lancé : " Non non, lol, t'as bien lu, j'ai écrit NON ! ". Il a réagi : " Ouais, ok, je passe, je vais t'apprendre la vie moi ! ". Vu son ton, ça m'a fait rire : " Lol, sans déconner, je bosse tôt, je me couche pas tard. ", comme il a toujours réponse à tout et qu'il veut avoir le dernier mot, il a répondu : " No problème, on fera ça couché ^^ ".
Comme prévu, il est arrivé vers 20h, il a frappé à la porte, j'ai à peine eu le temps d'ouvrir qu'il a poussé la porte et est entré comme une fusée. On a fait un tcheck, à peine un salut marmonné et il a filé dans le canapé. Il s'est assis au milieu, les jambes écartées, les bras allongés sur le dossier, il m'a maté de haut en bas en passant sa langue sur ses lèvres et m'a dit :
-" Tu payes une bière ou on baise tout de suite ? "
Je suis allé dans la cuisine en disant :
-" Putain Malik, où t'as appris la politesse ? "
-" Quoi ?? Oh, bon, file une bière et ton cul s'te plait ! Ça te va comme ça ? "
Je lui ai donné sa bière en retenant la canette par le goulot et en le regardant jusqu'à ce qu'il me dise merci. Il a rajouté :
-" T'es en mode casse-couilles ce soir, t'as tes règles ou quoi ? "
-" Bon, ça va j'ai compris, t'as la bite en feu, je vais te vider comme t'aime, rassure-toi mais sois plus aimable ! "
En principe, il sait qu'il a franchi les limites et se radoucit. Du coup, on a discuté un peu de sport notamment. Et la tension est un peu retombée. Pas trop vu que, très vite, en me parlant, il se caressait doucement le paquet, je faisais tout pour ne pas le regarder, histoire de voir lequel des deux allait craquer en premier.
Il a fini par avancer son bassin sur le bord du canapé, il m'a regardé intensément dans les yeux, a souri et, d'un coup a baissé les yeux vers son paquet pour m'inviter à venir m'en occuper. Là, c'est clair que j'avais chaud et que je mouillais déjà !
J'ai rampé du fauteuil au canapé en me glissant entre ses jambes, j'ai embrassé ses genoux, ses cuisses, mes mains se sont baladées sur son ventre et son torse. Il commencé à gémir et a encore plus écarté les jambes et m'a dit :
-" Oh putain, j'ai besoin de ta bouche là, oh ouais, fais-moi du bien là ! "
J'ai plongé sur son paquet que j'ai pris à pleine bouche à travers le jean, il était raide, dur, chaud. J'ai déboutonné le pantalon, tiré sur l'élastique du boxer, il s'est soulevé pour que je baisse ses fringues, il a pris sa queue en main, m'a frappé le visage avec puis m'a saisi par les cheveux et m'a planté sur son dard. Je l'ai sucé comme un malade affamé tout en lui massant les couilles. Il gémissait et m'encourageait :
-" Ah ouais, vas-y, biberonne ! Oh putain quel suceur... "
Il a enlevé son T-shirt, mes mains l'ont caressé puis je me suis occupé de ses tétons, je sais qu'il aime ça. Je les ai pris entre mes doigts et je les ai pincé, tourné, ils étaient durs, lui poussait des petits cris suivis d'une longue expiration. Ses mains se sont posées sur ma tête et il a commencé à m'imprimer un rythme de fellation. Il a accéléré la cadence et m'enfonçait de plus en plus sur sa tige. Au bout de quelques minutes, il m'a dit :
-" Oh, je vais venir, t'arrête pas, AHHHHH ".
Six gros jets bouillants m'ont rempli la bouche. J'ai tout avalé et j'ai sucé le gland encore un peu pour tout aspirer et nettoyer.
Je me suis relevé et assis à côté de lui. Il a soufflé puis a dit :
-" C'est trop bon comme tu suces ! "
-" Humm, avec ce que tu viens de m'envoyer, tu dois être bien vidé là. "
Il a posé une main sur ma cuisse, m'a caressé et a dit :
-" Pas trop non ! J'ai gardé une grosse dose pour ton cul. Mets-toi à poil et à genoux sur le canapé, je vais te faire le cul ! "
J'étais excité, j'ai obéi, une fois sur le canapé, il m'a écarté les fesses, a craché trois fois dans ma raie et m'a bouffé le trou. Il faisait ça si bien que j'ai mordu le dossier pour ne pas hurler à la mort ! Sa langue, ses lèvres, ses doigts ont pris possession de mon corps tout entier, j'étais comme en transe, porté par mon plaisir. Il m'a ouvert avec un doigt qui m'a bien limé puis un deuxième est entré, il m'a embrassé puis mordillé à la base du dos me faisant cambrer au maximum. Il m'a branlé, je bandais comme un âne, puis ses mains se sont promenées sur mon ventre et mon torse, j'avais super chaud et pourtant des frissons parcouraient mon corps de la tête aux pieds.
Il s'est relevé, m'a filé deux ou trois fessées, une de ses mains m'a appuyé fortement sur les lombaires ma faisant dresser le cul, j'ai senti un filet de salive tomber dans ma raie puis son gland chaud et dur s'est posé sur mon trou. Il a poussé, est entré et a progressé avec force et régularité jusqu'au fond, j'ai senti ses couilles se poser sur mes fesses et j'ai vu ses deux mains se poser de chaque côté de ma tête. J'ai su que j'allais me faire pilonner et j'en avais envie !
Il est resté enfoncé en moi quelques secondes sans bouger, il a baissé sa tête pour que sa bouche soit contre mon oreille et, d'une voix super virile mais à peine audible, il m'a dit :
-" Putain, je suis bien en toi. Même avec tout ce que je te mets, t'es super serré, on dirait un dépucelage à chaque fois. T'as pas idée comme tu m'excites, tu vas prendre cher ! "
Dans un long souffle, j'ai juste répondu : " Ouiiiiiiiiiiiiiii ".
Les va et vient ont commencé, sa queue est quasiment sortie puis il m'a mis un méga coup de reins qui a failli me déséquilibrer. Je n'ai pas eu le temps de souffler qu'il est ressorti et a recommencé de toutes ses forces et là, il s'est déchaîné en moi comme un étalon ! Il me cassait littéralement le cul, j'allais avoir mal le lendemain mais peu importe, je prenais un pied d'enfer. Son ventre claquait fort sur mon cul quand il s'enfonçait et, la seconde d'après, sa queue ressortait de mon cul pour s'y replanter. Je devais avoir un gouffre à la place du trou, je sentais ma mouille et sa salive couler sur mes couilles, il coulissait parfaitement en moi et se défoulait de toute sa puissance. Je me cramponnais pour rester en place, je criais à chaque fois qu'il entrait et je l'entendais pouser des " Han, han " à chaque pénétration.
Comme il avait déjà joui une fois, il a été très endurant. Il a fini par me retourner pour que je sois assis, il m'a relevé les jambes, j'ai posé mes pieds sur ses épaules, il m'a demandé d'écarter mes fesses, il est à nouveau entré en moi et a repris la baise au même rythme en me demandant de me branler. Il transpirait à grosses gouttes, s'essuyait le front de temps en temps, son torse était luisant, une odeur de jeune mâle en rut embaumait la pièce, j'avais l'impression que j'en étais imprégné.
Sa queue bousculait ma prostate si bien que j'ai senti le plaisir monter d'un coup, j'ai tiré sur ma queue et j'ai éjaculé, trois beaux jets ont jailli puis sont retombés sur mon ventre et mon torse, trois autres ont coulé sur ma main et mon poigné. En jouissant, bien sûr, mon cul s'est resserré, il a jeté sa tête en arrière et a hurlé :
-" OH PUUUUTAIN, C'EST TROP BOOOOOON ! "
Il m'a mis quelques coups de reins supplémentaires et a joui au fond de mon cul. On était essoufflé comme après un marathon olympique, on était en sueur, j'avais du foutre partout mais que c'était bon !
Au bout d'un moment, une fois redescendu, il est ressorti, sa queue était encore raide mais luisante et pleine de sperme. Je l'ai vu se baisser pour prendre quelque chose dans sa poche, il en a ressorti mon boxer de l'autre jour, m'a regardé d'un air pervers, en souriant, s'est tranquillement essuyé le visage, le torse, sous les bras, sa bite puis mon ventre et mon torse et m'a enfoncé le sous-vêtement dans la bouche. Il a éclaté de rire et m'a dit :
-" Tiens tout ça , c'est à toi ! Tu peux le mettre pour dormir si tu veux ! "
Il s'est rhabillé et s'est dirigé vers la sortie. Avant d'ouvrir la porte, il m'a dit :
-" Rappelle-moi qui a le pouvoir là ? "
J'ai éclaté de rire en lui faisant un doigt d'honneur et je lui ai lancé le boxer qu'il a esquivé, il m'a fait un clin d'oeil et a refermé la porte.
D.C
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