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Chapitre 3
Le pantalon de treillis moule bien ses jambes musclées et son cul ferme, les rangers brillent. Il est torse nu, des muscles fins, des pecs bien formés recouverts légèrement de poils. De ses 1,80 m, il me toise. Il me caresse le dos, le cul, le torse, les couilles avec la lanière du fouet . Ma bite est à l'étroit dans le CBT. Il me file quelques coups, puis va s?asseoir à côté. Il me regarde.
Baisses les yeux connard.
Malgré la chaleur, je tremble. Je sens son regard. Je suis crevé, mais j'ai encore envie de morfler. Il siffle sa lope qui rapplique dans son boxer moulant troué, rangers aux pieds aussi.
Files une clope
La lope s'exécute puis il se met au garde-à-vous des lopes (jambes écartées, tête baissée, mains dans le dos). Les minutes sont longues, putain j'ai grave envie encore.
Le temps de ma clope, tu le dérouilles et tu ne t'arrêtes pas, sinon tu prends sa place.
La lope prend le fouet, se positionne derrière moi et les premiers coups pleuvent. Il tourne autour de moi, pas un endroit n'est épargné. Je ne peux pas m'empêché d'hurler.
Files ton boxer.
La lope obéit, il revient se placer à côté de moi. J'aperçois ses lourdes couilles et sa queue épaisse bandée. Le Chef se lève, viens se mettre devant moi et me barbouille la gueule avec le boxer aux odeurs de mâle, de pisse, de merde. Il me le fout dans la gueule puis me balance une putain de pairs de baffes.
Continues.
La punition repart de plus belle, une punition pour rien, juste pour le plaisir du jeune maître qui souffle la fumée de sa clope dans ma gueule. Il sort des gants de cuir de sa poche, les enfile et joue avec mes nibs. Il tire fort, malaxe, cogne. Puis il fait rouler son mégot sur les bouts de mes seins bien étiré. C'est hard, je me sens vidé et devenir sa chose.
Stop, tu le détaches.
Je m'écroule au pied des deux arbres. Je vois deux rangeos devant ma gueule, en bon bâtard, je lèche et d'un coup je reçois un coup violent dans le ventre.
C'est bon connard.
Puis il dit à sa lope : " Tu le remets en état, j'en ai encore besoin. "
Il me soutient jusqu'à la cave où se situe ma cellule. Nous passons devant. Il ouvre une porte un peu plus loin dissimulant une salle de douche avec dans un angle un WC à la turque . Il retire le plug, le CBT, le collier etc. Me tend une canule.
Laves toi le cul.
Cela fait bien longtemps que je n'ai plus de pudeur. L'eau chaude dans mon cul bien ouvert me fait du bien. Il me fait me lever et vérifie sauvagement si mon trou est propre. Il me file un rasoir et une brosse à dent.
Allez fais toi toute propre la puta.
Je vois ma tronche et mon corps dans le miroir. Je ne suis pas beau à voir, j'ai bien ramassé. Ensuite, j'ai droit à une douche tiède. Il me rase le cul et les couilles, je me rince, m'essuie. Je me sens revivre.
A genoux.
Il me fout sa bite dans la gueule. Je bande de nouveau comme un malade. Il bloque ma gueule, je manque de vomir à chaque aller et retour, mais je veux le satisfaire. La porte s'ouvre. Le Chef entre. Regarde le spectacle.
Et à son tour me file sa putain de belle queue. Je vais de l'une à l'autre. Je prends des mollards et des baffes.
A quatre pattes.
La lope m'enfonce de nouveau sa bite dans la gueule tandis que le Chef, sans ménagement, m'encule à fond. La douleur passée, je dois avouer prendre mon pied.
Vas y tu peux jouir.
En quelques secondes, je reçois un flot ininterrompu de foutre, cinq, six, sept jets, je ne sais pas. Il me fais nettoyer sa queue pendant que les coups de bite du Chef se font plus raides, plus violents. D'un coup, je sens son sperme dans mon cul, il continue. C'est trop bon.
Quand il se retire, il fout la lope au sol, sur le dos et m'ordonne de mettre mon cul sur sa gueule.
Pousses bâtard, il adore ça.
Je sens la langue de la lope nettoyer mon cul, c'est trop bon encore.
Ils me mettent ensuite sous la douche et me pisse dessus. Le Chef se casse. La lope m'autorise à me rincer puis me conduit dans ma cellule. Surprise, sur le bas flanc, un sac de couchage et dans un angle, un plateau repas.
Allez ! Reprends des forces et reposes toi. T'es surveillé (il me montre la caméra). Si tu touches à ta queue, ce que tu as subi tout à l'heure n'est rien par rapport à ce que je te mettrais. Compris ?
Oui Maître.
A peine est-il sorti que je me jette sur le plateau. Tout est bon. Je ne sais pas depuis quand je n'ai pas mangé, ni d'ailleurs depuis quand je suis là. Crevé, je m'allonge et m'endors de suite.
D'un coup, je sens une présence. Je me jette à terre gueule ouverte. Le Boss est là. Il me relève la tête. Je vois son visage barré d'un large sourire.
Ça v a bâtard ?
Oui, Chef.
OK. Tu vas dormir et aussi réfléchir. Quand je reviens, tu me diras si tu poursuis ton larvage. Je te préviens, ce que tu as subi n'est rien par rapport à ce qui t'attend. De plus, ce sera du 24/24, 7j/7. Je m'occupe de régler les détails de ta pauvre vie de merde et toi tu me sers d'esclave. Compris ?
Oui Maître.
Il me colle une baffe et sort. Je suis sonné, heureux mais avec plein de questions dans ma tête. Je décide de me reposer et de réfléchir plus tard. Je m'endors en quelques secondes.
Si vous voulez la suite, merci de m'envoyer un mail. Sinon, je suis à dispo d'un maître( s).
Chapitre 4
L'histoire vraie devient une histoire mélangeant le réel et le fantasme.
J'ai dormi comme une souche. Le réveil est hard. Le Chef et la lope sont dans la cellule, j'ai la tête à l'envers. " Ta décision ?. " Mes neurones de bâtard se remettent en place. " OUI ", je gueule et me prends le sempiternelle aller et retour qui me vrille la tronche. " Chef, je veux être votre bâtard. ".
" OK. On passe à l'administratif. " Le Chef sort. La lope me jette un vieux jeans, un T shirt crade et des skets pourries. " Sapes toi. " Habillé, il me conduit dans le coffre de sa caisse, clé hard au bras et sans tendresse. J'ai mal, mais force est de constaté que c'est ce que j'aime. Le voyage dure un certain temps que mon pauvre cerveau ne peut pas calculer.
Le coffre s'ouvre, il fait nuit. La lope me tend un trousseau de clés. Je suis devant le portail de ma maison. J'ai l'impression que cela fait des années que je ne suis pas venu. Je vous passe ce qui a suivi : demande des mots de passe banque, mail etc, en mode interrogatoire, plus un " vidage " de mon chez moi.
Ma maison en pleine ville de garnison est transformée en deux jours en lieu pour accueillir des mecs, en fait en lupanar.
Rapide description : maison de plein pied, genre longère, avec jardin sans vis a vis. Au centre la pièce à vivre avec cuisine, salle à manger et salon. De chaque côté, une chambre avec salle de bain. Des ouvriers passent pour mettre des caméras, d'autres un système électronique pour gérer l'ouverture de la porte de ma chambre et de la porte fenêtre sur le jardin. La Lope prend soin de moi. Il me dérouille régulièrement et les ouvriers se paient aussi sur mon cul et avec ma gueule.
Les installations effectuées, je dois signer ma demande de mise à disponibilité de mon taf., les procurations sur mon compte etc. J'ai un peu de revenu, le Chef en place la moitié pour moi et conserve le reste pour mon éducation " auxquelles s'ajouteront tes prestations ", signale la lope avec un regard qui me fait peur.
Je n'ai pas eu le temps de penser ces deux derniers jours. Suis un bâtard, normal. La lope me dérouille bien hard et m'envoie dans ma chambre. Déboussolé, je dors tout de même. Le lendemain, il surgit, me jette du lit et me file une trempe. " Tu te douches et tu prépare le petit dej. " Je m'exécute.
Le petit dej prêt, je me fous dans un coin, mains sur la tête. " Tu peux servir ", ce n'est pas l'accent chantant de la lope mais celle du Chef. Le service fait, il me fout au garde à vous des lope. " T'écoute bâtard, je ne le dirais pas deux fois. Tu vas rester ici, le temps que je règle des trucs. Deux commandos de la caserne d'à côté rentrent de mission. Ils vont s'occuper de toi et te noteront, quand je rentre la note et la caisse à intérêt d'être à la hauteur. Je vais te foutre une bonne dégelé avant de partir. Tu files dans ta chambre, j'arrive. "
La suite bientôt, juste déçu par le peu de mail donc à voir.
Sinon, je suis à dispo d'un maître( s).
Mat2336
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