Le Prof de Sport
16:00 Cours de sport, putain ! J'avais beau avoir 18 ans, je détestais ce cours. Sérieux, qui a pensé que le sport était une matière utile ! Enfin, faut bien ci faire. Je sortis du cours de géo, passionnant bien sûr (c'est à dire autant qu'une sieste vol d'abeille), je traversa la cour avec des potes, passa deux ou trois rues, et arriva devant le gymnase puis j'entrai dans les vestiaires. Je me changeai en silence, tout en essayant de survivre à l'odeur infecte de la transpiration mêlée à l'odeur de basket, avant d'aller sur le stade en me marrant avec un pote. On arriva, et là, le prof nous demanda de courir deux tours de stade pour nous "échauffés" comme il disait (crédibilité: 0), mais on a obéit quand même. Malgré ma haine profonde pour ce cours, si j'arrivais à m'y rendre sans trop rechigner c'était à cause du prof: la quarantaine, avec des cheveux gris courts, toujours en jogging et en sweat ce qui nous empêchait pas de voir sa musculature énorme: il avait de gros pectoraux, avec des bras de la grosseur d'une jambe normale, et un gros paquet à l'entre jambe, accompagné d'un cul bien rond, aussi gros qu'une pastèque. Sans déconner, il avait un cul énorme mais on ne le remarquait pas avec toute cette virilité musculaire. Après 2 heures de course bien fatigante, nous repartîmes dans les vestiaires, nous nous sommes changés et on a quitté le gymnase. Arrivé devant le lycée (car oui j'étais en Terminale), je remarquai que j'avais oublié mon sac de cours, et que j'avais uniquement mon sac de sport ! Putain, la boulette ! Encore heureux que mon car ne partait que dans 45 minutes (oui, il arrivait hyper tard), je marchai dépité vers la salle de sport car j'avais trop la flemme de courir après les deux heures d'endurance. Quand je me retrouvai là bas, je filai vers les vestiaires pour mecs, mais je trouvai porte close (normal). Je partis alors vers la salle des profs de sport, et là, j'entendis Mr P. (mon prof) gémir, mais pas des petits cris efféminés, non ! Des petits gémissements bien grave: "Han, han, haan". Excité comme pas possible je pris mon portable et je commença à filmer le couloir dans lequel on entendait les glapissement du mec le plus viril du lycée, je m'approcha de la porte, passa un oeil et vis la scène la plus chaude du monde: mon prof était en cavalière sur un gros gode, montant et descendant, ces grosses fesses glissantes, ces pectoraux, abdominaux et biceps gonflés comme pas permis et, enfin, son visage ou se mêlait douleur intense et plaisir coupable. Après l'avoir observé et filmé pendant plus 2 minutes, j'arrêtai la vidéo et m'avançai dans la pièce emplie de médailles et de coupes de sport, puis toussota pour marquer ma présence. Il ouvrit les yeux et m'apercevant, je sentis la honte envahir son visage:
" - Tu, tu, tu... tu n'en parleras à personne, hein ? Me questionna t-il, les yeux pleins d'effroi
Peut être pas, mais il y a de fortes chances que je montres ça, dis je en lui présentant la vidéo, je pense que ça intéressera énormément de personne !
Non ! Non, non, non, je t'en prie ne fait pas ça, supplia t-il en se retirant du gode me permettant de voir sa verge qui comme son cul (oui je fais une fixette) était énorme: environ 22 cm ! Je ferrais ce que tu veux, mais pas ça, pitié... Avec tout ce stress, mon cul avait besoin de quelque chose, et puis...
Ton cul ? Putain, mais vous êtes une vraie salope, c'est pas possible ! Vous voulez une bite, mais tenez ! Dis-je avec beaucoup de calme et un grand sourire, en ouvrant ma braguette. Je sortis ma grosse bite, déjà bien dure, de 19 cm.
Il me fixa, à genoux, me demanda si c'était une blague, qu'il sucerait jamais un élève. Pour lui répondre, je lui prit sa bonne tête de salope et l'enfonça sur ma pine jusqu'à la garde. J'entendis alors les beuglements étouffés et ses yeux emplis de larme, et au bout de 10 secondes, je relâchais mon emprise et il me suça comme une bonne chienne qu'il était, salivant sur ma bite comme une sale pute, sa langue tournant goulûment sur ma verge. C'était trop bon, il avait vraiment une bouche de salope, bien chaude, et, alors que j'allais éjaculer, j'ai enfoncé mon gros bâton dans sa gorge de putain, et j'ai éjaculer 5 bons jets de sperme au fond de sa caverne. Ensuite, je suis resté bien fermement dans sa bouche l'obligeant presque à s'étouffer, puis, au bout de 10 ou 20 secondes, je me suis écarté, le laissant tomber avec son visage rouge alors que du sperme bien blanc s'écoulait hors de sa bouche. Je l'ai retourné pour le prendre en levrette, puis j'ai placé ma bite près de son imposant cul avec ces bonnes fesses bien rondelettes, et là, sans prévenir je l'ai enculé bien à sec, ma verge s'enfonçant dans son fondement, bien profond ! Je l'ai défoncé, mes flancs frappant ses fesses musclées, ma pine détruisant son anus. C'était tellement bon d'entendre ce gros mâle hyper musclé, lopé comme la plus moche des salopes, beuglé comme un porc, alors que son derrière me servait de vide couilles. Soudain, je sortis tranquillement, il soupira, avant que de m'enfoncer bien profond et d'un coup dans ce garage à bites ! Il gueula de sa voix bien grave, ses grognements d'animal en rut résonant dans le couloir. Je regardai sa face pleine de transpiration, de sperme séché sur ses joues rougies par l'étouffement subi, la douleur et l'humiliation déformant son beau visage. Et alors je sentis ce goret beaucoup trop beau et musclé resserrer son trou du cul autour de ma verge avant qu'il n'éjacule sur le sol, sans se toucher, comme une salope. Peu de temps après je remplis son fondement de ma sauce, et sortit ma bite de mon prof, le laissant s'affaler comme une merde sur le sol. A ce moment, il n'était qu'une loque, du sperme blanchâtre sortant de tous ses orifices. Qu'est ce que c'était bandant de voir ce tas de muscle, transpirant de virilité, soumis comme une grosse salope en chaleur, réifier en vide couilles. Je pris les clés, alla ouvrir les vestiaires pour récupérer mon sac, puis revint dans la salle des profs. Il était toujours là, la respiration haletante, et à ce moment je sentis mon côté pervers m'envahir. Je me rapprochais le prit en photo sous toutes les coutures, puis enfonça profondément les clés dans ce cul défoncé, il n'émit qu'un pauvre gémissement. Après cette bonne partie, je quittai la salle de sport car mon bus allait bientôt arriver.
Fossoyeurdesexe
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