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Domination par Stéphane
mon futur mari
Dimanche midi, je me lève et réveille Jona. Je lui dis que l'on va aller courir pour se décrasser de la nuit.
Jona : Bien maître, ça me fera du bien en effet et j'aime bien courir avec vous.
Après un jus d'orange, nous croisons Rose qui revient de sa maison, elle comprend que l'on va courir. Nous sommes partis sur un chemin que je connais bien et qui passe par chez ma mère. J'ai pris la clef et nous y ferons une halte. Sur le parcours nous avons croisé Dimitri qui comme par hasard courait avec son père. Quand nous les avons vus nous-nous sommes arrêtés.
Edi le père : Bonjour vous allez bien ?
Moi : Oui et vous.
Edi : La nuit a été courte.
Je dois séparer les jeunes qui sont en train de se rouler une pelle magistrale devant nous.
Moi : Tu veux bien te tenir tranquille Jona ! Tu n'en n'as pas eu assez cette nuit ?
Jona : Désolé maître.
Edi : J'ai bien entendu, il vous a appelé maître.
Moi : Oui. Jona nous appartient.
Je lui brosse un bref résumé.
Edi : Je devrais faire pareil avec mon fils. Il est gentil mais depuis la disparition de sa mère, j'ai difficile à le tenir. Le fait qu'il soit gay ne me dérange pas et il a l'air d'aimer Jona car il ne me parle que de lui depuis hier après-midi. Il m'a même forcé à venir courir ce matin et maintenant je comprends pourquoi, ce n'est pas tout à fait le fruit du hasard.
Moi : Il sera puni à la maison car il aurait dû me le dire. Tu entends Jona ?
Jona : Oui maître, je le mérite.
Nous reprenons le chemin en courant avec eux jusque chez ma mère. Là, il nous quitte et je les invite à venir à la maison en fin d'après-midi pour prendre un verre. Edi accepte. Jona et Dimitri ont l'air ravis mais je leur réserve une surprise. Ils seront puni tous les deux par Stéphane qui est mon maître. Un bref passage dans la maison familiale et nous rentrons, il est 14h00. Pas mal l'effort même si nous avons fait deux haltes. Nous prenons une douche vite fait et sur le temps que Jona se fait une beauté pour recevoir Dimitri, je vais embrasser mon homme et lui raconter notre jogging du midi. J'en profite pour lui dire que le père de Dimitri passera avec lui fin d'après-midi et que les gamins doivent recevoir une punition.
Stéphane : Ils t'ont piégé et le père de Dimitri aussi.
Moi : Jona savait que je l'emmènerais courir, ils se sont arrangé entre eux mais je ne sais pas quand.
Stéphane : Jona devait avoir son portable sur lui pour le prévenir du chemin.
Moi : Sans doute. Le père de Dimitri serait plus ou moins demandeur que son fils lui soit soumis.
Stéphane : Je vais gérer le tout.
Moi : Bien mon homme, je te laisse faire en bon soumis.
Felipe : Bonjour.
Moi : Tu es rentré ?
Felipe : A l'instant. J'ai logé chez Sven, je prends une douche et je me change et repars direct. Marc à fait une indigestion et est alité et deux serveur ont demandé congé depuis longtemps. Ce qui fait que Sven est seul avec un seul serveur pour gérer le bar.
Moi : Ok. Si vous avez besoin d'un coup de main nous viendrons avec Jona en renfort.
Felipe : Merci. A propos, Sven a voulu me payer pour le travail effectué avec lui mais j'ai refusé. Il m'a dit qu'il t'en parlerait mais je ne veux rien. Compris ? Je fais ça pour rendre service.
Stéphane : Le problème c'est que tu n'es pas déclaré et en cas de contrôle, ça peut poser problème.
Moi : C'est simple alors, il suffit de demander à Francis de mettre un petit pourcentage des actions du bar au nom de Felipe sur les statuts. Il sera administrateur bénévole.
Je regarde mon homme, il a l'air sur le cul.
Moi : Quoi, j'ai dit une bêtise ?
Stéphane : Pas du tout, au contraire, tu es très stratège au niveau finances et portefeuille d'actions. Je ne le savais pas. Mais je vais gérer le problème.
Moi : Oui mon homme.
Felipe : Faites ce que vous voulez mais je ne veux pas être payé pour rendre service à un ami et aussi un amant.
Moi : Il t'a baisé ?
Felipe : Oui. Marc étant hors service, il a fait sa fête à mon cul et m'a dominé comme un pro. Je prends ma douche et je file avec la moto.
Il part.
Stéphane : En parlant moto, il va falloir que tu choisisses un modèle.
Moi : Ca peut attendre que j'aie reçu mes premiers cours que je vois si je suis à l'aise ou pas. Savoir si je veux un modèle sport ou plus soft.
Stéphane : Ok mon coeur mais il ne faudra pas traîner tout de même. Le printemps va arriver et les temps d'attente de livraison aussi. Beaucoup de motards se décident à ce moment-là pour changer de moto.
Moi : Tiens ? Comment se fait-il qu'il n'y ait pas de moto dans notre garage ?
Stéphane : Nous n'avons pas de forte demande. Nous commandons lorsque le client vient. Il y a d'autres garages qui proposent des motos BMW mais ils doivent passer par nous car nous avons l'exclusivité.
Moi : Je pense qu'avec une bonne publicité et avec le concours du magasin de combinaisons moto, il y aurait peut-être moyen de développer.
Stéphane : Je parlerais de ton idée au patron demain mais avec la concession Mini que nous avons aussi à coté, ça va faire beaucoup.
Moi : Je me fous du garage Mini, je me demande comment il tourne. Il y deux vendeurs et je ne vois jamais personne dans le showroom.
Stéphane : Je te signale que ces vendeurs sont aussi sous tes ordres et que c'est moi qui le gère mais tu as raison, les ventes sont en baisse suite à un autre garage qui se trouve en périphérie.
Moi : Si on veut vendre plus de Mini, il faut changer la disposition des voitures et attirer le regard des automobilistes qui passent. Si tu veux je m'en occupe cette semaine. Mais tu aurais pu me prévenir que nous avions la gestion du garage Mini.
Stéphane : Lors de ta présentation au personnel, ils étaient là, je te signale mais ils ferment eux même le garage et celui-ci est fermé le samedi donc forcément, tu ne pouvais pas t'en douter. De plus, tu as été fort occupé à chaque fois que tu as travaillé mais je soumettrais tes idée au boss et te dirais quoi demain soir.
Moi : Ok mon homme.
Jona arrive dans le bureau.
Jona : Ils sont là maîtres.
Nous sommes descendus et avons accueilli nos invités. J'ai demandé à Jona de faire le service et nous avons bu un verre.
Stéphane : Il paraît que vous devez être puni pour avoir roulé Pat et ton père, Dimitri ?
Dimitri : Jona doit être puni, pour moi Pat n'a rien dit.
Jona : Oui maître, je dois être puni, c'était mon idée.
Edi : Mon fils doit être puni aussi, il est autant en faute.
Stéphane a alors attrapé les deux jeunes par les oreilles et les a attirés en haut.
Moi : Si ça t'intéresse Edi, tu peux aller voir la punition.
Edi : Pourquoi pas.
Nous sommes montés, sommes entrés dans le donjon et j'ai refermé la porte derrière moi pour le bruit. Rose étant dans la cuisine à préparer le repas du soir. Jona avait le pantalon sur les chevilles et était accroché à la croix. Dimitri était à genoux aux pieds de Stéphane et regardait par terre.
Stéphane : Tu vas recevoir dix coups de fouet et je veux t'entendre les compter.
Jona : Oui maître.
Tout en criant, il a compté les coups de fouet.
Stéphane : Pat, détaches-le !
Moi : Oui maître.
Edi est scotché de ma réponse. Je détache Jona et le pose sur le banc couché. Il a les larmes aux yeux mais ne pleure pas. Sur ce temps mon homme a attaché Dimitri.
Stéphane : A ton tour.
Dimitri : Non pas ça !
Le premier coup de fouet tombe, il ne compte pas mais crie un bon coup. Je prends un bâillon et le montre à Stéphane pour le bruit. Il me fait signe de lui placer. Dimitri se contorsionne pour ne pas prendre le bâillon.
Moi : Laisses-toi faire et soumets-toi !
Dimitri : Jam.....
J'en avais profité pour lui placer le bâillon. Les coups de fouet sont tombés. Je me suis rapproché d'Edi pour lui demander s'il voulait finir les trois derniers coups de fouet mais il laissa finir mon homme. Une fois fini je lui ai retiré le bâillon. Il pleure mais de rage, ça se voit dans ses yeux.
Dimitri : Tu me le payeras, je ne serais jamais un soumis.
Moi : Ah ? Comme ça on se rebelle ! Edi est-ce que je peux ?
Edi : Faites tout ce que vous voulez, je dirais même que ça m'excite.
Stéphane : Alors on y va !
Il a attrapé Dimitri qui s'est débattu et après avoir viré Jona du banc sans ménagement, il l'a attaché à celui-ci.
Dimitri : Détachez-moi ! Laissez-moi ! Papa fait quelque chose.
Edi ne broncha pas. Stéphane et moi nous sommes alors équipés en cuir. Quand nous sommes revenus, nous avons vu Jona qui consolait Dimitri et le père qui n'avait toujours pas bougé. A voir la bosse dans son pantalon, il bande un peu.
Moi : Jona, vires-toi de là !
Jona : Oui maître mais ne lui faites pas de mal.
Il s'est pris une gifle par Stéphane qui l'a fait mettre à genoux.
Stéphane : Tu n'as rien à demander ?
Jona : Oui maître.
Dimitri : Fous-lui la paix ! Il n'a rien fait, vous me le payerez. Je porterais plainte à la police.
Il s'est pris une gifle aussi et il s'est foutu à pleurer.
Stéphane : Tu vas être bien sage et faire tout ce qu'on te dit !
Dimitri : Va te faire mettre !
Une autre mandale plus forte.
Dimitri : Va te faire mettre !
Et vlan une autre.
Stéphane : Tu vas obéir ou je continue et je vais aller de plus en plus fort, je te préviens !
Dimitri : Va te faire foutre !
Mon homme me fait un signe et en même temps, il lui file une autre mandale et moi je le fouette. Il hurle et craque. Heureusement que la pièce est tout de même bien insonorisée car je pense que Rose serait intervenue. Il pleure et je vois du coin de l'oeil, Jona qui pleure aussi mais il ne bouge pas, bien soumis.
Stéphane : Je continue ?
Dimitri : Non ça va je ferais ce que vous voudrez.
Stéphane : J'ai mal entendu.
Dimitri : Je ferais ce que vous voulez maître.
Stéphane : Suces, esclave !
Il lui a présenté sa queue qui bandait bien fort, il l'a sucé. Mon homme voulant lui entrer en fond de gorge rapidement, j'ai dû tempérer en le bougeant et en passant avec ma queue, plus petite.
Moi : Jona, rends-toi utile, prépares nous le cul de ton mec !
Stéphane, lui, a commencé a discuter avec Edi et celui-ci se mit à poil. Je ne sais pas ce qu'ils se sont dits, occupé sur Dimitri avec Jona.
Jona : Il n'est pas propre maître.
Moi : Détaches-le ! On va arranger ça et si tu te rebelle Dimitri, je te préviens que c'est moi qui vais te faire morfler. Je suis plus méchant que mon maître quand je suis actif.
Dimitri : Je serais sage maître.
Stéphane : Jona ! Tu prendras rendez-vous chez Nicole pour mettre Dimitri à notre goût et au tient. Le père de Dimitri lui donnera de l'argent. Tu l'inscriras aussi au club de sport mais je vous interdis de faire l'amour sur place. C'est ton lieu de travail !
Jona : Bien maître.
Nous sommes allés dans notre salle de bain et, avec Jona, j'ai procuré un lavement à Dimitri qui ne savait pas ce que c'était. J'ai ris quand je l'ai vu courir la première fois à la toilette. Il a fallu faire l'opération 5 fois pour qu'il soit propre. Jona l'a alors rincé sous la douche et essuyé. Je l'ai entendu lui dire de faire ce qu'on désirait et qu'alors, il serait gâté mais que s'il désobéissait à l'avenir, il serait puni comme maintenant. C'est un Dimitri un peu changé qui est revenu dans le donjon. De lui-même il s'est remis en position, Jona l'a attaché et à ma grande surprise, Stéphane avait équipé son père d'un harnais.
Stéphane : J'ai convaincu Edi de participer mais comme il a eu des relations avec d'autres femmes, il mettra une capote pour baiser. Il fera le test à la semaine. Il est curieux de savoir ce que ça fait de prendre un mec et en l'occurrence son fils.
Moi : Bien maître.
Jona était déjà en train de lui préparer le cul et moi je lui apprends à ma façon comment prendre une queue en bouche mais comme il est mal placé, je le change d'engin et le place attaché dans le sling.
Stéphane : Jona, viens t'occuper de nous.
Jona : Oui maître.
D'un geste, mon homme lui a fait comprendre de sucer en claquant des doigts. A genoux, il a sucé Stéphane et le père de Dimitri qui a apprécié la fellation d'un homme.
Edi : Il suce mieux qu'une femme, je comprends que mon fils aime ça.
Stéphane : Tu dois considérer ton fils comme ton esclave et peut être même esclave sexuel après.
Edi : Tu crois ça possible ?
Stéphane : Tout à fait.
Moi, de mon côté, je lui élargi la gorge tout en lui expliquant comment la prendre à fond et de déglutir quand il le faut. Il a bien compris le jeu et apprend très vite. Je vois arriver Edi et mon homme. Jona à quatre pattes avec un collier et une laisse. C'est Edi qui le tient.
Moi : Formation accélérée mon maître ?
Stéphane : Oui et arrêtes avec tes " maître " quand tu es en mode actif, c'est ridicule.
Moi : Alors viens m'embrasser.
Stéphane me roule une pelle amoureuse, j'ai les pieds qui décollent du sol. Que c'est bon quand il est amoureux.
Stéphane : Il en est où ?
Moi : Il apprend vite et fait beaucoup d'effort, je pense que Jona y est pour quelque chose.
Stéphane : Jona !
Jona : Je lui ai juste dis d'être une bonne esclave, qu'il n'y couperait pas de toute façon, maître. Je lui ai dit aussi que s'il était gentil, il serait gâté et sinon puni à l'avenir maître.
Stéphane : C'est le principe mais tu aurais dû nous laisser le lui expliquer !
Jona : Je tiens à lui maître.
Moi : Alors tu es pardonné.
Je fais un clin d'oeil à mon homme, il sait que mon but est qu'il se trouve un mec tout en restant à notre service. Et tout compte fait on va peut-être en gagner un deuxième mais sans l'amour qui va avec je pense. On ne s'y est pas pris en douceur avec.
Stéphane : Laisse-moi la place !
Moi : Vas-y en douceur tout de même, il ne faudrait pas le dégouter.
Stéphane : Ne te tracasses pas, en bonne salope, il en redemandera. Suces !
Dimitri le suce et mon homme lui rentre bien profond mais il ne sait pas la prendre en entier, c'est trop tôt. Moi d'un geste, je montre à Jona de s'occuper de la queue du père et je m'installe sur l'anus de Dimitri qui est préparé mais en douceur. Je le graisse et lui rentre un doigt et ensuite un deuxième. Malgré la queue de mon homme en bouche, il gémit légèrement à ma préparation. Comme on sait qu'il est clean, je présente mon gland et je m'enfonce doucement en lui. Il profite d'un moment ou mon homme se retire de sa bouche pour relever la tête et il me regarde.
Moi : Tu aimes ?
Dimitri : Oui c'est bon et doux en même temps. Elle est grosse.
Et il retombe en arrière. Mon homme le prend par les cheveux et lui relève la tête.
Stéphane : Remercies ton maître de te faire du bien.
Dimitri : Merci maître.
Stéphane : Maintenant, suces ton père et fait lui honneur avec ta bouche ! Jona, tiens ma queue au chaud !
Jona prend sa bite en bouche et ne bouge pas, moi je commence à limer Dimitri en profondeur. Il ne bande pas trop mais il apprécie en soulevant son cul pour mieux me prendre. Je sais que s'il ne bande pas, c'est parce qu'il a peur de Stéphane.
Moi : Edi, viens prendre ma place car après le passage de Stéphane, il sera trop large.
Je me retire et lui enfile une capote. Je guide sa queue sur l'anus de son fils et il rentre d'un coup à fond ce qui fait pousser un cri de légère douleur à son fils. Edi est monté comme moi mais plus large à la base.
Stéphane : Jona, occupes-toi de la bouche de ton mec, fais-lui plaisir !
Jona ne s'est pas fait prier, il a mis un cousin sous la tête de son mec et a relevé légèrement le dessus du sling pour qu'il observe son père le prendre.
Edi : Putain mon fils, ton cul est bon !
Dimitri : Merci maître, euh, papa.
Edi : Pendant la baise, dorénavant, tu m'appelleras maître. En privé aussi mais en dehors, ce sera papa. Si tu es sage tu auras des cadeaux sinon tu seras puni et si tu es très méchant, ce sera Stéphane qui te punira. Si tes résultats à l'université ne sont pas corrects, pas de sexe et pas de Jona. Je suis clair ?
Dimitri : Oui maître, vas-y papa, c'est bon, défonces-moi.
Il n'aurait pas dû car Edi a accéléré la cadence et a fini par remplir la capote au fond de son fils. J'ai dû tirer sur les couilles de Dimitri pour ne pas qu'il jouisse car ce coup-ci, il bandait et Jona a étouffé le cri par sa langue dans la bouche de Dimitri. J'ai pris du poppers dans le petit frigo. Je le préfère un peu froid surtout pour une première utilisation et surtout, mon homme sait que je ne le supporte pas. Le froid stoppe un peu certains effets de ce produit. Jona a retiré la capote d'Edi et après l'avoir essuyé, nettoie sa queue avec sa langue sous le regard de Dimitri. Mon homme graisse un peu la rondelle du gamin et entre. J'ai juste le temps de lui faire renifler du poppers, le petit pousse un cri tout de même.
Stéphane : Un bon esclave souffre en silence !
Dimitri : Oui maître mais elle est énorme maître, ça fait très mal, c'est gros et long.
Je lui repasse un peu de poppers et il se détend. Mon homme l'a limé sans trop de brutalité mais sec tout de même. Le petit débande direct. Il n'aime pas mais subi. Pendant bien dix minutes, il l'a pilonné pour finir par remplir le cul de sa semence. Une fois retiré.
Stéphane : Jona, aux pieds ! Nettoies ! Pat, Il est à toi ! Termines-le en lui apprenant à serrer son anus.
Je pénètre Dimitri. Effectivement je suis large, d'une claque sur le cul, il sursaute et son anus se contracte.
Moi : Voilà Dimitri, serres ton anus sur ma queue, il va falloir que tu apprennes à donner du plaisir à ton maître et à ton mec avec ton anus. Jona t'apprendra, c'est un as dans ce domaine.
Jona est près de moi à ce moment-là. Mon homme est sûrement parti sous la douche avec le père de Dimitri.
Jona : Merci maître.
Je lime plus rapidement le cul de Dimitri mais sans brutalité. Il est bien ouvert, ne gémit pas, se concentre sur sa rondelle pour me faire plaisir et bande mollement. Je lui ai rempli le cul à mon tour. Je suis sorti et Jona m'a nettoyé. J'ai détaché Dimitri et l'ai aidé à se mettre sur pied. Il est cassé le petit.
Moi : Tu as aimé ?
Dimitri : Pas tout maître, c'est mieux avec vous, vous êtes plus tendre avec moi et c'est curieux avec mon père, maître.
Moi : Je pense qu'on a converti ton père et que tu vas souvent le prendre dans ton cul de petite salope que tu vas devenir, comme Jona.
Dimitri : Bien maître, je suis épuisé.
Moi : Tu vas prendre une douche avec Jona, il va te laver, te masser et t'offrir sa bouche et son cul. Tu le baises ou vous faites l'amour, il est 17H15 je vous veux en bas tous les deux pour 18H00 précises.
Tous les deux " oui maître ". J'ai pris Dimitri dans mes bras car il a les jambes coupées dû à l'effort et je me dirige vers la salle de bain. Je le pose dans la douche.
Moi : Après la douche, tu lui passeras cette pommade sur le cul et celle-ci sur l'anus. Passes-toi aussi de la pommade sur le cul, ça effacera les marques du fouet et pas un mot compris !
Jona : Oui maître et merci pour lui.
Je lui pose une bise sur le front et je vais dans la salle de bain de la chambre d'amis. Je constate qu'ils y sont toujours. Je rentre et je vois sous la douche le père de Dimitri qui suce mon homme. Du coup je ferme la porte à clef.
Moi : Je vois qu'on s'amuse bien ici !
Stéphane : Edi voulais savoir ce que ça fait de sucer et de se faire prendre mais pour le prendre vaut mieux un plus petit gabarit.
Je suis rentré sous la douche et Edi à commencer à me sucer sur le temps que mon homme me roule un patin. Rapidement je bande. Je relève Edi et le plaque au mur, lui écarte les jambes et avec du gel douche, je lui graisse le cul. J'entre rapidement un doigt et je constate qu'il est ouvert, je me stoppe.
Moi : Tu te godes ?
Edi : Non. Opérations suite à des hémorroïdes il y a six mois, mon anus est abimé. Je devais passer par un kiné. J'ai trouvé la démarche un peu honteuse pour moi, je me suis abstenu.
Moi : Je vais vous offrir à tous les deux un plug de travail. Tu vas voir, avec ça, ton anus va reprendre des forces.
Du coup je l'ai pénétré capoté tout de même avant. Je ne connais pas l'individu plus que ça. Il a poussé un cri quand je suis rentré à fond mais il s'est vite mis à gémir. C'est une salope comme son fils.
Moi : Tu vas pouvoir le prendre, il est large. Je me suis retiré et j'ai cédé ma place à mon homme qui, une fois capoté par moi, est rentré sans aucun problème. Edi a le cul tellement ouvert suite à son opération qu'on se croirait dans une chatte. Je n'ai pratiquement aucun plaisir et je vois que mon homme aussi. Edi encaisse facile les coups de butoir de mon homme, gémit de temps en temps mais sans plus. Il ne bande pas à mon avis, même si je pense que ce doit être une salope aussi, la sodomie ce n'est pas son truc. Je me paluche à côté de lui et quand il s'en aperçoit, il se courbe pour vouloir me sucer. Nous le changeons de position et mon homme le prend debout, plié à hauteur de ma queue et Edi me suce comme il peut. Dans cette position, mon homme le prend en lui tenant les épaules afin de bien lui faire sentir sa queue et en cinq minutes remplit sa capote. Moi je me retire de la bouche de Edi et lui jute sur le dos, lui se branle et se termine aussi. Nous le redressons et nous nous rinçons. Une fois séchés et rhabillés, nous descendons et buvons un apéro servi par Rose qui nous informe qu'elle a préparé le repas pour cinq car elle supposait que nos invités resteraient pour le repas. Elle a bien fait.
Moi : Edi as-tu aimé la séance ?
Edi : Sur mon fils oui, j'ai apprécié sucer mais la sodomie en tant que passif, ce n'est pas trop mon truc. Je n'ai pas ressenti grand-chose.
Moi : Il faudra peut-être refaire un essai après avoir fait des exercices annaux. Jona va apprendre à ton fils et celui-ci t'apprendra.
Stéphane : Je suis d'accord mais tu dois maintenant garder une emprise totale sur ton fils. Comme nous sur Jona.
18H00 précises, c'est-à-dire deux minutes plus ou moins avant notre arrivée que sont arrivés les petits avec un large sourire aux lèvres. Dimitri se colla direct à son père avec affection. Je pris Jona sur le côté.
Moi : Racontes-moi tout.
Jona : Eh bien voilà. Je l'ai lavé et massé aussi, ensuite je l'ai sucé et il m'a pris sous la douche. Nous avons été rapides suite à notre excitation. Après nous être séchés, je lui ai mis de la pommade sur votre lit. Rose nous a vus, je pense que nous l'avons choquée.
Moi : Elle en a vu d'autres mais tu fais bien de me le dire. Continue.
Jona : Nous avons discuté, il est amoureux de moi et j'ai aussi un faible pour lui. Tu avais raison, pardon, vous aviez raison, je devais me trouver un copain de mon âge. Il est d'accord de se soumettre à vous ainsi qu'à son père. Vous avez réussi à le mater mais il a peur de Stéphane et ne veux plus avoir à faire à lui. Trop violent pour lui maître. Donc il sera très sage.
Moi : Vas près de Stéphane et envoies-le moi.
Il me l'envoya.
Moi : Dimitri, Jona vient de me raconter ta peur de Stéphane.
Dimitri : Oui maître.
Moi : Tu ne dois pas avoir peur de lui. Si tu es sage et obéissant, il saura te montrer son affection et il en a beaucoup.
Dimitri : Il m'a fait très mal aujourd'hui. Je n'aime pas avoir mal et il m'a carrément explosé le cul avec sa queue. Je n'ai pas pris de plaisir tellement il a été brutal.
Moi : Je lui dirais que la prochaine fois qu'il te fera l'amour, il y aille en douceur avec toi.
Stéphane : C'est quoi toutes ces messes basses ?
Moi : Vas rejoindre ton père et Jona et sois sage.
Dimitri : Oui maître.
Stéphane : Alors ?
Moi : Le gamin se soumet mais il a peur de toi. Tu lui as fait très mal et tu as été brutal en le baisant. Il n'a pas pris de plaisir.
Stéphane : Ah, problème. Tu as bien fait mais tu aurais dû me laisser faire, tu seras puni pour ça.
Moi : Tu ne l'aurais pas remarqué si je n'avais pas cuisiné les deux petits mais tu as raison, j'aurais dû te laisser gérer et j'accepte ma punition en bon soumis.
Nous sommes allés rejoindre Edi et les enfants. Rose leur avait servi un apéritif au champagne. Ils ont des goûts de luxe ces petits mais c'est de ma faute aussi. Hier, au bar, je ne leur ai autorisé que du champagne et Jona ne boit que ça quand il est avec moi au bar. Je me suis servi une coupe aussi mais dans un de mes verre en cristal. Nostalgie de mon père oblige. Mon homme l'a remarqué mais ne dit rien. Après l'apéritif, nous avons mangé en discutant avec le père de Dimitri et avons appris qu'il était banquier et conseiller en finances à la banque DEGROFF. Qu'il avait une bonne situation et qu'il gère l'héritage laissé par la mère de Dimitri qui était de bonne famille. Comme Dimitri a réussi ses examens du mois de janvier à l'université et qu'il a son permis, il était convenu entre eux d'acheter sa première voiture. Maintenant qu'il a une emprise sur lui, il n'y aura plus de compromis. A la fin du repas, Jona est naturellement allé donner un coup de main à Rose qui a apprécié le geste alors qu'avec moi, elle rechigne. Il va vraiment falloir que j'ai une conversation avec elle. Nous sommes passés au salon pour un digestif mais mon homme s'est isolé à l'étage avec Dimitri. A mon avis, il doit mettre les choses aux points avec lui. Rose nous a salué et est rentrée chez elle. Jona ne voyant pas Dimitri, m'a regardé avec un regard inquiet.
Moi : Ne te tracasses pas, il ne lui arrivera rien.
Jona : Bien maître.
Moi : Viens t'assoir et détends-toi. Allumes la TV si tu veux, tu as quartier libre.
Jona : Merci maître.
Mais il vint se coller à moi et je dû le prendre dans mes bras. Il est fébrile de savoir Dimitri seul avec Stéphane. Je suis obligé de lui faire sentir ma protection. Edi, lui, reste de marbre. Nous discutons finances et de ma société ainsi que de notre bureau d'avocat qu'il reconnait être le meilleur de Liège. Il me demande comment j'arrive à combiner le garage et mon entreprise, plus le bar et mes finances. Je lui confie que pour le garage et ma société, pour le moment ça va car elle démarre et que j'ai une bonne équipe. Pour le bar, il est en gérance et que pour mes finances, je faisais entièrement confiance à mon homme et à mes avocats. Nous avons bien discuté 45 minutes avant de voir revenir Stéphane et Dimitri qui avait l'air tout joyeux. A voir ses cheveux un peu humides, je me doute qu'il y a eu du sexe à l'étage. Jona couru pour l'embrasser puis s'excusa devant nous.
Stéphane : Toi, tu étais inquiet pour ton mec.
Jona : Oui maître.
Stéphane : Est-ce que je t'ai déjà fait du mal en dehors de tes punitions ?
Jona : Non maître.
Stéphane : T'ai-je déjà montré mon amour ?
Jona : Oui maître.
Stéphane : Tu as compris maintenant Dimitri ?
Dimitri : Oui maître et merci de m'avoir fait l'amour.
Dimitri s'est collé fort à Stéphane d'un côté et de l'autre Jona a fait pareil.
Stéphane : Mon coeur tu seras doublement puni mais tu auras une récompense aussi.
Moi : Pourquoi ?
Stéphane : Pour la pommade, ce coup-ci, tu aurais dû me le dire et surtout pas demander aux enfants de me le cacher. Je m'en suis aperçu directement. Mais tu as très bien fait pour leur bien.
Moi : Bien mon coeur, j'accepte la punition.
Mon téléphone portable sonne, c'est Felipe.
Moi : Oui qu'est-ce qu'il y a ?
Felipe : On a besoin de renfort, il fait plein et Marc n'est pas capable de venir, le médecin est avec. Vous pouvez venir ?
Moi : Ok, on arrive au plus vite.
Je raccroche.
Moi : Je vais descendre avec Jona et donner un coup de main mais il faut qu'on se change.
Stéphane : Je vais venir avec vous mais je me change aussi.
Dimitri : Papa je peux aller avec eux ?
Edi : Non, tu as cours demain. De plus, ils vont travailler. Ils n'ont pas besoin de t'avoir dans les pattes.
Dimitri : Mais.
Edi : J'ai dit !
Dimitri : Bien papa.
Edi : Je suis ton maître maintenant ne l'oublies pas !
Dimitri : Bien maître.
Edi : Nous allons vous quitter. Merci de votre accueil et du formatage de mon fils. Qu'est-ce qu'on dit Dimitri ?
Dimitri : Merci maîtres.
Pattlg
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