Je m'appelle Léo, j'ai 18 ans et je suis en terminale scientifique dans un lycée de campagne où 1500 élèves se côtoient chaque jour. Châtain avec des reflets blond, la silouhette athlétique, un mètre soixante-quinze, je ne suis pourtant sorti qu'avec une fille et j'ai depuis multiplié les râteaux et les déceptions chez les deux sexes.
À ce moment de l'histoire, personne ne savait que j'étais bisexuel. Je traînais souvent avec mes deux potes Lucas et Charlie. Le premier était assez petit mais avait la silouhette bien élancée, musclé séchement, brun, la peau d'un blanc pur et des yeux bleus froids comme la banquise. Le second était d'origine tunisienne et avait ma taille, la silouhette de Lucas, la peau basanée et les yeux noisettes. Nous formions le trio de tête de la classe, non pas par rapport aux notes dont celles de mes potes n'étaient pas à vanter, mais en terme de popularité. Charlie sortait avec une fille d'un an sa cadette et Lucas cherchait désespérément, tout comme moi.
Ce jour-ci, un mois et demi après les vacances de Noël, Charlie avait 18 ans et nous apprenais qu'il voulait le fêter en organisant une grande soirée. Ayant déjà eu tous les deux 18 ans, Lucas et moi étions conscient qu'il devait les fêter s'il ne voulait pas regretter et il nous demanda alors si l'un de nous voulait bien prêter sa maison pour l'occasion. Lucas proposa aussitôt et il fut conclu que nous nous amuserions chez lui avec toute une bande de potes pour fêter l'anniversaire de Charlie.
J'avais toujours était attiré par Lucas, il était irrésistible et nous étions très proches l'un de l'autre. Bien-sûr, je ne lui en avais jamais fait part car je le savais hétéro. Mais je gardais secrètement l'espoir que l'un de nous fisse un jour le premier pas ; à chaque soirée, je pensais qu'avec quelques verres, il serait peut-être dans l'embarras de me refuser un baiser. J'étais donc excité à ll'idée de faire cette soirée.
Ce soir-là, j'arrivais donc en retard, comme d'habitude, pour arriver à la soirée alors qu'elle était déjà vivante. Je vis Charlie et allai lui faire la bise pour son anniversaire. J'aperçus Lucas et fis de même. Il y avait beaucoup de monde, et j'avoue qu'il ne manquait pas de belles fesses :que des hommes ! et de beaux culs traînaient.
Les verres se remplissaient et se vidaient. Les joints passaient de main en main. J'étais avec Lucas sur les marchés de l'escalier et tout-à-coup, nous nous demandâmes où était passé notre acolyte : " Il est peut-être en train de baiser avec sa meuf " me dit Lucas en rigolant comme s'il était ivre. Je lui répondis alors du tac au tac : " Allons voir dans ta chambre ! "
Nous montâmes vite les escaliers, et, rigolant, nous bondîmes en ouvrant la porte à grand coup. Nous étions tellement déçus de ne rien trouver dans sa chambre (car nous étions dans sa maison) que nous nous allongeâmes sur son lit.
Il me fit alors part de son envie de sexe :
" J'ai grave envie de sexe Léo...
-Ah oui ? Ben, c'est pas de chance, il n'y a pas de meufs ce soir...
-Oui, c'est vraiment dommage... il faut que je me soulage pourtant, dit-il de sa voix hillare de par l'alcool.
-Branle-toi si t'en est à ce point, répliquai-je en feignant de rire.
-Bonne idée Léo, on se mate un film ?
-Pourquoi pas, dis-je, riant de surprise et d'étonnement. "
Il sortit son portable et mit un film porno, hétéro évidemment. Je bandais déjà auparavant mais, voir Lucas commencer à bandais m'excitais. Il se massait l'entrejambe et entreprit de baisser son pantalon et son caleçon. Je me levai pour fermer la porte de la chambre et me déshabilla avant de m'allonger à nouveau.
Lucas avait commencé à se branler mais il s'arrêta d'un coup alors que je commençais moi aussi. Il dit : " j'ai plus de force mec... ". Il commençait à ranger son matériel mais je pris les devant et empoignai son chibre de 16 cm entre mes mains. Il me regarda d'un oeil vif et avait un rictus en coin.
" Ça peut peut-être t'aider si je te branle non ? " me justifiai-je. Il acquiesça et je fis quelques va-et-vient sur son membre. Il m'arrêta et me dit : " Tu veux pas me sucer, Léo ? ". Je n'en croyais pas mes oreilles. Je n'attendis pas et englobai son gland tout rose et assez imposant. Il gémit à plusieurs reprises et dit : " Mmh ! Léo, j'ai toujours su que tu serais à l'aise avec ma queue ".
J'étais nu et je commençais à mouiller sérieusement. " Ah ! Je crois que je viens... Ah ! dit-il". Je m'arrêtai tout de suite.
" Que fais-tu ? me lança-t-il.
-Tais-toi et laisse toi faire ".
Je le laissais se reposer vingt secondes pour qu'il ne jouisse pas et je lui mis un préservatif sur la queue. Il se doutait de ce que j'allais faire et ne dit rien. Je montai sur lui qui était allongé sur le dos et lui fit sucer ma queue en l'avançant et en la reculant dans sa bouche. " C'est pas mauvais " émit-il, grisé par l'alcool. Je m'enlevai de sa bouche et reculai pour me positionner au-dessus de son membre. Je m'empalai dessus progressivement, en gémissant car c'était ma première fois. Je sentais son membre viril rentrer dans mon corps et cela me procurait de plus en plus de plaisir. Lui prenait son pied ; sentant qu'il allait venir, il nous retourna et je me retrouvais le dos sur le lit et lui devant moi, me baisant sauvagement. Pendant qu'il continuait à me baiser, je me branlais et bientôt, j'éjaculai : cinq grand jets se répandirent sur mon torse. Lucas ne tarda pas et, sans se retirer, jouit toute sa semence dans mon être.
Il s'allongea, épuisé, je l'ambrassai et d'une voix suave, il dit : " c'était super bon, merci Julie ".
Leoder
Autres histoires de l'auteur : Un lycée et des potes