Premier épisode | Épisode précédent
L'emprise est quelque chose de très complexe. Je me suis longtemps demandé si c'était par faiblesse mentale, par vice ou simplement inné. L'emprise ce n'est pas de l'amour. Sous emprise le coeur ne bat pas où peu , par contre votre cul se mouillé vite. J'étais un garçon plutôt raisonnable cultivé mais en présence de Fab je devenais une poupée comme celle que je manipulais gamin les big Jim jack Jeff etc... De plus je prenais énormément de plaisir à être humillie insulté abaissé. Ce n était pas de simples pulsions sexuelle mais un véritable désir d'appartenance. Il me tenait par ça, le sentiment d'appartenir à quelqun même si ce n'était que sous forme de robot ou d objet sexuel.
Je me rebellais parfois lorsque mes valeurs étaient piétinées,lorsque les coups étaient trop violent mais il savait me ramener à lui soit par la contrainte, soit par la tendresse. Par la contrainte , mes rébellions finissaient souvent en lutte et toujours avec des punitions terribles et douloureuses. La pire étaient quand il me laissait des heures dans la chambre à ne plus pouvoir l approcher. Il me disait que j'étais libre de partir , qu il avait qu à claquer des doigts pour avoir autant de salope qu 'il désirait.
Oui j'habitais chez lui depuis six mois. Des le premier mois il M avait éduqué à sa main, il M avait enseigné ses rites et ses perversions comme de boire systématiquement son urine. Quoi de pire pour un mec que de boire de la pissé! Heureusement il n était pas scato. J avais démissionné de mon job et je travaillais à domicile pour un call centre. Je lui faisais son ménage ses courses et tout les travaux domestiques. En dehors du travail et si il n avait pas besoin de moi sexuellement, et c était rare, je me musclais dans la pièce réservée à cet effet. Cela faisait un mois qu il me proposait contre du fric à des mecs. Ceux ci lui rendaient compte de mes prestations. Je devais donc être nickel. Les week end il était souvent invite par un de ses coreligionnaires pour des partouzes. En fait c était plus des compétitions de salope et si tu te donnais pas assez ou si une salope te volait la vedette , tu te faisais casser en rentrant. Mais j aimais ça.
Un jour que je voulais de la bite et qu il n était pas dispos pour. Il M à puni en me prostituant dans un parc bien connu pour cela. Pendant que j enchaînais les bites et gagnait du fric il se faisait bronzer au bord du lac voisin. Ce jour là un type d une cinquantaine d année me fila son 06
Si tu veux t en sortir appelles moi.
Le mec était pas mal. J eu le malheur de lui donner le mien. Pendant des semaines il M envoya des sms insistant pour me revoir. J essayais de dissimuler ces sms mais fab a un don de double vue. Un matin après s être vide dans ma bouche Il me demanda mon portable dont il avait le mot de passe. Naturellement il tomba sur une dizaine de sms que j avais oublié d effacer. J étais à genoux nu mains sur la tête.
C est qui ce Max il me demanda avec mépris. Je lui expliquais que je l avais croise au parc lorsqu'il m avait fait la pute et que depuis il M envoyait des sms.
Tu as baise avec lui salope me demanda t il
Non Maître je vous le jure fis je
Comment il a eu ton no de tel demanda t il
Ben je lui ai donné fis je en rougissant
Pourquoi crevure demanda fab
Je ne sais pas maitre il était insistant..
Il fit bien et se dirige à vers l armoire ou il rangeait ses objets sexuel.
Mets toI debout et penchés toi. Je M exécutait aprehendant ce qu il allait se passer. Sa main passa sur mes fesses qu il claqua sans ménagement.
La cravache s abâtit sur mon dos sèche et froide me faisant pousser un cri de douleur.
Tu comptes salope
Je fis 1
La cravache s abâtit sur mes fesses. Le maître dit un tu ne donnes pas ton no de tel sans mon accord
Je fis 2 la cravache s abâtit au dessus des fesses Deux fit le Maitre, je veux tout savoir de tes conversations perso.
Je fis 3 la cravache s abâtit entre les epaules. Trois je veux rencontrer ce mec.
Je fis 4 la cravache me frôlant les couilles et s abâtit sur mes fesses. Quatre je veux le voir dans la semaine.
Je fis 5 la cravache s abâtit 4 fois sur mes fesses. Cinq tu vas bien l allumer pour qu il vienne.
Je fis six la cravache m explosa le dos. Six une fois ici je vais le loper et en faire ma pute.
Je fis sept mes fesses ne furent plus que douleur. Sept je veux son nom et son adresse.
Je fis huit je ne sentais plus mon dos ni mes fesses. Huit tu vas lui dire que tu veux partir avec lui.
Je fis neuf je n étais plus que douleur intense comme un mega coup de chaleur
Je fis dix ce n était plus que des coups et je pleurais en le suppliant d arreter. Ce ne fit le cas qu a vingt.
Il rangea la cravache et me demanda ce que je devais faire. Une fois bien assuré que j avais bien compris il me demanda de me mettre à genoux devant lui. Il était en erection. Fais ton travail salope dit il. Je posais mes mains à plat sur les cuisses et pris sa bite en main. Je l à valais entière comme il aimait. Il ne me laissa pas longtemps l initiative et me pilonnage la bouche. Je me remplis devant bave de haut le coeur et bien sûr au final de son jus. Je lui nettoyais la bite.
Bien salope vas me préparer mon ptit déjeuner et ensuite au travail
Yann380
Autres histoires de l'auteur : La pute à fab