Je cherchais à embaucher un apprentis femme ou homme pour le bar à bière que je venais d'ouvrir. Deux garçons et quatre filles se sont présentés, mais les horaires tardifs ne leur convenais pas en raison de l'éloignement de leur lieu d'habitation.. Avec mes deux serveurs pro nous désespérions de trouver notre apprentis. Mais fin avril, deux jeunes mecs se présentent ensemble. Jérôme 19 ans grand blond très mince et Joao 20 ans petit râblés brun musclé. L'un et l'autre avaient l'intention de monter à terme un bar dans le midi et cherchaient une formation pour commencer dans de bonnes conditions. Je devais choisir l'un des deux , je leur fait faire un essai et je compris que Jérôme avait une aisance naturelle pour le service et qu'après sa formation ce serait certainement un excellent pro. Heureux de la nouvelle de son recrutement il insista pour que je puisse trouver un boulot à son copain Joao souhaitant louer ensemble un studio à proximité du bar. Faisant jouer mes relations je dégotais une formation d'apprentis de cuisine pour Joao chez un ami restaurateur.
Jérôme débuta rapidement, il était superbe, 1m80,de longues mains fines un regard bleu des cheveux blonds en bataille et une peau claire de blond parfaitement imberbe, malgré ses 19 ans il faisait plus ados que jeune homme. Je ne me lassais pas de le regarder évoluer et à plusieurs reprises il surpris mon regard qui le suivait. Avait il deviné mon amour pour les éphèbes bien que mes autres serveurs était plutôt virile et charmeur avec la gente féminine ? Je vivais mon homosexualité ailleurs que dans mon boulot et c'était bien comme ça.
Au bout d'un mois Jérôme me demandait un entrevue personnel que j'acceptai. Il m'expliqua que Joao avait eu un grave problème familiale et qu'il devait retourner au Portugal. De ce fait la rémunération d'apprentis ne lui permettait plus de louer le studio et qu'il avait donné sa dédite pour le mois suivant. Jour après jour je voyais Jérôme inquiet de trouver une solution à sa situation. Un samedi soir vers 23 h, Jérôme assurait la fermeture avec moi. Au moment de le quitter je vis sur ses joues couler une larme. Je le pris par les épaules face à moi. " Que t'arrive- t- il ? quelque chose c'est passé aujourd'hui ? tu as un problème ? Et dans un sanglot il me répondit " Je n'ai plus mon studio depuis lundi, ce week-end je suis encore dehors. "
J'étais bouleverse de voir ce grand mec, les yeux plein de larme se tenir comme un petit garçon devant moi. Je pris l'initiative de l'embrasser sur la joue " allez arrête de pleurer, je t'invite chez moi ce soir nous verrons ce que nous pourrons étudier "
Je posais ma main sur son épaule et marchions dans la rue jusqu'a mon appartement. Il fut surpris que j'ai 130 m2 pour moi tout seul, avec vu sur le fleuve et grande terrasse extérieure.
Je l'installais dans une chambre et lui indiquais la salle de bain pour se doucher . Il revint une 1/2 heure après ayant troqué son pantalon noir et sa chemise blanche par un bermuda à fleur et un tee shirt très ample qui masquait ses formes longilignes. Ses jambes fine n'avaient presque pas de poil. " Ca ne te dérange pas que je reste habillé comme ça pour le repas ? " ma réponse fut sans ambiguïté " comme ça , en anorak , en veste ou tout nu pour moi aucun soucis, mais à choisir tu dois être plus beau tout nu ! " je m'étais lancé mais il y avait tellement de mois que je fantasmais sur cet éphèbe que je ne pouvais me retenir " Son visage rayonnais et me dit. " Ce n'est pas le lieu mais avec Joao nous sommes naturistes et nous étions souvent à poil chez nous. " Son visage s'assombrit a nouveau en pensant à sa situation. Je le pris dans mes bras pour le secouer " Arrête de te tourmenter nous allons trouver une solution ! "Le repas fut charmant et vers 2 heures du matin nous partions nous coucher. J'avais des difficultés à trouver le sommeil sachant ce petit minou dans la chambre à coté de la mienne.. Dans la nuit, j'entendis marché Jérôme dans le noir, je me levais et éclairais le couloir. Devant moi, il était nu. Je détaillais rapidement son corps androgyne à la peau clair, deux superbes tétons noirs, une petite queue légèrement gonflée, entourée d'une couronne de poils blonds. "je cherche les toilettes ! " " Tu te promène à poil aussi c'est mignon " Tout à coup je me rendis compte que ses beaux yeux bleus étaient fixés sur ma bitte ,en me levant précipitamment de mon lit, j'étais aussi à poil.
Son beau visage étalait un sourire radieux " Toi aussi tu es dans la même tenue mais je ne pensais pas que tu ai un aussi gros sexe. Tu es bien le patron ! "
Je m'approchais de lui et lui donnais une tape sur ses fesses fermes " Allez va pisser et ne te trompe pas de chambre en allant te coucher sinon tu prendras des risque " Je retournais me coucher et fermais la lumière. Bientôt dans le noir j'avais l'impression d'une présence dans ma chambre. " C'est toi Jérôme ? tu as un quel que chose ? " " je peux me coucher à coté de toi ? " joignant la parole aux actes, il se glissait dans mes draps. Je senti son corps se couler contre moi, sa peau d'une douceur extrême m'excitait au plus haut point. Je sentis sa main glisser sur mon torse pour me caresser les tétons et légèrement les pincer. Bientôt je sentis son souffle devant mon visage, sa bouche cherchait le mienne . Ses lèvres étaient douces, ma langue rencontra bientôt la sienne et un baisé langoureux s'ensuivit. Je caressais ce grand corps imberbe, passais ma main sur ses abdos qui ma foi étaient assez bien dessinés. Rapidement mes doigts courraient dans la couronne de poils et le dessus de ma main recevait quelques gouttes de sperme qui suintaient de sa queue raide. J'entourais ce chibre tendu tout au plus 17 cm, assez fin mais parfaitement droit. Ses valseuses étaient douces certainement rasé, c'était l'extase. Mon corps était pris de tremblement, je ne rêvais pas , mon éphèbe était bien dans mes bras.
Jérôme se dégageait de mon étreinte et promenait ses baisés sur mon menton, mes tétons, mes abdos pour arriver à la hauteur de ma queue de 19 tendue à mort. Je sentis sa langue me lécher le gland et avaler ma. mouille. L'effet d'une décharge électrique se produisait dans mon corps. Bientôt je sentis sa bouche couvrir mon gland visqueux .Enfin sa langue entourait ma bitte qui ne demandait que ça ; ma surprise fut de taille, car Jérôme arrivait en gorge profonde, à faire rentrer la totalité de mes 19 cm. Il commençait une fellation d'enfer. Pendant ce temps ma main courraient sur son dos, sur ses fesse, et bientôt mes doigts touchaient sa rosette. Son grand corps se tortillait poussant mes doigts à allez encore plus profond. Je mouillait mon indexe et tentait de le rentrer dans le petit cul de Jérôme. Il était super serré et je du tenter plusieurs fois avant d'arriver a rentrer le doigt dans ses sphincters.
J'avais du gel sur ma table de nuit aussi garce à ça je réussi à pénétrer le cul de Jérôme avec un doigt puis deux mais échec avec le troisième ...cul trop serré. Ma bitte rentrera t elle ?
Mon éphèbe me tourna le dos et vint se plaquer contre mon chibre. Je passais ma queue entre ses fesses qui se refermaient. " Jérôme , je peux ? " " je n'ai jamais essayé mais si tu y vas doucement j'ai envie si j'ai mal je te le dis , " J'enduisais la capote d'une bonne dose de gel et j'approchais mon gland de cette petite rondelle tant désirée. La pointe écartait son trou, mon minet vibrait devant la résistance de sa rondelle. Je poussais encore et la fleur commerçait à s'ouvrir " ça va ? tu tiens ? " " Putain que ça fait mal ! " je rentrais sortais ma bitte bien enduite de gel qui pénétrait chaque fois un peut plus. " La moitié est rentré Jérôme ! " " OK pousse doucement ! " mais tout à coup mon minou se cambra et ma queue pénétra d'un coup jusqu'à la garde. Son cri de douleur se conjugua avec son éjaculation magistrale inondant mes draps. Je ne bougeais plus attendant que la douleur disparaisse. Jérôme bientôt se recula, puis poussa me signalant que je pouvais commencer mes vas et viens. C'était sublime ses petits cris démontraient qu'il prenait du plaisir. Après l'avoir enculé pendant une dizaine de minute je lui proposais une pause qu'il acceptait. Nous étions couche maintenant l'une à coté de l'autre savourant nos exploits. " Dis au fait Jérôme toi tu as jouie mais pas moi ! " mon minou saisie ma queue de sa main droite et commença à me masturber. " Tu veux pas sucer plutôt ? " sa bouche entoura bientôt mon chibre et commençait une douce fellation " je viens tu veux avaler ? " pas de réponse de sa part il faut dire avec une queue dans la bouche c'est pas simple ;
Je sentis monter ma sève " Jérôme je gicle ! " quatre flots de foutre sortirent de ma bitte . Les deux premières rasades dans la bouche de mon éphèbe les deux autres sur son torse.
Il partagea le foutre qu'il avait gardé dans la bouche en m'embrassant et me refilant le contenu que j'avalais en plus de sa salive.
Nous étions enlacé et retrouvions nos esprits. C'est dans les bras l'un de l'autre que nous nous endormions. Le lendemain matin, il me réveilla par des baisés puis sa main se mit à caresser mon corps , sa bouche cherchait à nouveau ma bitte et c'était repartie pour un tour.
L'après midi, sur le fauteuil du salon, la pénétration fut beaucoup plus facile que la vielle .Comme mon jeune amant me le disait il n'était plus puceau.
Mais le bougre apprenait vite et nous avons tenté plein d'autres expériences que peut être je vous raconterais un jour.
Yannick
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