C'était en 1999, je travaillais à l'époque pour un fast food dont le symbole est un "M".
Le restaurant se situait dans un centre commercial de l'Essonne, qui a bien changé aujourd'hui.
J'étais alors âgé de 26 ans plutôt basique, 1m78, 75 kg, blond, les yeux bleus. Finalement pas si mal que ça ! (Sans me vanter)
Un après midi de février de cette année là, après mon service, comme souvent, je me dirige vers les toilettes du centre commercial, qui étaient aussi un lieu de drague... J'y ai passé de bons moments. Au fil du temps dans le platre des cloisons qui séparaient chacune des cabines, avaient été creusés des trous permettant d'observer les occupants de la cabine voisine.
Je me suis donc installé comme à chaque fois pour y matter une belle bite ou un branleur. Sauf que cette après-midi, rien à voir !
Après une bonne demi heure, je décide donc de partir.
En sortant je remarque un beau mec dans les même proportions que moi, mais plutôt chatain. Il était là à attendre... Je passe devant lui et le regarde, mais je ne sais pas s'il m'a vu. Il était en train de regarder son portable.
Je suis sorti du centre commercial, me retourne et je vois qu'il en a fait de même... coincidence ?
Je marche sur le parking et je constate après un nouveau bref regard en arrière, qu'il me suit ! (Chic c'est mon jour de chance !)...
Je me dirige donc vers un petit bois sui se trouve juste derrière, en espérant qu'il me suivra. Et là BINGO !
Je m'enfonce donc dans le bois et fini par m'arrêter pour permettre à mon suiveur de me rejoindre.
- Moi : Salut !
- lui : Salut, qu'est que tu fais dans ce bois ?
- moi (en souriant) : je me promène et j'espère faire de bonnes rencontres.
- lui (en répondant à mon sourire) : et par ce froid, tu ne risque pas d'en faire beaucoup...
- moi : il y a toi, c'est déjà pas mal !
- lui : et que veux tu faire ?
- moi : on pourrait s'amuser ? Non ?
- lui : Ici ? Par ce froid...
C'est vrai qu'avec les 3 ou 4°C, ce n'était pas du plus grand conford.
Je lui propose alors de retourner au centre commercial, mais il préfère rester sur place de peur d'être repéré par un de ses collègues, car il bosse dans l'hyper.
- lui (avec un air pervers) : tu suces ?
- moi (très intéressé) : oui, j'aime bien...
- lui : parfait, cela me réchauffera, mais je pense pas qu'on pourra plus aujourd'hui.
On se dirigea donc dans le fouret, et on commença par quelques pelles, avec la langue. Il embrassait plutôt bien, mais très rapidement, il fît pression sur mes épaules, assez fortement et virilement pour que je m'accoupisse au niveau de sa braguette. Je fîs donc le travail pour déballer ce que finalement je convoitais depuis le début.
Je découvris alors une bite de taille résonnable et complètement bandée. J'approchais ma bouche et engloutit son chibre et commencer ma pipe.
Elle était à la fois douce et parfumée de cette odeur du mâle qui a travaillé, mais pas écoeurante... Juste ce qu'il fallait pour qu'elle soit agréable en bouche.
De son côté il n'était pas inactif, car il marquait ma pipe de légers mouvements du bassin, qui devenèrent de plus en plus rapides !
Il prenait soin de ne pas m'étouffer et semblait apprécier mes jeux de langues que ponctuais régulièrement quand je reprennais mon souffle.
- lui : putain ! C'est trop bon ce que tu me fais, j'en oublis le froid !
Je relevais simplement les yeux et continuais à le sucer.
Après une dizaine de minutes d'exercice, que je pense j'aurais pû faire durer sans le froid, il fini par lâcher un râle, qui ne me laissait aucun doute sur la suite. Il lâchat plusieurs jets de son jus doux, sucré, et chaud dans ma bouche...
Je gardais alors le nectar en bouche et l'ouvrit ensuite pour lui montrer son offrande et l'avalait ensuite.
- lui : ben toi, tu sais chauffer quelqu'un !
- moi : Merci à toi !
- lui : Branle toi, maintenant !
Je sortis alors ma bite et exécutait alors sa demande.
Il m'observa en train de me faire plaisir et m'embrassat, (il avait déjà remballé sa bite) et me carressat la nuque.
- lui : Préviens moi quand tu vas venir.
- moi : ok
- lui : viens !
- moi (en gémissant) : ça vient !
Il approchat alors sa main de mon gland, d'où sortirent plusieurs jets qui finirent dans le creux de celle-ci.
Il me regardat alors et doucement portat sa main à ma bouche.
- lui (doucement, sans autorité) : Lèche
Ce que je fîs, sans me forcer !
Il me regardat quelques secondes et m'embrassat à nouveau de toute sa langue.
- lui : c'était bon, mais je pense qu'on va geler...
- moi : oui, tu veux retourner au centre commercial, on pourrait y boire un coup ?
- lui : non, il faut que j'y aille...
On s'est finalement séparé...
J'ai par la suite cherché à le retrouver près des toilettes à mes fins de services. Mais je ne l'ai jamais revu...
Fab
Autres histoires de l'auteur : Près du centre commercial