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Domination par Stéphane
mon futur mari
Mercredi. Le réveil sonne et mon homme et moi nous levons de concert. Une journée chargée au garage nous attend. Nous déjeunons et partons alors que Felipe dort toujours. Il se plaît de mieux en mieux chez nous. Stéphane a briffé Rose pour lui foutre la paix et le laisser prendre une combinaison et la moto qu'il voulait pour se déplacer. Il lui a laissé une enveloppe contenant 1000 € pour la journée. La journée au garage est studieuse et j'apprends beaucoup pour ce qui est de la livraison d'un véhicule ainsi que les méthodes de crédits et autres leasing. Au passage dans le showroom, j'arrive encore à vendre un véhicule à un couple homosexuel. Le premier vendeur n'arrivait à rien avec eux. Stéphane me dit que rien que mon beau petit cul les avait décidés. Trop flatteur. Bref, nous rentrons à la maison et pas de Felipe en vue. Je me tracasse lorsque Rose nous sert le repas. Je téléphone à ma mère, il n'est pas chez elle et son portable ne répond pas. Je deviens fou, je téléphone à la police mais je me fais remballer sans délicatesse. Bravo la police Belge ! Une honte ! Je téléphone aux hôpitaux pour savoir, s'ils n'ont pas reçu un blessé moto rien. Je suis nerveux et mon homme fait tout pour me réconforter quand le portail s'ouvre et qu'il rentre.
Moi : Où étais-tu ?
Felipe : Eh bien avec des amis, j'avais prévenu.
Stéphane : Excuses-le, il était tracassé de ne pas te voir rentrer.
Moi : Et ton portable, il est où ?
Felipe : Il est dans ma chambre.
Je m'emporte et lui fous une gifle. Il me regarde et il a une larme qui lui monte aux yeux, je le prends dans mes bras et le serre, tellement j'étais inquiet. Il monte se changer mais pour ma part je suis crevé et monte me coucher. La journée m'a vidé. Je ne sais pas vers quelle heure mon homme est venu me rejoindre dans le lit mais quand il s'est couché, je me réveille.
Moi : Quelle heure est-il ?
Stéphane : Tard !
Moi : Felipe ?
Stéphane : Il dort comme un bébé.
Moi : Tu l'as sauté ?
Stéphane : Oui mais comment le sais- tu ?
Moi : Très bien. Il en a besoin. Son odeur sur toi, je la reconnaitrais entre mille.
Stéphane : Tu m'en veux ?
Moi : Non, il fait partie de notre vie et aussi de notre couple. Il compte énormément pour moi mais c'est toi que j'aime. Bonne nuit mon coeur.
Stéphane : Je t'aime.
Le jeudi et le vendredi nous avons bossé, la secrétaire Felipe et moi, à installer la grosse partie du matériel qui était arrivé. Le décorateur qui est passé le mercredi pour faire une évaluation est déjà en oeuvre. Vendredi soir, tout est déjà bien avancé et à la limite, à partir de lundi, Claudia la secrétaire pourra prendre les premier rendez-vous. De toute façon elle a pour mission de téléphoner en personne à tous mes clients ainsi que ceux de notre ancienne boite. Elle est partie avec une copie du fichier complet clients " la salope ". Samedi, nous sommes au garage et nous avons Felipe avec nous et ce con arrive à vendre une décapotable alors que nous deux vendons deux voitures chacun. Mon homme prend la commission pour lui mais la reversera à Felipe avant de nous dire que nous sortons en boîte le soir même. Je suis content, il y a longtemps que nous ne sommes plus sortis. Je me mets sur mon trente et un et je me fais super sexy, un appel au viol. Nous dînons dans un bon restaurant et ensuite allons dans la boite de Marc et son Mec. Marc nous reproche de ne pas nous être entrainés vendredi mais quand je lui dis que nous avons travaillé toute la journée dans ma future société, c'est pardonné. J'en profite pour lui demander des nouvelles de Jona et là je reste sur le cul. Marc a tout dit à son mec et celui-ci accepte la situation, pour autant qu'il puisse profiter lui aussi de Jona. Jona se trouve d'ailleurs au comptoir et boit un coca.
Moi : Tu lui as pris sa virginité ?
Marc : Non pas encore, je veux qu'il me le demande, quand il se sentira prêt.
Moi : J'approuve.
Nous avons bu et dansé Felipe et moi comme deux jeunot pendant une bonne partie de la soirée, le tout bien arrosé. Stéphane qui conduit, ne boit presque pas. Felipe s'est fait draguer pas mal et moi aussi. L'alcool aidant, j'ai évidemment commencé à déconner. Alors qu'un mec allait venir pour m'embrasser et que j'allais lui céder, Stéphane est intervenu d'autorité. Il a décidé que nous devions rentrer. Il est vrai que Felipe était bien bourré et moi un peu gris. Sur le trajet du retour, il dormait et moi j'ai dû demander deux fois à mon homme de se stopper pour vomir le trop plein d'alcool. Triste spectacle que je donne à mon mec. Arrivé à la maison, nous devons coucher Felipe qui dort dans la voiture. Comme j'avais un peu dur, mon mec me remballe dans la salle de bain en me disant de me foutre à poil et de me coucher. Je suis dans la salle de bain à poil lorsqu'il arrive. Il m'attrape et m'emmène dans notre salle de jeux. Il m'accroche à la croix de saint André et me bâillonne, je bande en me disant qu'il va me baiser dessus mais à ma grande surprise, il prend le fouet. Si au départ, les coups sont softs et me font gémir, il se déchaîne ensuite sur moi me traitant de salope, d'infidèle, de pute. Il est violent et mes cris dans le bâillon sont couverts.
Stéphane : Tu n'es qu'une truie bonne à se faire saillir par n'importe qui. Ton cul est à moi et tu vas apprendre ce qu'il en coûte du vouloir le donner à d'autres sans mon autorisation !
Je pleure, je ne sens plus mon dos et mes fesses, juste la chaleur et je sens du sang qui coule légèrement.
Stéphane : Je vais te faire comprendre qui est le maître ici ! Et si tu continues, je te mettrais à l'abattage et tu me rapporteras du fric !
Au bout d'une demi-heure de fouet, enfin je pense car, j'ai perdu la notion du temps. Il lâche le fouet et m'encule direct sans préliminaires. Il me défonce littéralement, j'ai le cul en feu et quand il a jouit dedans, il m'y plante un gros plug. Lorsqu'il me détache, je m'écroule par terre en chien de fusil. Il me lance une couverture sur moi avec un regard mauvais.
Stéphane : Tu n'es qu'une pute !
Il me laisse en pleurs avec le plug dans le cul et le bâillon. Au bout d'un moment, je me relève avec peine et me dirige vers la porte afin de me rendre à la salle de bain mais celle-ci est fermée. Je me remets à pleurer et je fini par dormir par terre. Je ne sais pas quelle heure il est lorsqu'il me réveille avec sursaut. Il me met de la pommade dans le dos, me retire le plug et me met au lit.
Stéphane : Reposes-toi, je dirais que tu es malade !
Il quitte la chambre en claquant la porte, je n'ai qu'une envie c'est de voir mon corps dans un miroir et de pisser aussi. Devant le miroir et après avoir mis du temps pour y arriver, je vois mon corps mutilé et mon anus rouge vif. Je pleure à nouveau, me mets au lit et je dors. Il est plus ou moins midi quand Rose me monte du café. Elle voit qu'il y a quelque chose mais ne dit rien et moi de mon côté non plus. Felipe monte un peu plus tard voir comment je vais.
Felipe : Comment te sens-tu ?
Moi : Je fais aller.
Felipe : Il t'a battu ?
Moi : Je l'ai mérité.
Je me surprends dans ma réponse. Je donne raison à mon mec et je me remets à pleurer. Felipe me fait me relever et voit mon dos.
Felipe : Je vais lui casser la gueule !
Moi : Non, laisses-le tranquille !
Felipe : Mais tu as vu dans quel état il t'a mis ?
Je ne sais quoi répondre et je me blottis dans ses bras, de nouveau en pleurs. Stéphane entre dans la chambre à ce moment et demande poliment à Felipe de se retirer. Celui-ci sort, non sans lui avoir jeté un regard noir. Stéphane s'approche de moi, j'ai un mouvement de recul et j'ai peur de lui mais il me prend dans ses bras et me mets un bisou sur le front. Il me caresse et je sens qu'il bande. Je ne fais ni une ni deux et je me jette sur sa queue pour le sucer comme si ma vie en dépendait. Quand il est bien raide, je me mets à quatre pattes et le cul cambré face à sa bite. Il m'encule violement et me baise pendant dix minutes. Aucun son ne sort de moi, je suis tétanisé et mort de peur qu'il me frappe à nouveau. Lorsqu'il éjacule, il se retire. Il s'écroule et au bout de 10 minutes, il se redresse et crie au bon dieu.
Stéphane : Mais qu'est-ce que j'ai fait. Pardonnes-moi mon ange, je t'ai fait du mal.
Il quitte la chambre, je suis de nouveau en pleurs. Je reste dans le lit et au bout d'un moment, j'entends deux motos sortir de la maison. Mon mec et Felipe qui vont faire une promenade.
Je somnole dans le lit mais je suis réveillé par Christian et Nicole qui, prévenus par Rose et Felipe, viennent voir l'état des dégâts. Nicole fait sortir son mari lorsqu'elle voit mon dos.
Nicole : Ca a été désinfecté ?
Moi : Non, je n'en ai pas la force.
Nicole : Ok. Mets toi sur le ventre, je vais m'en occuper.
Moi : Merci Nicole.
Elle prend de l'alcool et commence à désinfecter. Ça fait tellement mal et je suis tellement épuisé que je tombe dans les pommes et reste inconscient un bon moment. Lorsque je me réveille, mon médecin est là et veut me faire hospitaliser. Je refuse car je sais que la police fera son enquête et ça peut nuire à Stéphane. Il se contente donc de me faire un rappel antitétanique et une piqûre d'anti inflammatoire. Je suis KO lorsque tout le monde quitte la chambre. La dernière étant Nicole qui me demande une nouvelle fois de ne pas rester ici, mais je refuse. Je passe la soirée dans la chambre. Rose m'apporte un repas mais je n'ai pas faim. Felipe entre fin de soirée pour me dire qu'il dort avec moi, Stéphane voulant dormir seul dans la chambre d'amis. Il est chargé d'un message pour moi.
Felipe : Ecoutes, voilà, Stéphane veut rompre avec toi. Il craint qu'en restant avec toi et, par jalousie, il ne te fasse encore plus de mal donc il souhaite que tu refasses ta vie ailleurs.
A ces mots je me remets à pleurer un long moment et ce n'est pas ses bras qui me réconfortent. Je fini par dormir et lui aussi. En milieu de nuit, je me lève et vais rejoindre Stéphane dans le lit de la chambre d'amis et me blotti dans son dos.
Moi : Je t'aime et j'ai mérité cette punition mais ne me quitte pas, je t'aime.
Je dors dans cette position jusqu'au lendemain matin ou je suis réveillé par une douce sensation sur mon pénis. Mon homme me suce avant de venir s'assoir sur ma queue et de se chevaucher dessus, comme si sa vie en dépendait. Il m'embrasse et me fait des câlins tout en se baisant. Ça dure longtemps avant qu'il n'arrive à me faire jouir et lorsqu'il le sens, il se jette sur ma queue et bois tout mon breuvage.
Stéphane : Je t'aime et je suis encore navré de t'avoir fait autant de mal. Ma jalousie me fait faire n'importe quoi. J'ai bien entendu ton message dans la nuit.
Moi : Je l'ai un peu mérité aussi mais je ne pensais pas que tu irais si loin.
Stéphane : Je te promets que je n'irais jamais plus si loin mais je t'autorise, si je suis méchant avec toi, de me rendre la pareille.
Moi : Je vais surtout prendre des cours de self défense contre toi. J'ai eu peur de toi hier toute la journée, je t'ai même laissé me violer sans broncher dans l'après-midi.
Stéphane : Je sais, pardonnes-moi.
Moi : Tu étais sérieux pour ce qui était de l'abattage ?
Stéphane : Oui et non. Pourquoi ? Ça te plairais ?
Moi : Peut-être, si tu es là pour me protéger et surtout avec capote obligatoire. Surtout si tu en a envie. Idem pour un gang bang. Ça par contre, c'est un de mes fantasmes.
Stéphane : Tu es vraiment une salope !
Moi : Oui, mais ta salope !
Il me roule un long patin, quand Felipe entre dans la chambre.
Felipe : Bon, les tourtereaux, quand vous aurez fini, je voudrais bien récupérer ma chambre, prendre une douche et ensuite faire les soins de Pat pour éviter les cicatrices !
Stéphane : Je vais lui faire ses soins dans notre chambre mais merci à toi pour tes conseils et surtout pour ton écoute, hier après-midi. Tu es un véritable ami et un frère pour Pat, plus un amant. Je ne vous interdirais jamais plus de faire l'amour ensemble mais il faut que ce soit consentant.
Felipe : Il en va de soi, mais pour toi aussi sur Pat.
L'avertissement donné par Felipe est dur. Mon homme me prend dans ses bras mais malgré sa délicatesse, je ne peux que crier ma douleur. Dans la douche, il me lave avec douceur et une fois séché, il me pommade le dos et les fesses d'une pommade faite en urgence par la pharmacie de garde du coin. Elle me fait du bien mais je perds malgré tout connaissance à cause de la douleur. Je reste encore une grosse partie de la journée dans le lit alors que mon homme est parti travailler. Il a déposé Felipe à ma société pour donner un coup de main à Claudia et dire qu'il repart déjà ce soir. Je dois aller à ma société mais je suis incapable de conduire. Rose qui se tracasse me de voir descendre en tenue décontractée mais sans fioriture :
Rose : Ca va Pat ?
Moi : J'ai connu mieux.
Rose : Nous savons tous ce qu'il vous a fait. C'est impardonnable.
Moi : Je n'ai pas envie d'en parler Rose. Votre mari pourrait-il me servir de chauffeur ?
Rose : Oui sans souci, mais vous n'êtes pas en état de bouger.
Moi : Je dois aller à ma société et aussi à la bijouterie, c'est urgent.
Rose : il vous conduira où vous voulez.
Moi : Merci.
Rose : Monsieur ira reconduire Felipe et votre maman à Bierset ce soir.
Moi : Ok.
Le mari de Rose " Henry " prend le volant de ma voiture et je monte difficilement à l'arrière.
Henry : Où voulez-vous aller en premier monsieur ?
Moi : Chez mon avocat, j'ai des documents à lui déposer.
Henry : Bien monsieur.
Il conduit avec prudence et évite les bosses pour mon confort. Une fois arrivé, il m'ouvre la portière et veut me donner un coup de main pour descendre.
Moi : Merci, ça ira Henry.
Henry : Je vous attends.
Moi : Merci.
Je rentre dans le cabinet et demande à voir Louis qui me reçoit tout de suite.
Moi : Voilà mon testament avec les modifications que je veux que tu y apportes.
Louis : Tu n'as pas l'air bien Pat, il y a un problème ?
Moi : Je n'ai pas envie d'en parler Louis.
Louis : Ok, pas de problème.
Moi : Où en sont mes affaires ?
Louis : Tout est en ordre, ton ex patron a payé tout ce qu'il te devait et nous avons versé sur ton compte courant ce que nous avions convenu et les primes du garage sont également tombées. Même avec les dépenses que tu as faites avant-hier, ton compte est toujours plus que bien approvisionné. Mais je ne sais pas te dire le montant, le site est en maintenance.
Moi : Ok, et pour la société ?
Louis : Ça suit son cour, les factures du matériel déjà livré sont payées et nous sommes dans les délais. Claudia m'a téléphoné ce matin pour avoir mon adresse email pour m'envoyer le fichier complet clients et notre secrétaire est en train de faire les invitations.
Moi : Ok, je vais me rendre à la société mais avant, je dois aller à la bijouterie. Si tu as besoin de moi j'ai mon portable.
Louis : Ok et je m'occupe directement de ton testament.
Moi : Merci et bonne fin de journée.
Je remonte en voiture et demande à Henry de me conduire à la bijouterie. Dans la voiture mon téléphone sonne trois fois. 1 Nicole qui prend de mes nouvelles. 2 Sylvain qui me dit qu'il peut commencer à travailler dès Lundi prochain. Ça tombe bien, on inaugure le lendemain avant l'ouverture officielle le vendredi suivant. 3 Stéphane.
Stéphane : Que fais-tu dehors ? Il fallait te reposer, tu n'es pas capable de travailler après ce que je t'ai fait, rentres, s'il te plaît.
Moi : Je vais rentrer chou mais je dois passer à la société, c'est urgent. Je dois voir où on en est du contact clients, en plus mon ordinateur portable est là-bas et je dois relever mes emails. On ne sait jamais avec mes clients.
Stéphane : Ok mais fais vite ! De toute façon moi j'ai fini ici au garage, je vais passer rechercher Felipe.
Moi : Ok mais il faudra le reconduire à l'avion ce soir.
Stéphane : Changement de plan, il peut rester ici avec nous jusque fin du mois. J'ai discuté avec ta mère ce matin et je lui ai expliqué ce que je t'avais fait. Je me suis fait engueuler et je lui ai fait la promesse que ça n'arriverais plus. Enfin bref, elle a réussi à convaincre son père qu'il pouvait rester. Il doit juste être de retour avant la Gay Pride de Gran Canaria.
Moi : Super, je suis content.
Stéphane : Ça t'intéresserais d'aller voir la Gay Pride pendant une semaine ?
Moi : Pourquoi pas mais il faut voir avec ma société.
Stéphane : On trouvera bien un moyen. De plus, on sera bronzés pour notre mariage. Je prends congé pour une semaine du vendredi 11 mai au Samedi 19 Mai inclus et je nous ai réservé un hôtel 5 étoiles grand luxe pour nous deux. Tu es d'accord ?
Moi : Je ferais ce que tu veux.
Stéphane : Parfait, on prendra le jet.
Moi : Ok je te laisse chou, j'ai un autre appel.
Stéphane : Ok je t'aime.
En fait, je n'ai pas un autre appel mais on est garé devant la bijouterie. J'entre et Seb est déjà là à m'attendre. Il me montre le piercing et me dit de l'essayer dans la pièce à côté. Lorsque je lève mon pull, il remarque les traces dans mon dos et il ne peut s'empêcher de me demander ce qui s'est passé mais j'élude la question.
Moi : Je ne désire pas en parler.
Seb : Ou il t'a battu, et cela ne m'étonnerait pas de lui car je le sais dominant voire violent en mode SM, soit tu aimes le SM.
Moi : Les piercings sont magnifiques Seb mais peut tu les remettre dans la boîte ? Je mettrais un des deux demain pour lui faire la surprise.
Seb : Ok. Tu l'as loupé de peu. Il était ici il y a 15 minutes et en sortant, il était au téléphone avec toi.
Moi : Qu'est-ce qu'il t'a acheté ?
Seb : Secret professionnel mais tu seras comblé.
Moi : Ok, je ne pose pas plus de question. Je vais te laisser finir ta journée. Je dois moi aussi bosser un peu.
Seb : Prends soin de toi.
Je remonte dans la voiture et henry me conduit au bureau.
Moi : Henry, ne restez pas dans la voiture, venez, il fait plus chaud à l'intérieur et il y a des boissons.
Henry : Bien monsieur.
Moi : Et laissez tomber le monsieur.
Je rentre et, Felipe qui me voit, se jette sur moi et me roule un patin mais ce faisant, me fait mal et je le repousse.
Felipe : Excuses-moi, je ne l'ai pas fait exprès.
Moi : Pas de souci, Stéphane viens de m'annoncer que tu pouvais rester avec nous jusque fin du mois voir plus longtemps mais tu dois être rentré pour la haute saison et la Gay Pride.
Là apparemment, il n'était pas au courant et il se fout à pleurer en me remerciant. Qu'est-ce qu'il peut être chochotte. " Et c'est moi qui dis ça, non mais je rêve "
Moi : Quand tu auras fini de faire ta tarlouse à chialer pour un rien, saches que je n'y suis pour rien mais que maman et Stéphane on fait le nécessaire auprès de ton père.
Felipe : Je ne suis pas une tarlouse mais pour le moment j'ai les nerfs à vif et le coeur aussi.
Moi : Moi c'est la peau !
Il me regarde et nous éclatons de rire.
Claudia : Bonjour Pat, il y a une surprise pour vous dans votre bureau et j'ai contacté tous nos clients avec Felipe et mis à part l'un ou l'autre, tous sont enchantés et j'ai déjà pris des rendez-vous. Sylvain est passé et je lui ai donné une carte d'accès et un code d'alarme que m'a donné Louis. Il est enchanté du matériel livré.
Je monte dans mon bureau et je constate que le décorateur a fait une merveille. Mon bureau est bien disposé dans la pièce, il a rajouté quelques meubles et à changer les armoires de place. Il a ajouté un tableau à la mode sur un mur et un écran géant sur le mur devant mon bureau pouvant faire TV et vidéo conférence. Il a aménagé un coin salon avec un bar également. Sur mon bureau se trouve un énorme bouquet de fleurs avec un mot dessus. Il est de Stéphane. Bonne installation mon coeur je t'aime fort. Mais sur le côté du bouquet il y a la date de la commande. Elle est de vendredi, ça veut dire qu'elle date d'avant m'avoir battu. Felipe rentre dans mon bureau avec un verre d'eau et un cachet.
Felipe : Je viens d'avoir Rose au téléphone, c'est l'heure de ton anti inflammatoire.
Moi : Ah oui merci.
Tout en me dirigeant vers la fenêtre, je prends mon cachet et je vois mon homme arriver. Il monte dans mon bureau directement.
Stéphane : Je t'avais demandé de rentrer !
Moi : C'est ce que je m'apprêtais à faire, mon portable est dans le sac et je prenais un anti-inflammatoire. Que penses-tu de mon bureau ?
Stéphane : Il est très beau. Bon, tu rentres à la maison ou je dois me fâcher ?
J'ai un mouvement de recul de peur, il s'en aperçoit et me prend la main, me tire vers lui, à la vue de mon regard, il se rend compte qu'il me fait peur. Il me prend dans ses bras avec douceur, pose ma tête sur son épaule et me caresse les cheveux, ensuite, lorsque je me calme, il m'embrasse avec amour et je ne peux me retenir de pleurer. " Là, c'est moi la chochotte "
Stéphane : Je te raccompagne à la voiture, je veux que tu rentres et que tu te mettes dans le jacuzzi. Ça va te faire du bien, tu pourras regarder tes emails grâce au Wi-Fi. J'ai demandé à Rose de te préparer une bouteille de Champagne rosé. Je sais que tu aimes.
Moi : Oui. Je vais rentrer. Ne soyez pas trop long à venir me rejoindre mais j'ai peur du regard de Rose sur mon corps.
Stéphane : Rose a très bien compris ce que j'avais fait et elle m'a d'ailleurs fait part de son indignation. Crois-moi, je sens encore la paire de gifles qu'elle m'a mis hier et ce matin. Tu n'as rien à craindre, par contre moi, je sens que je vais encore en prendre une ce soir en rentrant.
Moi : Ok mon homme et, ah oui, merci pour les fleurs, elles sont jolies.
Stéphane : J'ai commandé des plantes pour tout le bâtiment en concertation avec le décorateur.
Moi : Mais comment fais-tu pour avoir toujours une longueur d'avance sur moi ?
Stéphane : Ça, c'est mon secret.
Arrivé au rez-de-chaussée et avant de monter dans la voiture, Felipe me stoppe pour me dire que ce matin, il avait pris un taxi pour aller au sport et qu'il m'avait excusé auprès de Marc. Celui-ci l'avait encore sauté dans la cabine et ce, sous les yeux de Jona qui s'est enfin décidé à lui demander de prendre sa virginité.
Moi : Ah tout de même ! Et qu'a répondu Marc ?
Felipe : Il lui a répondu que le soir même, il le déflorerait avec son mec et que maintenant ils feraient ménage à trois et qu'il l'aimait, ce petit con ! Je le cite.
Stéphane : Apparemment il n'y a pas que moi pour foutre la merde dans un couple.
Moi : Oui mais avec moi, ça finit bien !
Et par mégarde, ils me donnent une claque sur les fesses tous les deux.
Moi : Aïe ! Mais putain, vous ne pouvez pas lui foutre la paix à mon corps ?
Felipe et Stéphane : Excuses-nous. Mauvais réflexe.
Moi : Non je n'excuse pas ! Ce soir, vous aurez droit tous les deux à une séance par moi. Je vais vous faire sentir ce que je ressens.
Felipe : Oui tu as raison on l'a mérité, enfin, Stéphane plus que moi.
Moi : J'en tiendrais compte !
Stéphane : Je me laisserais faire mon coeur, je te le promets. Mais maintenant rentres. Tu es épuisé physiquement et moralement.
Je ne dis rien car, furieux, je monte dans la voiture avec difficulté et henry me ramène à la maison.
Henry : Ca va monsieur ?
Moi : Oui ça va henry mais ils ont raison je suis épuisé. Ce que m'a fait endurer Stéphane la nuit de samedi à dimanche m'a abattu, surtout mon moral. Je l'aime mais je ne sais pas si j'arriverais à tenir le coup.
Henry : Ma femme lui a déjà fait passer le message et moi aussi. Mais connaissant Rose, elle va mettre du temps à lui pardonner. Elle le considère comme un fils et, tout comme une mère, il est normal que quand celui-ci fait une grosse bêtise, elle doive sévir.
Moi : Je dois avouer que je n'ai pas été un ange avec Stéphane samedi soir et que je mérite un peu sa colère mais ...
Henry : J'ai bien compris monsieur.
Au moment où nous arrivons à la maison, mon médecin arrive aussi, pourtant je ne l'avais pas appelé.
Le Doc : Bonjour Pat, tu te sens mieux ?
Moi : Je fais aller mais je suis fort fatigué.
Le Doc : Pas étonnant après ce que tu as subi, tu aurais dû rentrer à l'hôpital et déposer plainte.
Moi : Et ça aurait servi à quoi ?
Le Doc : Eh bien il aurait dû en accepter les conséquences.
Moi : Contrairement à lui, je n'ai pas envie de faire du mal à l'homme que j'aime mais ne te tracasse pas, je vais lui rendre la monnaie de sa pièce et il va comprendre ce que ressens pour le moment.
Le Doc : Bon, allez, rentres. Je vais t'examiner pour voir ou en sont les plaies, je suppose que tu as encore mal.
Moi : Oui quand l'anti douleur ne fonctionne plus, sinon c'est supportable.
Nous rentrons et montons dans ma chambre, Rose nous suit.
Le doc : Déshabilles-toi, couches-toi sur le ventre et enlèves le slip.
J'hésite à enlever mon boxer devant eux.
Le Doc : Alors tu te décides ? Je t'ai mis au monde et j'ai vu grandir ton cul pendant 38 ans ! Et dis-toi que Rose en as vu d'autres.
J'enlève mon boxer et me couche sur le ventre. Pour la première fois, Rose voit l'étendue des dégâts.
Rose : Mon dieu, mon pauvre Pat. Qu'est-ce qu'il t'a fait !
Moi : Ca va aller Rose mais dites-vous bien que ce soir, c'est moi qui vais lui faire goûter au fouet. Je n'irais pas jusqu'à ce qu'il m'a fait mais il en gardera un souvenir et je crois qu'il ne recommencera plus. De toute façon, je détruirais tout le matériel qui pourrait encore engendrer ce genre de chose.
Rose : Crois-tu que ça soit la bonne solution de lui rendre la monnaie de sa pièce ?
Moi : Je ne sais pas Rose, je ne sais pas.
Le Doc : Bon. Les plaies sont toutes refermées mais pour éviter toute cicatrice, tu continueras à mettre de la pommade encore pendant une semaine, après ça je te prends un rendez- vous au CHU pour te refaire une peau lisse dans le dos et sur les fesses. Tu verras, c'est un traitement que l'on donne aux grands brulés, tu vas récupérer une peau de bébé et sans aucune trace de ce qui s'est passé.
Il prend ma tension. 6,8.
Le Doc : Tu as mangé depuis samedi ?
Moi : Non je n'ai pas faim.
Le Doc : Il faut que tu manges ! Bon, je vais te faire une prise de sang pour voir si tu n'as pas choppé une bactérie et ensuite je vais te faire une piqûre pour ta tension. Demain, en principe et si tu manges, tu seras en forme.
Rose : Je vais me charger de le faire manger, de toute façon, monsieur dois reconduire la maman de Pat et Felipe à l'aéroport. Je suppose qu'il ira manger quelque part.
Moi : Rose, il y a un changement. Felipe reste ici encore pour un bon moment et je leur ai demandé de ne pas traîner après avoir déposé ma mère à l'aéroport. Donc je suppose qu'ils mangeront ici. Doc peut tu demander que l'on me fasse le test au laboratoire avec la prise de sang.
Rose : Je vais téléphoner à monsieur pour savoir ce que je dois faire car j'avais déjà fait les bagages de Felipe. Je vais revenir.
Moi : Faites Rose. Doc peux-tu me faire aussi le test HIV ?
Le Doc : Pourquoi me demandes-tu ça, tu en as fait un il y a trois semaines.
Moi : Je veux me rassurer.
Le Doc : Ok. Comme tu veux. Tu auras les résultats demain soir, je vais les faire passer en urgence.
Moi : Merci.
Le Doc : Bon, je te laisse. Tu me verseras 75 € à l'occasion sur mon compte. Je vais te faire les trois papiers pour la mutuelle.
Moi : Ok, je fais ça ce soir.
Le Doc : Il n'y pas le feu, reposes-toi d'abord et manges !
Moi : Rose va me gâter et en plus, Stéphane lui a demandé de me mettre une bouteille de Champagne Rosé de côté alors, rien que pour ça, je vais manger.
Le Doc : A la bonne heure mais n'abuses pas trop avec le vin et l'alcool. Ça ne va pas faire bon ménage avec la piqûre mais tu peux te baigner et te mettre dans le jacuzzi. Rose m'a dit qu'elle avait fait le nécessaire et elle a ajouté du désinfectant dans l'eau.
Moi : C'est une seconde mère pour moi.
Rose : Merci pour le compliment. Monsieur reviendra vers 21h00 et prendra deux Pizzas pour lui et Felipe. Donc je n'ai que toi à m'occuper. Que voudrais-tu ?
Moi : Du saumon avec des scampis ou des crevettes en salade, si possible avec un peu de pain.
Rose : Et comme dessert ?
Moi : Peut-être un morceau de fromage mais on verra après la salade, si encore faim.
Le Doc : Bon moi je vous laisse, je vais faire les papiers en bas et je rentre chez moi.
Moi : Ok merci Doc.
Il nous quitte et Rose me donne un coup de main pour mettre un peignoir et un maillot de bain. Je descends, prend mon ordinateur portable sur la table de la salle à manger et je me mets dans le jacuzzi. Je l'allume sur le rebord de celui-ci afin de ne pas le mouiller. J'ai un drap pour me sécher les mains et travailler dessus. Rose arrive avec le champagne et quelques amuses bouches
Rose : Ca va Pat, ça te fait du bien ?
Moi : Oui Rose ça fait un bien fou. Merci d'être aux petits soins avec moi.
Elle ne me répond pas mais je vois son regard qui se pose sur mon dos et d'un geste affectueux, elle me caresse les cheveux. Elle me laisse et sur le temps que je bois ma coupe, je relève mes emails. Pas grand-chose d'intéressant mis à part quelques demandes de rendez-vous auxquels je réponds de prendre contact avec Claudia au numéro **************. Les autres, c'est de la pub et un devis que j'ai demandé à mon agence de voyage pour notre voyage de noces mais je décide de ne rien dire à Stéphane pour le moment. J'éteins mon portable et je profite encore un peu du jacuzzi. Je finis par prendre la bouteille de champagne près de moi et je m'installe sur un transat, le ventre posé sur un drap. Il fait bon autour de la piscine chauffée, je ne résiste pas et dors un peu. Rose qui passe par là me dépose avec délicatesse un drap de bain en Lin et me laisse dormir. C'est Felipe qui vient me réveiller d'un bisou sur la bouche, il est 21h00.
Moi : Vous êtes rentrés ?
Felipe : Oui et ta mère est dans l'avion. Euh au passage, elle a passé un méchant savon à Stéphane et lui a mis une belle mandale.
Moi : Décidément, c'est le jour des gifles.
Stéphane : Tu as mangé ?
Moi : Non pas encore. Je me suis endormi après deux coupes de champagne et quelques amuses bouche. Rose m'a laissé dormir.
Stéphane : Elle a mis la table pour toi et un mot disant que ton assiette est au frigo et que si tu as besoin de quoi que ce soit, tu l'appelles.
Moi : Vous avez mangé ?
Felipe : Oui dans une pizzéria ici plus loin. Voilà qu'on rentre.
Stéphane : Attends, je vais te donner un coup de main pour te relever et tu vas manger. Ordre de Rose !
Je passe un peignoir et je m'installe à table. Ils m'apportent mon assiette et un verre de vin blanc.
Stéphane : Bon, on va prendre une douche et on vient te rejoindre.
Moi : Soyez sages !
Felipe : Comme des images !
Moi : Je sens qu'on va finir par faire couple à trois aussi, moi ici.
Felipe : Tu l'as un peu cherché aussi non ?
Moi : Ouais mais n'oubliez pas votre punition de ce soir.
Je mange et quand j'ai fini, ils sont là pour débarrasser. Stéphane revient avec trois coffrets à bijoux et me les donnes.
Stéphane : C'est pour toi mon coeur.
J'ouvre les trois coffrets et je trouve sous mes yeux une parure or et émeraude avec un piercing pour mon oreille avec un pendentif en forme de larme. Un gros collier en or incrusté d'émeraudes, la bague et le bracelet en or assortis, c'est magnifique.
Stéphane : C'est un cadeau pour me faire pardonner car je m'y prends comme un con avec toi et pourtant, je t'aime à en crever. Et puis, demain, cela fera un mois que nous sommes ensemble, je voulais marquer le coup.
Je regarde Felipe dans les yeux et dans le dos de Stéphane, il fait des signes pour dire qu'il n'a rien fait.
Moi : Merci. C'est très joli mais à force de m'offrir des cadeaux somptueux et de me sortir en boîte avec, il ne faut pas t'étonner de me voir me faire draguer et de me laisser aller, l'alcool aidant.
Stéphane : Je te promets que je ne te quitterais jamais plus d'une semelle la prochaine fois que nous sortons. D'ailleurs, si tu vas mieux, nous sortirons ensemble samedi soir.
Moi : Tu m'avais déjà fait la même promesse lors de notre première sortie en boîte.
Stéphane : Oui tu as raison.
Je me lève et l'embrasse à pleine bouche.
Moi : Je t'aime, grand con !
Stéphane : Moi aussi petit con ! Mais je veux que tu me fasses ressentir ce que je t'ai fait. Ça me servira de leçon.
Moi : Alors montes !
A l'étage, je commence par Felipe à poil et attaché à la croix de Saint André. Je commence doucement à le fouetter et y vais plus fort ensuite jusqu'à laisser quelques marques. Mais ce con apprécie et en redemande, il bande comme un ouf. Il aime ça le salaud !
Moi : Ne me dit pas que tu aimes ?
Felipe : Si c'est trop bon ! Vas-y, continues.
Moi : Non je n'ai pas le courage. Tiens mon coeur, il est à toi.
Et mon mec lui inflige une dizaine de coups biens sentis et la peau de Felipe rougit. Il jouit sans se toucher, un vrai maso !
Stéphane : Il lui manque quelque chose dans la tête, ce n'est pas possible.
Nous le détachons et le portons sur le billot en cuir et, couché sur le ventre, je lui passe de la crème apaisante. Ensuite, j'attache mon homme et le bâillonne et là, je me déchaîne sur lui. Il hurle dans le bâillon. Je lui inflige une dizaine de coups biens sentis également et il marque comme moi sur le dos mais je ne vais pas trop loin. Comme lui, je le sodomise sans aucune préparation, il hurle et pleure comme moi.
Moi : Tu comprends maintenant ce que c'est de se faire fouetter comme tu l'as fait sur moi et en plus de m'avoir déchiré l'anus à sec ?
Il me fait un signe de la tête que oui. Je m'enfonce à fond dans son cul et lui met une quantité impressionnante de ma semence dans le cul. Il se contracte et jouit aussi. Je prends le plug qu'il m'avait mis et lui enfonce comme lui, d'un trait dans le cul. Il hurle un bon coup en se cambrant et se relâche complètement. Il pend sur la croix, il est vaincu. Je le détache, il bande toujours malgré qu'il a jouit et tombe par terre.
Moi : Tu garderas le plug jusque demain matin ! Tu verras comme ça peut être douloureux de le garder et surtout de le retirer après. Et encore, moi je serais doux pour te le retirer alors que toi, tu me l'as arraché.
Il me fait signe de la tête que oui.
Moi : Ne me dis pas que tu as aimé ?
Il me fait signe de la tête que oui.
Moi : Mais t'es aussi maso que Felipe !
Je lui retire le bâillon.
Stéphane : Je n'ai pas trop aimé le fouet et je reconnais que, par rapport à moi, tu as été très gentil. Mais j'ai adoré que tu me violes, que tu me défonce le cul et surtout que tu me domines. Je veux que tu recommences, si peu que je ne suis pas gentil avec toi. Mais j'ai bien retenu la leçon.
Je lui donne un coup de main pour se relever et Felipe, lui, est toujours en train de récupérer. Je les laisse en plan pour prendre une douche et me coucher sur le ventre. Lorsque je suis au lit, ils viennent chacun d'un côté de moi et se blottissent dans mes bras, tous les deux viennent m'embrasser à tour de rôle et je me remets à bander. Ils s'en aperçoivent, me mettent sur le côté et me taillent une pipe à deux. Je vais m'en souvenir longtemps et c'est mon homme qui boit tout mon jus, trop bon. Nous finissons par dormir.
Pattlg
Autres histoires de l'auteur : Domination par Stéphane mon futur mari