Salut à tous !
Je m'appelle Julien, 29 ans, 1m73, 65kg, motard gay suisse.
Hier, Vendredi 5 juin 2015, je décide de prendre une journée de repos. Il fait 30°C dehors, la chaleur est insoutenable dehors et aussi à l'intérieur de l'appart.
J'a une énorme envie de rouler à moto, mais rien que l'idée de crever de chaud sur un engin qui chauffe à mort, me freine et je décide donc de regarder la TV en attendant la fin de journée.
Quelques mecs sur Grindr bavent devant ma photo (en combi cuir sur une sportive) et font les chiennes assoiffées de cul.
Je décline les offres les unes après les autres. Je suis en mode recherche de motards et non autre chose.
Bref, les heures passent, je m'endors et deux heures plus tard, me réveille avec une trike de fou. Je regarde dehors, le soleil brille toujours mais je sens quand bien même la température baissait un peu. Aller, c'est le moment ou jamais.
Je vais donc prendre une petite douche froide, histoire d'être un minimum non-transpirant, reste 15 minutes à poil chez moi pour sécher et vais dans mon dressing prendre ma combi cuir 1 pièce Berik blanche et noire. Elle me fait bander cette combi tellement elle est magnifique. Légèrement sale de poussière, les sliders rapés quand j'ai eu fait un peu de circuit en France, elle donne vraiment un look terrible ! Je prends ensuite mes bottes Alpinestars SMS+ noires et les enfilent. Mais avant, j'ai mis mon nez à l'intérieur et me rends compte qu'elles puent le sperme ! J'avais fait un plan avec un jeune militaire la veille et il m'avait bien dosé mes bottes le salaud !
Une fois quasi équipé, je sors et me pose sur ma bécane prête au départ !
J'enfile mes gants cuir racing noirs et blancs et mon casque, démarre ma bécane et c'est parti !
Je roule sans trop savoir où je vais mais ce qu'il y a de sur, c'est que j'y vais !
Comme la veille c'était jour férié dans mon canton, bon nombres de personnes ont pu faire le pont ! Et parmi elles, beaucoup de motards !
Je vais chez Tamoil faire le plein de benzine, et poursuis ma route. Je passe plus de temps à saluer les motards qu'à négocier les premiers virages, mais c'est tellement sympa de se dire bonjour !
Près de 40 minutes plus tard, je me retrouve vers Soleur, une petite ville après Bern. Je décide de m'y arrêter pour visiter un peu la ville et surtout, boire de l'eau car je crève de soif. Je vais donc dans une Coop Pronto et tombe nez à nez avec deux jeunes motards en combi cuir Dainese magnifiquement neuve et très colorées ! Putain, le look d'enfer ! Je sens que ma bite gonfle de plus en plus ! Je me retrouve derrière eux, presque collé à eux et renifle cette odeur très spécifique aux Dainese ! Je me retrouve dans un état second, avec une énorme envie d'être à leurs pieds pour bouffer leurs bottes, leur cuir et leurs bites!
Les deux m'ont salué avec un superbe sourire et comme beaucoup de motards ont inspecté mon équipement d'un coup d'oeil! Lorsque nous avions fini de payer, je suis donc sorti et ai rejoint ma moto. Eux, étaient tout simplement parqués à côté de la mienne ; pourtant quand je suis arrivé, ils n'y étaient pas !
Ma moto était prise en sandwich entre leurs sportives. Je monte sur ma bécane, histoire d'être assis quelque part et eux discutent entre eux. L'un deux s'adresse à moi en français. Ouf ! Tant mieux, car le suisse allemand et moi ça fait deux ! lol
Il me demande d'où je viens et où je compte aller. Je lui réponds et lui dis que je vais rentrer chez moi car je commence vraiment à avoir trop chaud dans ma combi, malgré l'avoir ouverte complètement. Il me répond qu'eux aussi ont super chaud et qu'ils ne vont pas tarder à rentrer aussi.
Est-ce une invitation ?
Tout ce que je sais, c'est que ma bite a faim, elle aussi !! Et je crois bien que je déforme complètement ma combi tellement je bande de les mater ces deux là !
Puis, une fois avoir fini nos ravitaillement, on s'est salué et chacun a pris sa route. Dommage :( j'en aurai bien fait mon 4 heures!
Je reprends donc ma route, seul et me dis que je devrai vraiment rentrer, vue que j'en ai quand même bien profité aujourd'hui. Au risque de me faire huer, je décide de prendre l'autoroute pour aller plus vite ! Et puis, je vais aussi écumer quelques aires d'autoroute, peut-être que je pourrai de quoi soulager le monstre que j'ai entre les jambes !
D'ailleurs, avec ce que j'ai pu boire, je dois de toute façon m'arrêter pour pisser ! Cela devient urgent.
Je m'arrête donc à l'aire de repos de Nidderbipp, très connue d'ailleurs pour soulager autre chose que la pisse, si vous voyez ce que je veux dire !
Je parque ma moto près des chiottes, en descend, enlève mon casque et mes gants et me détends un peu les jambes, tout en profitant de regarder ce qu'il y a autours. A part des vieux en chaleur, il n'y a pas grand chose.
Je vais donc aux urinoirs, ouvre ma combi, sors ma queue et commence à me soulager gentiment. J'entends dehors un bruit sourd d'une moto ! Et là je me dis que je vais peut-être trouver de quoi m'amuser rapidement ! Je traîne donc aux chiottes tout en continuant de pisser (j'aime bien m'arrêter de pisser par moment et de reprendre ensuite).
Puis, j'entends le crissement du cuir et de bottes se rapprocher. Hum, j'adore ce bruit. Le motard entre et occupe le second urinoir à ma droite. Et là, je crois être dans un rêve. Je me tourne à droite et vois le jeune motard de tout à l'heure ! Celui en combi cuir Dainese !!
On entame de nouveau la conversation tout en rigolant de se retrouver là aux chiottes !
Je profite pour discrètement regarder sa queue ; il a pris soin de sortir son gland et pisse tranquillement ! J'ai de plus en plus de mal pour ne pas bander ! Et comme je surveille son engin de temps en temps, je vois que je ne suis pas le seul.
"Jolie engin" me dit-il avec un sourire comme il n'est pas possible de décrire.
"Le tient aussi !" est la seule réponse que j'ai pu lui donner.
"Si ça te dit, on peut aller chez moi s'amuser, car depuis tout à l'heure, j'en ai trop envie!"
"Pas de problème, mais j'aimerai juste un truc vite fait là..."
"Pas de soucis, on va dans une cabine !" Il semble aimer prendre les choses en main, c'est plutôt cool !
On range vite fait le matos dans nos combis, puis on se rend dans une cabine.
Une fois à l'intérieur, il me dit :
"T'aimerai faire quoi, de vite fait ?" me lance-t-il
"Te prendre dans mes bras et t'embrasser"
Ni une ni deux, il me prend dans ses bras, ma caresse le dos et la tête et plaque sa bouche contre la mienne. Il me donne sa langue à bouffer et nos salives se mélangent dans nos bouches. Tous les deux n'arrêtons pas de nous palper les cuirs, bottes racing contre bottes racing, queue contre queue.
Il stop net de me rouler une pelle et me dis :
"Tu as des yeux magnifiques et je veux que ce moment ne s'arrête pas. Prenons nos motos et tirons la bourre jusqu'à chez moi."
"Ok, je te suis."
Ce ptit motard s'appelle Fabian, 26 ans, fait environ ma taille et j'ai pu remarquer que sa combi Dainese est de même taille que la mienne. Il porte un diam's à l'oreille droite, les cheveux châtains très courts, les yeux vert.
Nous enfourchons nos motos, sous l'oeil dépité des mecs qui rôdent aux alentours.
Fabian habite à Bern, dans le centre ville. Nous parquons nos motos dans son garage, prenons l'ascenseur jusqu'à son étage.
Il ouvre son appartement, un 2 pièces et demi très bien décoré sur le thème motard. C'est vraiment un appart de kiffeur de motards ! Aux murs des photos de motards en cuir, deux combis cuir 1 pièce qui traînent dans le salon avec autant de bottes, de gants et de casques !
"Tu vis seul ici ?" lui dis-je
"Oui, je suis célibataire. Pourquoi cette question?"
"Vu tout ton équipement qui traîne, je pensais que c'était à ton mec"
"Non, j'aime juste être très bien équipé et ne pas porter toujours les mêmes combis !"
"Je t'offre une bière ?"
"Ok, avec plaisir !"
Il se rend dans sa cuisine et reviens, me tend la bière et s'assoit sur moi ! Déjà que je bandais bien, mais alors là ! J'en peux plus !
"Tu sais, j'ai pas l'habitude de faire venir des mecs ici ! Mais toi, c'est pas pareil ! J'ai envie que tu restes cette nuit ici, si tu le peux !"
Je rêve ou ce mec est en train de me draguer ouvertement et a littéralement flashé sur moi ?
Fabian repose ma bière sur la table basse, et reprend là où on s'était arrêté aux urinoirs. Il recommence à me fouiller la bouche, à se frotter contre moi et à palper mon cuir. Bien entendu j'en fais de même ; l'envie de baise se fait trop ressentir.
Fabian ouvre sa combi complètement, sort sa queue, se met debout. Sa queue est à quelques centimètres de ma bouche. Instinctivement, j'ouvre la bouche et commence à lécher cette bite de 19 cm, raide. Puis je la gobe d'un trait, pour lui montrer que ma bouche et ma gorge sont accueillantes !
Il lâche des râles de plaisir, sa queue mouille beaucoup et je me délecte de ce nectar de motard.
J'ouvre aussi ma combi et sors ma queue qui a bavait comme un escargot dans ma combi. Fabian se mets à genoux devant moi, et retourne légèrement mon cuir pour y lécher la mouille. Puis, enfourne ma bite dans sa bouche et me suce comme un dieu. Je suis trop trop excité !
Je remets mes gants cuir pendant qu'il me fait monter la sauce. Lui fait de même s'en s'arrêter de me pomper. Quel talent !
Je lui caresse alors la tête et lui donne la cadence. Avec ses gants, il me palpe les couilles. La sensation de ses gants cuir racing sur mes boules me fait passer à un stade où je ne gère plus rien.
"Fabian, je vais juter, fais gaffe !"
Il s'arrête de me pomper et me dis :
"Donne moi ton sperme et je te donne le mien dans 2 minutes !"
"Attends, j'ai une autre idée, on va se mettre en 69 comme ça on peut larguer en même temps !"
"T'es un cochon toi, j'aime ça !"
Je m'allonge donc sur le canapé et Fabian se met en 69 sur moi. Il me gobe de nouveau la queue et me branle en même temps avec ses gants. Je fais de même. On est en symbiose tous les deux. Les gestes sont synchronisés. Pendant que je le suce, j'ai les yeux fermés et je sens que je ressens autre chose qu'un simple besoin de cul. J'ai pas envie de le quitter.
A ce moment là, ma queue lâche ses jets de sperme dans sa bouche et lui ne tarde pas à faire de même dans la mienne.
Une fois complètement vidés, Fabian se relève et me roule un pelle de sperme pour mélanger nos foutres dans nos bouches.
Fabian était de nouveau allongé sur moi, sa queue encore raide contre la mienne.
"Tu es d'accord pour rester ce soir ?"
Avant que je ne réponde, je vois dans ses yeux un peu de larmes.
"Fabian, tu pleures ?"
"De joie oui, et je ne veux pas que tu partes"
Mes yeux commencent à se remplir de larmes aussi et je lui réponds alors :
"Je reste autant que tu voudras de moi".
Fabian s'étale de nouveau sur moi, m'embrasse et nous restons ainsi quelques bonnes minutes.
Je vous écrie cette histoire de son appartement, où je suis encore aujourd'hui. Et bien que l'on ait passé la nuit sans nos combis, notre premier réflexe ce matin fût de se rééquiper pour prendre le petit-déjeuner en combi cuir et bottes.
Jeremybiker
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