2 juillet : le jour de mon anniversaire (18 ans !!) et... des résultats du bac
Je me présente : Benoît, 1m75, 70kg, châtain aux yeux noisette. Bref, un garçon tout ce qu'il y a de plus normal. Fan de foot, de jeux vidéos, de belles nanas et de fumette. Ni premier de la classe, ni caïd. Juste un petit branleur qui se la coule douce avec sa bande de potes sans ouvrir trop souvent ses classeurs pour réviser
2 juillet donc. 13h. Je me réveille pour la 3ème fois, bien calé dans mon plumard, une grosse trique entre les cuisses à cause d'un rêve érotique en mode clip de rap, à base de chaudasses à gros seins et de voiture de luxe. Je suis tranquille, j'ai pas du tout envie de me lever. Je savoure ma majorité toute neuve et me paluche mollement en repensant à la pétasse de mon rêve
"BENNNNNN !"
C'est mon vieux qui gueule comme un malade en bas de l'escalier. Je le connais : pas un méchant mais un gueulard. Toujours à monter le son pour crier sur ma mère, mon frère ou moi. Quand c'est pas sur le Président, les syndicats, les smicards et les "fumeurs de hachiche"... Bref, j'ai l'habitude, je remonte la couverture et je continue de me secouer le poireau
BIM, BIM, BIM
Oups, là il se vénère en montant les escaliers. Je commence à me dire que c'est pas trop le moment de juter dans ma main gauche et qu'il vaut mieux remballer la marchandise..
Pas le temps : sans frapper, la porte s'ouvre en fracas. Mon père débarque dans la chambre et me trouve la queue encore à moitié raide dans une main, le calbut dans l'autre, les draps défaits et une odeur de chacal dans l'air..
"PUTAIN c'est tout ce que tu sais faire : te PALUCHER comme un connard ! Mais c'est pas possible, t'es juste un petit BRANLEUR des mes couilles. Lâche ta putain de nouille fiston!"
J'obéis, je lâche ma queue qui finit de se recroqueviller entre mes cuisses au point de ressembler effectivement à une nouille trop cuite. Mon caleçon glisse par terre. Je ne sais pas quoi faire alors je m'asseois sur le lit en essayant de cacher mon intimité en serrant les cuisses au maximum
"Tu vas m'écouter maintenant PETIT CON ! Vu que MONSIEUR ne daignait pas se lever, je suis aller voir les résultats du bac sur l'internet. Et devine quoi BRANLEUR : t'as échoué COMME UNE MERDE ! Même pas 5 en maths. Et 8 en sport !!!! Putain mais même en sport t'es un CREVARD. On fait QUOI de toi maintenant ?????!!!!"
Sans réfléchir (j'aurais dû... vu la gueule de mon pater que j'avais jamais vu dans cet état)... bref sans réfléchir je balance du tac au tac : "Ben rien, j'ai 18 ans, je suis majeur, je fais ce que je veux."
Mon père semble s'étrangler :
"AH OUISSS ! Tu crois ça ?? Tu crois que je me suis cassé le cul à bosser COMME UN CON dans ma putain de boite pendant 20 ans pour que mon CONNARD de fiston ne décroche pas son bac et devienne un de ces hippies de chômeur qui vive sur les allocs ! TU REVES !"
Et là, sans que j'ai le temps de dire ouf, mon père m'empoigne le bras, me soulève puis me jette à plat ventre au milieu du lit. De son autre main, je l'entends qui enlève sa ceinture. Le cuir glisse le long de son jean, la boucle fait un cliquetis métallique qui me glace le sang
Sans même que je réalise ce qui se passait, j'avais déjà reçu une vingtaine de coups sur le corps, principalement sur mes fesses nues, mais aussi sur les cuisses et même un ou deux sur les boules tellement je me débattais
Putain, ça fait trop mal. Je hurle comme un fou. Mon père n'a jamais levé la main sur moi à part deux ou trois baffes quand j'étais môme. Et là je suis tout nu sur mon pieu et il me lézarde le fion avec sa ceinture ! J'en reviens pas. J'ai trop honte
Mais c'est pas fini..
"TA GUEULE petit con. Ferme ta PUTAIN DE GUEULE. T'as pas fini de chialer je te le dis. Je vais te faire passer TOUS TES VICES ! Tu crois pas que je sais que tu fumes des joins et que tu passes tes samedis à te branler sous la couette en matant des pornos. Tant que tu bossais à l'école je disais rien. Mais là !!!!??
Pour commencer, je vais te faire passer ta manie de te branler, petit PERVERS."
"Quoi", je réponds comme un con. "C'est quoi ton délire là?"
J'aurais jamais dû répliquer... Mon père devient rouge de colère et me balance cinq énormes baffes en plein visage. Puis il attrape mes boules à un main et les serre comme un ouf : "Je vais te faire passer le goût de la branlette !"
Tout en serrant mes couilles dans une de ses énormes paluches, il attrape mon ordi portable, allume l'écran et tombe direct sur un porno que j'avais chargé la veille
"Ca m'aurait étonné !" qu'il dit en lançant la vidéo
Puis il la met en route et m'écrase les boules de plus en plus fort. Je pleure de douleur mais je n'ose plus rien dire. Ce type est un malade, j'ai libéré une colère incroyable en lui
Au bout d'un moment il me lache les burnes, me pousse sur le lit, me fout le film sous le nez et dit : "Maintenant branle toi!"
"Quoi?!!!" Je dis
"Branle toi putain ou je te fais bouffer tes couilles."
J'ai envie de tout sauf de me branler devant mon père mais en voyant son visage écarlate je méexécute. Je me secoue la teub en regardant les images sur l'écran et en essyant d'oublier mon père. C'est presque bon d'un coup de retrouver ce geste familier de la branlette. J'oublie progressivement la douleur des coups de ceintures, la brûlure sur mes joues, la honte de me faire corriger par mon paternel à 18 ans passé
Et d'un coup, alors que je commencais à bander bien dur, mon père m'arrache le portable des mains et le jette violemment par terre. Puis il reprend sa ceinture et commence à me frapper sans ménagement sur la queue encore raide, sur les boules, sur les cuisses
La douleur est forte. Mais la honte... C'est pire que tout. Puis, alors que je suis encore un peu bandé, mon père m'allonge sur ses genoux et commence à me donner une fessée à la main, comme à un petit gamin. Je sens la mouille de mon gland couler sur son jean pendant que je débande et en même temps la douleur de ses mains énormes qui s'abattent sur mon cul de jeune mec
50 claques, 100 claques. Je ne bande plus du tout, mais je finis par me pisser dessus tellement j'ai mal. Mon père ne dit rien.
200 claques, je chiale comme un gosse, je n'ai plus la force de parler. Ma queue doit faire 2cm entre mes cuisses tellement j'ai honte
Mon père se lève d'un coup. Me jette à terre sans un regard et quitte la chambre. Je suis tout nu, les cuisses mouillées de ma propre pisse et les fesses dans un état indescriptible. Mais le pire : c'est mon mental. Je crois bien que mon père a raison : plus jamais de ma vie je ne pourrai me branler
A SUIVRE
Fandefessee
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