Suite à une très grosse déprime ma fille à été hospitalisée et devait par la suite séjourner en maison de repos. Je suis donc allé chez eux pour soulager mon gendre Alban des taches ménagères et m'occuper de ma petite fille (14 mois) J'ai 46 ans 1,81m, 76 kg, un physique bien proportionné avec un sexe de 19 x 4. Moi Fred je vis avec Fabien depuis 8 ans. Mon gendre est parfaitement au courant et nullement gêné de mon homosexualité.
Les fluctuations du moral de ma fille ont fortement ébranlées le moral de mon gendre, mais ce soir lorsqu'il rentre du travail et avant qu'il aille prendre sa douche comme tous les jours après son travail, je lui annonce que ma fille (que j'ai vue l'après midi) semble plus apaisée ce qui lui met un peu de baume au coeur.
Le soir rien qui m'intéresse à la TV. Je laisse Alban devant son ordi préparer son travail pour le lendemain et l'informe que je vais prendre une douche et vais lire dans ma chambre. Ma chambre est assez éloignée de celle de ma petite fille qui dort.
Je suis allongé depuis une demi-heure sur mon lit en boxer absorbé par la lecture de mon livre lorsque j'entends la poignée de la porte tourner et mon gendre en caleçon de nuit entrer et refermer la porte derrière lui. " Je peux rentrer" je lui réponds en tapotant la couette à coté de moi "Ben oui viens t'assoir". (J'ai souvent vu mon gendre en maillot de bain ou en boxer le soir au sorti de la salle de bain. Il est superbement proportionné, il fait 1,88 m pour 74 kg de muscle. Il a une musculature sèche et des épaules larges car c'est tout récemment qu'il à fortement réduit ses entrainement à la piscine pour n'y aller qu'une fois par semaine).
Je pose mon livre et Alban s'allonge à coté de moi, il s'est mis sur le coté et je me tourne vers lui pour pouvoir discuter. Il me dit que c'est dur et qu'il est content que je sois là car il se sent seul dans le lit conjugal. Pour l'apaiser, je passe mon bras autour de son cou et le serre fort dans mes bras comme un père ferait avec son fils. Je n'ai aucune intention déplacée car c'est mon gendre et c'est un gendre parfait. Profitant que vous soyons l'un contre l'autre, (nous sommes tous les deux seulement vêtu de nos sous vêtements, voila qu'il me fait un baiser sur la bouche. Surpris de ce geste je n'ai pas le temps de réagir qu'il met ses mains sur chacune de mes joues et me fais un deuxième baiser sur la bouche et je sens sa langue sur mes lèvres. J'ai un geste de recul et lui dis: " Alban qu'est ce que tu fais?".
- Il me répond par un: "chut j'ai envie de faire l'amour avec toi" (C'est la première fois qu'il me tutoie).
- Je lui réponds: "Mais Alban je suis ton beau père",
- Ce à quoi il me réplique: "Et moi ton gendre et alors?"
Il pose une main sur le bas de mon visage et ouvre ma bouche pour aussitôt me rouler une pelle. Je suis sidéré, Alban me roulant une galoche je suis gêné. Je n'ose plus opposer de résistance car je vois dans ses yeux une étincelle d'excitation auquel je n'ai pas le courage de résister. Sa main descend sur ma poitrine, me caresse le téton gauche. C'est une de mes zones fortement érogène et je capitule pour le laisse faire. Il descend ensuite sa main sur la bosse qui grossie dans mon boxer et commence un doux vas et viens qui ne fait qu'accentuer mon érection. Je sais par une réflexion qu'avait faite ma fille quelques mois plus tôt que la nature la bien doté coté sexe.
- Alban me chuchote à l'oreille: " Tu es le meilleur des beaux pères "
- Je lui réponds : "Et toi le meilleur des gendres"
A ce moment toutes les barrières s'effondrent. Je passe le revers de ma main sur ses tétons ce qui le fait aussitôt gémir de plaisir. Alban entreprend de baisser mon boxer, je l'aide un peu en soulevant mes fesses et à l'aide de son pied il fini par m'enlever totalement mon sous vêtement, je suis complètement à poil devant lui. Je l'imite aussitôt pour malaxer ses fesses. A peine est il totalement nu qu'il ne fait basculer sur le dos et le voila qu'il s'assoie sur mes jambes. Il prend alors nos deux sexes dans sa main et branle nos deux queues ensemble. Je constate qu'il est bien monté 21x 5.
Il se penche pour me suçoter les tétons cela m'électrise, je m'accroche à son cou, il me roule une nouvelle gamelle et je profite de ce moment pour le faire basculer sur le dos. C'est maintenant à mon tour de lui pincer les tétons, ce qui le fait s'arc bouter tant il aime ça. Je continue en tournant avec ma langue autour de ses tétons. C'est si bon pour lui qu'il relève les bras offert, prêt à profiter de toutes les caresses que je lui fais. Ma langue descend de ses tétons à son nombril, cela le fait râler (heureusement que la chambre est éloignée de la petite). Je continue ma progression pour arriver à son gland, je commence par lui lécher puis je descends sur ses couilles pour remonter jusqu'au méat. Je l'entends dire : "Ho ouiii, putain c'est bon!). En lui écartant les jambes je redescends pour lui faire une feuille de rose. Comme il est très peu poilu et que je sais par ma fille que par goût elle n'aime pas les poils j'ai devant moi un pubis, des couilles et un anus totalement vierge de tout poil avec une queue de 21 cm dure comme un bâton.
Alors que je suis entrain de lui bouffer le cul Alban me demande : "Donne ta queue!" Je me mets sur le côté et nous commençons un 69 comme si nous n'avions rien mangé tous les deux. Pour un débutant il se débrouille plutôt bien et je n'ai pas à lui dire de faire attention à ses dents sur ma queue.
Je lui suce la queue et le branle, Je comprends qu'il est surexcité car il abandonne rapidement le pompage de ma queue et laisse retomber sa tête sur l'oreiller. Je crache dans ma main pour lubrifier pendant que je le branle, il couine littéralement. J'entends un: "Ho oui ho oui" et il décharge plusieurs giclées de sperme qui se répandent sur son ventre, sa poitrine et mon bras. Il est essoufflé je lui lèche alors la poitrine pour récupérer du sperme qui a atterri sur son cou et je lui roule un patin, son sperme est échangé entre nos deux bouches alors qu'il me serre dans ses bras.
Interrompant notre roulage de pelle Alban me dis:"Putain c'étais trop bon je ne pensais pas que c'était comme ça mais rassure toi, j'ai jamais rien fait avec un autre mec ni une autre fille, je suis fidèle, mais avec toi c'est différent, avec toi pas de gêne et je me suis lâché. J'avais trop envie de ton corps, pour ton âge tu es canon!"
Je suis gêné par ses compliments et se rendant compte que je n'ai pas jouie il me dit : "Je t'ai pas excité?" "Ho si mais je suis plus endurant que toi (rire)". Il me caresse alors la poitrine, descend sur ma queue et me branle en faisant des rotations avec son poignet petit à petit il accélère le rythme, c'est moi maintenant qui couine et lâche un râle et balançant plusieurs jets de sperme qui atterrissent sur son ventre.
Alban me prend dans ses bras et je me retrouve allongé sur lui, je sens qu'il fait des ondulations pour mélanger et enduire nos ventre de nos sperme. Il me sert fort dans ses bras et me dis alors : "Nos sperme mélangé c'est le ciment de notre complicité et de notre secret ".
- Pour continuer il me dit: "On dort ensemble cette nuit tu veux bien?". Evidemment je n'ai pas refusé et c'est enlacés que le sommeil nous a emporté.
Le lendemain matin nous nous sommes levés ensemble et nous sommes mutuellement débarrassés des traces de sperme séché sur nos ventres et poitrine sous la douche prise en commun. Il me dit apprécier mon bronzage intégral lui qui est passablement blanc car il ne s'est pas exposé au soleil depuis bien longtemps et, me dis t'il "Toujours en maillots" je luis fait part de notre plaisir moi et Fabien de passer des WE à la mer dans le plus simple appareil à mater les beaux culs des homos qui fréquentent cette plage. Je lui relate le sondage qui met en évidence le souhait de 50% des français qui aimerais au moins une fois gouter au naturisme. Il me dit qu'ils sont pudiques (avec sa femme) et pas prêt à faire cette démarche. Avant de partir pour son travail il m'a fait un dernier bisou sur la bouche et m'a dis :" Tu es génial, à ce soir, j'apprends beaucoup avec toi, passe une bonne journée"
En fin de journée, dès son arrivée après le travail et encore habillé, il me rejoint dans la salle d'eau ou je donne le bain de ma petite fille et Alban me fais un bisou dans le cou puis il me donne une bonne tape sur les fesses en me disant: "J'ai hâte d'être à ce soir pour aller plus loin".
Ce "Plus loin" m'interpelle et je lui pose la question:
- "Comment plus loin?". "
- "Tu t'ais déjà fais enculé?" me demande t'il aussitôt.
- Je lui réponds: "Evidemment et j'adore ça, tu veux m'enculer?".
- " J'aimerai bien essayer avec toi" me dit-il en me caressant les cheveux.
- "J'adore ça mais avant j'irai me faire un lavement comme ça on pourra tout faire sans crainte OK" ?
- "Je pourrais en faire un aussi ?"
- "Pas de problèmes je te prêterai ma canule je l'ai toujours dans ma trousse de toilette"
- "Tu m'expliquera, c'est la première fois"
- Pas de soucis
Pour ne pas l'indisposé, même si lors de ses entrainement il avait vu des quantités de fesses et bites pendant leurs douches en commun (qui ne l'excitaient absolument pas m'avait-il dis-il) il n'avait jamais pratiqué ni vu de lavement. Le soir dès 20h30 j'étais dans la salle de bain et après cinq aller-retour douche /cuvette WC j'ai appelé Alban et lui ai fait une démo alors que j'étais déjà totalement clean de l'intérieur. Au moins la vue et l'odeur ne serait pas un frein à son excitation.
En l'attendant je retourne m'allonger sur mon lit. La salle d'eau étant proche de ma chambre je pouvais suivre au bruit toutes ses étapes, les rinçages dans la douche, les poses sur les WC. Il avait suivi à la lettre mes instructions et après 6 rinçages rentra tout sourire dans ma chambre la serviette de bain nouée autour des reins. Un peu provocateur, car il sait parfaitement que son physique est un de ses atout, il me dit en se déhanchant :
- "Alors comme ça je t'excite, je te fais bander?"
Effectivement il ressemble par bien des aspects à la statue David de Michel Ange excepté les cheveux qui ne sont pas bouclées mais raides et coupées courts et la serviette de bain lui masquant le bas du ventre jusqu'à mi cuisses. Comment rester de bois devant un physique aussi attirant et une pose aussi aguichante. Je m'approche de lui et m'agenouille sur le parquet, je glisse mes mains sur ses cuisses et remonte progressivement en lui caressant l'intérieur des cuisses ce qui lui fait rejeter la tête en arrière appuyé contre le mur. Je lui remonte la serviette pour laisser apparaitre son sexe hyper raide, à l'horizontal ses deux couilles lisses bien remontées.
La serviette de bain tombe sur le plancher et je n'ai pas à faire d'effort pour m'enfiler sa queue dans ma bouche. Aussitôt je sens Alban tendu. Je préfère ne pas trop prolonger mon taillage de pipe car je veux lui faire découvrir le plaisir de l'enculage. Je le prends par la main, m'allonge sur le lit et l'invite à se coucher sur moi. Il ne se fait pas prier et comme la veille pose ses mains sur mes joues pour débuter un roulage de pelle fabuleux. Pendant ce temps je plaque mes mains sur ses fesses super dures pour les caresser et les malaxer. C'est le pied car les fesses sont pour moi très excitantes si elles sont bien charnues ce qui est son cas. Je tente d'introduire un doigt dans son oeillet mais c'est si serré et il ne semble pas vouloir accepter une exploration plus profonde, je renonce.
- "J'ai déjà envie de te prendre, dis moi comment faire" me dit il
- "D'abord tu me titille les tétons et tu me les suces".
Alban répond aussitôt à ma demande. J'adore lorsqu'il fait des ronds autour de mon téton avec sa langue. Il profite de ce moment pour m'écarter les cuisses et se mettre à genoux entre elles puis, je sens sa langue descendre progressivement vers mon pubis aux poils très court. Je le sens sniffer dans ma courte toison mais il ne doit sentir que l'odeur me mon gel douche. Il attaque un léchage de ma queue en commençant par mes couilles pour remonter jusqu'au gland (Il a rien retenu la leçon que je lui ai faite la veille. Il apprend vite ce coquin!).
Alban est presque au bout du lit lorsqu'il me prend par les chevilles pour me relever les jambes et me gober les couilles. Il me rabat ensuite les jambes sur mon torse, et glisse ses mains sous mes fesses pour les relever un max. Il à sous les yeux mon oeillet qui n'attends que son bon vouloir. Prenant l'un des oreillers il me le glisse sous les fesses. J'ai envie de faire la pute totalement offerte. Prenant mes chevilles dans mes mains, j'écarte les jambes au maximum et lui dis : "Vas y Alban, baise moi, nique moi, mon cul est pour toi". C'est parole plus crues que mon langage habituel l'on surpris et il relève la tête pour me regarder droit dans les yeux. Voila maintenant qu'il passe sa langue sur mon oeillet, cela me fait couiner. Il recommence en démarrant bien à l'arrière de ma raie pour finir sur mes couilles. Je suis sûr qu'il doit voir que je m'ouvre du cul.
- " Je vais te niquer Fred, tu vas aimer"
- " Oui bourre moi, lime moi le derche tu m'excite trop"
Mes jambes écartées, il n'a plus les mains prises et peux commencer à déchirer une des pochettes de gel que j'emporte toujours dans ma sacoche (Il faut toujours être prévoyant non!) il m'enduit l'anus avec le gel et je lui déchirerai une deuxième pochette car ses doigts sont glissant. C'est moi qui lui badigeonnerai la queue de gel en le masturbant doucement. Je lui explique que je ne suis pas un " Garage à bite, que je suis habituellement assez serré du cul et qu'il doit y rentrer progressivement.
-"Dis moi et je ferai comme tu veux" me dit il.
Absorbé par le positionnement de son gland en face de mon anus, il commence par rentrer son gland et me regarde: "Ca vas?", d'un hochement de tête je lui fais signe de continuer. Il pose ses mains sur mes hanches et progressivement mais sans s'arrêter il enfonce son pieu dans mon cul. Je ne peux que laisser échapper un: " Ha" de plaisir. Alban commence à se retirer de mon cul puis tout juste sorti, fait rentrer sa queue à nouveau pour à chaque fois me tirer de soupir de plaisir. Il j'allonge sur moi et me roule une pelle tout en me limant. On ne peut pas faire mieux pour moi, c'est le pied. Ses vas et viens dans mon cul m'échauffe l'anus malgré le gel. Alban pose ses doigts sur mes tétons et commence à me les titiller, je sais que je ne tiendrai pas longtemps à ce régime de plaisir, j'aimerais qu'il prenne son pied en même temps que moi. Je lui titille moi aussi les tétons, il ouvre la bouche comme pour prendre une bouffée d'air frais, a ce moment je comprends qu'on n'est pas loin, lui comme moi de la jouissance. Je durci mon pincement de ses tétons, il ne dit pas "stop" mais pour seule réponse m'imite en serrant plus fort les miens. Je comprends que c'est à celui qui cèdera le premier. C'est maintenant du broyage de tétons, yeux dans les yeux alors qu'il continue doucement mais profondément mon limage de cul. Soudain je vois le visage d'Alban se crisper, il va jouir. Je luis dis: " Oui oui, envoie la dose, gicle moi ton foutre dans le cul". Je ne peux en dire plus car je sens l'onde de plaisir de la jouissance gagner mon bas ventre. Alban à les yeux révulsés, je sens ses giclées dans mon cul alors que j'ensperme nos ventres.
Nous sommes ruisselants de sueur et je lui demande de ne pas sortir tout de suite de mon cul. J'entoure sa taille avec mes jambes, nous ne formons plus qu'un lorsqu'il passe son bras sous mon cou pour me tenir la tête et m'embrasser à nouveau. Nous resterons bien dix minutes ainsi pendant lesquelles je récupérerai ma respiration et nos esprits. Alban me répète à nouveau qu'il n'avait jamais fait cela avant, que j'ai été un bon professeur et qu'il est prêt à recommencer quand je veux avec lui.
-" Alban tu voulais faire l'amour avec moi, Cà c'est de l'amour non? "
-" Ho oui, quel pied, je te boufferais partout Fred. J'aime souvent faire l'amour avec ma femme car je suis très demandeur mais avec toi j'ai découvert une autre facette de l'amour et de moi. Merci Fred" et il m'embrassât tendrement, il était émus comme moi de notre complicité et de cet amour que nous étions donné, comme quoi il est possible d'aimer deux êtres très fortement et distinctement. Pour lui j'étais un vrais PD car je me faisais enfilé alors que lui restait toujours l'actif (comme pour sa femme) et il lui semblait qu'il ne basculait pas dans le clan des homos. J'espère l'avoir convaincu que nous avons tous un coté homo et que le sien il l'a exprimé avec moi car il savait que cela resterait entre nous
Nous ignorons lui comme moi si l'occasion se présentera de nous donner de nouvelles fois des moments d'aussi forte complicité. J'ai rendu mon gendre heureux et si je lui ai permis de décompresser lors d'une période difficile pour lui, c'est déjà pas mal!
Jusqu'à mon départ trois semaines plus tard Alban et moi n'avant pas regardé la TV un seul soir (Curieux non! Lol)
J'ai résumé au maximum nos moments de complicité car il m'était impossible de me souvenir de tous les détails. Quand on passe près de deux heures tous les soirs à se laver, câliner, s'embrasser, se sucer, lécher, enculer, pris pas la passion et l'émotion je n'ai retenue que les souvenirs qui me sont revenu en tête. Nous avons partagé des moments uniques qui lorsque je les ai décrit sur l'oreiller à Fabien mon compagnon nous ont excités à mort et ont servi de piment pour des moments entre nous very hot.
Sigilée
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