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Le quatuor dans ses oeuvres suisses-1
Le suisse dont le quatuor avait fait connaissance, enfin surtout Enguerrand, m'appelle pour me demander les conditions pour pouvoir disposer de mes 4 jeunes collaborateurs. Il se resitue par rapport à mon client originel et m'explique qu'il voudrait avoir le quatuor courant février afin d'agrémenter un de ses WE de Ski à Gstaad. Il m'assure que les conditions dans lesquelles ils seront reçus sont du même niveau qu'à paris et même mieux puisque son chalet dispose d'une piscine, d'une salle de sport et d'équipements de sauna et de hammam. Donnant directement sur les pistes ils pourront même faire quelques descentes s'ils le désirent.
J'ai beau lui expliquer qu'ils sont déjà réservés jusqu'en 2018, il ne veut rien entendre et m'explique que son jet assurera les déplacements, qu'ils n'auront à ne s'occuper que de lui et qu'il est prêt à doubler le tarif habituel. Devant de tels arguments je prends sur moi d'accepter pour le quatuor. Je l'informe quand même du montant qu'il vient d'accepter hors frais annexes (restauration, location de ski, forfaits....).
J'ai le temps de me renseigner sur le bonhomme. Un grand banquier Suisse, très connu sur la place financière, il est effectivement propriétaire d'un grand chalet dans cette station huppée des Alpes suisses.
Julien m'engueule une nouvelle fois puisque je lui pique son apprenti encore une fois dès le vendredi soir et pour un WE entier. Le quatuor et ravi du plan. L'idée de passer un WE grand luxe à la montagne les enchante. Les bagages réduits à de simple valises de cabine et embarquant en Jet d'affaire, ils passent les contrôles rapidement et je les vois disparaitre alors qu'ils me font des grands signe de bras,
Enguerrand :
Sasha nous emmène à l'aéroport. Nous subissons ses recommandations (attention à baiser couvert, ne pas accepter n'importe quoi et surtout pas de drogue, cocaïne ou même simple shit) comme si nous étions de pauvres et vulnérables ados !! Pourtant la dernière fois où nous nous sommes battus, c'est bien moi qui l'ai mis au tapis !!
Nous sommes dirigés vers un jet d'affaire où un steward nous accueille. Pendant qu'il nous fait son discours sur la sécurité, ceintures, masque à oxygène... Le pilote sort du cockpit et vient nous saluer avec un méchant accent suisse. Il nous présente le copilote qui n'a pas quitté son siège et qui se retourne juste pour nous faire un signe de la main puis retourne pour le décollage.
Le steward est un vrai canon. Dans les 25-30ans, il me semble aussi bien balancé que nous.
Après les données sécuritaires, il nous informe qu'en tant que majordome de Monsieur X, il est en charge de toute l'intendance du WE, et s'occupera de gérer pour nous tous nos besoins. Si nous le voulons nous pouvons l'appeler Bastien.
Tu parles, si lui aussi ne s'est pas fait baiser par son boss, je veux bien être pendu !!
Pendant le vol, il nous sert des alcools que nous buvons avec modération (pas parce qu'on conduit mais pas question de se présenter bourré !!) et nous explique que nous arriverons dans la soirée mais qu'il a déjà prévenu les magasins d'équipement de ski qui resteront ouvert pour nous équiper. Après, un diner nous attend au chalet et nous auront la soirée libre puisque Monsieur n'arrivera que le samedi en début d'après-midi. Il nous prie de l'excuser pour ce retard.
Le vol est court et le passage à la douane pareil. Nous suivons notre cornac et évoluons dans un Porche Cayenne jusqu'à un magasin du centre de Gstaad. Là, nous sommes invités à choisir en sus des chaussures de ski et des skis la combinaison de notre choix. Comme il nous voit un peu gênés et empruntés, Bastien oriente et conseille chacun de nous. J'ai beau regarder, je ne vois aucun prix sur les boites où sur les articles que nous essayons.
On ressort avec chacun, une paire de chaussures et de ski, une combinaison et un ensemble anorak et fuseau. Ces derniers nous moulent encore plus que nos slim et même si le tissu est épais, son élasticité est telle que si nous étions circoncis, il dessinerait les détails de nos glands !! Bastien nous assure que Monsieur sera très content du résultat.
Arrivée au Chalet. Vu la taille ce pourrait être un petit hôtel. Nos bagages sont pris en charge par deux hommes de service et nous suivons Bastien qui nous fait visiter. Piscine, spa, hammam et sauna. Une salle de sport en sous-sol complète le niveau avec la salle d'équipement (ski..), le mec n'a pas menti. Au-dessus, salons, salle à manger, bibliothèque, bureau et services (cuisine, vestiaire du personnel et sanitaires). Les deux étages comprennent une dizaine de suite, sous les toits les appartements du personnel. On se croirait revenu au XIXème siècle !!
Quand Bastien nous conduit à notre suite (1er étage, on n'est pas du personnel !!), il nous demande ce que nous désirons faire de notre soirée. Max lui demande si nous pouvions piquer une tête avant d'aller trainer en ville. Accord du majordome qui, je pense, a reçu des ordres de satisfaire la moindre de nos demandes.
On descend les deux niveaux en shorty et il nous suit avec 4 peignoirs sur les bras. On croise du personnel pour lesquels nous sommes transparents. Pas un regard étonné sur nos plastiques pourtant plutôt réussies !! Par contre je sens bien sur mes fesses outrageusement moulées le regard de Bastien. L'eau est chaude, trop pour nager mais idéale pour ne rien faire. On barbote tous les 4 jusqu'à ce que j'aie l'idée de sortir et de pousser Bastien dans le bassin.
Il se retient de nous traiter et fini par le prendre bien alors qu'il se retrouve en slip, déshabillé par mes trois comparses. J'avais raison, il n'a pas à rougir d'être à coté de nous (corps musclé, imberbe). Alors que je l'aide à sortir, je lui en fais la remarque et vu la barre que j'ai, il ne peut qu'être sûr de ma sincérité. J'ai le plaisir de voir grossir sa queue alors que je le fais tomber sur moi, involontairement bien sûr. J'empoigne sa bite (un morceau comme les nôtres dans les 20x5) au travers du CK mouillé et m'excuse de ne pouvoir libérer sa tension. Il s'écarte lentement, me regarde de la tête aux pieds avec arrêt de quelques secondes en haut de mes cuisses et me répond que nous comme lui sommes au service de Monsieur et cela exclusivement.
Il nous raccompagne à notre suite et nous laisse pour aller se sécher. Je me fais gentiment engueuler par mes comparses jusqu'à ce que je leur fasse remarquer que c'était eux qui l'avaient mis en slip.
On enfile nos fuseaux sur des strings, ce serait dommage de couper la ligne de la coupe par une transversale inadéquate. Un haut de chez nous assorti et la doudoune sur l'épaule nous descendons. Bastien est déjà à nous attendre. Nous lui expliquons que nous voulons voir un peu le Gstaad de la nuit. Quand Nathan lui demande s'il y a des bars gay, Grand sourire de Bastien qui nous explique y aller souvent pour rabattre pour Monsieur. Il garde son sourire pour nous dire que c'est quand même rare qu'il puisse trouver 4 beaux mecs comme nous en même temps.
L'ambiance est quand même très huppée, les boutiques ne présentent que des marques de luxe. Nos Patek-Pilippe que nous avons pris soin de porter sont dans la note. Par contre nous sommes les plus bandants dans nos fuseaux ! Le fait que nous accompagnions Bastien retient ceux qui le connaissent de nous draguer ouvertement. J'entends quand même deux fois de jeunes mecs lui demander s'il cherche pour Monsieur et lui de répondre que ce n'est pas la peine d'insister Monsieur ne reprend jamais deux fois du même plat. Serais-je une exception où ne m'a-t-il invité que pour baiser mes compagnons ?
Quand nous rentrons nous sommes juste un peu alcoolisé et juste un peu plus bruyants et expansifs.
Dans notre suite, nous faisons l'amour tous les 4. Il faut bien décharger le trop plein d'excitation accumulée durant la soirée !!
Dès 8h nous sommes à prendre notre petit déjeuner en boxer et t-shirt. Bastien nous rejoint en combinaisons de ski et nous dit qu'il va nous accompagner pour éviter que l'on perde du temps à chercher notre chemin et les bonnes pistes.
On s'équipe et chaussons les skis sur la terrasse inférieure avant de glisser jusqu'à la station et ses premier télésièges. Un peu d'échauffements sur les pistes basses et nous montons pour attaquer les rouges et les noires. Bastien est soulagé de voir notre bon niveau (Merci les Chasseurs Alpins) et prend du plaisir à nous accompagner. Il nous ramène au chalet à temps pour une douche avant l'arrivée de Monsieur.
Nous sommes au salon devant un vin chaud quand Monsieur débarque. Autant d'allure qu'à notre première rencontre, il est suivi d'un autre jeune homme (présenté comme son secrétaire) du même tonneau que Bastien. Ok Monsieur ne s'entoure que de beaux jeunes mecs (et je n'ai pas les chevilles qui gonfle, c'est juste la réalité). Il félicite Bastien pour les choix concernant nos vêtements, vient nous saluer en précisant que nous étions chez nous dans ce chalet.
Je veux en être sûr et lui demande/dit que cela ne posera pas de problème si je reste en shorty. Monsieur confirme que le chalet à est nous et que nous pouvons y évoluer dans la tenue que nous souhaitons.
Bastien juste derrière Monsieur tique un peu. J'attends que notre hôte soit parti se rafraichir dans sa suite pour questionner Bastien. Il nous explique que c'est la première fois en 6 ans qu'il sert Monsieur que ce dernier laisse une totale liberté à ses " objets sexuels ". Avec une légère amertume vite dissipée par un haussement d'épaule, il nous dit que même lui n'avait pas eu droit à cet égard. Ok Monsieur nous a à la bonne !
Je décide pour notre petit groupe de rester uniquement en sous-vêtement comme nous le sommes à la maison où au blockhaus. Passage dans notre suite pour changement. Les strings c'est bien quand on ne doit pas avoir les fesses coupées par un élastique disgracieux mais quand il s'agit d'être en permanence en sous-vêtement, on préfère les shortys ou les boxers. J'enfile un trunk Aussiebum à effet suspensoir alors que mes comparses se partagent entre Shorty ES, boxer Addicted et Trunk Garçon Français pour Jalil J'ai le plaisir de voir Bastien Bander ferme quand nous revenons au salon. Monsieur nous rejoint en tenue " décontractée " pour lui !! Il arbore la tenue que nous avions quand il est arrivé. Fuseau qu'il porte sans slip vu le moulage parfait de son trois pièces et pull col cheminé près du corps lui aussi (le pull !!).
Nous le remercions pour son invitation. Il remarque nos montres et après nous avoir remerciés de l'attention, appelle son secrétaire qui tire 4 étuis longs de son attaché-case. Une nouvelle fois la marque Patek-Phillipe orne les boitiers. Quand nous les ouvrons, notre reflexe à tous les 4 est de refuser le cadeau. Cette fois ci les gros boitiers sont cerclés de diamants comme les jalons des heures ! Monsieur insiste, nous cédons vite et remplaçons celles qui sont à nos poignets. Le secrétaire place les anciennes dans les boitiers vides et nous dit qu'il les rapportera dans notre suite. Comme je suis celui qui le connait le plus intimement, je me fais le porte-parole de mes amis et m'installe à cheval sur ses genoux pour lui rouler un patin de la mort. Quand je décolle mes lèvres des siennes, nous sommes à la limite de l'asphyxie mais nous bandons comme des étalons !
Je m'écarte pour être remplacé par Max puis Nathan et pour finir Jalil qui non seulement lui roule un patin mais astique son cul sur la poutre qui s'est développée sous le fuseau de notre hôte. Quand ç'a tourne au sexe, Bastien et le secrétaire se retirent.
À nous 4 nous le mettons à poil. Ce n'était pas trop difficile puisqu'il ne portait que son pull et son fuseau. Je laisse son corps à mes amours qui n'ont pas encore eu l'occasion d'en profiter. Jalil embouche sa bite et il voit aussitôt que je ne suis pas le seul à avoir la gorge assez profonde pour l'avaler entier, alors que Max lui roule une pelle et que Nathan s'occupe des tétons qui couronnent ses beaux pecs.
Il ne tarde pas à pousser Max au côté de Nathan et de me faire signe de m'approcher. Après une petite pelle, il me demande ma bite. J'ôte mon Aussiebum qui avait bien du mal à retenir ma queue et, les genoux posés sur le haut du dossier du canapé, un de chaque côté de sa tête, je lui présente ma bite. Là, comme à Paris, il me suce ou plutôt aspire ma bite comme s'il voulait me vider de tout ce que ma peau recouvre.
Après quelques 10mn j'ai du mal à me retenir et recule pour libérer mon gland. Il est gonflé à fond et écarlate. Mes collègues ont fait évoluer la situation et je vois Max face à notre hôte s'enfiler ses 23 x 6. Nathan et Jalil aident à la manoeuvre vu que je gène un peu ! Je replonge un peu ma queue dans cette gorge accueillante et me repousse pour céder ma place à Jalil. Notre hôte fait sur lui le même traitement mais s'étrangle avec les 2cm qu'il fait en plus. Nathan remplace Max et enserre la bite de Monsieur dans son cul. Le nouveau " couple infernal " a l'air de plaire. Monsieur aspire Jalil comme si sa vie en dépendait. À son oreille je murmure des propos salaces (comme il me dira plus tard) afin de bien l'exciter et ça marche. Son bassin décolle du canapé pour mieux défoncer Nathan qui, pour aider, s'est un peu relevé, laissant la place à Max de bouffer la paire de couilles suisse.
À bout, il pousse Nathan sur sa queue, étouffant un peu Max dans l'affaire, et je l'entends gémir ses éjaculations alors qu'il se bâillonne lui-même en avalant le gland de Jalil Ce dernier ne tient plus et lui jute directement dans l'estomac. Une fois tous décollés, Il s'excuse auprès de notre hôte qui éclate de rire et nous dit que Sasha l'avait assuré de notre innocuité virale à tous les 4 et donc qu'il boufferait notre sperme à tour de rôle.
Je comprends maintenant les deux séances d'analyses que nous avions eues dernièrement.
Après un bref silence, nous voyons apparaitre un des hommes de service avec sur le bras un peignoir pour Monsieur et quelques serviettes pour éponger nos " humeurs ". Enfin les 3 leurs car Max et moi n'avons pas juté. Moi, mes couilles sont sensibles et je dois les vider n'importe où !! J'attrape Max et le plante. Soupirs de nous deux. Il a les même besoins que moi !! La " baise " qui avait embrasé nos deux corps laisse la place à l'amour et c'est dans un registre moins violent que je me vide dans son cul alors qu'il me remplit la bouche. Je n'ai pas le temps d'avaler que Monsieur m'attrape et me roule une pelle. Si j'arrive à finalement avaler deux ou trois pauvres spermatozoïdes, ce doit être les moins véloces, tous les autres ont rejoint ceux de Jalil dans l'estomac de notre hôte.
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!