Bonjour à tous, je m'appelle Laurent, j'ai 36 ans, marié, père de trois enfants, je vis à Saint-Jean-de-Luz depuis une quinzaine d'années, je suis très bien intégré socialement, je bosse dans une agence bancaire, je fais pas mal de sport en famille et avec des potes comme le footing, le vélo, le badminton et, Pays Basque oblige, du surf. Physiquement, je suis plutôt bien gaulé, 1m87, 78kg, musclé, brun, cheveux courts, yeux bleus, visage aux traits assez fins.
Sexuellement, je suis bisexuel. J'ai découvert cela à l'âge de 33 ans, avant je me croyais exclusivement hétéro et complètement épanoui. Un soir, nous étions un groupe réunis pour célébrer l'enterrement de vie de garçon d'un pote, nous avons picolés comme des trous, j'avais bien vu que je plaisais à un petit minet assis au bar, on en avait plaisanté avec les autres pendant une partie de la soirée, du coup, j'étais délégué pour aller passer les commandes et rapporter les verres, chaque fois, le mec me matait de la tête aux pieds en s'attardant bien sur mon paquet, quand nos regards se croisaient, il me souriait, devenait tout rouge, on voyait bien ce qu'il avait en tête. Quand nous sommes sortis du bar, j'étais bourré comme jamais, j'ai voulu rentrer à pieds de mon côté histoire de prendre un peu l'air. Voilà que le petit minet me rejoint, me propose de m'aider à marcher, j'accepte et nous voilà partis pour environ un quart d'heure de marche. Je me souviens qu'à un moment donné j'ai trébuché, pour me rattraper, il m'a mis la main au paquet, ça m'a fait bander, je l'ai plaqué au mur, il était terrifié, j'ai alors collé ma bouche sur la sienne et j'ai fourré ma langue dans sa bouche, il m'a ramené chez lui où il m'a servi un énième verre, après je ne me souviens pas de tout. Je me revois à poil en train de lui baiser la gueule, de l'enculer en levrette sur son lit, je me rappelle avoir joui dans son cul et avoir trouvé ça super bon, puis plus rien. Je me suis réveillé le lendemain vers 11h dans un pieu qui n'était pas le mien, dans un appartement inconnu, je me suis levé, fringué, j'ai trouvé un mot posé sur mon boxer : " Salut, merci pour cette nuit, t'es un super coup, reviens quand tu veux, claque la porte en partant. Romain ".
Putain, j'avais baisé avec un mec ! Ça m'a tout d'abord dégoûté et ennervé, les semaines sont passées et la colère m'est passée, je me suis même mis à repenser à cette nuit et, à chaque fois, je bandais et je devais me branler pour me calmer un peu. J'ai fini par me mettre en tête que je devais le revoir pour lui dire que je ne suis pas PD, que c'était une erreur. De temps en temps, j'avais des flashs de la nuit, je le revoyais sur moi en train de se faire chevaucher, sa queue tapait contre mon ventre, je m'entendais le traiter de salope, lui gémissait de plaisir sous mes coups de queue, ces souvenirs me déroutaient mais m'excitaient terriblement.
Un soir, je suis revenu devant chez lui, j'ai vu de la lumière, je n'ai pas eu le courage d'aller plus loin, je suis reparti en me disant que c'était une grosse connerie. J'y suis retourné la semaine suivante, j'ai sonné, j'ai failli partir avant qu'il ouvre, je n'ai pas eu le temps, dès qu'il a ouvert, une pulsion de rage est monté d'un coup, je lui ai sauté dessus, je l'ai embrassé, j'ai posé mes mains sur son cul et je l'ai poussé à l'intérieur, j'ai fermé la porte avec un coup de pied. Il m'a déboutonné ma chemise, je l'ai jeté sur le canapé, j'ai arraché son T-Shirt, baissé violemment son pantalon de jogging et son slip, j'ai baissé mon jean et lui ai collé ma bite bien raide dans la bouche. Il m'a fait une pipe comme jamais aucune femme ne m'en avait fait jusque-là, ses coups de langue, ses mains qui massaient mes couilles, ses va-et-vient, ses gorges profondes m'ont fait décoller. Au bout de 10 minutes environ, j'ai craché tout mon jus dans sa bouche, j'aurais voulu ne jamais m'arrêter de jouir. Une fois vidé, je l'ai relevé pour l'embrasser longuement, on s'est échangé mon sperme, je n'avais jamais fait cela mais j'ai adoré. Il m'a ensuite payé un vrai coup à boire et on a enfin parlé :
- " Je m'appelle Laurent, je ne sais pas ce qui m'a pris, une pulsion sexuelle très forte et incontrôlable. Je ne me reconnais pas mais je ne regrette pas, j'ai adoré ce que l'on vient de faire ".
- " Moi aussi j'ai adoré. Je voulais que tu reviennes après la nuit de baise de l'autre fois. Moi, c'est Romain, exclusivement passif et j'aime les hommes hétéros. Autant te dire que c'est un peu difficile, c'est pourquoi tu me fais kiffer ".
Déjà, je rebandais, je l'ai allongé sur le ventre, j'ai craché sur son trou, j'ai étalé avec mes doigts, j'ai branlé sa chatte, je l'ai doigté longuement, il mouillait et gémissait comme une femelle affamée. Une fois bien ouvert, j'ai craché sur ma bite et je la lui ai carrée d'un coup dans le cul.
Oh putain que c'était bon ! Chaud et humide mais suffisamment étroit pour comprimer ma queue, je suis resté quelques secondes dans son boyau sans bouger, juste pour profiter, puis je me suis mis à le baiser comme une pute. Jamais je n'aurais osé baiser ma femme comme ça, je ne m'en croyais même pas capable. Cette salope réveillait en moi une bête de sexe, un queutard. Plus il gueulait, plus j'accélérais la cadence et plus je renforçais mes coups de reins. Au bout d'un moment, je l'ai retourné sur le dos, j'ai relevé ses jambes et je l'ai rebaisé avec la même force. Il se cramponnait difficilement à l'accoudoir du canapé, gueulait de plaisir mais aussi de douleur. Je me suis mis à le branler, une nouveauté pour moi, je n'avais jamais touché une autre bite que la mienne, elle était un peu plus petite mais j'ai aimé lui faire ça, j'avais l'impression qu'il était entièrement à ma merci. Il a fini par cracher une belle quantité de sperme sur son ventre, ma bite a été comprimée au rythme de ses contractions jouissives, c'était très bon, ça m'a fait éjaculer bien au fond de sa chatte, j'ai poussé un râle incroyable et inédit. J'ai continué à le pilonner pendant quelques minutes histoire de bien le tasser et de prolonger le plaisir. J'ai fini par me retirer et je me suis assis sur le canapé, il a sauté sur ma queue pour me la nettoyer, j'avais l'impression de continuer à jouir tellement c'était bon :
- " Et ben dis donc, j'ai bien fait de venir ! "
- " Oh oui, j'adore les retrouvailles qui se passent comme ça. "
- " Tu sais, je ne me souviens plus beaucoup de notre première nuit, c'était aussi chaud ? "
- " Oui mais tu étais bourré, j'ai dû prendre les choses en main mais tu m'as bien baisé quand même trois fois de suite avant de t'endormir. "
- " T'es mon premier mec, j'en reviens pas d'avoir fait ça mais, même si j'ai aimé, je crois que je vais partir, c'est sûrement mieux ainsi."
- " Tu reviens quand tu veux ! "
- " On va s'en arrêter là, c'est plus raisonnable. "
J'ai remis mes fringues, il a voulu que je l'embrasse et je suis sorti. J'étais soulagé, bien, heureux. En route, je me suis arrêté dans un bar boire une bière histoire de faire totalement le point.
Au bout d'un moment, je suis enfin reparti sur les chapeaux de roue, je suis arrivé devant la porte, elle s'est ouverte, Romain a eu l'air surpris mais a souri, je l'ai baisé deux autres fois, contre le mur dans le couloir de l'entrée et dans son lit, comme la première fois. J'ai joui comme un adolescent submergé par ses hormones, j'avais oublié comme c'est bon de ne penser qu'avec sa queue, ce que nous reprochent constamment nos femmes !
Je suis ensuite rentré chez moi, il était très tard et tout le monde était au lit, je me suis endormi comme une masse en sachant que ma vie sexuelle ne serait plus exactement la même.
Pendant les six mois qui ont suivi, je suis redevenu Laurent l'hétéro, j'ai fait régulièrement et le mieux possible l'amour à ma femme, j'ai cru que l'épisode avec Romain n'était qu'un simple coup sans lendemain, je ne l'ai pas revu et je n'en ai jamais éprouvé le désir.
Voilà que, pour les deux mois d'été, arrive à la banque le jeune Jérémy. Une crevette de 18 ans, joli comme un coeur, intimidé mais volontaire et motivé, mon boss me le met dans les pattes pour le former. Quand je l'ai vu, j'ai immédiatement eu envie de lui arracher ses fringues pour le violer sur mon bureau. Les cinq premiers jours, je lui ai expliqué des trucs sur le fonctionnement de la banque et on a sympathisé, il s'est petit à petit détendu et a même commencé à me vanner un peu, puis à me complimenter sur ma musculature. Alors qu'il bossait sur un dossier, l'ordi a planté, ça arrive de temps en temps, je suis venu derrière lui pour le dépanner, il s'est penché vers mon torse et a pris une grande inspiration puis m'a dit adorer mon parfum, je suis retourné à ma place avec une gaule d'enfer, j'avais de plus en plus envie de le défoncer. Le vendredi soir, à l'heure de la débauche, il m'invite à boire un coup, je saisi l'occasion pour l'interroger sur sa vie histoire de confirmer ce que je pensais sur son orientation sexuelle. Il me parle de sa famille dont je me fous complètement, on aborde le sujet sur ma famille, je passe vite et je le vanne sur les meufs qu'un si joli minet doit lever. Il rougit, j'embraye en lui demandant ce qu'il pense des deux nanas assises à deux tables de nous et là, miracle, il me dit ne pas les avoir remarqué, par contre le mec encore une table derrière lui paraît pas mal. Je le mate discrètement, putain il me ressemble un peu, je demande à Jérémy si c'est son style, il me répond que oui et là, je sens sa main sous la table qui se met à me caresser la cuisse. Je le laisse faire mais je rajoute :
- " Tu sais que je suis hétéro ? "
- " Ouais, mais personne n'est parfait. Si tu veux faire un écart, je suis dispo ! Je ne vois pas pourquoi j'irai allumer le mec là-bas alors que celui qui me fait le plus d'effet est à la même table que moi."
- " T'as un truc de prévu dans l'heure qui suit ? "
Il m'a souri, s'est levé, je l'ai suivi, il m'a emmené chez lui, déjà dans la rue, je bandais comme un âne. Je n'ai même pas fait attention à son appartement, j'étais scotché sur son petit cul que je voulais bouffer et démonter. Quand il a fermé la porte, il a essayé de me parler, je lui ai bloqué la mâchoire avec ma main, il a ouvert la bouche, j'ai craché dedans avant d'y planter ma langue puis j'ai dit :
- " Fous-toi à poil ! "
Il a obéi sans discuter, je me suis dessapé en même temps tout en le regardant. Il était maigre, sans muscle et sans aucun poil sur le corps, il se faisait une épilation totale. Il bandait, reluquait ma bite bien raide en se passant la langue sur les lèvres, j'ai repris :
- " Où est ton pieu ? "
Il s'est dirigé vers la chambre, je l'ai suivi en lui foutant une main au cul, ça l'a fait sursauter. Arrivés dans la chambre, je l'ai soulevé et balancé sur le lit, avant qu'il ne réagisse, j'ai écarté ses fesses pour fourrer ma langue dans sa raie et dans son trou. Le salaud, il mouillait déjà et était bien ouvert. Entre deux coups de langues, j'ai dit :
- " Dis-moi, ça sert souvent ça ! T'as un mec ? "
- " Non, pas en ce moment, mais, depuis cinq jours, je m'éclate comme je peux en pensant à ce que pourrait me faire ta queue d'hétéro. "
- " T'inquiète pas, tu vas y goûter. Commence donc par venir me la téter un peu. "
En une seconde, ma queue avait disparu dans sa bouche, je la sentais au chaud dans une bouche accueillante et humide avec une langue qui me caressait le gland, j'étais aux paradis. J'ai poussé des râles de plaisir tout en fermant les yeux et en rejetant ma tête en arrière. Ses va-et-vient m'excitaient énormément, je l'ai laissé faire un moment puis, par reflexe, j'ai pris sa tête entre mes mains et j'ai commencé à donner des coups de reins. J'allais doucement au début puis de plus en plus vite et de plus en plus loin dans sa gorge, je l'entendais avoir des reflux, sa salive coulait hors de sa bouche, sur mes couilles, sur son menton et son torse, il pleurait mais ne manifestait aucune envie de stopper les mouvements, d'ailleurs ses mains étaient fermement accrochées à mes fesses et accentuaient les mouvements, j'ai donc continué à lui baiser la gueule. Au bout de longues minutes, je l'ai relevé, il s'est couché sur le ventre et m'a demandé de le baiser, ma queue dégoulinait de sa salive, j'ai longuement caressé sa raie avec mon chibre, au bout d'un moment, il a gueulé qu'il voulait ma bite au fond de son cul, qu'il ne pouvait plus attendre. Je me suis alors enfoncé d'un coup sec, j'ai eu l'impression que sa rondelle explosait et que je forçais son boyau serré, j'ai même buté au fond, il a hurlé de douleur mais j'ai commencé à le bourriner comme une pute en chaleur. Ses hurlements se sont intensifiés puis, au bout de plusieurs coups de reins, il a émis des gémissements de plaisir, il a même écarté ses fesses avec ses mains et m'a demandé d'aller encore plus profondément. Je l'ai baisé à fond pendant longtemps, je transpirais comme un veau, des gouttes de sueur coulaient de mon front et tombaient sur sa nuque et sur son dos, j'avais des crampes aux cuisses mais je ne pouvais plus m'arrêter ; à nouveau, je pensais uniquement avec ma bite et c'était bon. J'ai senti mon jus monter, je me suis enfoncé au plus profond de ses entrailles et j'ai tout largué, ça ne s'arrêtait pas, je l'ai rempli de 7 ou 8 jets bouillants !
Après deux ou trois coups supplémentaires pour bien le tasser, je me suis retiré et je lui ai demandé de me nettoyer la bite. Je me suis épongé le corps avec un de ses T-shirt qui traînait là, je me suis rhabillé et je suis parti sans rien lui dire, j'avais honte d'avoir cédé à cette pulsion mais, en arrivant chez moi, je savais déjà que j'allais recommencer dans peu de temps et que l'été allait être chaud bouillant, Jérémy allait être mon vide couilles !
Laurent
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