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Les nouveaux jumeaux, 1ère prestation-3:
Dimanche
Nous n'arrivons à sortir de nos lits que sur le coup de 13h. Douches, boxers et nous retrouvons notre hôte et ses invités qui nous attendaient pour bruncher.
Karl s'est autorisé à paraitre dans le même accoutrement que nous. Sa plastique quasi parfaite fait l'affaire avec les nôtres (de plastique). Les deux " vieux " sont vêtus sportwear mais de montagne et les knickers de mon client moulent bien son anatomie supérieure à la moyenne, d'autant plus qu'il doit bander un peu. C'est le cas de tous les mecs qui nous servent, leurs queues bandent déjà ! C'est flatteur.
Après les remerciements à mon encontre pour le professionnalisme de mes 4 collaborateurs, je discute du programme de la demi-journée qui nous reste.
Alors que je m'attendais à ce que nous soyons de nouveau partagés entre le client et son ami, ils nous laissent quartier libre jusqu'au départ, nous demandant juste de laisser Karl nous accompagner.
Le vol de retour est prévu pour 23h (nous dormirons dans le jet).
Karl nous embarque donc pour une petite visite de la station. Un blouson en cuir tente les jumeaux. Pas le temps de sortir ma carte que Karl a dégainé la sienne (enfin celle de Patek) et qu'il en offre deux aux jumeaux. Il insiste (pas longtemps) pour que Jalil comme Marian acceptent le même cadeau.
Passage dans un bar gay où leur gémellité attire tous les regards, enfin c'est surtout leurs petits culs moulés dans leurs jeans car mes deux autres escorts ne laissent aussi personne indifférent. Karl y est connu et nous sommes servis rapidement. J'ai le plaisir de me faire draguer par un des serveurs et pas le plus moche !! Quand ça commence à se savoir que nous sommes Français (notre accent !) les connaissances de Karl défilent pour connaitre nos disponibilités. C'est GAY mais Suisse aussi !!
Dans un autre contexte je me serais bien mis le serveur sur ma bite mais là, on n'a pas terminé notre tour. Karl nous entraine jusqu'au magasin le plus top de la station et là, me demande de choisir ce qui me plait. C'est le genre de magasin où pour connaitre le prix d'un article tu dois le demander. Tout y est de qualité. Je n'arrive pas à me décider jusqu'à ce que je tombe sur les manteaux. Une pelisse de de fourrure blanche attire mon regard. Elle descend jusqu'aux chevilles et la fourrure est à l'intérieur. Dedans à poil ou en jock, c'est grave sex !! On se renseigne, de l'ours blanc (ok c'est pas écolo !). Je l'essaye, ça fait vielle tantouze façon la cage aux folles !! Mais comme je ne compte pas l'utiliser pour sortir en ville...
Karl qui a pensé comme moi, contrairement aux 4 autres qui n'ont capté que le premier effet, me pousse et sort à nouveau sa carte magique. Une fois sortis et le paquet dans le coffre de la voiture, les jeunes ironisent sur mon achat jusqu'à ce que Karl leur soumette l'idée que moi dedans à poil c'est autre chose.
Dans la voiture qui nous ramène, je dis à mes employés que s'ils le veulent bien, ce serait poli/convivial/sympathique d'offrir (façon de parler) un dernier moment sexe à nos deux ainés. Ils sont OK avec ça.
Nous les trouvons devant la grande cheminée un verre de whisky dans la main.
Mes jumeaux portent l'attaque. Chacun se pose sur les genoux, Hyac du banquier et Hip de Patek., face à face. Marian et Jalil les délestent obligeamment de leur verre, qu'ils puissent avoir l'usage complet de leurs mains pour profiter du corps des jumeaux. Gros roulages de pelles, pendant laquelle ils retirent leurs hauts.
La température monte encore de quelques degrés. Alors que je pensais que le client et son amis allaient se laisser aller à baiser devant la cheminée, côte à côte, Le banquier se lève gardant Hyac accroché à sa taille. Il appelle Marian et nous demande de l'excuser. Patek repousse Hip et le prenant par la main, fait signe à Jalil de les rejoindre avant de suivre mon client vers les suites.
Karl et moi nous nous retrouvons seuls, enfin avec Bastien son factotum et le service du moment.
Contrairement aux deux " vieux ", nous ne sommes pas pudiques et j'entreprends Karl devant le feu. Bien chauds, nous intégrons Bastien et nous sommes nus à peine 1/4 heure plus tard. Pelles, pipes, gorges profondes, léchages de rondelle, aspirations de tétons, bouffages de boules, la salive s'étale sur nos peaux glabres.
Je demande à Bastien si le petit mec que nous avions baisé avec Karl était de service. Il me confirme la chose et ajoute que deux autres mecs tout aussi baisables sont avec lui.
Karl et moi lui faisons confiance et il les appelle pour nous.
C'est quand ils arrivent ensemble c'est là que nous nous apercevons que le critère du banquier sont strictes. De même taille, ils semblent moulés sur la même empreinte. Largeur d'épaule, musculatures sous-jacentes, ils ne diffèrent que par leurs visages, la coiffure étant la même : blond en brosse, tempes plus courtes.
Ils rosissent devant le spectacle : trois beaux mecs bandés à mort proposant, Karl son 21 x 5.5, Bastien son 20x5 et moi mes 20 x 5.5.
Celui que nous avions déjà baisé Karl et moi, comprend notre attente. Il se place à genoux devant moi et commence une pipe. Les deux autres ne perdent pas de temps et se retrouvent devant mes deux acolytes.
Quand ils ôtent leurs livrées, nous avons la confirmation. Physiquement ils se ressemblent avec chacun un beau petit cul rond, véritables aimants à bites. Une différence en plus des visages, leurs bites. Bien raides elles varient, à vue d'oeil, entre 15x4 pour celui que nous avions déjà baisé à16x3 pour le plus long.
Avant qu'ils ne nous fassent jouir sous leurs coups de langue et autres massages par larynx interposés, nous les installons côtes à côtes, à genoux sur le grand canapé en cuir blanc, les bras posés sur le haut du dossier.
Fort naturellement, ils cambrent les reins et écartent légèrement les genoux pour nous dévoiler leurs trésors.
On se kpote et juste lubrifiés par le gel initial, nous les défonçons. Pas de cris mais trois longs gémissements de plaisir. Enfin long comme le temps que nous prenons à enfiler la totalité de nos queues. Avec Karl, nous avons choisi les culs que nous ne connaissions pas. Le mien me semble aussi serré que celui de notre première expérience ancillaire. Karl m'assure que c'est pareil pour lui. Entre nous deux, Bastien nous dit être bien confortable dans le sien.
D'un " ça va ? " lancé à l'encontre des trois enculés nous revient trois satisfécits quant au travail que nous exerçons sur leurs rondelles.
J'attrape le mien par les épaules et accentue mes coups de rein, surtout en phase finale de pénétration. Ma proie apprécie et me le fait savoir. Il se cambre encore plus et rejette sa tête en arrière. Je me penche et nous nous roulons un patin. Sa langue est fraiche et sa longue langue vient s'enrouler autour de la mienne. Elle est longue et il sait s'en servir !! Dans une rondelle elle doit faire des prouesses.
En attendant j'en deviens plus violent dans ma sodo. Ses gémissements, même étouffés par ma bouche, ne peuvent dissimuler le plaisir qu'il est en train de prendre.
On décolle nos bouches. Ses ahanements ne sont finalement pas plus sonores que ceux de ses deux collègues.
Changement de position. Nous trois assis sur le canapé et eux à califourchon sur nos cuisses à galoper, plantés sur nos queues. Le mien bande et ses couilles collent à sa tige. Je mate les autres, même cause, mêmes effets. Il varie la cadence, s'accrochant à mon cou lorsqu'il passe la surmultipliée. Je l'arrête quand, par trois fois, je manque de juter.
Je me lève, il serre ses cuisses autour de ma taille pour suivre le mouvement et garder ma bite bien au chaud tout au fond de son cul. Je me tourne et debout les jambes écartées, après l'avoir fait sauter deux trois fois défonçant sa rondelle jusqu'aux derniers mm de ma queue, je le bascule dos sur l'assise. Il desserre ses jambes. J'attrape ses chevilles et écarte, écarte, presque au grand écart. Belle souplesse, même si j'envahi un peu l'espace de Bastien et de sa kpote humaine. Il finit par m'imiter tout comme Karl. On s'aperçoit que là aussi c'est du pareil-au-même question souplesse entre les trois petits mecs.
Entre deux coups de rein je questionne. Sportif ? Réponses : le mien 10 ans de gym et 3 de basket, les deux autres 8 et 9 de gym et même équipe de sport collectif. Plus grand que mes deux gymnastes, Florian et surtout Romain, ils sont moins musclés mais plus harmonieux dans la répartition des masses musculaires, moins évidents à deviner.
Nous les achevons. Karl, Bastien et moi-même, nous accentuons la force de nos coups de rein. Le claquement des corps s'entendent plus fort. Les gémissements de nos trois proies aussi. Ils jutent quasiment au même moment de longues giclées de sperme qui couvrent leurs pecs. Pour ma part, à chacune des éjaculations de mon petit mec, je me retrouve la queue bloquée, serrée comme dans un étau par sa rondelle qui spasme. Alors qu'il s'envoi sa troisième giclée de jus dans ses cheveux, je me mets à jouir à mon tour et à remplir consciencieusement ma kpote. Il jute, je jute après. Nous alternons 4 fois avant que sa source se tarisse. J'en ajoute deux de plus dans le plastique. Main droite sur sa bite qui bande toujours, je le branle. Ça pour effet de lui resserrer une dernière fois la rondelle et de tirer les dernières gouttes de sperme de mes couilles.
Epuisé je m'écroule sur lui collant nos deux torses imberbes avec sa " glue ". Il prend l'initiative de me rouler une pelle. Alors que je commençais juste à débander, ce con, il me fait raidir à nouveau direct !! C'est bizarre mais soudain je ne suis plus fatigué du tout !!
Je sors quand même pour changer de kpote et le refourre direct. Il est serré comme à ma première saillie. Une légère grimace à la progression mais grand sourire quand je suis à fond. Je le préviens que là ça va durer un moment. Il me dit que c'est tout ce qu'il espère.
A nos côtés, les deux autres couples ont aussi jouit et les collègues de mon partenaire le traitent d'obsédé quand ils voient que nous remettons ça.
Karl, à nous voir reprend de la vigueur lui aussi. Mais alors qu''il voulait se faire le partenaire de Bastien, je lui demande d'oeuvrer dans ma propre rondelle. Un sandwich bien mené ça peut être divin.
A son tour il change de kpote et me fait préparer par les deux autres hommes de service. Pendant que l'un me lèche et salive ma rondelle, l'autre s'occupe de faire pénétrer ce lubrifiant naturel avec un, deux puis trois doigts. Je m'ouvre tout en besognant leur collègue, au point que je sens nettement une langue lécher le premier cm de mon trou.
Karl m'estime assez préparé et, la kpote lubrifiée par la salive de Bastien, il m'encule d'une seule poussée. Effet garanti !! Trop fort, trop bon. Mon premier partenaire en bénéficie, effet collatéral bénéfique pour une fois.
Bastien s'assoit à coté de nous et se fait sucer par les deux petits mecs désoeuvrés.
Cette deuxième partie dure. C'est au point que mes 4 escorts nous rejoignent en ayant finis avec leurs devoirs respectifs.
Ils entreprennent Bastien et ses deux suceurs. Hyac (ou Hip), lui s'adjoint à notre groupe, s'asseyant sur la tête de celui que j'encule pour pouvoir me rouler une pelle. Ça glisse un peu plus tard dans un 69 pour eux deux lui mettant sous ses yeux le spectacle de ma queue qui pistonne. Gentiment il ajoute régulièrement de la salive pour éviter un échauffement trop important.
L'autre jumeau sodomise le " service " alors que Bastien se fait Marian.
C'est dans cette configuration que nous trouve notre hôte. Il nous félicite d'avoir encore de l'énergie et refuse que nos partenaires/employés cessent leurs petites activités pour lui servir un scotch.
Après quelques instants de flottement chez ses 3 employés, nous reprenons, sous son regard jusqu'à jouir une deuxième fois.
Avant que nous soyons totalement sortis de la pièce, je l'entends dire à ses hommes qu'il était très content de leur comportement et qu'ils passent voir son secrétaire pour recevoir une prime.
Ce qui est bien avec les jets privés c'est qu'ils ne décollent que quand leurs passagers sont à bord. Nous partons avec 1h de retard et malgré les avances du personnel de bord, personne ne fait autre chose que dormir. Escale au Bourget pour déposer Marian puis retour au blockhaus.
Samir nous attendait pour emmener directement les jumeaux à leur lycée et moi à la maison.
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!