J'avais entendu parler des cabines " gloryhole " d'un sex-shop où l'on pouvait sucer (ou se faire sucer) des bites en restant anonyme. Je m'y rendis avec la ferme intention de profiter de l'occasion en cette journée pluvieuse pour assouvir un
fantasme de " salope suceuse ".
Je choisis une grande cabine au fond du couloir et je me mis à poil après avoir vérouillé la porte. Il y avait plusieurs trous
dans les cloisons d'où les bites pouvaient apparaître... Au bout d'un certain temps une grosse et longue bite en érection
avec un beau gland décalotté et des bourses gonflées de sève se présenta et je ne perdis pas une minute pour la prendre
dans ma bouche et la pomper goulûment tout en le branlant.
Le résultat ne se fit pas attendre car au bout de quelques minutes minutes, il déchargea en poussant un grognement et je
reçus de belles giclées de foutre bien méritées sur mon visage et sur le torse.
Je n'avais jamais reçu autant de foutre de ma vie ! Je le repris dans ma bouche pour le " nettoyer " jusqu'à la dernière
goutte. Quand La bite débanda se retira, j'en profitai pour me nettoyer grâce au rouleau de papier ménager mis à
disposition dans la cabine.
Ça m'avais bien excité et j'attendis la prochaine bite avec impatience. Elle apparut à travers un autre trou plus bas et je ne
fus pas déçu car elle était au moins aussi grosse et aussi longue que la précédente.
J'approchai pour la pomper, d'abord pour la faire bien durcir mais je ne pus résister à une grosse envie de me faire
enculer enfin par une grosse queue...
Appuyé contre la cloison, je me cambrai afin de lui présenter mon petit anus pour qu'il l'enfile. Il rentra d'abord le gland,
puis après quelques poussées , il me pénétra d'un coup sec jusqu'aux couilles, ce qui m'arracha un cri de douleur.
Il m'encula sans retenue. Sa grosse queue me brûlait, me déchirait. Puis la douleur diminua pour cesser, remplacée par
une douce chaleur qui envahit mes entrailles. Ses coups de boutoir me faisait du bien à présent et j'aurais aimé que ça
dure plus longtemps mais il finit par décharger des giclées d'un foutre chaud et épais au fond de mon cul.
Après s'être essuyé sur mes fesses il disparut dans le trou d'où il était venu.
Je reviendrai souvent dans ce sex-shop offrir ma bouche et mon cul à des belles bites anonymes mais j'avais aussi des
rêves de bukkake...
Rectoverso
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