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Domination par Stéphane
mon futur mari
Départ en vacances et surprise
Je monte me coucher et je m'endors rapidement. A un moment, je sens mon homme venir se frotter à moi, il bande, me caresse un peu le corps mais me laisse dormir. 4h30, mon portable vibre, je dois me lever. J'essaie de ne pas réveiller mon homme mais ça ne marche pas.
Stéphane : Donnes-moi tout de même un dernier petit bisou, je ne vais plus te voir pendant une semaine.
Je l'embrasse tendrement et je file m'habiller pour aller chercher ma mère et aller ensuite à l'aéroport. Je descends et constate qu'il y a de la lumière en cuisine.
Moi : Bonjour Rose, vous êtes déjà de service ?
Rose : Oui. Monsieur déjeune à 6h00, il a une livraison de véhicules au garage avant l'ouverture et monsieur doit tout contrôler.
Tiens c'est drôle, il ne m'en a pas parlé. Il a peut-être oublié.
Moi : Et bien Rose, je vous souhaite une bonne journée et on se revoit dans une semaine.
Rose : Bon voyage et bonne vacances.
Et me voilà parti pour aller chercher ma mère. Elle est prête et nous allons à l'aéroport de Bierset Liège. Le check in est rapide et nous attendons pour pouvoir embarquer. Ma mère commence à me poser des questions sur Stéphane auxquelles je réponds facilement et sans rien lui cacher. Elle m'écoute et parait étonnée quand je lui explique qu'il me fait grimper aux rideaux quand on fait l'amour. Elle sait que je suis passif mais pas inactif.
Ma mère : Tu as une photo de lui ?
Moi : Euh non, à vrai dire, je n'ai pas pensé à en prendre une. Mais tu feras très bientôt sa connaissance, il est prévu que nous allions manger au restaurant ensemble à ton retour de vacances.
L'hôtesse nous indique que nous allons pouvoir embarquer. Dans l'avion nous avons pris des places prémium car il y a plus de place pour les jambes et le repas est meilleur. Le vol se passe sans problème. Ma mère, après avoir mangé, s'endort comme d'habitude dans l'avion. Moi je joue à un jeu sur ma tablette. Arrivé à l'aéroport de Gran Canaria, nous récupérons rapidement nos bagages et nous nous dirigeons vers un taxi. Il est midi heure locale. Le taxi met 20 minutes à nous amener jusqu'à la villa. La propriétaire nous attend pour nous remettre les clefs, je l'avais prévenue de notre arrivée depuis l'aéroport. Nous discutons un peu et elle nous souhaite la bienvenue, elle nous connaît bien, ça fait cinq ans que nous louons la même villa. Avant de nous installer j'envoie un texto à Stéphane pour dire que nous sommes bien arrivé mais je n'ai pas de réponse. Pourtant il m'avait dit qu'il garderait son portable sur lui toute la journée. Je suis déçu mais peut-être est-il fort occupé. Nous nous installons dans nos chambres respectives, moi je prends celle avec le grand lit à l'étage et ma mère la chambre à double lit du rez-de-chaussée. Il y a 28 degrés dehors donc je décide de me mettre en short et en t-shirt et mode vacances. Ensuite, nous nous rendons au supermarket qui n'est qu'à une centaine de mètres de la villa pour faire quelque achats pour le déjeuner demain matin. Je nous prends trois bouteilles d'un vin blanc espagnol que nous aimons bien. Sur le chemin du retour, nous nous arrêtons au restaurant le Masepalomas où j'avais, comme chaque année, fait une réservation pour ce soir. Je confirme que nous étions bien arrivés. Je connais bien le patron et surtout son fils qui a fait ses études en Belgique et qui parle le français. De plus son fils est gay comme moi. C'est un beau grand jeune homme de 30 ans, beau corps musclé, bien dessiné belle bouille de mec espagnol avec la barbe taillée court façon espagnol. Il a toujours eu des vue sur moi mais il est comme moi, passif et soumis. Donc ça ne pouvait pas marcher entre nous mais nous nous respectons et nous apprécions beaucoup. Il s'appelle Felipe et c'est lui qui sert pour le moment.
Moi : Bonjour Felipe tu vas bien ?
Felipe : Oui et vous ? Vous avez fait bon voyage ?
Moi : Oui très bon. Tu nous as gardé une table pour 2, ce soir en terrasse.
Felipe : Votre table habituelle vue mer. On est complet ce soir mais vous aurez votre table de 4 pour vous deux comme d'habitude. Mon père me l'a signalé, 19h30 comme prévu.
Comme on prend toujours, ma mère et moi, une paella royal pour nous deux et que ça prend beaucoup de place sur la table, ils nous mettent à une table de 4.
Moi : Ok Felipe à ce soir.
Ma mère et moi rentrons. Il est un peu moins de 15h00, comme il fait bon, je décide de me mettre en short de bain torse nu, sur un transat et sous le parasol avec une bière fraiche que j'avais pris au supermarket. Ma mère, elle, est dans la villa. Je ne sais pas ce qu'elle fait. Je suis ma tablette, sur internet grâce au Wi-Fi de la villa dont j'ai le mot de passe. Je me connecte sur le site de mon boulot avec mon login et mon mot de passe et relève mes emails. On sonne à la porte de la villa, je suppose que c'est la propriétaire qui vient voir comme chaque année si on est bien installés.
Ma mère : Pat tu peux venir ? C'est pour toi.
Pour moi ?????
Je vais à l'entrée et qu'est-ce que je vois : Stéphane ! Comment est-il arrivé ? J'en reste bouche-bée !
Stéphane : Surprise !!!
Ma mère : Je suppose que vous êtes Stéphane ?
Stéphane : Oui, c'est cela madame.
Je suis là, toujours sans mots qui sortent de ma bouche.
Ma mère : Et bien fait le entrer ! Qu'est-ce que tu attends ? Allô ! Y a quelqu'un là-dedans ?
Je reprends mes esprits.
Moi : Ah, euh, oui entre, mais tu avais beaucoup de travail m'a dit Rose ce matin. Comment se fait-il que .....
Stéphane : Attends, je vais t'expliquer, pas de panique.
Ma mère : Je suis enchantée de faire votre connaissance Stéphane. Il va y avoir enfin un peu d'animation dans cette maison. J'aurais au moins l'impression de ne pas être dans une maison de repos.
Moi : Maman, ne commence pas s'il te plaît.
Ma mère : Bon, bon. Je vous laisse, vous avez des choses à vous dire, je suis dans la piscine.
Moi : Ok man. Viens, on va dans le salon. Tu vas m'expliquer. Mais avant toutes choses, tu as des bagages ?
Stéphane : Oui, ils sont dans le 4x4 garé la devant. Je l'ai loué à l'aéroport. Bon, écoutes, tu te souviens la nuit de vendredi à samedi lorsque je me suis absenté ?
Moi : Oui je me rappelle.
Stéphane : Et bien je suis allé boire un verre dans un bar ou j'ai beaucoup de clients. Entre autre le bijoutier qui m'a ouvert son magasin pour me rendre service. Et bien j'ai un autre de mes clients qui est très fortuné et qui possède un jet privé à Bierset pour son travail. Il voyage beaucoup vers la France et l'Angleterre ainsi que les USA. Je lui ai raconté que mon futur mari partait avec sa mère ici et que je ne trouvais pas de billet d'avion pour venir avec. Et donc, celui-ci m'a mis son jet à disposition moyennant une compensation pour le personnel de bord et les boissons durant le vol. Il m'offrait le reste. Et donc voilà je suis là ! Tu n'es pas content de me voir ?
Moi : Très heureux d'avoir mon homme auprès de moi mais pour ton boulot, Rose m'a dit ce matin que tu devais aller au garage pour recevoir de nouvelles voitures.
Stéphane : Elle t'a menti. J'avais inventé ce stratagème car je devais me lever tôt pour prendre l'avion et surtout faire mes valises juste après ton départ. Tu étais toujours en bas que les valises étaient sur le lit.
Moi : Et pour ton boulot ?
Stéphane : J'ai téléphoné à mon patron pour prendre congé. Il me les a accordés sans problème à condition de rester joignable en cas de problème et que pour le reste il gèrerait pour 10 jours avec les vendeurs restants. Je lui ai expliqué qu'il fallait que je me change les idées suite au problème avec le vendeur licencié et c'est passé comme une lettre à la poste. A propos, tu peux annuler ton billet de retour, tu rentres avec moi. Le jet viendra nous reprendre lundi soir. Tu as déjà fait l'amour dans un avion ?
Moi : Non.
Stéphane : Tu me donnes un coup de main pour mes valises ?
Moi : Oui tout de suite.
Nous sortons vers le 4x4 BMW qu'il a loué.
Moi : Toujours ta marque. Tu as de la chance d'avoir eu ce modèle car souvent c'est une loterie avec les loueurs de voitures.
Stéphane : Non, en fait, c'est le seul modèle qu'ils ont en automatique.
Stéphane ouvre le coffre et je vois 5 valises de marque Louis Vuitton ! S'il vous plaît !
Moi : Mais tu es ouf toi ! C'est une semaine que tu passes ici, pas trois mois ! Il ne fallait pas prendre toute ta garde-robe avec !
Stéphane : Il y a des vêtements pour toi aussi. Comme je venais et que je veux que tu sois toujours beau quand tu es avec moi, j'ai pris le nécessaire ainsi que ton alliance que tu as laissé sur l'évier de la salle de bain.
Je regarde ma main. Oh oui putain je l'ai oublié je ne l'avais même pas remarqué.
Moi : Ah oui tiens, voilà seulement que je le remarque.
Stéphane : je t'ai aussi ramené tes bijoux ainsi que ta montre.
Moi : Mais je m'étais fait une valise tu sais.
Stéphane : Oui je sais, je l'ai vue dans ton appartement dans la nuit de vendredi à samedi.
Moi : En parlant de mon appartement, tu aurais pu faire un peu moins de bruit en entrant ou en partant. Tu as cassé la vitre de la porte du sas d'entrée.
Stéphane : Oui je sais, je paierai le remplacement de celle-ci. Mais comprends-moi, avec ton texto incendiaire comme quoi tu rentrais chez toi, j'ai vu rouge et je suis allé dans ton appart pour avoir une explication. Quand j'ai vu que tu n'étais pas là, je me suis encore plus énervé parce que je venais de trouver un moyen de te rejoindre ici. Je suis retourné à la maison et je t'ai trouvé dans mon lit en train de dormir paisiblement. Ça m'a calmé directement, je suis reparti au bar trouver le client bijoutier et l'ai convaincu de m'ouvrir sa boutique.
Moi : Ça ne m'explique toujours pas pourquoi tu m'as pris des vêtements.
Stéphane : Et bien dans ta valise tu n'as pris que des shorts et des t-shirt, pas de tenue de soirée, pas de tenue sexy ni de boxer sexy, et comme je venais ....
Moi : Mais ça ne m'explique pas non plus comment tu nous as trouvé ici.
Stéphane : Et bien, tes documents de voyage étaient dans ta valise, je les ai lus et j'ai noté l'adresse sur mon portable. Comme la voiture ici à un GPS...
Moi : Tu es pire que Machiavel !
Stéphane : C'est parce que je t'aime ! Bon, je peux m'installer où ?
Moi : Dans ma chambre pardi.
Stéphane : Ta mère ne dira rien ?
Moi : Ma mère est déjà très contente que j'ai un mec dans ma vie alors tu comprends bien qu'elle ne va pas la ramener.
Stéphane : Ok mon amour.
Moi : Je vais te donner un coup de main pour ranger les armoires avec moi. Ensuite je nous sers un apéro et on va dans la piscine.
On monte dans ma chambre, j'en profite pour lui montrer la maison, je range toutes nos affaires dans l'armoire et Stéphane remarque mon plug sous un t-shirt.
Stéphane : Tu avais pris ça avec toi ?
Moi : Eh bien oui. En fait, j'ai pensé que comme je n'aurais plus ta queue dans mon cul pendant une semaine, il allait se resserrer. Je ne voulais pas avoir mal en rentrant de vacances. Te connaissant, tu aurais été en rut après une semaine d'abstinence.
Stéphane : Oui je te comprends mais je compte bien sur ton joli petit cul pendant cette semaine donc à mon avis tu n'en auras pas besoin. Par contre, moi, j'ai amené ça.
Et il me montre le bâillon et le masque ainsi que du gel.
Moi : Ah oui je vois, mais je suis là aussi pour me reposer.
Stéphane : Oui mais n'oublie pas que maintenant tu es à moi et que je suis l'homme et toi ma petite femme et une femme, ça s'entretien !
Moi : Oui mon homme.
J'adore quand il me parle comme ça. Stéphane se change, enfile un beau maillot de bain et se met de la crème à bronzer.
Stéphane : Tu en veux ?
Moi : Non. J'ai beau avoir une peau de roux, je ne brûle plus depuis quelques années. Je fais attention à ne pas trop m'exposer.
Stéphane : Oui mais moi je veux un homme tout bronzé, donc je te mets de la crème !
Et hop ni une ni deux, il m'attrape avec force et me tartine de crème. Ça promet pour le reste du séjour. Nous nous dirigeons vers la piscine et au passage je prends trois verres à vin et une bouteille de vin blanc que je mets dans la glace en espérant qu'elle soit déjà assez froide. Ma mère prend le soleil sur un transat. Elle lit un bouquin qu'elle a pris avec elle. Je nous sers un verre de vin.
Moi : Voilà un premier apéro de vacances ! Si ce n'est pas assez frais, mettez un glaçon dans votre verre.
Nous buvons notre verre assis à la table de la terrasse et ma mère commence à discuter avec Stéphane. Elle en apprend un peu plus sur celui-ci. Il lui explique comment on s'est rencontré et qu'il avait eu directement le coup de foudre pour moi. Ma mère à l'air réjouie de ce qu'elle entend. Stéphane lui fait la confidence qu'il voudrait que je m'installe chez lui définitivement.
Ma mère : Pourquoi tu ne t'installes pas chez lui ?
Moi : Ce n'est pas que je ne veux pas, d'ailleurs, j'y ai déjà amené pas mal de vêtements, mais j'aime mon indépendance.
Ma mère : Et bien tu l'auras aussi chez Stéphane.
Stéphane : Oui il l'aura.
Ma mère : Et bien tu vois, de toutes façons ton patron va mettre l'appartement en vente.
Moi : Maman .....
Stéphane : Ton boss vend l'appartement ? Tu comptais me le dire quand ?
Moi : Vendredi soir mais tu ne m'as pas laissé le temps de t'en parler et le reste du week-end a été mouvementé.
Stéphane : Tu seras tout de même puni " rire "
Moi : On va se baigner ?
Stéphane : Oui.
Nous voilà parti dans l'eau, nous nageons ensemble et nous jouons avec une balle qui se trouve dans l'eau, sûrement des restes des précédents résidents.
Ma mère : Les garçons, je vous laisse. Je vais prendre une douche et me préparer pour le repas du soir. Il est déjà 17h00.
Moi : Ok man.
Ma mère s'est à peine éclipsée que Stéphane se jette sur moi et me plaque contre le mur de la piscine. Il m'attrape la tête entre ses deux mains et me roule un patin comme il en a le secret. Il est collé à mon corps et je peux sentir sa bestiole contre la mienne.
Stéphane : Maintenant, tu n'as plus le choix. Tu vas venir t'installer chez moi !
Moi : Ok Stéphane mais je veux que tu me promettes une chose. Si ça devait mal se passer entre nous, je veux pouvoir me retourner. Je veux pouvoir occuper la chambre d'ami jusqu' à ce que j'aille retrouver un autre endroit pour vivre.
Stéphane : Je ne vois pas pourquoi on aurait des problèmes relationnels mais je t'en fais la promesse. Je t'aime et je veux vivre avec toi.
Nous continuons à nous bécoter dans la piscine et le jour commence à baisser tout doucement. Je commence à avoir un peu froid dans la piscine et je décide de sortir et de me sécher. Mon homme lui fait encore quelques longueurs.
Stéphane me regarde tout en nageant avec un regard amoureux. Ses yeux brillent.
Stéphane : Tiens, une question. Qu'est-ce qu'on mange ce soir ?
Moi : Putain j'avais oublié ! On va manger dans un restaurant ici un peu plus loin mais il est complet. Il faut que je téléphone voir si il on encore une place.
Stéphane : Sinon on ira autre part.
Moi : Attends, je vais téléphoner. Je connais très bien le patron et surtout son fils.
Et je le plante là pour téléphoner au restaurant. Heureusement pour nous, Felipe que j'ai au bout du fil me dit qu'il n'y a aucun problème, je le remercie et raccroche. Je vais retrouver mon homme qui est sorti de la piscine et se sèche.
Moi : Ok, j'ai eu Felipe, il n'y a pas de problème pour le resto ce soir.
Stéphane : C'est qui Felipe ?
Moi : Le fils du patron du restaurant et autant te le dire tout de suite, il est gay et passif comme moi. Donc ne sois pas jaloux de lui car je m'entends super bien avec.
Stéphane : Pas de soucis, de toute façon je serais là et tu me présenteras comme ton homme ! Si nous allions prendre une douche et nous apprêter pour le repas du soir.
Moi : Oui mon homme.
Ça me fait penser je n'ai plus entendu ma mère depuis un petit moment. Qu'est-ce qu'elle nous fabrique déjà ? Elle n'est jamais à un mauvais coup prêt. Je regarde dans la villa et je ne la trouve pas. Il n'y a plus la clef sur la porte, où est-elle partie ? Je monte prendre ma douche et m'habiller pour le soir, Stéphane est déjà sous la douche et je m'aperçois qu'il a déjà préparé nos vêtements. Pour lui, il s'est pris un pantalon noir fin et légèrement brillant avec une chemise blanche et chaussures noires. Pour moi, un pantalon blanc en lin assez moulant avec une chemise d'un blanc nacré de nouveau assez moulant à un point que je ne saurai pas fermer tous les boutons. On verra mon torse. Chaussettes blanches et chaussures blanc cassé. Il m'a préparé un Jockstrap blanc, ma montre, ma boucle d'oreille et mon collier. Il y a également deux petites boites sur nos vêtements. Je me déshabille et passe à mon tour sous la douche. Elle est un peu petite pour nous deux mais mon homme en a fini et sort pour se sècher et s'apprêter. Je me lave vite fait et vais m'habiller. Stéphane est déjà prêt et m'attend.
Stéphane : Je t'ai mis ce que je voulais te voir porter, je veux que tous les regards se tournent vers nous. Habilles-toi devant moi que je vois si ça te va bien.
Je m'exécute. Je suis magnifique. C'est hyper moulant. Le pantalon colle littéralement à mes fesses, la chemise fait ressortir mes pectoraux.
Stéphane : Te voilà tout beau, comme moi, pour sortir.
Moi : Oui mon coeur.
Stéphane : Tiens. C'est pour toi. Je veux que tu le portes comme moi.
Et il me tend la petite boite, je l'ouvre et vois un bracelet avec nos deux prénoms écrit dessus. Je décide de le porter au bras droit puisque j'ai ma montre au bras gauche.
Stéphane : Je les ai fait faire dans la nuit de vendredi à samedi par mon client bijoutier, je veux te voir le porter en permanence et je ferai pareil.
Moi : Oui mon homme.
Ma mère : Vous pouvez descendre, l'apéritif est prêt.
L'apéritif ? Mais je n'avais rien prévu ! Il était prévu que nous prenions un apéritif dans un bar à côté du restaurant. Nous descendons, et je m'aperçois que ma mère est allée chercher des tapas au bar du coin et un magnum de Cava local.
Stéphane : Comme apéritif on est servi ! Un magnum ! On ne boira pas tout cela.
Moi : Maman, Stéphane à raison, on aurait pu aller où on va d'habitude.
Ma mère : Tais-toi. C'est en l'honneur de Stéphane que je l'ai fait. Il y a au moins un homme qui t'a sorti de l'ombre et qui t'a mis en lumière. Un homme comme Stéphane, ça se bichonne, tu as intérêt à le garder. En attendant je vous souhaite beaucoup de bonheur ensemble.
Stéphane : Je vous remercie madame et ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour le rendre heureux.
Ma mère : Tu peux m'appeler Nathalie.
Stéphane : Ok Nathalie.
Comme je n'ai rien à dire, je me tais et bois mon apéritif.
Ma mère : Vous êtes très beaux habillés comme ça. On dirait un vrai petit couple. Tu l'as changé en une semaine Stéphane. Merci à toi.
Stéphane : Je n'ai pas de mérite, il s'est laissé faire et en plus, maintenant, il apprécie son nouveau look.
Moi : Il m'a beaucoup gâté cette semaine. Il m'a acheté une flopée de vêtements, de chaussures, de bijoux, j'ai voulu participer mais il ne veut pas. De mon côté j'ai également acheté des nouveaux vêtements. Il est vrai que Nicole et Christian on fait du bon boulot sur moi.
Ma mère : Qui sont ces deux personnes ?
Moi : Christian est le meilleur ami de Stéphane, il est tailleur, entre autre, car dans sa boutique on trouve de tout. Même des choses auxquelles on ne penserait jamais trouver là, mais plutôt dans un sex-shop. Nicole est son épouse et elle a un institut de beauté, c'est elle qui s'est occupée de mon nouveau look.
Ma mère : Et c'est elle qui t'a épilé sur tout le corps ?
Moi : Oui.
Stéphane : C'était mon choix. J'aime que mon mec soit imberbe. Moi-même je suis épilé et je vais aussi toutes les semaines en centre esthétique chez Nicole. Dorénavant il devra aussi y aller pour prendre soin de son corps. De plus je l'ai fait changer de club de sport pour venir dans le mien et il a un coach sportif. On voit déjà les premiers résultats au bout de deux séances.
Ma mère : Oui effectivement, mais il était déjà musclé avant.
Stéphane : Oui mais pas dessiné au niveau des muscles. Dans un mois, vous verrez, il sera comme moi, voir même mieux. Par rapport à moi, il a des exercices que lui sait faire, moi pas, à cause de mon dos.
Ma mère : Je trouve que les muscles chez un homme, ce n'est pas le plus important, mais ça lui va bien.
Moi : Je nous ressers ?
Ma mère : Quelle question ! Bien sûr, ressers nous, ensuite on va aller manger, ainsi, je pourrai encore profiter de Stéphane pour le connaitre un peu mieux.
Je m'exécute et nous finissons notre apéro, ma mère toujours en train de discuter avec Stéphane. Moi, je les écoute sans rien dire. Il est 19h00 et leur signale qu'il serait temps qu'on se dirige vers le restaurant. Nous finissons nos verres et ma mère range le tout dans la cuisine, elle fera la vaisselle plus tard. Nous faisons le trajet à pied pour se rentre chez Felipe et son père. Arrivés sur place :
Moi : Bonsoir Felipe.
Et je l'embrasse.
Felipe : Bonsoir Pat, bonsoir Nathalie. Toujours très en beauté comme d'habitude. Toi Pat tu as changé, tu fais plus jeune et plus gay " rire ".
Ma mère : Mais il est gay, Felipe.
Moi : Maman s'il te plait. Felipe je te présente mon homme, Stéphane.
Felipe : Enfin casé ! Félicitations ! Enchanté Stéphane. Il y a du monde, je vous amène à votre table et je viendrais à la fin du service avec mon père. On boira un verre ensemble. En attendant, profitez de votre repas.
Il nous installe, nous donne le menu et s'éclipse.
Stéphane : Il a l'air très bien ce Felipe. Tu l'as connu comment ?
Moi : Il a fait ses études d'hôtellerie à Liège et je l'ai connu dans une soirée avec des clients. Il était le serveur et il a flashé sur moi. Il a remarqué, et pourtant ce n'est pas écrit sur mon front, que j'étais gay, et il a essayé de me draguer. Comme je suis passif et lui aussi, c'est tombé à l'eau mais on est restés bons amis. La preuve. C'est lui qui m'a dit qu'il était de Gran Canaria et qui nous a renseigné la villa dans laquelle nous venons toutes les années depuis cinq ans. Voilà, tu sais tout.
Stéphane : Et vous n'avez jamais rien fait ensemble ?
Moi : Tu as vu mon Age ? A l'époque, j'avais 30 ans et lui à peine 22 ans. La différence d'âge étant, je lui ai conseillé de trouver un mec de son âge et que je ne recrutais pas au biberon. Il a compris. Il a même apprécié, c'est pour cela que l'on est resté amis.
La serveuse arrive pour prendre notre commande. Paella royale pour 3 s'il vous plaît et une bouteille de vin blanc demi sec. Il a fallu attendre longtemps pour avoir notre plat, ce qui est rare ici. Mais avec tout ce monde... Ma mère et Stéphane se racontent leur vie. Ma mère n'est pas avare en anecdotes sur moi, quand j'étais plus jeune, ce qui a le don de m'agacer. Voilà le plat qui arrive avec toutes les excuses du patron pour le retard. Je recommande une bouteille de vin et nous mangeons. Le temps est agréable et le bruit de la mer en fond sonore est assez reposant. La soirée se passe et les clients commencent à partir, nous avons fini de manger depuis un moment. La Paella était comme à son habitude, excellente. Mon homme s'est resservi trois fois. Je vois Felipe qui remet de l'ordre dans le restaurant.
Moi : Felipe quand tu auras le temps avec ton père, vous viendrez prendre un verre avec nous ?
Felipe : Nous sommes là dans cinq minutes.
Stéphane : Vous prenez souvent un verre après le repas ?
Moi : Oui.
Ma mère : Vous m'excusez les enfants, je vais me refaire une beauté.
Moi : Oui man.
Stéphane : Se refaire une beauté ?
Moi : En fait, ma mère en pince pour le père de Felipe qui est divorcé et vice versa. Ma mère reste une semaine de plus car je crois qu'ils sortent ensemble. Evidemment, elle croit que je n'ai rien repéré.
Stéphane : La coquine " rire "
Nous voyons ma mère revenir avec le père de Felipe " Il s'appelle Manoël " et ils viennent s'installer à table. Nous commençons à discuter du restaurant, de la vie qui coûte cher, bref, des mondalités ..... Felipe viens s'assoir à côté de moi.
Felipe : Il est hyper craquant ton mec, vous êtes ensemble depuis combien de temps ?
Moi : Un peu plus d'une semaine. C'est lui qui m'a fait faire ce changement corporel.
Felipe : Il n'a pas perdu de temps ! Il est comment au lit ?
Je vois que Stéphane, tout en discutant avec le père de Felipe, a une oreille tendue sur notre conversation.
Moi : Eh bien d'abord, il est actif et dominateur. Au lit, c'est génial.
Felipe : Actif dominateur ? Tout à fait mon style ça. Et il est bien monté ?
Moi : D'abord, pas touche ! C'est mon homme et je le garde, donc, chasse gardée ! Et oui, il est monté comme un dieu. Et encore ... Je pense que Dieu en avait une plus petite.
Nous éclatons de rire.
Moi : Sérieusement, il m'a appris des choses pendant cette semaine, des choses que je n'aurais jamais osé faire un jour.
Felipe : Du genre ?
Moi : Et bien, gorge profonde, avaler son jus, être attaché, bâillonné, être son esclave, son soumis. Ce genre de choses-là ..... Mais tu es bien curieux, toi, je trouve.
Felipe : Non, non. Je t'assure. De toute façon, j'ai un mec.
Moi : Ah bon ? Depuis combien de temps ?
Felipe : Un peu plus de six mois.
Moi : Expliques-moi. Comment l'as-tu rencontré ?
Felipe : Comme tu le sais, je vis ici depuis deux ans dans un appartement, un peu plus loin. J'ai comme voisin un mec célibataire de deux ans plus vieux que moi. J'ai pu constater qu'il y avait une flopée de mecs qui passaient dans son appartement, j'ai supposé qu'il était gay. Comme il ne m'avait jamais abordé, moi je ne disais rien. Un soir, alors que je sortais d'ici, je l'ai croisé dans la rue. Il rentrait dans le bar gay ici un peu plus loin. Il était tout en cuir.
Moi : Oui et quoi.
Felipe : Eh bien je suis rentré dans le bar car ce type m'intriguait. A l'intérieur du bar, il y avait du monde. J'ai eu difficile à le trouver jusqu'au moment où j'ai senti une main sur mon épaule, je me suis retourné. C'était lui.
La conversation avec Felipe était tellement intéressante que je n'ai même pas vu ma mère et son père partir ensemble.
Stéphane derrière moi : Il me semble que la conversation devient intéressante ici.
Moi : Euh oui. Tiens ? Où est ma mère ?
Stéphane : Avec son mec ! Elle vient de tout m'avouer. Elle m'a dit que nous aurions la villa pour nous tous seuls et que cette semaine, on la verrait peu. Ça te pose un problème ?
Moi : Euh non, ça fait bizarre à entendre, mais non. Ça ne me pose aucun problème mon homme.
Stéphane : Et si tu laissais parler Felipe, je trouve son histoire intéressante.
Moi : Vas-y Felipe, continues.
Felipe : Donc, j'ai senti sa main sur mon épaule et je me suis retourné.
Le voisin : C'est moi que tu cherches, voisin ?
Felipe : Euh non, je cherche des copains.
Le voisin : Arrêtes ! Je sais que tu me mate depuis un bon moment et tu m'as suivi ici.
Felipe : Ben oui, tu as raison, je t'ai suivi. Je dois avouer que tu as beaucoup de mecs qui défilent dans ton appart et j'étais curieux.
Le voisin : Donc tu me mate bien. Je te fais bander ?
Felipe : Tu m'attires oui, mais je dois surtout te dire que ce sont les bruits dans ton appartement qui m'ont rendu curieux.
Le voisin : Ca s'entend fort ?
Felipe : Oui. Qu'est-ce que tu fais avec ces mecs ?
Le voisin : Je les domine. Tu vois, je suis actif dominateur et j'adore soumettre des mecs. Mais en règle générale ce sont des plans d'un soir avec des folles d'ici qui aiment se faire dominer. Tu cherches quoi dans le sexe ?
Felipe : Pas grand-chose pour le moment. Je suis passif à tendance soumis, mais avec mon boulot il m'est difficile de trouver, ou même de sortir tard la nuit.
Le voisin : Tu voudrais que je te soumette ? Ça t'intéresserais ?
Felipe : Pourquoi pas, mais en douceur. Je n'aime pas les coups.
Le voisin : Dans la soumission, faut savoir tout supporter de son maître. C'est la règle numéro une. Et bien on rentre, je vais te montrer, mais d'abord tu rentres chez toi et tu prends une douche, ensuite tu sonnes chez moi, à poil.
Felipe : Ok.
Stéphane : Tu m'a l'air très soumis au fond toi, Felipe.
Felipe : Surtout depuis que je le connais. Aujourd'hui je suis libre car il est en France pour son boulot. Il rentre demain et je ne pourrais pas me permettre de rester si tard ici par exemple.
Moi : Continues ton histoire.
Felipe : Je suis rentré dans mon appartement et j'ai pris une douche, ensuite je me suis rendu à poil devant sa porte et j'ai frappé. Il m'a dit de fermer ma porte d'entrée à clef et de rentrer chez lui. A l'intérieur j'avais l'impression d'être dans un donjon de boîte de nuit. Il y a un divan noir en cuir, un sling accroché au plafond et des chaines au mur. Sur la table basse du salon, il y a des godes, des colliers, des bâillons. Lui était en chaps cuir, la bite à l'air, un harnais et des gants en cuir.
Moi : Le voisin, il s'appelle comment ?
Felipe : Michel. Il est français. Il bosse ici et en France dans l'immobilier de vacances. Je reprends donc.
Michel : Entres, mon esclave, et mets toi à genoux devant ton nouveau maître. Maintenant je vais faire ton éducation et, crois-moi qu'après, tu seras très serviable.
Je vous relate la suite de l'histoire, ça ira plus vite. Michel mit autour du coup de Felipe un collier auquel il attacha une laisse, ensuite, il le fit marcher à quatre pattes dans l'appartement. Il lui ordonna de lui lécher les pieds ainsi que son cuir jusqu'à en arriver à ses couilles. Il lui attacha les mains dans le dos et le força à sucer sa bite. Il lui pilonnait la tronche avec sa queue tout en l'insultant de petite pute et de chienne à son maître. Ensuite il le bâillonna et l'installa sur le sling et l'attacha complètement. Avant de pouvoir utiliser son cul, il le rasa, ensuite il lui ouvrit le fion a coup de godes de différente tailles tout en lui faisant sniffer du Poppers afin qu'il se détende. Toute cette partie de la nuit a duré pendant deux heures. Michel bandait et entreprit de baiser Felipe et ce, à grand coup de rein en lui pinçant les tétons. Felipe nous a dit avoir souffert car tout en le baisant, il lui claquait les fesses. A 4h30 du matin, il finit par jouir dans les entrailles de Felipe sous capote. Felipe, lui, n'avait pas joui et il le branla avec force tout en lui plaçant un plug large dans le cul, ce qui fit jouir Felipe. Ensuite il l'a détaché, et lui a demandé :
Michel : Alors petite salope, pour ta première soumission, tu as aimé ?
Felipe : Oui maître.
Michel : C'est bien. Tu veux recommencer ?
Felipe : Oui maître.
Michel : Tu voudrais devenir mon esclave attitré ?
Felipe : Je ne sais pas trop maître.
Michel : Je ne te laisse pas le choix et de toute façon, tu apprendras à aimer ton maître, je te dresserai et tu m'appartiendras corps et âme.
Felipe : Bien maître.
Ensuite, on s'est revu trois fois par semaine pour des séances de dressage. Au bout de deux mois, il m'a dit que le dressage était terminé et qu'il voulait autre chose avec moi. Il commençait à m'aimer et moi aussi. Maintenant nous vivons ensemble dans mon appartement et on garde le sien pour des plan ensemble lorsqu'il désire me dominer plus fort ou me punir de quelque chose. Il est très possessif et veux savoir en permanence ce que je fais, où je suis, mais il sait être tendre aussi. Quand il est à la maison je dois tout lui faire. Je lui sers de bonne à tout faire en plus de mon travail mais, j'aime. Quand il est parti pour son boulot, j'ai quartier libre et il me fout la paix. Je vous le présenterai quand il rentrera de France, en principe demain. Je l'attends avec impatience.
Stéphane : Ok pas de soucis. Maintenant il se fait tard et tu m'as chauffé avec ton récit. On rentre mon homme. Ce soir, je te fais l'amour et puis il est temps qu'on rentre. Tu commences à avoir des petits yeux, il me semble que tu as un coup dans le nez.
Moi : Non pas du tout. Combien te dois-je Felipe ?
Felipe : Ta mère a tout payé et les verres ici c'est pour moi. Cela m'a fait plaisir de vous parler et de me confier à vous.
Moi : Mais il n'y a pas de quoi. Je te souhaite autant de bonheur que j'en ai jusqu'à présent avec mon homme.
Stéphane me fout une petite claque sur les fesses.
Stéphane : Allez lève-toi ! On rentre, tu diras moins de conneries.
Moi : Ce n'est pas une connerie de dire que tu me rends heureux pour le moment.
Stéphane : C'est le moment qui ne me plait pas, allez lève-toi on rentre !
Je me lève et j'ai la tête qui tourne. Effectivement, je suis bourré. Pourtant, je le tiens bien d'ordinaire ce vin là, ça doit être le voyage et la journée mouvementée.
Moi : Mon homme, effectivement, je suis un peu bourré. Donnes-moi un coup de main pour rentrer.
Stéphane : Et si je n'avais pas été là, tu serais rentré comment ? Mets ton bras sur mon épaule. Bonne fin de soirée Felipe.
Moi : Désolé pour mon comportement Felipe. Bonne nuit.
Felipe : Pas de soucis Pat. Bonne nuit à vous deux et merci.
Sur le chemin du retour, Stéphane m'aide à marcher droit.
Moi : Désolé mon homme, je ne voulais pas te faire honte. Ça doit être la fatigue du voyage ou je ne sais quoi car, d'habitude, ce vin passe sans aucun souci.
Stéphane : Tu oublies aussi l'apéro avec ta mère mais je ne t'en veux pas. Je voudrais juste que cela ne devienne pas une habitude en sortie.
Moi : Tout ce que tu veux mais marche plus lentement, j'ai envie de vomir.
Nous rentrons à la villa et mon homme me déshabille au rez-de-chaussée. Il me porte dans ses bras et me met au lit, il est un ange pour moi. Il vient me rejoindre mais je suis déjà dans les bras de Morphée. Il me met sur le côté et me prends dans ses bras tout en glissant sa queue dans mon cul ce qui me réveille par la douleur.
Moi : Mhm, tu me fais mal. Pas ce soir s'il te plait.
Stéphane : Tu vas dormir avec ma queue dans ton cul cette nuit. C'est ta punition pour ton état et le fait que je voulais te faire l'amour. Dors !
Je ne lui réponds même pas. Je me suis déjà endormi.
Pattlg
Autres histoires de l'auteur : Domination par Stéphane mon futur mari