Samedi pluvieux, je restai sous la couette, peu motivé à l'idée de mettre le nez dehors et épuisé par la semaine de cours qui venait de se terminer. Mes premiers mois parisiens se résumaient essentiellement à cela d'ailleurs : études et repos, un cocktail peu engageant mais néanmoins nécessaire.
Arrivé du sud fin août, je me heurtais autant au climat parisien qu'au rythme de la ville lumière. Malgré quelques envies, je n'avais toujours rien fait sur le plan sexuel à Paris. Intimidé, à seulement 19 ans, par le Marais, je préférai le plus souvent chatter en ligne et me branler au calme sous ma couette. J'étais donc loin de ma vie trépidante du Sud, Sud qui m'avait vu essayer toutes sortes de pratiques auprès d'un master.
Seulement voilà, après quelques mois d'abstinence, mon trou commençait à manifester une envie certaine de se faire perforer. Les échanges à distances avec mon ancien master, les dialogues avec quelques mecs intéressés sur le net et quelques ballades dans le Marais me poussèrent à chercher un nouveau mec, susceptible de devenir un master bien vicieux.
19 ans, 1m74, 78 kilos bien sportif, cul bombé et musclé, barbe et chignon, nul doute que l'aspect viril que je dégageai faisait son petit effet, tant sur les filles que sur les mecs. Cependant, pour moi les choses étaient claires, depuis mes toutes premières expériences : j'étais 100% passif, tendance soumis, lope, chienne, pute et autres qualificatifs reçus en échange de mes divers comportements sexuels.
Il ne fallut que quelques jours pour avoir une discussion qui commençait à être intéressante avec un mec sur le net. Chaque message que je recevais de lui me prenait aux tripes : il s'exprimait parfaitement bien et faisait preuve de vice et de perversité, ce qui me ressemblait beaucoup. Il s'appelait Pierre, travaillait dans le théâtre et montrait une grande ouverture d'esprit côté sexualité (mais pas que). Rapidement, nos discussions devinrent très cérébrales, poussées, nous nous projetions rapidement dans le futur pour voir si nos aspirations respectives pourraient se rejoindre. Il apparut très vite que ce serait le cas.
Après un certain nombre de discussions, nous convînmes de rédiger un contrat, préparant déjà une appartenance totale et exclusive de mon corps à Pierre, dénommé le maître dans le contrat. Il est intéressant de souligner que pour ma part, mon prénom s'effaçait rapidement pour laisser place à la dénomination suivante : "la pute". Le contrat anticipait un grand nombre de choses, cadrant donc bien les choses. Pour faire court, mon corps et mon esprit devaient appartenir à mon maître, qui pourrait en disposer comme bon lui semblerait, seul ou accompagné, et je n'étais pas en mesure de refuser quelque insertion que ce soit dans mes orifices, quelque soit le contexte.
Nous avons donc fixé une date de rencontre (le fameux samedi pluvieux). Je devais donc me rendre chez lui, sur la ligne 9, non loin de chez moi afin de partager une première expérience hard et de signer dans la foulée le "contrat". Les termes de la rencontre étaient clairs : je devais me présenter à lui en jock-strap, à quatre pattes, lui m'attendrait nu. Cela impliquait donc que je dusse me changer et me positionner dans le couloir, devant sa porte d'entrée, au risque de me faire voir par un voisin.
Le temps du trajet fut le temps du doute : dans quoi allais-je me fourrer (ou me faire fourrer) ? Petite crainte habituelle, quand on ne sait à quoi s'attendre en réel. Mais l'envie d'explorer les vices de ma sexualité étaient la plus forte et, quelques minutes plus tard, je passais le porche d'entrée de son immeuble à l'aide des codes qu'il m'avait préalablement donnés. Je suivais les instructions à la lettre et me retrouvai bientôt devant sa porte. Ayant jeté un oeil dans la cage d'escalier, je savais que personne n'était là, je me mis donc à la tâche : une fois en jock, affaires dans le sac à dos, je sonnai et me mis à quatre pattes.
Quelques longues secondes après, tremblant dans l'idée (humiliante) d'être ainsi découvert, je vis la porte s'ouvrir et laisser place à un homme, habillé, qui ne ressemblait pas vraiment à la photo...Tenté de me relever et de partir en courant, je n'en fis rien. Le gars me scruta et, après quelques instant, il appela d'une voix forte Pierre, en l'interpellant : "Pierre, ta nouvelle pute est là !". Particulièrement surpris, je ne dis rien et la porte derrière moi s'ouvrit et Pierre en émergea, avec une vue parfaitement dégagée sur mon trou laissé libre par le jock-strap. Sans me tourner, je senti les paumes de mon nouveau maître se poser sur mes fesses et les pétrir. Il semblait ravi de ce qu'il avait devant lui. Sans perdre de temps, il me donna un premier ordre : "Lèche lui les shoes" en m'indiquant le premier gars à avoir ouvert. Je m'exécutais, sans réfléchir, bien obéissant.
Satisfait, il me claqua légèrement les fesses, me faisant échapper un petit cri. L'excitation de Pierre et de l'autre gars étaient palpables, au sens propre comme au sens figurer. La mienne également : cette situation était un peu folle, je me retrouvais en jock à 4 pattes dans un couloir, en train de lécher les chaussures d'un homme dont je ne connaissais rien et de me faire claquer les fesses par un autre que je n'avais pas encore vu de mes propres yeux, puisqu'il se tenait toujours derrière moi. Mais soumis et servile, j'obéissais.
Pierre m'intima de ne pas bouger et me plaça un bandeau sur les yeux. Je ne posais aucune question. Il m'attrapa par les cheveux et me fit avancer à quatre pattes à l'intérieur de son appartement, suivis par son voisin. Il me guida jusqu'à ce que je supposais être le salon et m'ordonna de me placer sur la table basse, toujours dans cette position de chienne. L'odeur devança l'ordre suivant, consistant à lui lécher le pied, qu'il venait de poser sur le bord du meuble. Appliqué, j'entrepris de lui baiser le pied du bout des lèvres, puis je lui léchai calmement partout avant de commencer à sucer ses orteils. Dominateur, il commença à m'enfoncer le pied dans la bouche, m'étouffant et me faisant baver énormément. Mais je tenais bon et voulais à tout prix plaire à mon nouveau maître. Après quelques minutes de ce traitement, il cessa et me présenta sa queue.
Elle était grosse, bien dure et il mouillait déjà à l'idée de perforer mon trou. Je commençais lentement à lui pomper le gland quand j'entendis quelqu'un se rapprocher derrière moi, le voisin probablement, et je senti un liquide froid se déverser sur mes fesses et mon trou. Tout en continuant à pomper de plus en plus profond et de plus en plus passionnément, je senti un doigt, puis deux puis trois faire des aller-retours dans mon trou. D'autant plus excité, je me mis à pomper à fond de gorge, encouragé par la main ferme de Pierre qui m'appuyait à l'arrière de la tête.
Les deux hommes se relayèrent et j'eus pour la première fois les doigts de Pierre en moi, trois d'un coup. Son voisin avait également une belle queue, pas très longue mais large et avec un très gros gland. Une fois bien ouvert, Pierre me fit installer sur le dos, jambes en l'air. L'instant tant attendu par mon trou arrivait : la tête en arrière, pendante de la table basse, j'avais la gorge fourragée par le voisin, pendant que Pierre pressa son gland encapoté contre mon trou qui s'ouvrait à cet occasion.
En quelques secondes, Pierre fut en moi jusqu'aux couilles, j'aurais probablement hurler si je n'étais pas bâillonné par le gland du voisin. Mon nouveau maître me bourrinait le cul sans ménagement, tout en verbalisant son excitation de turbiner une jeune pute de 19 ans. Les deux devenaient de plus en plus expressifs et installaient progressivement leur domination. Les insultes se mettaient à pleuvoir, tout comme les crachats au visage. Trop excité, je profitais de chaque moment avec la bouche libre pour les inciter à me malmener plus durement. Trop contents de comprendre qu'ils avaient carte blanche, ils m'éclatèrent bouche et cul durant les quarante-cinq minutes suivantes, les parsemant de crachats, insultes, fessées, petites gifles, léchage de pieds et de cul.
Cela dura jusqu'à ce que le voisin me couvre le visage de sperme. Pierre, lui, continua quelques minutes avant de finir dans la capote à l'intérieur de mon cul, à grands renforts de ruades et de cris bestiaux. Trop heureux de sa trouvaille, il me claqua les fesses et m'emmena dans la salle de bain. Toujours aveugle, la faute au bandeau, je me retrouvai dans la douche, le visage couvert de sperme et le cul grand ouvert. Je compris alors son envie : il m'intima d'ouvrir la bouche et je reçu deux jets conjoints de pisse dans la bouche. Je n'avalai pas mais servait d'urinoir, pour ma grande satisfaction. Mon maître m'ôta alors le bandeau et je découvris alors son visage pour la première fois en réel, souriant mais ferme, ravi de sa première utilisation de sa nouvelle pute.
Je me douchai rapidement, l'anus encore douloureux et dilaté, afin de me nettoyer du sperme, de la pisse et des crachats divers. Quelques instants après, je revins dans le salon, nu mais entouré d'une serviette des pectoraux à mi-cuisses. Surprise en arrivant dans le salon, mon maître, le voisin et plusieurs autres mecs plus ou moins dévêtus se partageaient des bières. Mon maître me vit arriver et m'ordonna de reprendre ma place de pute, à quatre pattes. Obéissant, je me retrouvai face à tous ces hommes, en train de me faire fièrement apposer un collier de chienne et une laisse par mon maître, qui me privât de ma serviette.
Mon maître expliqua alors que les différentes personnes présentes (parmi lesquelles, une femme, d'une quarantaine d'année !) n'avaient en fait pas perdu une miette du spectacle et qu'ils en avaient tous été ravis, signe que je serai amené à les côtoyer souvent. J'étais donc nominé sans hésitation pour devenir la nouvelle pute de mon maître. Je me retrouvais quelques instants après en train de signer mon contrat sur la table basse, avant d'être offert à qui voulait se satisfaire pour le reste de la soirée...
Max
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