Premier épisode
J'ai l'impression que le petit Mickaël ne sait plus ce qu'il doit penser. Il vient de prendre un pied terrible -je n'ai qu'à regarder ma cuisse pour m'en convaincre- et, en même temps, il doit flipper un maximum dans sa tête, se demandant ce qu'il va lui arriver et s'il s'en sortira en un seul morceau :-). Excellent.
Mais bon, il est temps de lui offrir quelque chose pour remplir son estomac.
- " Allez batard, DEBOUT ! "
Il a sursauté comme un faon effrayé par un tir de carabine. J'adore. Je pense qu'il est prêt.
- " Alors batard, qu'est-ce que tu vas bien pouvoir manger ?
Kevin, viens ici ! "
La porte s'ouvre sur Kévin, toujours à poils mais qui, je ne sais comment après son excitation de tout à l'heure, a réussi à remettre sa bite au repos.
Mickaël ouvre ses yeux de stupeur et d'envie lorsqu'il le voit et qu'il réalise que c'est cette "bête" qui s'est occupé de son cul tout à l'heure.
- " Kevin, annonce le menu au batard. "
- " Tu as le choix entre "Ravioli en boite à manger en gamelle", "pâtes cuite à la pisse" ou "croque monsieur à la crème". "
- " Non, je veux pas, c'est dégueulasse ces trucs ! "
Je ne dis rien, je le regarde droit dans les yeux, j'y vois un mélange de colère, de révolte, d'humiliation et d'incrédulité. Il faut bien trouver un moyen pour lui faire comprendre que tout cela est bien réel. Je choisis, tout en continuant de le regarder, de lui présenter un sourire plutôt gentil et rassurant. Finalement, je lui envoie une énorme gifle sur la joue droite suivie d'une autre sur la gauche.
- " T'as quelque chose à redire contre le menu, batard ? Tu croyais qu'on allait t'offrir du foie gras ? ALORS ? "
- " Pardon Monsieur... je... je...
- " OUI ? "
- " Je vais prendre le croque, ça semble le moins terrible. "
- " Très bon choix ! ", répond Kévin
Et moi de rajouter,
- " Oui, très bon choix, tu auras droit à un mélange de Kévin et de moi même. Tu vas voir, tu vas kiffer ta race, comme vous dites, vous les djeuns. ".
J'éclate de rire alors que, lui, semble paniquer un peu plus.
Kévin prépare deux toasts, les beurre, ajoute du jambon, du fromage rappé, puis il attrape une fiole en verre dans le frigo. Elle contient un liquide visqueux blanchatre. Le batard comprend immédiatement de quoi il s'agit. Kévin le regarde et lui dit :
- " Trois jutes du Maître et 7 de mes traites. Ca devrait donner un peu de goût. "
Mickaël regarder alternativement la fiole, les croques, Kévin, moi. Il se fait implorant, il est à deux doigts de craquer.
Au moment précis ou Kévin verse la jute sur le fromage et commence à bien le répartir, je vois les premières larmes qui coulent sur le visage de Mickaël.
C'est à ce moment là qu'un domi doit être attentif. Pour moi ça doit rester un jeu et je n'ai pas envie de le traumatiser, je veux juste qu'il garde un souvenir mémorable de cette soirée.
Kévin met les croques au four et se retourne vers moi. Je lui fais un signe de tête. Il ouvre ses bras et aussitôt, sans même un mot, Mickaël se précipite vers lui et se blottit contre ses pecs et ses abdos. Kévin referme ses bras sur le petit Mickaël. Les larmes et les sanglots disparaissent presque aussitôt.
Kévin lui glisse à l'oreille :
- " Sois fort, t'auras ta récompense "
- " D'accord "
La scène n'a durée plus de 15 secondes. Il est temps de rappeler la dure réalité à ce batard.
- " Tu te crois où la lope ? "
- " Je... "
- " SILENCE "
On n'entend plus que le ronronnement du four.
- " Assis "
Servi, il marque un temps d'arrêt et puis, la faim aidant, il dévore les deux croques.
- " Bien, voila, c'est mieux le ventre plein, la lope !
Mais je trouve que Kevin a été un peu trop familier avec toi tout à l'heure. "
Je vois Kévin sursauter un petit peu. Il a compris qu'il va devoir payer alors même qu'il a exécuter un de mes ordres.
- " Vas le chercher ! "
- " Oui Monsieur "
Kévin disparaît puis revient 1 minute plus tard portant un beau paddle en bois dans les mains.
- " En position ! "
Immédiatement, Kévin se place au milieu de la pièce, jambes écartées, mains croisées derrière la tête.
Je me place à sa gauche légèrement décalé, derrière lui.
Je vois ses fesses qui se contractent alors même que je n'ai pas encore bougé.
- " Je me demande combien tu en mérites...
5 ou 10...
10 me semble un bon nombre...
Oui... 10... sur chacune ! "
Nouveau sursaut de Kévin.
- " Toi la lope, tu te mets à genoux, et toi aussi les mains croisées derrière la tête.
Regarde ! Apprend ! "
Kévin a compris que le premier coups ne va pas tarder. Et bien sur un premier CLASHHHH retentit sur sa fesse droite. Et un autre sur la gauche. Puis retour sur le droite.
Kévin encaisse dans rien dire. La huitième sur la droite lui arrache le premier gémissement de douleur. Les cinq suivantes sont un peu plus dures à encaisser.
Il s'agit surtout d'impressionner un peu plus le batard et de faire plaisir à Kévin qui, malgré les apparences, adore çà !
- " Bien !
Viens ici la lope et remets toi à genoux.
Après avoir mangé, il est temps de te donner quelque chose à boire.
Une pression ? "
- " Merci Monsieur "
- " Par contre, pas besoin de verre, je suis sur que tu peux boire direct ! "
Sans lui laisser le temps de réfléchir, je dégrafe mon pantalon et le baisse en même temps que mon calbut. Ma bite est maintenant demi mole, mais sa taille à l'air de surprendre Mickaël. je ne lui laisse pas le temps de réfléchir. Je lui attrape l'arrière de la tête et le met à la tétine.
- " Et n'en laisse pas s'échapper, ça serait dommage. "
J'éclate de rire et en même temps, je commence à pisser au fond de sa gorge.
Il a plusieurs haut le coeur, mais il arrive à tout boire.
Je lui tapote la tête et le laisse reprendre son souffle.
- " Allez au dodo !
Kevin, tu prends le batard avec toi. "
- " Oui Monsieur. "
Kévin lui indique la porte qui le précédé, fatigué et pas forcément très rassuré. Lorsqu'ils se retrouvent dans la chambre, Kévin lui dit :
- " Je suis obligé d'exécuter les ordres de mon patron quand je suis devant lui, mais là, y a que toi et moi. Ca va être ta fête. "
Il le retourne et sans prévenir attrape le plug et tire comme un malade dessus pour l'arracher.
Mickaël commence à lancer un énorme cri de surprise et de douleur de s'être fait écarter la rondelle de la sorte, mais son cri est arrêté presqu'immédiatement car Kévin lui plaque sa grosse main sur la bouche.
Sa bite a repris des proportions énormissimes et il trouve très vite le moyen de remplacer le plug.
Il plaque Mickael sur le lit et commence une série de va et vient qui manquent de le déchirer.
Plus Mickaël couine et plus Kévin accélère et devient bestial.
Et moi pendant ce temps là ?
Je suis dans l'encadrement de la porte, derrière eux, et je me régale du spectacle.
Je connais bien les réactions de Kévin et je sais que si je le laisse faire, il va bientôt juter.
Je m'approche de lui et à l'oreille je lui dis :
- " Tu le fais juter et, toi, tu re retiens. "
A ces mots, il comprend, immédiatement, il accélère encore plus la cadence, il claque les fesses de Mickaël, l'insulte et enfin, prend la queue de la lope dans la main et le branle à lui en arracher la bite.
Au bout d'une minute, Mickaël couine et se vide.
Kévin continue les aller-retours et n'écoute que peu les objections du soumis.
Mais finalement, il se retire et Mickaël, vidé et pensant que l'heure du repos est venue, se relâche et fait de grandes inspirations.
C'est le moment que je choisis pour l'attraper par les hanches en lui disant :
- " Et maintenant que t'es ouvert et bien chaud, c'est à moi que tu vas me donner du plaisir, batard ! "
Au début il ne veut pas, il vas même jusqu'à commencer à pleurnicher, mais assez vite, il semble apprécier le traitement et il se calme.
Je m installe confortablement et tape le plus au fond possible. Il couine comme s'il était redevenu affamé.
Pendant tout ce temps, Kévin reste juste à coté et se branle la queue comme un malade. Elle est énorme et bien luisante.
Mickaël s'abandonne complètement et apprécie d'avoir à nouveau le cul plein.
Je regarde Kévin et lui fais un signe de tête. Il se décale pour être dans une meilleure position et au moment ou je sens que je vais larguer une bonne dose de purée à force d'entendre le batard couiner et encore couiner, je dis à Kévin :
- "Vas y"
Sans rien répondre et sans autre avertissement, le corps de Kévin se cabre, tous ses muscles se tendent et sa queue entre en moi d'un coup sec et m'ouvre le trou. Dans un hurlement de malade, je me lâche et deux queues se vident en même temps.
Il nous faudra un moment pour reprendre notre souffle.
Pas de douche ce soir.
Le lit est grand, on dormira tous les trois ensemble, puant, heureux.
Le lendemain matin, je reconduis le petit batard sur la route, en me disant qu'il ne revivra peut-être pas une seconde fois une telle nuit :-).
Master Pierre
Autres histoires de l'auteur : L'autostoppeur et le Quadra vicelard