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La France
Le retour en France me replonge dans ma réalité.
En vrac :
les annexes sont terminées et les habitants installés dedans. Jona et François sont trop contents de leur appart dans l'annexe 1. Jalil passe la plupart de ses nuit dans leur seconde chambre mais aussi au Blockhaus dès que la triplette y est.
Jona mène d'une main de directeur compétant ma société, organisation du personnel, prises de rendez-vous, recrutements et gestion des physiques. Le fait de loger sur place lui gagne du temps et lui permet d'être dispo à toute heure pour mes escorts.
Mes amours qui m'ont finalement plus manqués que je ne l'avais pensé au départ. La nuit de mon retour c'est à peine si nous avons dormis une heure. Il y en avait toujours un qui bandait et que les autres devaient purger !
Mes petits, Enguerrand, Max et Nathan toujours aussi jeunes dans leur enthousiasme, sont maintenant collés de Jalil.
Jalil que j'ai du mal à reconnaitre, changé par mes insupportables gamins, coiffure mode, vêtements idem, un vrai petit européen ! Il s'est vite étoffé à suivre le régime culinaire et sportif du Blockhaus. Du coté de ses études par correspondance, PH a finalement décidé avec le suivit du CNED d'aller jusqu'au BAC en Auditeur libre et de le lui faire passer en 2 ans (au lieu des 3 années du dernier cycle, seconde, première et terminale). Les cours dispensés par les uns et les autres portent leurs fruits et les devoirs reviennent de correction avec des résultats très satisfaisants. Les " médecins " qui suivent la partie scientifique (math, physique, SVT) sont contents de leur élève même si ce dernier est plutôt littéraire. Ça, m'est confirmé par Sosthène.
Pour le sexe, d'après ce que je comprends il se limite à mes trois petits frères et ce n'est pas faute d'en faire bander plus d'uns lors des séances sport. Les 4 mois d'entrainement aux différents sports de combat dispensés par Jona, PH et João l'ont changé aussi. Son naturel effacé et timoré a laissé place à un abord franc et ouvert. Là, ma " thérapie " maison a fait son office.
Avec son père les relations se sont renouées d'autant plus facilement qu'avec la distance, il n'y a plus la barrière de son " état ".
Enguerrand me confie que de temps en temps il s'isole avec lui pour parler de ses 3 années au service sexuel des intégristes. C'est par vague que cela lui revient et, à ces moment-là, il lui en parle et uniquement à lui qui a connu aussi ce genre de contrainte.
Je comprends, c'est ce qui lui était arrivé et c'est sur mon épaule qu'Enguerrand venait alors poser sa tête et pleurer un coup. Je le serre fort dans mes bras pour le remercier de ce qu'il fait pour Jalil. J'ai droit à un " déconne, je peux pas faire moins, on l'aime tous trop ". Ça me va bien ces réactions et pas seulement parce que ça en fait un petit groupe de baiseurs. Ça remet Jalil dans un cursus de développement normal.
Marc que je n'ai pas assez vu pendant ces 6 derniers mois a droit à une vraie salope dans son lit quand il revient d'Asie. Il me finit dans le donjon réaffirmant sa domination sur moi. Ça m'avait manqué ça aussi. J'aime les rapports de force avec lui comme maître. Il se rattrape de ces derniers mois où nous ne nous étions vus qu'un WE. mais c'est évident que je ne suis plus le gamin de 18ans qu'il a dépucelé dans sa douche à moitié terminée et qu'il dominait totalement. Physiquement je dois être au moins une fois et demie plus large et plus musclé, psychologiquement j'assure même si je ne me suis jamais caché que j'aimai me faire enculer grave dès qu'il m'a fait subir ma première sodomie. Mais l'évolution que j'ai suivie m'a fortement muri, surtout les responsabilités envers les jeunes de ma société. Mais je crois que c'est à la triplette élargie, dont je considère les membres comme les petits frères que je n'ai pas eu la chance d'avoir, que je dois ma plus grande transformation psychologique.
Emma pareil, nos retrouvailles se font en simple duo avec une tendresse que je ne me connaissais pas. Sans me rappeler les premiers pas de notre relation (tarifée à l'époque), le fait d'être en tête à tête tranche avec ces dernières années où nous avons surenchéris dans la stimulation sexuelle. Le summum ayant été réalisé quand nous avons été 4 à la pénétrer en même temps (chose possible que grâce aux 24cm d'Ernesto). On en rit alors que, couchés côte à côte après l'amour, nos regards perdus dans notre reflet, (le plafond est recouvert de glace), Emma résume l'évolution que je lui ai apportée. Quand je lui demande si elle regrette, elle roule sur moi et me dit que jamais de sa vie elle n'avait vécu aussi intensément que depuis que je suis entré dans sa vie. Ça lui vaut un câlin qui termine avec pénétration c'est évident ! Là, je lui prends le cul et lentement l'amène à une troisième jouissance qui la laisse pantelante.
Pablo nous fait un repas de fête avant que j'aille lui faire ma propre fête avant de quitter cette maison. Ses 24cm me font patienter la prochaine remontée de son petit frère Ernesto mon 4ème amour et ses 24cm à lui. La tête sur son oreiller, je vois à l'envers les trois toiles que nous lui avions offertes lors de son installation, je lui demande s'il est heureux. C'est lui qui me prend dans ses bras, m'écrase gentiment les côtes et m'assure que c'est le cas. Je lui demande s'il ne regrette pas de ne pas avoir son propre restaurant. Il me répond qu'il a tous les avantages sans les inconvénients. Il peut créer ce qui lui passe par la tête, avec les diner d'Emma, il a le plaisir de voir que ses créations plaisent et ça sans les lourdes responsabilités d'un établissement à faire tourner. Il a négocié avec Julien pour mettre ses meilleures recettes dans sa boutique de traiteur. Ça + ses prestations extérieures suffisent à le distraire et il a la possibilité de prendre du plaisir avec des mecs sans que cela porte à conséquence pour son taf. Il redescend sur Barcelone quasiment quand il veut et son petit frère devient un vrai homme et ça lui plait aussi.
Je fais la connaissance de la recrue de Côme, Grégoire. Débarrassés de ses poils en trop, il ne fait pas honte à mon écurie. Pas farouche, alors que je l'ai convoqué pour un entretien avec son Boss, c'est tout juste si ce n'est pas lui qui me viole (en passif bien sûr). Quand je lui demande son parcours, il me décrit aussitôt son dépucelage par un élève ingénieur agricole en stage dans l'exploitation de son père. Comment ce dernier, en 6 mois, lui avait fait aimer le sexe et particulièrement en position passive. Il me sous-entend que ce n'était pas le seul sexe mâle de la ferme à avoir défoncé sa jeune rondelle. Et donc mes clients, malgré leurs dimensions hors normes ne lui avaient pas posé plus de problème que ça. Il me dit qu'il appréciait aussi l'ambiance que j'avais su créer avec tous les escorts et qu'il aimait aussi beaucoup se les prendre par deux pour entretenir sa souplesse anale.
Comme je m'inquiète qu'il ne soit trop " détendu ", il me prouve le contraire aussitôt. Venu s'assoir sur mes cuisses, il a eu vite fait de faire glisser ma bite raide sur le coté de mon shorty et de la kpoter d'une main experte avant de s'assoir dessus. Ok, sa rondelle est restée ferme et résistante. Je m'enfonce dans son intimité mais tout en sentant une bonne compression. Tout en me chevauchant, il m'explique que son " initiateur " lui faisait contracter son anus sur son petit doigt après chaque défonce. Et le temps d'exercice était proportionnel au diamètre de la bite qu'il venait de recevoir. Je le fais taire en prenant sa bouche et en lui enfonçant ma langue dedans. Il attend de m'avoir fait juter dans ma kpote pour laisser sortir son sperme sur mes abdos. Là il décule rapidement et vient lécher sa production. Naturellement ma main est venue caresser ses cheveux. Il ne s'offusque pas de cette marque de domination. Je vois même qu'il continu à me lécher alors qu'il n'y a plus rien à ramasser.
Quand je lui dis qu'avec lui j'ai une bonne recrue, il m'assure qu'il peut faire pour moi et mes clients des plans Zarbi si besoin. Il était sûr que certains seraient plus qu'intéressés par ses capacités spéciales. Je creuserai plus tard.
En attendant il me remercie d'avoir accepté qu'il rejoigne mon écurie et m'assure qu'il va se donner à fond pour moi. Je tempère son enthousiasme en lui rappelant qu'il n'était pas question que ses études en pâtissent.
Jalil me demande un rendez-vous. Je ris un peu de le voir aussi protocolaire. Nous nous isolons et là, il me fait sa proposition. Il veut intégrer mes escorts pour me rembourser son entretien. Je suis étonné. Du coup je lui demande si c'est vraiment ce qu'il veut, s'il ne préférait pas rester avec ses 3 nouveaux amis et piocher au besoin, parmi tous ceux qui passent au blockhaus s'il avait besoin de nouveauté. Il insiste que ça va faire plus de 4 mois qu'il encombre ma maison et que PH refuse qu'il nous dédommage alors que son père approvisionne son compte suffisamment pour ça. A mon tour je refuse. Je lui explique que je n'ai pas besoin de son argent et que cela ne le met pas pour autant mon débiteur. Je voulais juste qu'il retrouve non pas son innocence, mais au moins une joie de vivre. Là, il me remercie et me dit que j'ai réussis ça. je clos la conversation et le chasse de mon bureau avec ordre de s'amuser et surtout de se faire plaisir, l'immeuble permettait ça.
Arrivé à la porte il se retourne, traverse l'espace qui nous sépare et se jette sur moi pour coller ses lèvres sur les miennes. Je suis si surpris que je mets un peu de temps à réagir, surprenant non ? J'ouvre la bouche pour protester mais le coquin en profite pour y enfoncer sa langue. Direct je bande ! Je le repousse à bout de bras. Là, il me fixe dans les yeux et me sort qu'il ne veut pas être le seul des 4 à ne pas voir fait l'amour avec moi. Après avoir posé sa main sur mon entrejambe, il ajoute que j'en ai envie.
Je ne sais pas mais j'ai une certaine réserve avec lui. Il le sent, sa voix baisse d'un ton et il me demande pourquoi je le rejette. Il me cueille et je le reprends dans mes bras où il se love avant de me tendre ses lèvres.
Je craque ! Ma langue envahi sa bouche et nous nous roulons un patin d'enfer. Mes mains parcourent son corps et je sens qu'il bande comme un fou lui aussi. Je reprends mes esprits, le repousse à nouveau. Là, il me dit qu'il a grave l'envie de faire l'amour avec moi et que ses trois nouveaux copains l'ont assuré que j'étais un super coup. Il ajoute qu'Enguerrand lui a confié que c'était grâce à moi qu'il avait pu surmonter son épisode " esclave, sado-maso " et puis même sans ça, je le faisais trop kiffer.
Je lui demande s'il veut qu'on fasse ça tous les deux ou s'il ne préférait pas avec ses trois autres amis. Je le vois hésiter. Il finit par me dire qu'il aimerait bien m'essayer tout seul.
On se prend la première chambre après mon bureau. Je le pousse sur le lit et le vois se tortiller pour s'extraire de son marcel et de son short. Je l'aide.
Putain qu'il est beau ! Il a gardé sa tête d'ange mais en dessous il est nettement plus beau qu'à son arrivée. Ses os se sont entourés de muscles qui commencent à élargir sa silhouette. Toujours imberbe, les aisselles rasées et le pubis à notre mode, il est plus que baisable ! Il se redresse et m'aide à me mettre nu. A genoux sur le lit alors que je suis debout devant lui, il me caresse. Je le laisse faire le tour du propriétaire. Mon cou, mes bras, mon torse sont parcourus pas ses mains jusqu'à ce qu'il empoigne fermement mes 20cm qui n'attendaient que ça. Sa tête plonge en avant et je sens sa bouche recouvrir la totalité de ma queue. Le nez écrasé sur mes abdos, il joue de sa gorge pour compresser mon gland coincé entre ses amygdales. Je ne veux pas savoir où il a appris ça mais c'est trop bon. Je le lui dis et mes mains sur sa tête, je l'aide ou plutôt je maitrise. Inconsciemment, pendant qu'il me suce, il cambre ses reins et fait ressortir ses fesses. Puis il roule des hanches. Alors que je suis doux dans mes mouvements, il me recrache le temps de me dire que je peux y aller plus hard avec lui. Pour me le prouver, il devient plus brusque dans ses mouvements et cherche à s'étouffer avec mon gland.
Ok j'ai compris. Je lui tiens la tête entre mes mains et utilise sa bouche comme d'un cul. Je lui lime la gorge sans me soucier (enfin si quand même) de sa respiration et s'il émet une forte production de salive gluante je ne m'arrête pas pour autant. Raide comme la justice, la queue hyper lubrifiée de cette salive de fond de gorge, je le retourne pour qu'il me présente son cul.
Il a compris ce qui l'attend et les genoux légèrement écartés, il attend. J'ai à peine posé mon gland sur sa rondelle que d'un brusque coup de rein, il recule dessus jusqu'à ce que ses fesses s'écrasent sur mon bassin. Un ha de soulagement sort de sa bouche. Il commence alors à se déchainer sur ma bite. Je le laisse faire 5mn puis reprend la main. Je bloque ses mouvements alors que je suis bien au fond de son cul. Je le pousse jusqu'à ce qu'il soit couché sur le lit et là, mes chevilles bloquant ses jambes, mon bras gauche en travers de son cou, je m'emploi à lui limer la rondelle avec la totalité de mes 20cm. Je ressors à chaque fois et de temps en temps j'attends qu'il me supplie de le défoncer pour le sodomiser à nouveau. Je surveille qu'il kiffe ma façon de lui faire l'amour. Malgré mon poids, il réussit à se remettre sur ses genoux et à ruer du cul pour " brutaliser " ma sodo.
Peut-être que c'est ce qui lui manque avec ses 3 complices ! Surtout s'ils l'ont converti à " l'actif " pour bien profiter de sa grosse bite.
Je l'attrape par les hanches et le fais pivoter sur ma bite. Je plaque son dos sur le matelas. Il écarte ses jambes quasiment au grand écart, c'est chose faites quand de ses mains posées sur ses chevilles il les tire en arrière.
Trop beau le tableau ! Sa rondelle est légèrement écartée par la position qu'il a adoptée, ses 22x6 raides de plaisir collent son ventre et recouvrent son nombril.
Je me jette sur lui et ma bite, direct, le défonce alors que je me couche pour pouvoir lui rouler un patin. Ses bras viennent autour de mon cou, retenir ma tête. Ses jambes se replient et me bloquent aux reins. Il me garde sans bouger le temps de me glisser dans l'oreille de la baiser hard (sa rondelle).
Je me redresse, mes mains viennent prendre appuis sur ses cuisses et mes pieds fixé au sol, je lui défonce la rondelle à grands coups de bite qui ébranlent à chaque fois le mur. Ses gémissements se transforment en petit cris qui s'achèvent dans un râle alors que, sans se toucher, sa queue se met à expulser de grands jets de sperme. Il se couvre les pecs, son cou, quelques éjaculations atteignent son visage. Je tapisse l'intérieur de son boyau, stimulé par ses compressions anales, avant de m'écraser sur lui.
Ses yeux fermés s'entrouvrent et je n'y vois que du bonheur, ouf !
Je sors ma langue et viens récupérer sur ses joues les larmes de sperme que sa jouissance a déposé là. Je me replace et il comprend. Il ouvre la bouche et je dépose dedans ma récolte. Il m'attrape par le cou et me tire vers lui, collant nos deux bouches on se la partage.
Une fois nos esprits retrouvés, je lui demande si j'avais été assez brutal pour lui.
Réponse : " beaucoup moins que les combattants de la foi, mais juste ce qu'il fallait pour son plaisir ".
Sous les douches, c''est à mon tour de le caresser avec mes mains savonneuses. Je lui fais la remarque que j'ai l'impression qu'il a grandi. Il me le confirme et ajoute que ses répétiteurs médecins n'en sont pas étonnés. Les mauvais traitements avaient dû perturber sa croissance et il se rattrapait maintenant.
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!