Rien n'aurait dû se passer de cette façon pour ce voyage " rat d'église " dit " lune de miel " après 28 ans de vie commune. Qu'elle l'hypocrisie ! Mais j'y vais civiquement comme à chaque anniversaire même si d'années en années, c'est devenu l'hôtel des culs tournés entre nous. On n'est vraiment plus sur le même tempo, j'ai envie de baiser, elle de faire abstinence. Comment se rejoindre ? En fait, j'ai une épouse imprévisible lunatique fantasque qui préfère faire du shopping à Lisbonne en duo avec sa copine que je ne peux pas blairer, et me laisser à mon désoeuvrement.
Je préfère traîner à la piscine résidentielle pour reluquer les hommes surtout en conjecturant l'ironie de ce minuscule tissu dit " maillot de bain " ne dissimilant pas grand chose de notre intimité dite " trois pièces " cachée secrète offerte publiquement indécemment.
Les journées passent, je me languis d'une boulimie de lecture ne pouvant amener mon ordinateur portable à la piscine. Toute les demies heures, je fais trempette histoire de ne pas devenir écrevisse. Je rêvasse traînasse alors que je suis plutôt d'humeur à bouger. J'aperçois des jeunes avec un ballon, interdit en piscine, je leurs demande de sortir, d'aller sur le solarium désert. Pour me faire pardonner, je demande si je peux me joindre à eux.
-Papy, tu ne va pas faire le poids !
-On parie !
-C'est gagné d'avance !
-Deux équipes de trois en 15 minutes, nous menions 8 buts à 2.
- Respect le vioque, tu nous as scotchés.
- Je mettais bien gardé de dire que j'étais prof d'EPS
-Je vous offre une bière au snack dans le domaine de la piscine
- OK, mais plutôt un coke on n'a pas l droit à la bière.
J'ai repris ma lecture quand plus tard, j'ai surpris des trentenaires, ils étaient trois, à faire chier un mec d'une vingtaine d'années en le balançant dans l'eau à tour de bras. A peine remonté, il repartit au bouillon. A 15 Minutes de la fermeture la piscine s'était vidée ! Mon sang ne fit qu'un tour. Je sentais que je devais faire les gros bras. Je fis comme si je partais en embarquant mes affaires en prenant soin de passer derrière eux. Evidement les trois se sont retrouvé à la baille déconcertés dépités mouillés forcement.
-Qu'est tu nous veux le vioque ?
-Et vous au jeune que vous faites chier ?
- T'es son père ?
- Non son oncle !
-Tu crois que tu fais le poids contre trois mecs ?
-Sans problème ! J'enfile mon tee-shirt histoire de les impressionner sur lequel est inscrit " CRS MNS ".
-Mr se la joue frimeur, on dégage mais tu va nous revoir !
- Trop faciles les tantouses.
- Je veux voir vos badges.
- On ne savait pas.
- Me prenez pas pour un naze, c'est dans toutes les piscines résidentielles une obligation
-Skuze monsieur !
- C'est au jeune, qu'il faut vous excuser.
- Quoi encore ?
-Ce petit PD
Pas le temps de terminer sa phrase que ma taloche l'envoie à la baille.
-Je veux vos maillots de bain, vous avez 10 secondes
-Là tu rêves, c'est une blague ?
- J'ai l'air de rigoler ? Vous préférez que j'aille les enlever moi-même ?
- Celui qui remonte le nez en sang, on va rentrer comment ?
- Ce n'est pas mon problème, je vous laisse vos serviettes ! Votre truc, c'est d'humilier des mecs à trois contre un, ben je vais inverser les rôles. Et vous avez de la chance la piscine est déserte. Allez vos maillots de bain sur le champ !
-Puis quoi encore ?
Voulez que j'aille les prendre ? J'en agrippe un au passage que je déchire.
- Putain t'es un franc barge comme mec
-Et encore tu ne m'as pas vu au boulot !
- Je vais donner votre signalement au gardien qui ne va pas tarder, c'est la fermeture et l porte se ferme automatiquement (c'est un ex boxeur, je vous conseille pas de l'attendre). Je ne veux plus vous revoir sans badge, c'est clair ?
- Quel signalement ?
- Tout a été filmé par ma femme du balcon que je montre du doigt.
-Et si ont niqués ta femme ?
- Pas le temps de terminer, une torgnole l'envoie à l'eau.
- Mais, c'est un PD le jeunot, il l'affiche de partout.
- Circonstances aggravantes, discrimination, c'est répréhensible par la loi.
-Je vous vois tourner autour de lui, c'est avec un balai de chiotte que je vais vous défoncer le fion.
Nous avons vus trois cul nus sortir de la piscine, dépités mécontents rageurs rancuniers humiliés.
Le jeune ravis !
-Putain tu assures.
Les spectateurs aux terrasses jubilaient car il me connaissait redresseur de tord.
Sans me vanter, j'en avais sorti plus d'un avec des pizzas sur le bord de la piscine. D'autres sautant le grillage pour faire des bains de minuit. En fait je suis un doux taillé comme un rugbyman ayant fait 15 ans d'arts martiaux. Ça calme !
Et je profite lâchement de cet avantage.
Je ne suis pas anti-jeunes, mais anti-incivilité à fond, surtout dans une résidence privée.
Je préviens le gardien de l'incident à la fermeture. Lui dit que ma femme a tout filmé dès fois qu'ils les reconnaîtraient. Il me remercie et passe la voir elle t'aime bien ! Quand il me voit avec le tee-shirt,
-T'as encore fais du zèle,
- Ben, t'étais pas là forcément faut bien assurer la sécurité !
-Tiens prend les ces maillots de bain ! Ils vont sûrement venir les chercher
Le laissant fermer la piscine, je me tourne vers mon protégé.
-Tu t'appelles comment au fait ?
-Alfredo, j'ai dix neuf ans
-Qu'importe, tu n'as pas à te faire humilier en public.
-Ce n'est pas la première fois qu'ils me cherchent, je n'ai aucune chance ils sont toujours en nombre.
- J'étais bien seul moi !
- On n'a pas la même carrure, ni le même tee-shirt, Ironise t'il
- Le tee-shirt ; c'est du flan, je l'ai emprunté à un copain CRS.
- Je remarque son bracelet brésilien Gay à son poignet, et sa cheville.
- Ce n'est pas un peu provoquant d'afficher ta différence ?
- Mon amant dit qu'il faut que j'assume m différence.
- Il est ton protecteur ?
- A paris, Geoffrey 24 ans, arrive dans deux jours, il a des exams à terminer.
- C'est une crevette aussi ?
-Là, tu te moques ? Nous sommes deux Emos c'est vrai.
-J'ai bien dits deux crevettes.
J'arrête de t'embêter, tu as assez bu la tasse pour aujourd'hui. Je te propose qu'on fasse connaissance au snack de la piscine, tu veux bien ?
- Et ta femme ?
- Elle sait où je suis, avec qui, t'inquiet'. Son balcon c'est un mirador, elle voit tout, sait tout, la reine du commérage !
- Ca n'a pas l'air le grand amour vous deux ? Disons que c'est l'hôtel des culs tournés en ce moment. Comme ça pas de dispute chacun son lit ! Je peux t'avouer une chose ? Tu as beaucoup de courage d'afficher ta préférence sexuelle, moi je n'ai jamais su, ni pu ni essayé. Je l'ai toujours caché à ma femme, mes gosses.
- Quoi tu en es ? J'avoue que je suis à " voile et a vapeur " comme on dit.
- Ben là, je suis scotché !
- Ta femme n'est pas au courant ?
- Non, même après 26 ans de mariage.
- T'n'es pas entrain de me Blouser ? De me draguer ?
- Non, tu n'es pas mon genre.
- C'est quoi ton genre ?
- Les crevettes !
- Rires !
- J'attends de voir Geoffrey, et je vous prendrais tous les deux en Sandwich.
- T'est dégeu, ont est fidèles, et on file le parfait amour depuis 3 ans !
- T'inquiet ! Je te fais marcher, ce qui me ferais plaisir, c'est un whisky, ça te fait envie ?
Le snack refuse de nous en servir, il n'a pas la licence. Je lui demande ou je peux en trouver. Après bien des simagrées, il m'avoue en avoir une derrière le bar pour des clients Etrangers. Je pose 50€ cash sur le bar qui semble l'emporter pour un simple JB.
- Faut pas qu'on vous voit sortir avec sinon ennuis fiscalité contrôles délation, et pataquès...
- Puis je vous offrir une pizza ? Comme ça pas de rendu de monnaie ?
- j'acquiesce !
- Je ne suis pas très alcool s'excuse Alfredo, sauf une Desperados exceptionnellement compte tenu de l'émotion.
-Va pour deux Desperados, t'en emmènera une chez toi
- Je peux vous en avoir dans 15 minutes promis le turc, si vous acceptez garder boutique, et déguster pizz chez moi.
- OK ça marche !
Je me tourne vers Alfredo en lui demandant de choisir sur la carte. Il choisit une Calzone, moi une végétarienne avec poivrons oignons coeurs d'artichaut.
- Tu sais, j'avais bien une bouteille de whisky pour Geoffrey : un WESTLAND - 60 ans d'âge 60% que j'aurais pu te réserver. Ca m'a coûté un max !
- Vous avez quelque chose à arroser pour un whisky de cette qualité ?
- Nos 3 ans d'amitié ! Putain, c'est chouette ! J'aimerais le connaitre ton Geoffrey !
- Il arrive demain soir, il me manque grave. Je n'arrête pas de me faire agresser en son absence.
-Tu te comportes comme une " femen " pas étonnant qu'on te cherche.
-Tu penses vraiment ?
-Oui ! Dès demain 2 heures de full contact si t'es d'accord. Je vais te montrer ou s'est après le dîner ça sera plus discret.
-Mais tu vas me déboîter comme les autres mecs.
-Non respect, ais-je pris un seul coup ?
- Non
-C'est ça que je vais t'apprendre à éviter les coups et à toiser tes adversaires
Nous sommes dans son studio installés sur le canapé en sirotant plus que de raison le JB du pizzaïolo Turc lorsque le téléphone de mon épouse textotte. Vous comptez rentrer quand les garçons que je fasse la cuisine. Elle savait que j'étais avec mon protégé de la piscine. J'avais volontairement mis le HP pour qu'Alfredo entende. Avant même d'entendre son refus, j'annonce qu'on arrive dans un demie heure tapante. Alfredo me confie que je lui sauve la vie, il n'avait qu'un boite de raviolis pour ce soir. Comme pour s'excuser, j'ai tout craqué ce que m'a donné Geoffrey pour la semaine. Je lui glisse en " lousdé " un billet de 50€ sous le cendrier. J'avais torché la moitié de la bouteille de JB. Je lui demande si je peux prendre une douche pour désaouler. Il acquiesce ! Me montre la SDB, je me désape dans le salon sans prêter attention à Alfredo qui me reluque avec insistance. Je prends ma douche très chaude brûlante, réalise que je n'ai pas de serviette. J'allais appeler Alfredo quand je l'aperçu nu avec une serviette me reluquant, et se masturbant.
-Putain t'a une sacrée gaule dis t-il !
- la faute à qui ? Tu peux me rejoindre si tu veux
-Non Geoffrey n'aimerait pas ?
-Il n'est pas là ! J'ai vérifié, et il n'y pas de webcam.
-je préfère te regarder si tu veux bien.
-Tu ne l'as jamais trompé même avec une meuf ?
- Non, enfin si, on se partage les filles !
- J'insiste je veux juste te savonner
-Tu jures, tu ne vas pas profiter de la situation ?
-Si je mens, je vais en enfer
- Si Geoffrey, l'apprend, je suis à la rue sur le champ.
- C'est lui qui te chaperonne
- Oui !
-Rassure toi, ça sera secret défense
Je le croyais prude mais son savonnage n'a pas empêché qu'il me branle ma verge devenue turgescente coquelicot au bord de l'explosion. C'est Geoffrey qui va être content lui dis-je bêtement, dans quel état tu m mets !
Inquiété, torturé, il me supplia de ne rien dire m'implorant larmoyant.
Rire...
-Tu peux continuer encore, je vais jouir me dis Alfredo ?
- Une condition alors, une seule : Que tu m'offre ta purée en bouche !
- Putain je n'ai jamais eu fellation aussi douce ! Tu es tout son contraire de Geoffrey : Lui c'est me défoncer le fion violement pour se vider les couilles an me faisant hurler de douleurs, toi c'est tendresse câlins... Même quand tu te bats tu n'as pas l'air violent, juste ce qu'il faut !
-Geoffrey n'en sera rien, je te le promets. Emancipe toi Alfredo, c'est quoi ce mec pour toi ? Un mac, un mécène, un tyran, un grand frère ?
-Bien pire, mon cousin !
-Je suis scotché, T'as une tof de lui ?
-Regarde !
-Des rouquins, Je comprends mieux pourquoi je flash sur toi, et vous deux.
-Qu'est.ce que t'as avec les rouquins ? Je les kiff !
-Je vais t'apprendre à l'amadouer ton Geoffrey .
- Pour de vrai ?
- Par ce que je veux que vous deux ça dure durablement mais je ne connais pas ton Geoffrey alors je ne sais pas s'il te mérite.
-Les rouquins sont plus sensuels, ma femme est rouquine tu verras ! Comme elle est chaude incendiaire ne te laisse pas faire, elle peut te dépuceler sans que tu t'en rendre compte entre deux plats.
- J'aimerais mieux pas ce soir !
- J'ai trop aimé notre intimité vraiment !
- Pourvu que Geoffrey n'en sache rien jamais.
-Je te le promets, c'est notre secret, à toi de gérer ce qu'il faut dire, et garder pour ton jardin secret.
Putain, que c'était délicieux cette sève chaude salée sucrée pleine de testostérone, de virilité en bouche. Nous nous embrassâmes longuement " en spermées ".
-J'ai l'impression d'avoir trompé Geoffrey.
-Arrête tes conneries, il ne sera pas toute ta vie
-Et moi, j'ai trompé ma femme avec toi ce soir ! Matche nul !
Un (re) texto de ma femme pour me prévenir qu'elle nous attend dardar.
-Elle est comment ta femme ?
-Comme toute les femmes, égocentrique aimant les compliments politesse séduction flatterie.
Tant fait pas, elle parle tout le temps pour se mettre en valeur. Mais j'enlèverais ton bracelet au poignet, sinon elle ne va pas te lâcher sur ce détail art en ciel.
-Peut pas dsl ! C'est pour cacher une phlébotomie (TS) au cutter, c'est mon cousin qui m'a sauvé la vie ce soir là. Depuis on est liés à la vie la mort.
- Une idée saugrenue, tu n'as pas un deuxième bracelet brésilien ?
- Celui de Geoffrey si, il ne peut pas le porter au bureau !
-Alors je te propose une deal, tu me le prêtes demain matin, je le porte sur la plage pour voir la réaction des gens.
- Faut pas que tu le perdes, Geoffrey va me démonter.
- Pétochard ? C'est ton ami, ton amant, ou ta terreur ce mec ?
-Ben c'est lui qui me nourrit me loge, me baise comme un fou furieux, et me fric. Mes parents m'ont jetés à la rue quand ils ont appris ma différence, je n'ai pas de taf en tant que saisonnier en ce moment, je n'ai que lui pour survivre.
-Il reste juste le week-end. Moi encore une semaine si je trouve du boulot. Sinon il revint m chercher.
-T'inquiet je vais t'en trouver du taf !
- Ta juste à me briefer tes compétences.
Nous retrouvâmes ma femme qui fulminait d'attendre. Elle nous avait concoctée poulet Basquaise, Alfredo adorait, un flan d'abricot délicieux. Concernant son bracelet auquel il ne put échapper, il répondit du tac au tac que c'était un " kdo " d'une fille Brésilienne avec qui il était sorti. Je prétextais dix milles raisons pour devoir ramener Alfredo sans son studio en expliquant qu'il attendait sa copine demain. J'eu doit à un coup de coude dans les cotes de sa part. Nous partîmes non sans amener les restes du flan aux abricots.
-Tu ne rentres pas à point d'heure, j'espère !
Je fais un détour pour lui montrer la sous station de la piscine. Là ou j'avais prévu de l'entraîner. Il était enthousiaste exalté même à l'idée qu'on pouvait mater incognito les baigneurs par les multiples hublots et les spots halogènes. Je lui montre le coin salle avec tapis que j'avais aménagé avec la complicité du gardien qui me confiait un double des clefs. Et malicieusement je lui glisse que pour les bains de minuits interdits j'avais prévu un déclenchement infrarouge que j'envoyais au syndic. Il fait une chaleur ici ! Ben c'est une piscine chauffée. Donc entraînement maillot de bains oblige.
Nous n'avions que 100 mètres à faire. Fatalement au dernier portail nous tombons sur les trois merdeux chercheurs de merde. Qui étaient cinq cette fois, prêts à en découdre. Instinctivement, je place Alfredo derrière moi pour le protéger.
-Tu fais moins le malin à cette heure sans public ?
- C'est quoi le problème ?
-On veut récupérer nos maillots de bains
-Demains 8 heures chez le gardien
-Et si on te dessoudait, avec le PD pour gagner du temps
-Je vous le déconseille, le gardien est très susceptible en soirée
-Et moi, excitable si on me cherche : J'enlève mon tee sort sur lequel est marqué " prof de Taekwondo ".
-C'est du flan tes T-shirts a 5€ de chez Monoprix !
-Venez me chercher !
-En moins de cinq minutes, ils étaient ensanglantés, KO, désarticulés, ensanglantés mâchoires cassées...
J'ai appelé les pompiers pour leurs signaler la situation. J'ai eu le temps de les dessaper et de les asperger avec une bouteille de vodka trouvée à proximité. J'ai eu la police pendant deux jours sur le dos pour faire déposition concernant cette agression auquel je ne mentionnais pas Alfredo naturellement. Je me suis bien gardé de faire état de ma licence sportive. Concernant leurs vêtements, j'ai prétexté n'être au courant de rien. Pour les suites hospitalières vu que mes agresseurs m'avaient formellement reconnus, ça m'a coûté 6 mois de retrait de licence sportive. Les laissant à oilpés sur le parking à 23 heures avec leurs papiers leurs clefs leur fric !
Nous sommes partis dans le studio d'Alfredo.
-Putain, t'assure un max, seul contre cinq mecs
-je suis prof d'art martial.
-Tu crois qu'il va m'apprécier ton chaperon que je te protège ?
-Il est hyper jaloux, Geoffrey ça m'étonnerait
-Qui a dit que je voulais te prendre comme amant ?
-Sous le douche, c'était plutôt chaud nous deux !
-Là je reconnais que tu as du potentiel ! Faut juste que je t'enseigne des trucs.
-Mais ce qui serait plus chaud brûlant, vous deux ensemble, maintenant que j'ai vu sa tronche
-Là, c'est pas gagné, salaud tu veux piquer mon mec !
-Non, je ne veux pas te le prendre juste le partager avec toi si t'es d'accord
-Ben là, ça va être dur, pour moi d'abord, encore pire pour lui car il est trop possessif.
-T'inquiet', si je n'ai pas ton accord, je ne ferais rien qui remette vos trois ans d'amitié
-C'est vrai ?
- je te le jure !
-Alfredo, j'ai une requête à te demander, peux tu me conduire à la gare demain soir ? Je suis à sec ! Enfin j'ai découverts tes 50€ sous le cendrier mais c'est pour nous deux, je te dois bien ça.
-Pas de problème pour le covoiturage à 18H30 demain.
-Putain, t'es un vrai mec de confiance
Je viendrais avec ma femme ça le netterra en confiance, enlèvera les soupçons
-Geoffrey est OK ?
- pas le choix sinon il rentre en stop
-Je lui dirais que je ne peux pas payer le taxi.
-Ton Geoffrey je vais en faire un " Steak Tartare " si tu continues à me le balancer à bout de bras à chaque décision à prendre
-Tu as peut être raison, je suis trop macqué...
-Tu l'as dit bouffi, mais je t'adore !
Nous avons étés chercher Geoffrey à la gare mais je crois que le feeling n'est pas passé. Aussi froid qu'une chambre réfrigérée ! Comme s'il avait deviné à la seconde notre complicité, et notre rivalité débutante autour d'Alfredo.
Jaloux comme c'est difficile d'imaginer, pire lui cherchant l'ascendant sur l'autre sans lâcher du lest.
J'ose péremptoire, ben pour des retrouvailles, c'est bataille rangée vous deux.
-T'es qui toi pour me faire la leçon ?
-Celui qui va te botter le cul si tu ne mets pas d'eau dans ton vin ! On ne traite pas son meilleur ami de la sorte.
-Excusez moi, j'ai passé une mauvaise semaine, et j'ai raté un partiel.
-Pense à Alfredo qui t'as attendu toute la semaine, ne parle que de toi, ne pense qu'à toi.
-Je suis un gros naze, je m'excuse vraiment.
Alfredo me faisait des clins d'oeil de remerciement dans le rétroviseur.
-Je leur souhaite un bon week-end.
- Sans trop y croire je leurs propose de venir prendre l'apéritif chez nous.
-Dsl pas ce soir, je suis d'humeur exerçable
- je glisse à Alfredo d'aller chez le Turc s'íl n'a pas de quoi manger, et de le mettre sur mon compte, il me connaît bien.
Un deuxième épisode dsl lecteurs s'impose car le Geoffrey c'est une ordure de première qu'il faut que je prenne en main !
Scoubidou38
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