1er Épisode | Épisode précédent
Mes Escorts-4 et un petit plus.
Romain (1er Gymnaste) :
Même s'il est très content du taf (qui lui permet d'être à l'aise) et des installations sportives du blockhaus, c'est d'avoir fait la connaissance de João et de toute la bande qui lui fait le plus plaisir. Il apprécie de pouvoir vivre sa sexualité sans avoir à faire attention quand on est tous ensemble et les bras musclés de son Brésilien. João faisant partie du blockhaus et non des annexes, il s'est installé au troisième avec lui quand j'ai fermé la coloc. Du coup c'est tous les jours que nous nous croisons. Alors que je l'appréciais déjà comme escort, il s'avère être en privé aussi intéressant. Je comprends pourquoi João a accroché aussi vite avec lui.
Il suit sa 2ème année de fac de sport, avec facilité. Sur la théorie la présence de son partenaire a boosté ses résultats. En pratique sportive, les séances supplémentaires effectuées quasiment tous les jours sur nos installations lui profitent aussi.
Nous faisons quand même un point sur son taf pour moi. C'est rapide vu qu'on débriefe presque à chacun de ses retours. Les clients le demande, tout comme son homologue Florian, pour faire des performances de position. Il me dit que certains, sous leurs propositions, ont équipé leurs lits de baldaquins suffisamment solides pour supporter les évolutions. Il kiffe grave aussi quand notre client équipé pour les enchainer à son baldaquin le réserve. Se retrouver, poignets et chevilles attachés, écartelé entre les 4 piliers le corps tendu à un mètre du matelas le fait tripper un maximum. En plus ça lui serre les fesses et renforce l'effet de défonce que sa rondelle subit alors par les 27 x 7 du grand black.
Il me raconte ça et sait bien l'effet que cela me fait. Il n'hésite pas à me coller et à empoigner ma queue au travers du jeans. Je lui fais remarquer qu'il n'a en main qu'une petite de 20x5, bien inférieure à son " tous les jours ". Il se hausse sur la pointe des pieds et pose ses lèvres sur les miennes me souffle un c'est pas un problème avant de m'enfoncer sa langue dans ma bouche. Je passe mes bras autour de sa taille et le soulève. Ses jambes viennent enserrer la mienne et je peux relâcher mon effort. On est plus confortable pour approfondir et continuer notre pelle. Je sens ses 21cm gonfler contre mes abdos.
On se décolle le temps de se mettre à poil et on reprend la position. Sa bite se centre couvrant mon nombril alors que la mienne vient lui caresser la rondelle. Mon gland glisse plusieurs fois sur le plissé de son oignon cherchant à aplanir ce terrain. J'attrape une kpote sur mon bureau, l'enfile sur ma bite alors que Romain soulèves ses fesses. Dès qu'il sent qu'elle est en place, il se laisse tomber d'un coup et avale avec son cul ma bite en pleine forme. Grosse impression/compression !! Ses bras font tout le travail et il se soulève avant de retomber planté à fond avec un bon rythme. C'est pour ce genre de prestations que j'ai intégré à mon équipe des gymnastes. Cette position mais aussi celle qui suit : il lâche mon cou et bascule en arrière jusqu'à poser ses mains au sol. Ses jambes toujours autour de ma taille, ma bite se trouve quand même tirée vers le bas. Le nouvel angle de sodomie change les impressions mais pas le plaisir octroyé.
Je le fini en chandelle mais lui ne repose pas sur sa nuque comme les autres mais en équilibre sur les mains avant de finir en poirier, les jambes écartées pour me laisser lui donner les derniers coups de bite dans le cul.
Alors que je mets une 15aine de minutes pour retrouver un rythme cardiaque normal, lui retrouve son souffle quasi immédiatement. Et je suis sportif moi aussi !!!
Florian (2ème gymnaste) :
Sa 2ème année de BTS passe facile. Il bûche pour obtenir le meilleur dossier et les meilleures notes qui lui permettront d'intégrer une école d'ingénieur généraliste. Il vise les Art et métier et, entre son bac S avec mention et son BTS en tête ça devrait le faire. Son petit frère (le moteur de son implication) a eu son bac S mention très bien et grâce au financement de Florian a pu intégrer une bonne école de design parisienne. Pour financer Marian, le petit frère, alors qu'il voulait taper dans sa prime de 1ère prestation, André lui a proposé un financement par prêt vu les taux actuels. Il est doublement content de m'avoir rencontré !
Comme Marian connait le contenu du " travail " de son frère, Florian n'a pas hésité à me l'amener à notre entretien pour qu'il me remercie en direct. Mignon le gamin, 17ans, un peu plus grand que Florian mais plus homogène dans son développement musculaire, il arbore un sourire franc quand on se serre la main. Autour d'un café, il me parle de son école avec passion. Il n'est pas insensible à notre façon d'avoir transformé le vieil entrepôt et kiffe les deux cariatides sensées soutenir la piscine. L'environnement " homo " ne semble pas l'émouvoir plus que cela. Ça glisse bien sûr sur l'activité de ma boite et il dit regretter d'être hétéro sinon il m'aurait proposé d'être de la partie. Il ajoute que personnellement il n'ira pas contre un essai avec moi.
Je ne me reconnais pas ! Là où il n'y a pas si longtemps j'aurais sauté sur le petit mec, je le remercie pour sa proposition et lui dit de revenir me parler de ça dans un an quand il aura 18ans et que sa première année sera passée. Il croit que c'est pour passer entre mes cuisses et me dit que cela ne le gêne pas de faire ça maintenant. Trop mignon mais moi je pensais à son intégration d'escort hétéro. Sur Paris il me serait utile. C'est ça que le lui explique. Il s'excuse d'avoir compris de travers mais réitère quand même sa proposition. Je me tourne vers Florian et lui demande si c'était lui qui lui avait mis cette idée en tête. Il me jure que non. Marian me dit que c'est le moins qu'il puisse faire vu que je leur offre à tous les deux de réaliser leurs rêves d'études.
Puisqu'il insiste je n'ai plus le choix. Marian, sans prendre peur de mon revirement, doit avoir quand même une légère appréhension car il demande à Florian de rester avec nous.
On passe dans une des chambres du premier. En passant devant mon bureau, il ne peut manquer la frise d'escorts visible au travers des murs en verre. Il marque un temps d'arrête mate grave la série de portrait en pied. Son frère le pousse en avant, il s'accroche à mon épaule pour ne pas tomber. Il me dit que j'ai là une véritable équipe de canons. Il ajoute en regardant Florian à la braguette, qu'il ne savait pas qu'il en avait une si grosse. Ils ont beau être photographiés en maillots de bain, ces dernier les moulent suffisamment pour détailler leurs sexes.
Quand on entre dans la chambre, je remarque que son pantalon s'est un peu déformé. En riant je lui fais la remarque, légère rougeur qui éclaire ses joues. Il bande encore plus après !! Allez comprendre les hétéros !
Je laisse le soin à Florian de fermer la porte et pousse Marian vers le lit. C'est lui qui m'arrête et tente de m'embrasser. Un peu trop fébrile, ses dents tapent les miennes. Je le prends dans mes bras et me penche pour l'embrasser. J'y vais délicatement, il veut juste me remercier par un dépucelage à la dure ! Je dois le freiner encore deux fois avant qu'il comprenne que ça va se passer en douceur. Il ne fait pas de chichi pour ouvrir la bouche et accepte une vraie pelle. Avec les secondes qui passent à se chercher l'un l'autre la langue du partenaire, je le sens chauffer et bander ferme. Contre ma cuisse se forme un sexe qui ressemble à celui de son frère question largeur (dans les 7cm). Mes mains passent sous son t-shirt et bien qu'elles soient chaudes, je lui tire des frissons. Il se rapproche encore de moi. Je jette un oeil sur Florian que son frère à l'air d'avoir totalement oublié. Il bande debout près de la porte. Comme mes mains soulèvent le haut de Marian, il soulève les bras pour m'aider à le retirer. Rapidement je fais de même et nos peaux se collent, chaudes, imberbes. Ses tétons pointes contre mes pecs, ça l'excite de se faire un mec ou le patron de son frère ou je ne sais quoi. Je m'attaque à sa ceinture et la mienne simultanément. Ses cuisses musclées (handball) retiennent ses jeans et il doit tirer dessus pour le faire glisser jusqu'au cheville. Le mien, moins serré tombe aussi. Il porte un boxer ES. Il voit que je le fixe et me dit qu'il l'a piqué à Florian. Moi c'est plutôt la grosse barre oblique qui avait retenu mon attention.
Florian s'est approché de nous pour mater son frère. Quand je glisse l'élastique sous ses couilles, on peut voir qu'il est bien de la même famille. A vue d'oeil et de main, je dirais même qu'ils ont le même matériel, bien large (7cm de diamètre) mais pas très long 18/19 environ. Ce qui est déjà très suffisant pour donner du plaisir. Je les plaque contre mes 20cm et mes mains tournent sur ses fesses, les écartent et quand je pose un doigt sur sa rosette, il est pris de nouveau de petits frissons et se colle encore plus à moi. Ça me va comme réaction. Je sens comme une humidité sur mes doigts. Je baisse les yeux et vois Florian à genoux derrière Marian, la tête entre ses fesses. C'est gentil de vouloir préparer son petit frère surtout que ce dernier se laisse faire et je ressens dans son jeu de langue que ça le laisse pas indifférent non plus.
C'est de lui-même qu'on se décolle et qu'il se penche pour aller lécher mes tétons puis encore plus bas trouver mon gland à mi-chemin. Il est maladroit et c'est touchant. Je le sens hésiter un peu, puis il le prend en bouche. Il s'habitue à la sensation avant de plonger un peu et manger la moitié de ma queue. Il me recrache aussitôt. Je le laisse faire, pas question de lui forcer la gorge brutalement. Il doit y venir tout seul. Il me reprend et là, ne me lâche plus. Je vois bien qu'il essaye de me faire ce que les meufs ont dû lui faire. C'est pas mauvais mais c'est pas une bonne pipe de mec. Il joue de sa langue sur mon gland et sa couronne, titille sa surface. C'est bon mais manque de virilité. Je pose ma main sur sa tête et il comprend de suite. Il plonge de plus en plus la tête vers mes abdos et ce faisant mange ma bite de plus en plus loin. Quand je bute sur sa glotte, il a un brusque recul, mais se reprend et plonge à nouveau sur ma bite.
Pendant ce temps, Florian continue de lui bouffer la rondelle et ça, ça n'a pas l'air de lui déplaire. Étant le seul à pouvoir parler, je lui demande si les meufs lui ont déjà lécher la rondelle. Sans lâcher ma bite il me fait signe que non. Je lui demande s'il aime ça et là, c'est un hochement vertical qui me répond.
Je me penche, admire le jeu de la langue de Florian et passe ma main sous Marian. Il bande toujours. Ma main sous son menton, je le redresse et l'embrasse à nouveau. Je trouve sur sa langue un léger goût de moi !! Lui à l'air bien parti et son délire semble coïncider avec le nôtre.
Tout en mangeant la rondelle de son frère, Florian s'est dévêtu lui aussi. J'ai devant moi les 2 frères, si le second est plus grand l'ainé le dépasse en largeur d'épaules. Je tire Marian contre moi et passe ma bite sous ses couilles. Mon gland bute alors sur celui de Florian en train de lisser la rondelle de son frère. Par-dessus son épaule il me dit qu'il me le préparait. L'intéressé ne capte même pas notre aparté.
Je demande à Florian de m'équiper. Il recouvre mon sexe d'une kpote et couvre de gel ma bite et la rondelle qui va l'accueillir.
Je fais pivoter Marian de 180°, son frère le tient dans ses bras alors que je plie les genoux pour positionner mon gland au bon endroit. Marian pose sa tête sur l'épaule de son frère et attend que je le pénètre.
Je lui claque la fesse droite. Il est surpris, contracte ses fesses puis se détend. C'est le moment que je choisi pour m'enfoncer dans son cul. Il n'a eu que le temps de tourner la tête et je suis déjà au fond de son cul. Il me sourit et me traite de salaud. Comme c'est affectueux, je vais continuer à être gentil !
Je le laisse s'habituer à mon 20x5 voir 5,5 au ras du pubis. C'est lui qui agite le cul impatient de connaitre la suite. Je me retire jusqu'au gland et le pénètre à nouveau lentement. Je fais quelques mouvements encore. Il s'accroche aux épaules de son frère mais ne se dérobe pas à ma saillie. J'entends Florian le conseiller à voix basse de se détendre et je sens ses mains lui caresser les flancs. Comme j'accélère mes va et vient, je vérifie qu'il bande encore. C'est le cas, bien ce petit !
Florian prend l'initiative de se coucher sur le lit, dos sur le matelas et tête vers nous. Je vois où il veut en venir et pousse son frère jusqu'à ce qu'il le recouvre en 69.
Dès que la bite de Marian s'enfonce dans la bouche puis la gorge de son frère, il a de méchantes contractions anales qui bloquent mes progressions. Ça aussi ça envoi de supers sensations. Il comprend par l'exemple ce qu'on appelle une deep-throat. Alors que mes mains bien accrochées à ses hanche je lime sa rondelle sur tous mes cm, je le vois se pencher sur Florian et s'essayer à le piper.
Pour aider (vous me connaissez) je tape plus fort en fin de pénétration histoire de le faire plonger sur Florian. C'est réussi quand je vois les 18cm disparaitre entièrement. Quelques secondes seulement, mais il n'a pas vomit !!
Quand je recule et décule, je vois Florian me faire un clin d'oeil. Il a l'air très content de son plan ! Je me couche sur son dos et comme je suis plus grand que lui, ma tête passe au-dessus de son épaule. Je lui vole la queue de Florian et lui montre, en l'écrasant un peu, qu'on peut facilement malgré sa largeur la prendre plusieurs fois dans sa gorge. Quand je me redresse, il tourne la tête et me roule une pelle. Mon bassin n'a cessé de propulser ma queue dans son cul et je monte en pression.
Quand il se met à m'aspirer la langue, je jouis et rempli ma kpote, bloqué au fond de son trou ex vierge. C'est alors à son tour de jouir sans que son frère n'ait lâché sa bite. Je le vois même déglutir une bonne quantité de sperme. Florian en 2 coups de poignet s'inonde les abdos.
Je me retire doucement pour ne pas tout gâcher et rapidement élimine mon emballage. Marian est couché sur le lit, les yeux fermés. Avec Florian, nous l'encadrons et attendons sa réaction. Il esquisse un sourire et nous dit, en ouvrant les yeux, que nous étions deux enfoirés. Malgré ce qu'il m'avait dit, il avait espéré échapper à la sodo. Alors que Florian ne se récrie qu'il y avait pris du plaisir, il avoue le fait. Je lui dis que je suis à sa disposition quand il le voudra car j'avais bien aimé sa rondelle et pour rendre service en plus.... Eclats de rires des deux frères que je vois animés d'une complicité nouvelle. Marian dit comprendre Florian car après tout ce n'était pas mauvais.
Pas converti mais pas hostile à la chose. Alors qu'il veut partir pour me laisser avec Florian discuter de sa " situation ", ce dernier lui dit de rester, qu'avec ce qu'ils venaient de vivre ensemble, il lui faisait confiance pour rester discret.
On se rhabille et repassons à mon bureau. Je jette un oeil sur Marian qui ne nous écoute pas, occupé à détailler les physiques de mes escorts Comme son slim se déforme encore et que nous avons terminé Florian et moi, je le lui fais remarquer. Il rougit et me dit que devant une telle brochette, à moins d'être un eunuque, il défie tout le monde de rester de marbre.
Ma propre rondelle me démange. Je fais le tour du bureau et alors qu'il se lève pour partir, je le retiens par la ceinture et lui roule un nouveau patin. Il devient encore plus dur, tout ce qu'il fallait pour l'idée d'utilisation que j'avais en tête. Florian devine et m'aide encore une fois.
Une fois nus, je le soulève et l'assoit sur mon bureau. Je me penche et avale sa bite totalement. Son gland me bouche bien l'oesophage et mes déglutitions le fait gonfler encore un peu plus. Alors que je lui montre ce qu'est une réelle gorge profonde (à le dégouter des pipes féminines (j'espère), je sens Florian me préparer la rondelle avec sa langue.
Rapidement je le kpote, le couche sur le bureau et monte dessus avant de venir m'assoir sur son pieu. Putain que je la sens bien passer. Ma descente rapide lui tire un gémissement pas très discret mais sincère. Je m'agenouille et entame une chevauchée que je veux pour lui fantastique. Plusieurs fois il me bloque alors que je l'ai au plus profond de moi pour calmer son excitation. Sans changer de position, je module mon trot et mon galop pour l'amener au plus près sans l'achever. Au bout de 20mn je me laisse aller et l'achève d'une dernière contraction anale. Il se cabre à me soulever alors que sa kpote se remplie.
Sans le faire sortir (il bande encore ferme), je me penche et lui roule une pelle. Il m'attrape par le cou et participe activement à cette pratique. Je suppose que ça veut dire qu'il a aimé cette facette des relations homo !!
C'est d'ailleurs ce qu'il nous dit alors que nous nous douchons. Il accuse même son frère d'essayer de le faire changer de bord.
Je l'attrape alors que nous sommes rincés et lui dit qu'il peut être ce qu'il veut, le principal étant de se faire plaisir et de n'être jamais frustré.
Quand je les reconduis, Marian me dit qu'il est sûr d'avoir deux mecs comme nous dans sa promo et qu'il essayera peut être de tenter sa chance car avec les filles, c'avait été un fiasco total. Elles ne pensaient qu'à bosser.
On se sépare sur sa promesse de me dire ce qu'il en sera.
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!